Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Je me souviens de cette soirée comme si c'était hier. Elle restera pour toujours douce à mon cœur.
L'ai-je dragué, m'a-t-il dragué ? Nous nous sommes souris, et ce fut le tourbillon. Nous nous sommes retrouvés dans les bras l'un de l'autre, dans un endroit douillet.
Le premier, tu m'as déshabillé, lentement, tendrement. Tu as ôté mes dernières protections pour t'emparer de mon sexe tendu à craquer, tout en fouillant ma bouche de ta langue. Je sentais ta queue énorme et dure le long de ma cuisse.
A mon tour, j'ai enlevé tes vêtements un par un. Ma langue a fouillé dans les poils de ton torse, et mordillé tes tétons durcis. Doucement, j'ai fais glisser à tes pieds le dernier rempart qui te protégeait de mes ardeurs.
Nous nous sommes frottés lentement ventre contre ventre, sexe contre sexe. Nos bouches étaient soudées dans un baiser sans fin. Nos mains s'égaraient sur nos corps en sueur. Je me suis emparé de ta bite pour la première fois,
Humm qu'elle était douce, chaude, dure, le gland déjà humide, et tes couilles lourdes, pleines d'un bon jus que je désirais ardemment. Je laissais mes doigts aller et venir dans ta toison.
Pendant ce temps coquin, tu t'amusais aussi avec moi, mais je sentais que tu étais plus attiré par le bas de mon dos, et je laissais volontiers tes doigts s'égarés entre mes fesses.
L'ambiance devenait chaude, très chaude.
Nous frottions de plus en plus fort nos ventres et nos sexes l'un contre l'autre pendant que nos mains s'égaraient sur nos fesses. Je tremblais d'excitation, aussi pour cacher mon trouble, et parce que j'avais d'autre idées en tête, je glissais lentement le long de ton corps, j'abandonnais ta bouche, et ma langue commençait son voyage de ton torse poilu vers ton ventre.
Pour la première fois, mes yeux se posaient sur ton sexe. Il était tout à fait comme je l'avais imaginé et senti lorsque je t'avais pris en main, et lorsque nous frottions nos corps. Fièrement dressé vers moi, dans une magnifique érection, j'aurais pu te croire prêt à exploser mais il n'en était rien. Et puis c'est moi qui déciderais du moment de ton plaisir. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce beau membre qui émergeait de ta toison. Quel beau spectacle que ton gland rose et luisant !Je ne ps m'empêcher d'y déposer un chaste baiser … que je prolongeais sur ton pénis et tes testicules.
Ma main s'empare de toi et commence un doux va et vient, pendant que je continue de regarder ton engin de plaisir dans ses moindres détails. Ton pénis est puissant et nerveux, chaud, d'une douceur de velours, il vibre à chacun de mes mouvements. Je soupèse tes testicules lourds et pleins, elles glissent entre mes doigts. C'est un bonheur !
Je n'y résiste plus ! Je prends ton sexe dans ma bouche grande ouverte. Cette première fellation que je te faisais, j'y ai mis tout mon amour pour toi.
J'avalais ton pénis doucement jusqu'au plus profond de ma gorge,. Je sentis bientôt ton ventre sur mon visage, les poils de ton pubis et tes testicules au bord de mes lèvres. Je commençais un doux va et vient de ta bite dans ma bouche, tout en faisant tourner ma langue autour. Pour ne pas te perdre, j'empoignais tes fesses à deux mains, mes doigts se sont égarés vers ton anus, et j’y enfonçais un doigt furtif. Plus je te suçais et plus j'avais envie de te sucer, jusqu'à ton plaisir, et tes gémissements m'encourageaient.
Mais je pensais soudain qu'il valait mieux garder ta liqueur pour d'autres étreintes… J'embrassais goulûment ton gland, ton pénis, tes couilles, tout ton sexe était trempé de ma salive. J'ai pensé défaillir de plaisir lorsque tu pris ma tête entre tes mains et que tu enfonças ton sexe dans ma bouche tout en tournant et en remuant ton bassin.
Nous restâmes de longues minutes sans bouger. Je savourais ton corps, je sentais ta queue vivre dans ma bouche.
