Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Hier, c’était journée sportive et festive pour les jeunes d’une ville voisine. J’étais chargée de l’intendance. L’après-midi, différents ateliers étaient proposés aux jeunes : échecs, footsal, hand, etc, et enfin, combat rapproché, animé par les légionnaires, pour cette dernière activité.
Dans la courant de l’après-midi, alors que la chaleur était intense (35° à l’ombre), certains esprits se sont échauffés, et des jeunes se sont battus. Les animateurs n’arrivant pas à les séparer, ce sont les légionnaires qui sont intervenus. Avec beaucoup de maitrise, ils ont su séparer les belligérants. A la suite de cet incident, le coordinateur leur a proposé un boisson, ils sont donc venus vers moi.
Et là, ce fut le choc. L’un deux est arrivé, crane rasé, bien sur, mais surtout, un regard bleu acier à couper le souffle. Il a plongé ses yeux dans les miens, et ce fut comme si j’étais transpercée par une lame glacée et brulante à la fois.
Je bafouillais, je tremblais, comme une vraie gamine. Rarement dans ma vie, j’ai été aussi troublée.
Ils sont repartis très vite, trop vite, mais l’homme se retournait, et me regardait en partant, ses yeux bleus ur toujours aussi pénétrants dans les miens…
Je ne savais plus que faire. J’étais une poupée molle, ma tête tournait, j’avais un besoin impératif de lui, de son corps, de ses mains. Ma transpiration s’est accentuée, se mêlant entre mes cuisses à une autre humidité bien plus parlante.…
Par bonheur, si je puis dire, les ados ont remis ça, et une nouvelle bagarre a éclaté. Les militaires sont donc revenus ventre à terre. Une fois le conflit calmé, l’organisateur leur a demandé de rester à proximité, pour la demi-heure qui restait. Les quatre hommes sont donc revenus vers notre stand, pour rester à l’ombre.
« Mon » légionnaire s’est approché de moi, et nous avons commencé à parler. Il a un fort accent de l’est. Mais il m’est impossible de lui demander d’où il vient, ca ne se fait pas dans la Légion. Nous échangeons des banalités, mais nos regards disent tout à fait autre chose. Je tremble de plus en plus, je mouille aussi beaucoup, j’imagine ses grandes mains sur moi, son corps écrasant le mien… Il a 42 ans, il s’appelle Yohann.
L’air de rien, il sort son portable, et me demande d’y composer mon numéro. Je le fais, juste à temps avant qu’il ne quitte le stand, avec ses collègues.
Je remballe avec les ados, le cœur en vrac, le sexe en feu. Je ne sais pas ce qu’il va faire. Ou pas ! J’ai à peine fini, que téléphone sonne ; je sais que c’est lui. Il me dit assez laconiquement : « Je t’attends à 17h30, sur la plage, après le haras. »
J’ai tout juste le temps d’articuler un pauvre « oui », qu’il a raccroché. Là, c’est sûr, je ne maitrise plus rien. Rarement je me suis sentie dans un tel état d’excitation, de fébrilité totale.
Enfin, j’arrive à la plage. Il est là, en tenue civile.
Le plus naturellement du monde, il ne m’a pas fait de bise fraternelle. Il a posé ses lèvres sur les miennes, dans un baiser léger comme une plume, mais d’une intensité incroyable.
La tête m’a tourné, j’ai failli tomber, il m’a retenue.
Et là, le monde autour de nous a disparu, la plage, les enfants qui jouaient, les cavaliers, plus rien n’existait. Il m’a embrassée passionnément d’un baiser sans fin, long, éperdument amoureux…
Nous étions soudés l’un à l’autre, par une force invisible, qui nous a submergés, envahis, emportés loin de toute raison, loin de toute réalité. L’odeur de la mer, du sable chaud contribue à ce sentiment fort et puissant qui me prend toute entière.
Un enfant nous a bousculés, nous ramenant brusquement sur terre. Nos yeux se sont accrochés, pour ne plus se quitter.
Comme des automates, nous avons rejoint la voiture, pris la route. Je ne sais même plus comment nous sommes arrivés à la maison. Nous ne parlions pas, nos mains se pétrissaient, se cherchaient, ne se quittaient plus. Il passait les vitesses pour moi, de sa main droite, pour ne pas que je lâche sa main gauche.
L’arrivée à la maison... l Délivrance….
