Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
On se demande parfois pourquoi notre sexualité est tellement différente des autres. Pourquoi nous sommes attirés par tel type de pratique, ou pourquoi nous ressentons ou fantasmons sur telle situation ou tel événement.
En ce qui me concerne, j'ai découvert le plaisir avant même de savoir ce que c'était. J'avais remarqué, dès l'âge de 11 ans, que quand j'étais dans mon lit, allongé sur le ventre, et que je pensais à des filles, mon zizi grossissait. Et quand je me frottais sur mes draps, au bout d'un moment il se passait un truc bizarre qui me faisait du bien et me permettait de m'endormir rapidement. Je venais de découvrir la masturbation sans le savoir.
Dans les années qui suivirent et avec l'aide des copains, j'appris très vite comment avec la main on pouvait remplacer efficacement les draps. Mon imagination débordante, me mit très rapidement face à mes fantasmes. Les histoires les plus invraisemblables prenaient corps dans mon esprit et je me faisais un malin plaisir à les conter à ceux qui voulaient bien les écouter. Je ne sais pas si c'est mon talent de conteur ou la perversité de mes récits, mais il n'était pas rare que mon auditoire finisse par se branler, tellement leur désir était exacerbé.
Un peu avant mes 15 ans, et durant les vacances, nous avions pris, mon cousin et moi, l'habitude de monter au grenier pour y manger des bonbons, mais aussi et surtout pour se branler devant les magnifiques photos d'un magazine célèbre de l'époque « LUI ». Bien sûr, ces filles sur papier glacé avaient encore leur culotte, mais leurs attitudes étaient très équivoques et mon imagination faisait le reste. C'était aussi le temps des premières éjaculations, signe de notre maturité naissante.
Cette maison de vacances étaient le lieu des retrouvailles de toute la famille. Aussi, un jour, alors que nous regagnions notre repère secret, trois de nos cousines décidèrent de nous suivre. Deux étant à quelques mois près dans nos âges et une autre déjà plus âgée, arborait l'insolence d'une jeune femme de 18 ans.
Une fois dans le grenier, nous ne savions plus quoi faire à cause des filles. Finalement elles étaient là, mais elles nous empêchaient de faire ce pour quoi nous étions habituellement dans ce grenier. Comme par hasard, la curiosité féminine fit qu'une des cousines mis la main sur une revue. Immédiatement nous nous sommes sentis, mon cousin et moi, comme pris en flagrant délit. Elles commencèrent à se moquer de nous et devant les pages maintes fois tournées et retournées, elles comprirent très vite à quoi pouvaient ressembler nos escapades.
« Vous vous branlez en regardant les photos » lança la plus âgée. Je tentais de la contredire, mais très vite je compris que c'était inutile. Alors le débat s'engagea sur ce sujet, et là j'appris que les filles se caressaient aussi. Du coup ma curiosité naturelle, me donna envie d'en savoir plus. La plus âgée me dit : « si tu te caresses, je fais la même chose que toi ». Je sentis le rose aux joues m'envahir à la simple idée de voir un sexe de femme devant moi. Après quelques négociations et quelques hésitations, j'acceptais.
Nous nous sommes installés face à face, les trois autres autour de nous, pour nous regarder. Elle ouvrit son chemisier et je vis son haut de maillot de bain et sa poitrine gonflée et arrogante. Je n'avais jamais fait attention à ces seins avant ce moment là. Puis elle retira son chemisier et commença à se caresser la poitrine. De mon côté je sentais ma queue se durcir dans mon maillot et mon gland commençait à flirter avec l'élastique autour de la ceinture. Je retirais mon t-shirt. Elle dégrafa son soutien gorge laissant apparaître deux seins superbes. Elle se leva et retira son short, d'un coup elle m'apparut comme ces pin-ups de magazine sur lesquelles je m'étais si souvent branlé.
Vas y ! commence me lança t'elle. Je sortis ma queue et je l'empoignais à pleine main. Elle s'assit à nouveau face à moi, les cuisses écartées. Elle fit glisser ses doigts sur sa culotte de maillot, j'étais comme hypnotisé. Pour ma part j'avais commencé un va et vient sur ma queue et je ressentais déjà mes premiers émois tellement la sensation était forte et violente. Son slip de couleur sombre laissa apparaître une tâche humide, signe de son plaisir. Elle écarta son maillot et ses doigts continuèrent leur petit manège.