Je sentis même une goutte de ton sperme couler sur ma langue. Tu choisis ce moment pour me relever, et tu m'allonges sur le lit.
Le moment de m'offrir à toi approchait. Nous voilà dans les bras l'un de l'autre, allongés, nos corps serrés, nos pénis écrasés l'un sur l'autre.
Ta tête s'est réfugiée au creux de mon épaule, je sens ton souffle et ta langue qui me lèche le cou.
« Pierre, mon chéri, caresse mes fesses, je sens le désir qui monte dans mon ventre. Je veux t'appartenir et te recevoir dans mon corps, sens comme je tremble.
- Oui André, j'ai aussi très envie de te faire l'amour. Ma queue est la première à te prendre et ce sera un beau souvenir pour nous deux. »
La fièvre s'empare de nos esprits, tous nos sens sont en émoi. Nous roulons l'un sur l'autre sur le lit. C'est à qui donnera le plus de tendresse à l'autre. Pierre, tu me fais vivre des moments enivrants et inoubliables.
J'ai cru défaillir de plaisir quand tu as plaqué ta bouche sur mon anus, et que j'ai sentis ta langue vouloir forcer le passage.
« Encore Pierre, encore, encore !!! Je t'en supplie n'arrête pas !! »
Je sais que cette caresse prépare la voie pour l'étreinte et la possession de mon corps. Laisse-moi sucer ton sexe, il doit aussi être préparé pour la pénétration.
A l'issue de ce doux corps à corps, je me retrouve sur le dos, jambes écartées et levées, les bras en croix. Tremblant,
Pierre se couche sur moi. Aussitôt j'emprisonne ses reins de mes jambes et ses épaules de mes bras.
« Prends moi Pierre, maintenant, j'ai trop envie de ta bite dans mon cul, mon beau mâle en rut.
- Oui ma chérie j'arrive, j'ai très envie de te faire l'amour »
Soudain je sens le gland de Pierre à l'entrée de mon anus. Il donne de petits coups de reins pour me pénétrer.
« Aïe…. c'est rien continue, tu es presque déjà en moi, et je te veux tout entier… Pousse, vas y, oui encore ….
- Hum, ça y est ton gland est dans mon corps, la douleur s'estompe, place au plaisir …..
- Va, plus avant dans ce cul devenu sexe …………
- Ho ouiiii, c'est trop bon cette queue qui m'envahi…………
- Sors de mon cul Pierre et remets la doucement, plusieurs fois, que je savoure la pénétration de ta grosse bite…..
- Oui, comme ça !!!! Encore, défonce moi... haaaaaaaaaa »
Je ne peux me retenir de crier de plaisir. Mes cris et ces allers-retours font monter ta sève. J'entends tes grognements de mâle en plein rut. Plante moi ton pieux au fond de mon anus, cloue moi sur le lit et ne bouge plus. Mais tu ne m'écoute plus, tu me ramones violemment…
« Humm, André, tu es étroit, ma bite est trop serrée dans ton petit trou, j'ai du mal à retenir mon foutre ....
- Du calme mon chéri, loge bien ton sexe au fond de mon corps et ne bouge plus. »
Nos bouches se rejoignent brutalement, ta langue me viole. Tu me possède de toutes les façons possibles maintenant. Je t'appartiens, mais tu m'appartiens aussi, car ton sexe est prisonnier de mes reins.
C'est du foutre, du jus de tes couilles, ton sperme que je veux .... vite !!
Tes mouvements de reins se font de plus en plus rapides. Quand tu es au fond de moi tu presses de plus en plus fort ton ventre sur mes fesses. On dirait que tu veux entrer en moi tout entier. Je te serre fort dans mes bras, je serre mes cuisses autour de ta taille. Soudain tu te cabres, tu t'accroches à mes épaules, ta bite se fait plus dure que l'acier et des soubresauts la parcourent.
« Ho, oui mon chéri baise moi, remplis moi de ton foutre... »
Je sens des jets chauds de ton sperme inonder mon cul-matrice, tout disparait autour de moi. Je sens tout d’un coup mon jus s'échapper de ma queue et mouiller nos ventres collés.
« Pierre, ta femelle viens d'avoir son premier orgasme »
Et puis c'est le noir ....
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