La porte à peine ouverte, il m’a prise dans ses bras, m’a attirée à lui, et m’a de nouveau embrassée. Sa façon de faire est merveilleuse, douce, forte, tendre à la fois. Sa langue harcèle la mienne, il me mange, m’avale, m’aspire, je fonds entre ses bras. Je sens un désir brutal, sauvage, animal qui monte en moi. Un désir comme je n’en n’ai jamais connu avant. Le désir profond intense d’être possédée par l’homme que j’aime. Car oui, là, juste à cette minute, je sais que je l’aime, en dépit de toute logique, de toute raison.
Possédée… Pourtant, j’ai toujours clamé haut et fort que personne n’appartient à personne, qu’on ne peut pas s’approprier une personne. Que jamais je n’appartiendrai à un homme. J’ai tenu parole plus de quarante ans.
Eh bien maintenant, je veux appartenir à cette homme, être sa propriété privée, sa femme, son amante, sa confidente.
Nos vêtements ont quitté nos corps comme par magie, nous sommes nus, debout, face à face. Il y a comme une très petite hésitation, un instant de tranquillité absolue, de silence. Le calme avant la tempête. Nous tombons allongés sur le lit, il effleure ma peau du bout de ses doigts. Il parcourt mon corps de la racine des cheveux à la pointe des pieds, le fait frissonner sous ses caresses aériennes. Je vois son sexe massif, épais, dur, dressé le long de son ventre. Il a un corps splendide, de jeune homme, malgré ses 42 ans. Je referme mes doigts sur ses bras, sur son torse, je m’agrippe à lui. Ses yeux qui m’ont tant troublée quelques heures plus tôt me fouillent jusqu’à toucher mon âme.
Le désir me ravage les entrailles, il est si intense, si profond…. Cette envie est insensée. Je n’ai pas envie de lui, j’ai BESOIN de lui, de le sentir me posséder de tout son être…
Il touche à peine mes lèvres intimes, humides de lui. Cela me fait sursauter. Je le guide vers moi, il s’allonge sur moi, écarte avec une douceur infinie mes jambes. Je sens son sexe dur contre le mont de vénus. Nos yeux ne se quittent pas.
Sans un mot, sans un son, il me pénètre lentement, d’une telle lenteur que c’en est une torture. Je me sens envahie, par cette belle verge aimée. Il est là, enfin, tout au fond de moi. Il bouge à peine, j’enserre ses hanches de mes jambes. Ses mouvements sont lents, intenses, profonds. Ce sont des vagues de plaisir qu’il m’envoie avec ses gestes doux, lents, et pourtant puissants. Nous ondulons au rythme de notre amour naissant. Nous sommes littéralement soudés l’un à l’autre. Nos regards se noient l’un dans l’autre. Jamais je n’ai vécu une telle intensité de sentiments, de sensations mêlées.
L’orage arrive, je sens des vagues de plaisir m’envahir, alors que d’habitude, une simple pénétration vaginale ne me fait pas grand-chose. Je jouis d’une façon intense, ultra profonde, inconnue jusqu’à ce jour… C’est si fort qu’un spasme me soulève la poitrine. Les larmes arrivent, elles embuent mes pupilles... Je pleure. Je pleure du bonheur de lui appartenir, de l’aimer, de le sentir en moi.
Enfin.
Comme si j’avais attendu cet homme toute ma vie. Il se penche vers moi, murmure à mon oreille : « Laisse-toi pleurer, tu es encore plus belle, tu pleures des larmes d’amour… »
Il s’enfonce encore plus profondément en moi, maintient fermement la pression, ne bouge plus. Ses yeux me pénètrent au plus profond de mon âme et de mon cœur.
Alors, sans prévenir, un nouvel orgasme fou me secoue. Je suis comme électrisée. Un immense choc électrique me fait me soulever, et pousser un cri dans la chaleur moite de l’après-midi : je hurle son nom, je hurle : « je t’aime ! »
Ces mots si galvaudés, si souvent prononcés à tort et à travers, prennent une dimension nouvelle à cette minute.
Je retombe sur le lit, vidée, mais lui continue son mouvement de va et vient, rallume mon désir en quelques secondes. Il accentue ses mouvements de bassin, puis stoppe net, et je vois son visage se crisper. Il jouit en moi, dans un râle étouffé, je sens son précieux liquide brûlant m’envahir, me remplir, m’inonder.
Il s’allonge sur le coté, m’entraine contre lui. Je ne veux pas qu’il sorte de moi. Sa seule place est là, fiché dans mon sexe qui lui appartient désormais.
Malgré la passion, son érection retombe, il sort de moi. Le vide qu’il laisse est incroyable. Réellement, il me manque comme une partie de moi-même.
