Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Depuis des années, ma libido me poussait à offrir mon épouse à d'autres hommes. Finalement, elle s'est soumise à mes désirs et a consenti à s'offrir à d'autres que moi.
Rousse, 55 kg pour 1m70, portant très bien ses quarante ans, je savais qu'elle n'aurait aucun mal à conquérir la gente masculine. Un jour de l'année passée, alors qu'elle déambulait en ville à la recherche d'un compagnon de passage, elle fit la connaissance de Batik. Il s'agissait d'un grand Black de 1m90 pour 100 Kg.
Il engagea la conversation avec Isabelle, ma femme et lui fit très vite comprendre qu'elle était tout à fait à son goût. Elle accepta rapidement de le suivre dans un hôtel de sa connaissance. Parvenu à l'hôtel, il commença par l'embrasser en se frottant contre elle. Isabelle a immédiatement senti le sexe de Batik contre son ventre à travers le pantalon.
Elle comprit très vite que sa taille dépassait de beaucoup ce qu'elle avait connu jusque là. Toujours debout, ils commencèrent à se dévêtir. Lorsque le slip de Batik tomba, dévoilant son sexe en érection, elle savait qu'elle le « sentirait passer », mais continua vaillamment à se dévêtir. Sa robe tomba au sol, dévoilant son corps de liane à cet inconnu qui l'effrayait un peu.
Il se rapprocha d'elle, et l'embrassa de nouveau avec douceur. Ses mains se firent plus hardies et lui pétrirent les seins. Isabelle s'assit sur le lit de cette chambre sans âme, elle s'accroupit devant lui. Elle prit cet énorme sexe dans ses mains et commença délicatement à le masturber.
On lui avait dit que, généralement, les Blacks « bandaient mou », mais elle s'aperçut très vite qu'il n'en était rien pour Batik ! Son sexe s’allongeait démesurément, pour atteindre la taille vertigineuse de 27 cm sur 7 de diamètre.
Il était tendu et ferme sous ses mains. Fermant les yeux, elle commença par lui passer de petits coups de langue sur le gland, puis sur la moitié de la longueur. Sentant son excitation montée, Batik lui pris la tête dans les mains pour diriger la bouche d'Isabelle sur son gland. Elle ouvrit la bouche en grand, et eu du mal à faire entrer son énorme sexe dans sa petite bouche…
Ses dents étaient juste assez proches pour ne pas le blesser. Elle commença à le sucer mais la taille du mandrin était telle qu'elle ne pouvait faire entrer qu'environ 5 centimètres dans sa bouche.
Malgré tout en utilisant sa langue et en aspirant cette chose énorme, elle parvint à lui donner du plaisir. Il gémissait, se tordait sous la caresse buccale. Elle léchait toute la longueur du pieu, comme elle l’aurait fait d’une glace… Pourtant, au dernier moment, il eu un spasme annonciateur de jouissance. Mais l’homme savait se maitriser, et il se retira à temps pour ne pas jouir sur ma femme…
Alors, il la redressa et l'allongea sur me bord du lit. Il lui retira son slip et dévoila son mont de vénus intégralement épila. Il se plaça devant le puits d’amour, suintant du désir ce monstrueux chibre…
Elle lui souleva les jambes qu'il garda serrées et les plaça sur son épaule. Il dirigea son ' manche tendu vers la chatte ouverte d'Isabelle. A la vue de l’engin démesuré, le doute l'assaillit de nouveau. Serait-elle capable d'accepter ce pieu sans être déchirée ???
Batik frotta sa bite contre les lèvres gonflées et trempées. Isabelle a toujours eu l'avantage de mouiller généreusement...Aujourd’hui, c’était une vraie bénédiction !
Elle sentit la pression d'accentuer. Les yeux fermés elle attendait, soumise, d'être écartelée. La taille du sexe d'Batik et sa position firent qu'à plusieurs reprises, son gland glissa. Finalement, il le maintint en place et par petits coups, parvint à entrer son gland épais dans les replis du vagin d'Isabelle.
Elle sentait sa chatte s'écarteler et se tendre autour de cet épieu. Ses sécrétions vaginales ayant bien lubrifié ses muqueuses, elles autorisèrent la bite noire d'entrer profondément….
Poussant délicatement, il arriva jusqu'en haut de son ventre alors que tout n'était pas entré. Il resta planté en elle durant quelques secondes, puis commença un va et vient entre ses cuisses. L'excitation venant, Batik accéléra son rythme et tapait en haut de son ventre, lui arrachant des gémissements qu'elle s'était promis de ne pas faire. Il la pistonna ainsi, puissant, fort, victorieux, puis sortit son pieu de la chatte dévastée.
Il la lui lécha la chatte, comme pour panser des blessures… Isabelle ne se retint plus de gémir, sous la langue agile de l’homme. Elle eut enfin son premier orgasme, ii arrosa le visage de Batik d’un flot impressionnant de cyprine. Batik ne rata pas cette occasion de revenir baiser à fond la jeune femme.
Il la plaça sur le côté, se positionna derrière elle, lui écarta une jambe et remis sa monstrueuse queue dans la vulve. Il eut moins de mal à entrer grâce à l’abondante mouille. Une fois à l'intérieur de la matrice, il occupait toute la place…. Isabelle sentait la bite lui perforer le col de l’utérus. Jamais elle n’avait et baisée comme ça ! Elle était au paradis !
