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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Le lendemain de leur mariage, Charlène, vingt et un ans, et son mari Gilles, vingt trois ans, prennent le petit déjeuner dans leur chambre. Ils se lèvent juste, il est quatorze heures. Charlène est vêtue d'une jupette à carreaux et d'un sweat.

 

Les festivités se sont déroulées chez Marcel et Denise, oncle et tante de Gilles, âgés de quarante-cinq ans, qui possèdent une grande propriété, isolée ne pleine campagne.

« Dis, chéri, tu ne t’es pas foulé pour ta nuit de noces, fait remarquer Charlène. Un petit coup, je m'attendais à mieux.

- Je sais mon amour, j'étais fatigué, et j'avais trop bu. Ce soir, je me rattraperai, promis. Allez, viens t'asseoir sur mes genoux. Peut être qu'une grosse queue va te rendre visite, plaisante Gilles.

- Que tu es con, répond Charlène en s'asseyant, tu sais bien que tu es l'homme de ma vie !

Gilles glisse une main entre les cuisses de son épouse.

- Oh la, mais tu n'as pas de culotte, et en plus ta chatte est toute mouillée. Vivement ce soir. »

 

En effet, Gilles doit ramener ses grands-parents chez eux. Trois heures de route aller et retour. Ils se donnent un long baiser.

« Je vais y aller, chérie, je ne veux pas revenir trop tard. Et promets-moi d'être sage.

- Pars tranquille mon amour, et reviens en forme. En partant, pense à descendre le sac à la voiture, » dit Charlène.

 

Une fois Gilles parti, Charlène décide d'aller prendre une douche. En sortant, elle cherche ses affaires.

« Mon dieu, dit-elle, il a emporté mes habits de rechange ! Ils étaient dans la valise. Je me retrouve sans string, ni soutien-gorge, quel âne. J'espère que ma cousine pourra me dépanner ! »

 

Charlène quitte la chambre. Elle traverse la cour, et là, sous la treille, elle y retrouve Marcel et Denise. Charlène fait un signe discret à sa tante, et lui explique son souci.

« Ah bon, répond Denise, je vais voir ce que je peux faire. »

 

Charlène s'avance ensuite pour dire bonjour à Marcel, celui qui est devenu son oncle.

« Bonjour tonton, ça va ?

- Très bien, répond-il, et toi, cette nuit s'est bien passée ?

- Bof, pas terrible, poursuit Charlène. Gilles était fatigué. Mais au fait, ils ont empilé toutes les chaises, on s'assied où ?

- Viens t'asseoir sur mes genoux si tu veux, propose Marcel. Je sais ce que c'est, j'ai eu une fille. »

 

Charlène sourit intérieurement. Elle a entendu dire que son oncle et sa tante était un couple « libre », adepte du libertinage et du sexe non conventionnel.. D’ailleurs, est-il dans les convenances de demander à une jeune mariée à moitié nue de s’assoir sur ses genoux ??? Enfin, elle s'avance, puis se ravise.

« Mince, mais tu n'as pas de culotte, se souvient-elle. Ben tans pis. 

- C'est gentil », dit-elle en s'asseyant sur les genoux de Marcel.

 

Elle passe un bras affectueux autour du cou de son oncle. Celui-ci pose machinalement une main sur la cuisse de sa nièce, l'autre dans son dos. Il remonte doucement sa main sous le sweat.

Charlène s'agite sur les genoux de son oncle, un peu troublée, tire sur la jupette pour cacher sa petite fente presque visible.

« Mais tu n'as pas de soutien-gorge, remarque-t-il.

- Gilles a emporté tout mes vêtements », bégaie-t-elle, gênée.

 

Le regard de Marcel se porte alors sur le haut des cuisses de Charlène. C'est vrai qu'il aperçoit presque la chatte, tellement la jupe est courte. Sa main remonte entre les jambes légèrement écartées, frôle fin duvet du pubis. Il la fixe du regard.

« Qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie ? » demande-t-il.

 

Charlène ferme les yeux, pose sa tête sur l'épaule de son oncle, et lui murmure à l'oreille. Presque sans se rendre compte de la portée de ses paroles, elle lui souffle :

« Caressez moi... s'il vous plait... j'ai envie... »

 

Surpris mais heureux et excité, Marcel caresse la fente douce, engage deux doigts entre les lèvres intime de sa nièce. Comment refuser une telle offre ? Le vieux cochon qui sommeille en lui se réveille immédiatement.

Il les fait courir de bas en haut, grattant au passage le clitoris, qu'il extrait du capuchon.

Il a le geste sûr des hommes d’expérience.

« Mais tu es toute mouillée ma chérie, constate Marcel.

- Je sais, gémit Charlène. Allez-y, faites moi du bien... Gilles n’a pas assumé cette nuit... Je sais que c’est mal, mais j’ai trop envie ! »

 

Charlène sait bien qu’elle est une belle garce, de se faire ainsi branler par son oncle, lui aussi marié, alors qu’elle vient de convoler la veille ! Mais son envie de sexe la domine, et elle en veut pour son compte.

