Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Je vous ai raconté comment je m'étais fait plus que très agréablement masser les muscles lombaires par Jacques le kiné bisexuel. En y réfléchissant ce massage lombaire, il me le fit aussi depuis « mon intérieur ». Nous avons continué durant quelques temps à nous rencontrer, parfois seuls parfois avec des amis des deux sexes, pour des partouzes assez chaudes. J'aimerais vous raconter l'une d'elle.
Je fréquentais assidument la superbe villa en bord de méditerranée où vivaient ceux que j'appelle « mes bienfaiteurs » : Philippe et son épouse Marianne. Pharmaciens, tous deux, ils jouissaient (aussi) d'une grande aisance financière. Ils étaient bisexuels et adeptes de tout ce qui peut faire jouir. Toujours à l'affut de nouveau gibier, alors qu'ils m'avaient connus tout petit, ils durent me juger consommables à l'approche de mes vingt ans, fantasmes d'inceste sans doute, car ils n'ont jamais eu d'enfant. Mais je vous raconterai mon initiation sexuelle plus tard. Je leur ai bien entendu parlé de Jacques, mon kiné bisexuel. Ils furent avides de le rencontrer. Une rencontre à quatre fut donc organisée chez Philippe et Marianne un weekend où ils n'étaient pas de garde, c'était au cour d'un mois de Juillet.
Adeptes du nudisme intégral et permanent, ils nous accueillirent, Jacques et moi, dans cette tenue. Jacques à qui j'avais volontairement caché cela en fut surpris agréablement car ce couple était fort plaisant à regarder. Ils nous conduisirent à leur terrasse située derrière la villa faisant face à la mer. Il y avait quelques transats et trois ou quatre matelas qui jonchaient le sol carrelé. Jacques et moi nous nous dénudons, et nous installons pour déguster les boissons fraiches préparées.
La conversation, après les préliminaires ordinaires de présentations, porta sur des sujets variés comme il est de bon ton en société même dans une société de queutards. Nous avions à peine commencé que nous fûmes cordialement invités à entamer le sujet à l'ordre du jour grâce à « Friend » qui arrivait du fond du jardin d'une démarche très souple. C'était le boxer mâle de 4 ans de Philippe.
Comme tous les chiens de sa race, tout impressionnant qu'il puisse être il est très sociable et se dirigea vers nous en manifestant sa joie de nous voir, il glissa sa truffe fraiche entre nos jambes, nous renifla et donna un coup de langue sur nos queues et se dirigea vers Marianne, sa belle maîtresse, dans les deux sens du terme. Celle-ci installée sur un transat changea sa position et écarta les jambes. Friend comme si c'était un signal se mit à laper goulument la chatte de Marianne. Elle l'encourageait de la voix tout en lui caressant le sommet du crâne. Elle ne tarda pas à exprimer son plaisir. Jacques, à qui j'avais tu les pratiques zoophiles de Marianne, fut surpris et apparemment pas trop choqué, car il eut aussitôt une belle érection.
J'interpelle Philippe et lui dis : « Regarde un peu, comme il bande là. Je ne t'avais pas menti, elle est belle, non ? »
Philippe se lève vient vers nous et répond : « Ah oui ! Elle mérite qu'on la voit de plus prés ! »
Et sans même attendre la réponse de Jacques il lui dit : « Tu permets ? » et la prend en bouche pour la sucer. Je laisse donc les deux nouveaux amis faire plus ample connaissance pour aller rejoindre Marianne, entreprise par son chien. Cette femme est une grande jouisseuse pas forcément discrète. Tout en râlant de plaisir, elle me fait signe des deux mains d'approcher d'elle plus vite, ce que je fais. Elle m'attrape par la queue et me tire à elle bouche grande ouverte pour une pipe presque goulue, comme si elle voulait que je jouisse immédiatement. Elle sait mieux que personne ce qui me fait plaisir, forcément, c'est mon initiatrice, aussi elle met deux de ses doigts dans mes fesses et les fait aller et venir tout en me pompant.
Ce qu'elle me fait et l'excitation de la voir avec son chien me font jouir très vite. Elle me connait bien, elle n'avale pas, elle me tend ses lèvres et nous nous embrassons pour partager mon jus. J'adore avaler le sperme, le mien et celui des autres. Pour récupérer de cette émotion, je m'agenouille devant Marianne et «m'occupe» de Friend. A savoir que je caresse son sexe qui n'est pas encore sorti de sa cachette. Il aime bien cette branlette, ça se voit immédiatement, car un bel engin rouge et marbré sort enfin. Pour mon plaisir personnel et pour entretenir la forme du chien je suce sa belle pine. Malgré l'insistance de ses maîtres, j'ai toujours refusé jusque là de faire autre chose que sucer leur boxer. Peur idiote de « rester collé ».