Bien qu'il reste collé à elle, elle sentait son ventre défoncé par les coups de boutoir d'Batik. Il lui malaxait les fesses et les cuisses tout en la prenant. La levrette couchée rendait la pénétration bien plus profonde. Elle se dit qu’il allait lui déchirer l’uterus….
Il s'arrêta, ayant sans doute pitié d’elle, et lui demanda de le sucer à nouveau. Toujours docile, elle s'exécuta mais toujours avec les mêmes difficultés pour avaler la colonne de chair noire.
Lorsqu'elle le suçait, ses mains avaient tout le loisir de caresser le reste de son sexe resté en dehors de sa bouche. Elle le malaxait avec dextérité, attrapant les couilles aux passages, pour les pincer entre ses doigts, les envelopper de sa paume de main….
Subitement, il la fit se retourner, et la reprit dans la même position de levrette couchée. Il ne fit que quelques va et vient, et gicla puissamment dans son ventre.
Il resta quelques minutes ainsi planté dans les entrailles d’Isabelle. Puis il se retira pour changer de préservatif. Il la fit se placer à quatre pattes sur le lit, et se mit debout derrière elle. Il voulut rentrer dans son cul à sec. Mais toujours inquiète par la taille de l'engin, elle lui demanda d'abord de se replacer dans sa chatte. Comprenant ses peurs, il la lécha de nouveau, insistant sur son cul. Il crachait sa salive, mêlée à la mouille vaginale, pour bien lubrifier la rosette frémissante. De ses gros doigts, il ouvrit peu à peu le passage.
Tout en lui fourrant l’anus de ses mains, il pistonnait sa chatte, pour bien s’humidifier. Isabelle criait de plaisir, mais de crainte aussi. Elle savait que cet engin risquait de la déchirer, au sens propre du terme…
Il écarta bien les fesses, les ouvrant comme une pomme. Le trou foncé apparaissait, indécent, avide…
Il se positionna à l'entrée de son cul. Doucement, par petits coups, il commença à pénétrer l’étroit conduit anal.
Isabelle sentait son anus s'ouvrir démesurément, comme jamais avant… Elle n'avait aucun moyen d'échapper aux mains puissantes qui la maintenaient en place. Son gland entré, Batik continua à s'enfoncer, jusqu'à atteindre les intestins... Même à ce moment là, tout son vit n'était pas entré. Il resta un moment planté dans le cul ouvert d’Isabelle. Puis il commença à bouger en elle de plus en plus vite, de plus en plus fort…
Elle gémissait, écartelée par cet épieu énorme. Ne pouvant rien faire pour que cela cesse, Isabelle se laissa aller. Batik, de plus en plus excité, se plantait de plus en plus fort dans le cul distendu.
Ne pouvant plus se contenir, cette énormité lui labourant le ventre, Isabelle criait et hurlait de douleur mélangée à un plaisir qu'elle n'avouera jamais. Ses cris étaient si forts que les occupants des chambres voisines ont immédiatement du comprendre ce qu'elle faisait…. Sans doute étaient-ils jaloux….
Cela dura pour elle, une éternité. Lorsque le plaisir montait en Batik, il restait planté dans ses entrailles en attendant que le plaisir redescende. Quelques instants après, il reprenait ses coups de boutoirs arrachant de nouveaux hurlements à Isabelle, Il la besogna de longues minutes, semblant ne jamais vouloir jouir et débander…
Enfin, arriva le moment intense où il lâcha son foutre en elle. Il y avait une telle quantité que la crème épaisse déborda de la capote. Elle coulait le long de ses cuisses, se mêlant à la cyprine qui avait giclé du con d’Isabelle, lros de sa jouissance fulgurante…
Vaincue, défoncée et toujours soumise, Isabelle restait la tête sur le matelas, les fesses levées, avec cet énorme boutoir en elle. Lorsqu'il se retira enfin, elle s'écroula sur le lit, épuisée. Elle trouva la force de se rhabiller rapidement de peur qu'il ne veuille la reprendre de nouveau.
Dès qu'il eut retiré son préservatif, il s'approcha d'elle et l'obligea à le sucer alors que son sexe était encore couvert de sperme. Dans un premier temps, elle voulut refuser puis, devant son insistance et pour pouvoir en finir, elle consentit à engloutir son membre. Elle s'appliqua pendant quelques minutes à avaler la moindre parcelle de foutre restant sur la queue noire... Le sexe de Batik était si important qu'elle fut obligée d'avaler une bonne partie de son sperme qu'elle ne pouvait rejeter. Ce n'est qu'après cela qu'il la laissa partir, honteuse et totalement défoncée.
Comment expliquerait-elle à son mari que son cul avait été défoncé par une énorme bite black ? Elle connaissait mes fantasmes, mais doutait de ma réaction…
Elle fut agréablement surprise, quand je lui fis l’amour comme un sauvage, heureux de la posséder après qu’elle ait pris tant de plaisir avec un autre…
Chacun voit selon ses envies et ses attentes... as-tu une propisiton de meilleur texte à nous offrir ? je la publierai avec plaisir !