Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Chers amis, voici le dernier chapitre en ma possession.
Si certains d'entre vous avaient envie de le continuer, ils sont les bienvenus.. Sinon, je redigerai une conclusion...
Merci encore à tous ceux qui nous ont offert leur talent pour notre plaisir !
Chapitre VIII
Comment cette femme allongée à demie nue dans les draps de ma nuit pouvait réveiller en moi une telle confusion d’érotisme exacerbé ? Ma poitrine gonflait de désir, elle se remplissait des émotions sensuelles qui savent rendre mes seins si sensibles aux excitations charnelles du monde autour de moi. Mes tétons dressés au milieu de mes aréoles roses et sombres dardaient l’air frais matinal, et déclenchaient des frissons délicieux qui venaient se perdre dans les méandres nouées de mon estomac. Sensations enfantines me rappelant celle de la gamine qui tombait amoureuse du beau brun au premier rang de sa classe que j’étais, il n’y a pas si longtemps encore.
Est-ce que j’étais entrain de tomber amoureuse de cette servante, moi la scandaleuse glissant de l’orgie romaine vers le marivaudage burlesque ? Je devais détacher mon regard de ces deux planètes sombres qui habitaient son regard de lueurs lascives entremêlées de pulsions de luxures.
Je me serai laissée aller à danser dans ses yeux des heures durant si l’impudique servante n’avait porté sa main sur ma poitrine, déchainant dans mon corps une onde de plaisir si intense que je sentais immédiatement mon délicat reposé exploser comme une fleur qui bourgeonne au printemps. Mes pétales s’ouvraient et se couvraient de ma rosée intime. C’était intense, le simple fait qu’elle me caresse les seins me faisait mouiller comme une pucelle qui, pour la première fois, découvre sa fleur de femme, et perd sa main dans sa première caresse.
Elle avait les mains fraîches d’avoir fini la vaisselle de mon bol, et je sentais distinctement chacun de ses mouvements sur ma poitrine, les lignes gourmandes que ses doigts fins au vernis impeccable dessinaient autour de mon mamelon, comme le sautillement vif que ses ongles manucurés faisaient en venant titiller, au comble de mon excitation, mes tétons érigés. Chaque geste qu’elle esquissait sur ma peau ébranlait dans mon corps les chemins du plaisir qui n’avaient de cessent de s’emmêler en moi, provoquant une boule de ravissement dans mon bas ventre, construisant une zone érogène qui émergeait à la surface de ma peau.
Je sentais mon abricot juteux s’ouvrir et perler de mes jus féminin. Ma chatte devenait avide de caresses, et j’avais besoin de me sentir fouillée, sentir que mon sexe habité de la présence charnue de ma partenaire par ses doigts ou par sa langue. Et même son point tout entier pouvait disparaitre dans ma vagin mouillé, tellement mon corps bouillonnait d’envies inassouvies. Je me laissais caresser la poitrine et tissais dans mon esprit embrumé par les limbes de la luxure le fantasme qui me ferait jouir de ma servante docile dans un futur proche. Je voulais qu’elle me doigte progressivement, jusqu’à faire pénétrer dans mon sexe offert son menu poignet.
Mais lasse de ma passivité, je me décidai enfin à coller ma bouche sur ses lèvres carmin de servante allongée, pour dévorer sa bouche, fourrager ma langue rapide à la rencontre de la sienne, explorer ses lèvres et la jointure parfaite de ses dents blanches pour partager avec elle les frissons fabuleux que ses mains sur mes seins provoquaient dans mon corps, jusque dans le bas de mes reins.
J’attendais, impatiente, qu’elle colle sa paume qu’elle plaquait sur mes seins, sur mon sexe brulant. Sans m’en rendre compte, je gémissais d’un désir lascif. Je retirai alors la robe rouge du corps alangui sur mon lit, pour mettre à nu la servante inconnue dont je ne savais qu’une chose : elle me promettait une jouissance intense.
Nue, elle était aussi belle que dans sa robe. Sa poitrine dressée fièrement me jaillissait au visage, et son ventre ferme faisait glisser mon regard vers le haut de ses cuisses où son sexe glabre découpait dans son corps de femme, une fente virtuose qui, déjà entrouverte, était luisante de désir. Je n’avais que l’embarras du choix pour poser mes caresses, parcourir le fuselage félin de ses jambes fines et musclées ou caresser sa gorge discrètement haletante, trahissant un émoi grandissant aussi sûrement que sa fente humide.
Je pouvais embrasser ses hanches ou sa taille de guêpe, ou même mordiller ses doigts qu’elle avait cessé de faire courir sur mes seins. Mais ce sont les deux globes mammaires qui s’élevaient sur son torse délicat qui attisaient tous mes sens.