Marianne, chauffée à blanc, se met à quatre pattes et se présente à Friend comme une chienne qu'elle est à ce moment là. Le chien connait bien sa maitresse, et puis, il a envie lui aussi, il saute sur elle et pénètre sa chatte. Je me dirige alors vers Philippe et Jacques toujours absorbé par leur 69 et leur signale que « le spectacle » va commencer. Jacques n'en revient pas et cela l'excite au plus haut point, Philippe s'en aperçoit et lui dit : « Vas-y Jacques, encule moi ! »
Je les laisse à leur saillie et je m'allonge sous Marianne, tête-bêche pour qu'elle suce ma queue qui est bien raide, ma tête est juste entre ses cuisses et je peux voir la grosse queue de Friend entrer et sortir de la belle chatte rasée. Ses lèvres charnues sont appétissantes à souhait, je la lèche, allant du clito à la bite du chien sur ma langue un mélange de la mouille de Marianne et du jus du chien. Curieux mais appétissant cocktail dont je me régale. Le chien se sépare de son amante et j'en profite pour prendre sa place. La chatte de Marianne baigne dans le jus de Friend, je m'y sens bien et je la baise avec délice, sous moi la belle chante son plaisir.
Je ne tarde pas à éjaculer à gros jets, alors que Marianne a un bel orgasme. Je me sépare d'elle qui se couche sur le dos pour ne rien perdre de tout ce qu'elle a dans sa chatte. Pendant ce temps Jacques toujours dans le cul de Philippe, et complètement excité par la séance de baise zoo de Marianne, signale qu'il va jouir, Philippe lui dit «non ,non, pas dans mon cul dans ma bouche!» Jacques s'exécute en gémissant car lui aussi a l'orgasme bruyant. Marianne leur fait signe d'approcher et offre sa chatte à boire à ses 3 hommes. Nous buvons avec délices ce qu'elle nous offre.
Ensuite, nous nous installons pour nous remettre de nos émotions avant un deuxième round. Marianne s'adresse soudain à moi, et me dit : « Mon petit Bruno, jusque là, tu as toujours refusé de te faire enculer par mon chien, aujourd'hui il va falloir que tu y passes !
-C'est que j'ai peur de rester collé, tu le sais bien ! »
Marianne me dit alors : « On va te préparer tous les trois, entre les deux bites que voilà et mon gode ceinture, je te garantie que Friend te fera jouir !
- Euh... Tu crois ?
- Bien sûr! Sois tranquille, mon petit chéri ! »
Malgré leurs paroles apaisantes, je ne suis pas trop rassuré, moi. Nous verrons bien au moment voulu...
Et le moment en question n'est pas venu ce jour là. Je me suis dégonflé, vraiment trop peur. Je regrette de ne l'avoir fait que plusieurs jours après, car j'avais pris du retard dans un plaisir agréable et nouveau.
Après nous être désaltérés et refaits une santé, Marianne, grande affamée de sexe devant Éros l'Éternel, jeta son dévolu sur Jacques à qui elle n'avait pas encore goûté. L'épaisseur de sa queue la tentait vraiment, aussi elle se mit à genoux devant lui et l'emboucha pour une de ces pipes dont elle avait le secret. La bouche de Marianne était réputée dans le milieu libertin local. Philippe s'absenta pour un moment, quant à moi je me suis rapproché de Friend pour qu'il me fasse plaisir avec sa langue. Il me lécha longuement la queue les couilles et mon anus.
Je ne tardai pas à être en grande forme je me suis alors rapproché du couple Marianne et Jacques car la belle adorait avoir deux personnes pour s'occuper d'elle. Elle se faisait sodomiser par le kiné, donc je me suis placé à l'avant de l'équipage, et Marianne hurla son plaisir en se sentant prise des deux côtés. Nous avons tous les trois fait l'amour pendant un long moment. C'est tellement plus agréable quand on prend son temps pour arriver au plaisir, n'est-ce pas ?
Nous avons, Jacques et moi, joui abondamment en Marianne. Celle-ci, après avoir hurlé son orgasme, nous demanda : « Mes amours, la moindre des choses maintenant est de me nettoyer, je crois, non ? »
Il y a comme ça dans la vie où des explications détaillées sont inutiles. Aussi Jacques et moi avons léché notre belle gourmande, mais en Jacques s'occupant de la chatte de Marianne pour y récupérer mon sperme, et moi de son anus pour récupérer celui de notre Kiné.
Jacques fut un instant surpris de la demande de Marianne, mais, se reprenant très vite, il fit comme moi, et nous avons arrosé ce joli corps avec notre pipi, en prenant bien soin de ne pas oublier sa bouche grande qu'elle tenait grande ouverte tel un oisillon affamé. Puis, Jacques, pas encore habitué à ça refusa l'invitation de Marianne de rendre la politesse. Je fus seul à accepter avec la plus grande joie. C'est que son liquide doré avait un goût délicieusement sucré dont je ne me lassais jamais.
Notre journée se termina après que Marianne, et Philippe enfin revenu, ait pu m'arracher que à ma prochaine visite, il faudra absolument que je me fasse prendre par Friend. Et je dois dire que quand cela arriva je me suis régalé.
Mais quelle apothéose que de terminer par ces douches dorées ! Hummmm
GENIAL
D'accord avec toi, finir avec une douche dorée Miam! Miam! Je ne m'en lasse pas
Petit joueur, un boxer, c'est certe nerveux, mais c'est pas un berger allemand ou un beauceron ^^...
J'espère que tu y est rester collé au moins pu jouir de la juissance d'un bon knot ^^. Signé l'amis des bêtes
Tu sais, je ne qualifierai pas Bruno de "petit joueur" au vu de la vie sexuelle très très bien remplie qu'il a eue !
Chacun ses particularités et sa sexualité ! Le princpal est d'y trouver du plaisir !
Histoire geniale, j'ai juté dans mon calecon
J'aurais aimé voir cela....