Marcel intensifie ses mouvements dans la foufoune de Charlène. Le pouce frictionne toujours le clitoris. La jeune mariée se cambre sous la caresse de plus en plus vicieuse. Elle glousse de plaisir, son souffle s'accélère dans le cou de son oncle.

« Oh putain... Ne vous arrêtez pas tonton, que c'est bon ! Mhum, hum... Je vais jouir ! Allez-y, oui, ouiiiiii.... »

 

Charlène vide sa cyprine sur les doigts de Marcel, en gémissant de plaisir.

« Tu avais une grosse envie, dit Marcel. C'est vrai que mon neveu n'a pas assuré. Tu veux t'asseoir sur ma queue ?

- Est-ce raisonnable ? souffle Charlène. En même temps, un coup de queue, de qui que soit, n'a jamais tué personne. Et au point où j’en suis, autant faire la totale ! »

 

Marcel ôte son jogging. Charlène change de position, et se place dos à son oncle. Marcel la saisit par les hanches, et la fait descendre lentement, jusqu'à ce qu'elle s'empale sur sa queue en érection.

« Ha bon sang, quel machin, s'exclame-t-elle. Vous allez me déchirer ! Là, doucement tonton... »

 

Une minute après, la jeune chatte de Charlène coulisse sur la hampe de Marcel. Elle s'appuie sur la table, et cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Marcel caresse les petits seins pointus devenus très dur. Il est aux anges. Cette fille, si petite entre ses bras qui s'offre à lui. Il la fait monter et descendre sur sa bite à sa guise, la fait se trémousser au rythme de ses va et vient.

« Vous auriez du venir cette nuit, soupire-t-elle, qu'est-ce-que c'est bon de se le faire mettre par une grosse queue ! »

 

D'un coup, la porte s'ouvre. C'est Denise. Le couple contre nature s'immobilise.

« La porte de Catie est fermée, dit-elle. Il te faudra faire attention de ne pas te baisser. Mais...qu'est-ce-que tu as ma chérie ? Rien de grave j'espère, pourquoi tu ne bouges pas ?

- Avec ce que j'ai dans la chatte, dit Charlène, provocante.

- Quoi ? » reprend Denise, interloquée, en s'avançant de la table.

 

Denise remarque les mains de son mari sous le sweat de la jeune mariée. Elle s'approche, soulève la jupette.

« Ben dis-donc, tu ne perds pas du temps pour tromper ton mari !

Denise glisse une main entre les cuisses de sa nièce, et lui caresse le clitoris.

- Houa...mais ta petite chatte est toute mouillée, petite vicieuse... Gilles ne t'a pas assez donné cette nuit ? »

 

Marcel commence à grogner, il s'agite de plus en plus dans la chatte baveuse de sa nièce. Son sexe gonfle, tandis que Charlène le serre dans son fourreau vaginal. Sur, il va jouir.

« Han...han, râle Marcel. Han, han, quelle salope...

- Ha, tante, il est en train de se vider les couilles... Je le sens gicler au fond de ma chatte ! Ha, il n'en fini pas de me remplir, le salaud ! Moi aussi, je viens.... Ca fait deux fois ! Oui...oui...vous m'enculerez après tonton ? S'il vous plait !

- Et moi, je peux participer ? demande Denise.

- Mais bien sur, répond Marcel, déshabille toi. Tu vas voir, on va bien s'amuser avec elle, Hein ma chérie?

- Faites ce que vous voulez, accepte Charlène, mais je veux jouir encore et encore, j’ai trop envie. »

 

Denise enlève ses vêtements et se retrouve entièrement nue. Elle s'assied sur la table, jambes écartées, face à sa nièce.

Charlène a une vue imprenable sur la chatte en nage de sa tante. A l'aide de ses pouces, elle décalotte le clitoris. Elle se penche en avant, et prend le petit organe à coup de dent.

« Ha la salope ! Si tu savais ce qu'elle me fait Marcel ! Vas-y, mord le ce vilain, s'il te plait, branle moi...Whoua, que c'est bon ! Comme elle me bouffe la cramouille !

- Vous n’avez pas honte ma tante ? Vous faire doigter et sucer par votre nièce ! Et çà, vous aimez ? »

 

Denise hurle de plaisir, se tord sur la table. Charlène lui a carrément rentré une main dans la chatte, avec une facilité déconcertante.

« Je comprends que vous ayez un gros trou, dit Charlène. A force de prendre des coups de queue par la grosse bite de votre mari ! »

 

Charlène sort sa main, et libère sa tante. Elle est toujours empalée sur ma bite de son oncle. Elle pousse un « ha » de plaisir quand le calibre se retire. Elle se retourne, embrasse son oncle, et découvre enfin l'objet de tous ses désirs. Pas très long, mais très gros.