J’approchais mes lèvres des deux fraises appétissantes avec une fascination dévorante. J’ai toujours aimé les seins des femmes, les miens en premier lieu, que j’aime caresser, et tous les seins des femmes qui me laissent les voir, les câliner, les exciter. Enfin ma bouche fut à quelques instants dévorants de ces tétons, pour qu’elle sente sur sa peau mon souffle chargé des désirs qu’elle m’évoquait. J’empoignai hâtivement ses fruits généreux de mes mains avides. Elle lâchait alors un cri de surprise mêlé de plaisir. Pourtant, c’est moi que la surprise saisissait. Rapidement, je me mettais à malaxer sa poitrine gonflée, et sous mes paumes étonnées, je sentais perler un étrange liquide. J’arrêtais brusquement mes caresses pour porter mes mains à mon visage, examinant cet étrange fluide. La servante remarquait ma moue curieuse, et s’empressait de me rassurer en me précisant que c’était du lait.
Réaliser que ma troublante servante avait une montée de lait provoquait en moi un véritable électrochoc érotique. Ma bouche se jetait sur ces seins gorgés de lait et suçait, aspirait ce fluide nouveau qui coulait dans ma gorge. Je voulais traire la jeune femme pour m’enivrer de son lait amer. Il coulait sur les lèvres, mon menton, ma gorge, il était si bon de le sentir jaillir du téton, telle une minuscule éjaculation. Tel un aphrodisiaque démentiel, je me sentais perdre la raison, je dévorais ces seins généreux, passant de l’un l’autre sans ménagement. Et peu à peu, le buste féminin de la servante allongée contre moi, dégoulinait de ce lait, de ma salive, de mon désir. Je n’en pouvais plus d’attendre, et j’ordonnais à ma servante dans un cri animal, qu’elle me prenne la chatte.
Je basculais sur le dos, comme terrassée par une force souterraine, et je repliais les cuisses sur mon ventre pour offrir ma chatte avide. Se redressant devant moi, la brune à la poitrine lactée commença par frotter ses seins laiteux à ma chatte trempée, mêlant à ma cyprine tiède son lait chaud.
Heureusement que la servante n’était pas nunuche elle comprenait bien que j’avais besoin d’être remplie, et elle faisait pénétrer son majeur dans ma fente humide. Qu’il était bon de sentir son doigt fouiller mon vagin ! Rapidement, elle mit un second doigt, puis un troisième dans ma chatte qui s’ouvrait sans résister à ses cajoleries masturbatoires. Je sentais en moi ses doigts chatouiller les parois intimes de mon vagin dilaté. Elle savait où trouver les zones sensibles dans ma chatte, qui m’arrachaient des râles de plaisirs incontrôlables. Mais trois doigts ce n’était pas assez pour satisfaire l’appétit insatiable de mon sexe affamé de pénétration dilatante.
J’allais à la rencontre de ces mouvements de poignet avec mon bassin, pour que ses doigts s’enfoncent encore plus profond en moi. A force de me sentir m’agiter comme une chienne en chaleur, elle finissait par comprendre que c’était sa main toute entière que je voulais sentir dans mes chaires de femme jouisseuse.
Elle se mit alors à travailler mon sexe comme on travaille une matière meuble, pour élargir ma fente béante. Parfois, en se penchant sur moi, elle crachait dans ma chatte qui pourtant, mouillait abondamment, et quand mes gémissements de plaisir se faisaient si fort qu’ils pouvaient réveiller tous les convives du château, elle venait coller un sein sur ma bouche pour me bâillonner.
Mon sexe n’était plus que sensation enivrante entre la tension repoussée de mes barrières physiques, et le plaisir insensé de sentir un quatrième doigt glisser en moi et un cinquième. Elle avait pénétré le bout de ses cinq doigts dans mon sexe et elle les faisait danser pour qu’ils conduisent son point entier à me déchirer la chatte.
Elle avait la main fine et mince, et ses phalanges qui pénétraient mon sexe me procuraient un plaisir si fort qu’il éclipsait largement la douleur languissante de mes chaires qui se dilataient. Soudain, je poussai un cri orgasmique qui remontait de mes entrailles, et jaillissait dans ma voix. La servante venait de faire disparaitre sa main dans mon vagin vorace. C’était si mon bon, je criais, je tremblais toute entière secouée d’un orgasme primitif qui ravageait tous mes tabous. J’étais « la Scandaleuse », et je criais mon plaisir, pour que tout le monde sache à quel point je pouvais être ouverte aux plaisirs nouveaux…
Une voix nouvelle raisonnait soudain dans la pièce : « Et bien Sophie, ta chatte est un véritable temple dédié au plaisir. J’ai hâte de l’honorer ! »
J’avais les yeux clos et l’esprit troublé par l’effet intense de cet orgasme violent, je ne reconnaissais pas cette voix et je ne savais plus ce qu’il me fallait adopter comme attitude.
Rémy
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