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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Adolescent, j’avais un look plutôt androgyne qui, en son temps, m’avait valu les faveurs  d’un « grand ». Ce fut un cours épisode vite oublié dans l’environnement social de mon passage à l’âge adulte. Après diverses expériences où alternèrent jeunes filles et femmes matures, je me suis marié. Nous étions un couple ordinaire, famille, boulot, dodo. Au bout de quinze ans de vie maritale, entrecoupées de quelques rares entorses au contrat, l’enthousiasme de nos débuts avait fait place à des relations sexuelles classiques et rituelles, fellations, cunnilingus, etc.


Pendant toute cette période, en diverses circonstances j’avais acquis quelques manies.
N’aimant pas porter de socquettes, j’ai commencé à porter des chaussettes fines, noires que je trouvais élégantes. Par inadvertance, un jour j’ai mis des mi-bas de ma femme. Trouvant cela très agréable, j’ai continué en les choisissant de plus en plus fins. J’en suis arrivé à acheter en cachette des bas, dim up d’abord, puis avec porte jarretelles.

 

Le contact sur mes cuisses me procurait de fortes émotions. J’aimais aussi beaucoup porter des tee-shirts en tissu léger, très fins, près du corps. Je ne me rendais pas bien compte que ce type d’habit révélait les bouts de mes seins, saillants et très pointus. J’aimais bien être sanglé par des larges ceinturons et je trouvais les pantalons amples assez disgracieux. J’ai commencé à porter des jeans de plus en plus étroits à tel point que les slips devenaient gênants. C’est alors qu’un string de ma femme s’est égaré dans ma pile de linge. Il m’allait comme un gant. De plus, j’ai trouvé son contact soyeux des plus agréables. Petit à petit, ma tenue vestimentaire avait perdu son aspect viril.


Dans un domaine plus intime, et sous prétexte de faire durer l’échange plus longtemps, j’avais pris l’habitude d’être sur le dos et lui laisser l’initiative, à cheval sur mon sexe, du rythme de la pénétration.
Et, pour compenser les risques de panne, on a eu recours à l’emploi d’un gode. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut-être me punir de cette attitude, elle a voulu un jour faire de même.

 

Non seulement je n’ai pas refusé, mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement, au point que je la réclamais de plus en plus. Puis le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Elle n’a pas hésité longtemps. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi, au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de véritable « pédé ».

Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, homo, passif, soumis.


Le jour où son gode a remplacé ses doigts, elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non et, plus ou moins sérieux, j’ai rajouté que cela ne pouvait pas se passer sans elle, et qu’elle aurait à choisir l’élu. En plaisantant à demi, j’ai même évoqué que mon fantasme était de la voir faire l’amour à un autre ou d’être pris en sandwich entre elle et lui.


Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami de sa famille que je ne connaissais pas encore. Sans y voir autre chose qu’une rencontre cordiale, j’ai accueilli un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique, plutôt costaud et look viril. Pendant que ma femme servait les apéritifs, j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle.

 

Chemisier noir assez transparent, et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer alors que je la savais, jusqu’à ce jour, sérieuse. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. L’alcool aidant, la discussion devint grivoise, puis orientée sur le sexe.

 

Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a fini par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant :

« Bien sur, je suis là pour ça.»

 

Alors, m’a femme m’a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins en cachette et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir.

 

Quand je suis revenu, ils étaient en train de s’embrasser goulûment, une main avait disparue dans les plis de la robe de ma femme, l’autre dans son chemisier. Subjugué par cette audace, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma femme, il lui dit :

« Il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir. »

 

Constatant un léger recul de ma part, ma femme me dit :

« Tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord pour nous partager et j’en ai très envie. Ramène les verres à la cuisine et viens nous rejoindre dans le lit ! »

 

J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma femme dans cet état et de penser que j’allais être dans les bras d’un homme.


En arrivant dans la chambre, je les ai trouvés nus, enlacés. Quant ils se sont séparés, j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma femme, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit :

« Regarde comme il faut faire. »

 

Et elle engloutit le membre dans sa bouche sous mes yeux. Elle a commencé une magistrale fellation. Subjugué, je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit :

« Suce le bien. Fais comme j’ai fait, à fond … »

 

Et pour conforter ses propos, elle appuya sur ma tête d’une main, et se branla le clito de l’autre. Aux bruits environnants, j’ai compris qu’ils continuaient de s’embrasser et de se caresser. Puis ma femme s’est levée.

 

Peu après, tout en continuant à sucer avec enthousiasme, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement.

« Depuis quand te plains-tu ? » dit-elle.


Je sentais que le sexe de notre ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda :

« Par qui je commence ?

- Par lui, dit ma femme en me montrant du doigt. Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander comme un cerf et je pourrais en profiter. »


Positionnée en levrette, tenu par les hanches, ma femme appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma femme, de plus en plus salope, me demandait de me taire en me traitant de pédé, d’enculé et j’en passe.


Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé. Bizarrement, cela me procura peu à peu un bien être extrême et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse.

 

De temps en temps, mon amant ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette légère douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma femme, en me faisant un peu souffrir et il y réussissait.

 

Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, mon chéri, encule moi bien, vas au fond… »

 

Et ma femme surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur … Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait.

« Retiens-toi me dit-elle, où il va t’en cuire … Attends que je jouisse ! »

 
J’ai à peine eu le temps de me rendre compte de ce qu’il se passait, qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ».
Étendus tous les trois côte à côte pour reprendre nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première :

« Te voilà dépucelé mon chéri. Tu seras dorénavant à mes ordres et à ceux de mes futurs amants car je vais rattraper mon retard en la matière. C’est toi qui les recruteras et ce sont eux qui me baiseront. Tu assisteras en te masturbant avant qu’à leur tour, ils t’enculent, si tu leur plais aussi. S’il t’arrivait de me désobéir, le martinet que je vais acheter te remettras dans le bon chemin. »


Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé. Nous avons légèrement réorganisé notre vie et j’ai commencé à voir défiler des hommes dans notre lit nuptial. Sans excès, en pleine acceptation de la situation.

 

Esteban

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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