Par bonheur, cet homme vigoureux a beaucoup de ressources… Il est là, couché près de moi, ses doigts courent sur la peau, glisse entre mes jambes… Il cueille un peu du sperme qu’il a laissé, et vient le déposer sur mes lèvres. Je goute son liquide précieux, j’apprécie sa douceur un peu salée. Il vient m’embrasser à nouveau, dans un baiser profond et tout aussi brulant que le premier. Il n’en faut pas plus pour rallumer illico la flamme qui s’était mise quelques secondes en veilleuse.
Sa main vient à nouveau fureter entre mes cuisses, les écarte. Il effleure mon clito, qui se dresse telle une petite bite dure et avide. Pour mon plus grand plaisir, il se penche, et vient titiller de sa langue mon bouton raidi. Il ne lui faut qu’un trop bref moment pour me faire jouir à nouveau, de façon intense, presqu’animale. Sa bouche avale mes lèvres, ma chatte est en feu, sa salive attise ce feu, au lieu de le calmer. Il enfonce sa langue au plus profond de mon abricot en furie. Je me tords sous ses caresses, il s’aide de ses doigts, qui fouillent mes orifices, il s’attaque avec douceur et fermeté à la fois, à mon petit trou. Il s’ouvre avec docilité. Je suis là, allongée sur le dos, jambes écartées au maximum. Il mange mon clito, et pénètre avec ses doigts à la fois mon vagin et mon anus, dans un geste de pince que j’adore. Pour la énième fois, il m’envoie au septième ciel, dans un orgasme puissant et tout aussi violent que les autres. Cet homme est un démon, le diable en personne. Je hurle mon plaisir, on doit m’entendre à 500 mètres à la ronde !
Il rampe sur moi, son torse écrase ma poitrine. Il retire sa main, pour mieux enfoncer d’un coup sec sa belle queue dure. Une lame me transperce, littéralement. Une lame de feu me laboure le sexe, lentement, puis de plus en plus vite. Brusquement, il se retire, me retourne comme une crêpe, et me fait mettre à genoux. En levrette, il agrippe mes hanches, et de nouveau, son sabre me coupe en deux.
Cette fois il va plus profond, butant sur mon utérus. Je crie à chaque poussée violente. On dirait qu’ne rage nouvelle l’anime. Il enfonce aussi son majeur au plus profond de mon conduit anal. Il me baise, me besogne, me ravage les deux orifices. Je ne suis plus qu’un jouet sous ses poussées brutales, mais que j’adore. Ses coups de boutoirs sont violents, ses cuisses tapent contre les miennes. Heureusement qu’il me tient fermement les hanches, sinon, je m’affalerais sur le lit !
Cette-fois-ci, je me sens possédée comme jamais avant. Cet homme me domine comme personne ne l’a fait avant lui.
Le dernier orgasme m’envahit, me fait hurler comme une bête blessée. Je pleure, je crie, ma gorge est déchirée. Les dernières vagues de plaisir ne sont pas encore apaisées, que je sens une coulée de lave au fond de ma chatte dévastée. Le liquide brulant gicle au fond de moi, et ressort sur mes cuisses, pendant que Yohann continue plus doucement ses va et vient.
Nous tombons, épuisés, sur le coté, toujours soudés l’un à l’autre. Il enserre ma poitrine de ses bras puissants. Il devient calme, doux, caressant, je sens son cœur battre fort contre mon dos. Enfin, les lois de la nature aidant, son sexe sort de ma fleur dévastée.
Alors, je me retourne vers lui, il m’enlace, m’embrasse, me caresse. C’est un moment de pur bonheur, de plaisir intense. Il s’excuse de sa brutalité, me dit qu’il n’a jamais eu autant envie de faire l’amour.
Nous restons un long moment ainsi, comme de vieux amants amoureux.
Mais le retour à la réalité sonne avec le retour des mes enfants à la maison. Il doit partir. Hélas.
Ca y est, il est parti. Il reviendra, je l’espère, même s’il ne m’a rien promis. Mais le vide est immense, un puits sans fond, où j’ai envie de noyer le chagrin de son départ.
J’ai passé la nuit comme un animal blessé et perdu, ne sachant pas s'il reviendra. Je cherche son odeur partout, dans les draps, sur mon paréo, dans lequel il m'a serrée si fort avant de partir, dans les draps, là où nous nous sommes couchés, enlacés, aimés…
Tout cela peut vous sembler invraisemblable, mais je ne sais pas comment expliquer cette passion qui nous a emportés, ravagés, et pour moi, laissée sans force, mais avec un immense, besoin de lui !
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