Je m'étais mis debout et j'avais retiré mon maillot de bain. Une main tenant mes bourses et l'autre imprimant un mouvement plus fort et plus rapide sur ma queue. Elle retira sa culotte, et je vis sa petite chatte, qu'elle s'empressa de bien écarter ses cuisses. J'eus comme un soubresaut, et je compris qu'il me fallait faire une pause avant de ne plus rien pouvoir contrôler. Je m'attendais à voir ses doigts s'enfoncer profondément dans son sexe, mais au contraire je l'a voyais caresser le haut de son minou et cela semblait très excitant car elle gémissait. Je me mis à genou devant elle pour voir de plus près ce qu'elle faisait. Son sexe était trempé, rose et luisant, parfois elle laissait glisser un doigt à l'intérieur avant de le remonter sur ce que je venais de percevoir comme une petite boule. Intrigué, je lui demandais ce qu'elle faisait. Elle me parla de clitoris et du plaisir que ça pouvait procurer. Elle me dit « donne ton doigt ». Elle le fit glisser le long de ses lèvres humides et chaudes, puis l'enfonça doucement dans son vagin. Une fois mon doigt bien lubrifié, elle le guida sur son clitoris et commença à me guider sur le mouvement à imprimer.
J'étais comme une éponge, j'absorbais toutes les sensations et je retenais chaque instant de ces moments si précieux. Après quelques secondes, elle me laissa agir seul, ses mains s 'égarèrent sur son ventre puis retrouvèrent ses seins qu'elles se mit à pétrir tout en agaçant ses petits bouts. Les soupirs avaient laissé place aux gémissements et les gémissements commençaient à ressembler à de petits cris. Mon doigt s'activait sur son clitoris, j'étais stupéfié de voir l'interaction entre ce que je faisais et ce qu'elle ressentait. Selon que j'accélérais ou que j'appuyais sur ce petit bouton rose, son ventre et ses cuisses semblaient s'animer de mouvements plus ou moins incontrôlés. Je me sentais maître de son plaisir et fier de profiter ainsi de ce spectacle. J'étais acteur et les autres spectateurs.
Je regardais cette petite chatte trempée, et l'envie me pris d'y glisser un doigt tout en continuant de l'autre main à caresser le clito. La réaction fut immédiate, le corps de ma cousine se cambra et un râle s'échappa de sa gorge, je la pénétrais activement et je sentais son sexe se dilater, alors je mis un deuxième puis plus tard un troisième doigt. Mes doigts formaient un petit cône que j'enfonçais de plus en plus brutalement dans ce sexe que je sentais à moi. J'étais terriblement excité, ma tête n'était qu'à quelque centimètres de sa chatte, je sentais son odeur, j'entendais le cargouillis de mes doigts qui fouillaient son sexe, je voyais mes doigts s'enfonçaient profondément, je ressentais tout son désir. Je sortis ma main toute mouillée et je saisis ma queue, me caressant avec sa cyprine qui me lubrifiait. J'avais accéléré le mouvement de mon autre main sur son clito.
Et d'un seul coup, je sentis ma cousine se redresser, elle prit ma tête et me cria « ta langue, lèche moi avec ta langue » j'eu un moment de recul, mais sa force semblait décuplée, elle me plaqua le visage entre ses cuisses. Ma bouche entra en contact avec ses lèvres humides, elle appuyait fort sur ma tête. Alors timidement je fis glisser ma langue dans sa fente, elle se relâcha, ma tête se libéra. Je trouvais ça bon, j'étais comme enivré. Ma langue glissa le long de sa fente de bas en haut, puis je l'introduisis plus profondément. Je la léchais et elle criait à chaque coup de langue. De mon côté j'étais affolé par toutes ces sensations que je ressentais, « le clito, vas y, lèche moi vite !!!!! ». Ma langue s'enroula autour de ce bouton de chair, je durcissais la pointe de ma langue tout en donnant de petits coups rapides. Ces lapements eurent un effet immédiat, un cri plus fort que les autres suivi d'un long râle, puis des soubresauts, des tremblements et enfin un apaisement. Inutile de vous dire que pour moi il y avait déjà longtemps que j'avais senti mon sperme couler entre mes doigts. Ce fut une expérience magique.
Nous avons passé nos vacances à nous découvrir ainsi mutuellement tous les cinq. Caresses intimes, fellations, poses indécentes, jeux pervers ... etc ... Je crois que c'est depuis ce jour que j'ai développé cette hyper sensorialité, le plaisir de regarder et d'être vu, les jeux libertins, comme quoi rien n'est anodin.
L'année d'après en Juin, je faisais l'amour pour la première fois à une copine de lycée. Contrairement à beaucoup, ce fut une expérience merveilleuse pour elle comme pour moi. J'avais su être patient, et surtout je l'avais caressé comme personne ne l'avais jamais fait, bien sûr la pénétration fut courte mais le plaisir avait déjà été consommé.
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