 

Petit à petit, Denise se remet du traitement infligé par sa nièce. Elle se permet même de la mettre intégralement nue.

« Whoua, dit Denise, quel morceau. Petit seins bien ronds, tourne-toi, joli petit cul qui demande qu'à être niqué... Hum...Tu as vu ton oncle comme il est bien monté, ton Gilles est monté comme ça lui aussi ?

- Pas tout à fait, répond Charlène. Je peux m'en servir encore ?

- Mais bien sur, qu'est-ce-que tu en dis Marcel. Si tu l'enculais, la vicieuse ? Peut être que son mari ne le lui fait pas.

- J'aimerai bien qu'elle me taille une pipe avant, propose Marcel. Tu veux bien ma chérie ? Ta tante s'occupera de ta petite chatte. »

 

Charlène accepte en jubilant. Ils inversent les rôles. C'est maintenant elle qui est allongée sur la table, Denise sur la chaise, et Marcel debout à côté d'elle.

Marcel avance sa queue entièrement décalottée contre les lèvres de Charlène. Celle-ci enroule sa langue autour du gland, et l'engloutit dans sa bouche. D'une main, elle palpe les bourses à nouveau pleines.

« Quelle paire de couilles, arrive-t-elle à dire. Elles ont encore besoin d'être vidées ! »

 

Denise passe ses bras à la jointure des genoux de sa nièce, et lui soulève les jambes en les écartant. Elle plonge son visage dans la source ruisselante de Charlène.

« Ha, râle Marcel. Regarde comme elle me pompe le nœud... Tu apprends vite, toi. Tu vas tout avaler j'espère...ha...prépare-la Denise, que je l'encule... »

 

Denise se relève, la bouche barbouillée de mouille. Avec deux doigts, elle lubrifie et dilate le petit trou de Charlène.

Marcel éjacule à grands jets puissant dans la gorge de sa nièce. Celle-ci a un haut le cœur, comme si elle s'étouffait. Elle réussit malgré tout à tout avaler.

Denise maintient toujours les jambes de sa nièce en l'air, jusqu'à ce que Marcel se mette en place. C’est ahurissant. Cet homme vient de jouir, et il bande à nouveau, en quelques minutes !

 

« Vous avez bien mouillé mon petit trou ? demande Charlène, c'est la première fois qu'on me fait ça. Vous me doigterez la clitoris en même temps ? J'aurai l'impression d'avoir moins mal.

- T'inquiète, la rassure Marcel, je ferai doucement, et je vais bien de gratter le bouton. »

 

Le gland de Marcel est aux portes du plaisir. Il force délicatement le petit orifice, et la pénètre totalement.

« Haaaa...qu'il est gros ! Il va me déchirer ! Tant pis, allez-y, faites-moi péter la rondelle ! Niquez-moi à fond ! »

 

Denise ne veut pas rester en rade. Elle s'approche du visage de Charlène, monte un genou sur la table, jambes écartées, jusqu'à ce que sa chatte soit en contact avec la bouche de Charlène.

« Vas-y ma chérie, lèche-moi la moule... Là, ta langue, bien sur mon clito.... Ouais... Petite pute, si ton Gilles savait ça.... »

 

La queue de Marcel dans le cul de Charlène, le clito de Charlène doigté par son oncle, la chatte de Denise bouffée par Charlène….

Il n'en faut pas plus pour que le trio hurle de plaisir sous la treille. Entre la chatte de sa tante, et la bite énorme de son oncle, Charlène se tord comme ver sur la table. Les derniers soupirs retombés, la partouze s'arrête dans de torrides baisers.

« Bandes d'enfoirés, soupire Charlène ? Ca vous arrive souvent de faire des cochonneries pareilles ?

- Une fois par semaine avec la femme de ménage, répond Denise. Avec son consentement bien sur. Et nôtre jardinier, un beau black monté comme un taureau. Tu verrais ton oncle, comme il se régale de le voir s'amuser avec moi, m'entendre crier de plaisir… Quel salaud ! »

 

Soudain, on entend une voiture qui fait crisser ses pneus sur le gravier. C'est Gilles qui revient. Il est dix huit heures.

« Vite, rhabillons-nous, dit Denise. Va te rincer à la salle de bains ma chérie, je t'ai préparé une culotte propre.

- Mais, dit Charlène surprise. Je croyais que vous n'en aviez pas trouvé ! Ah, je comprends, maintenant, c'est un coup monté...Il faudra que je revienne pour m'en assurer.

Le trio se regarde et éclate de rire.

 

« Alors mon amour, dit Gilles, tu n’es pas trop lasse de m’attendre ?

- Un peu mon chéri.

- Tata, est-ce qu'elle à été sage au moins ? poursuit Gilles

- Parfait, répond Marcel. Très gentille. On s'est bien occupé d'elle.

- Par contre, continue Gilles, j'ai inversé les sacs ce matin. Je t'ai laissé celui des grands parents. Il y a tout leurs médicaments dedans.  il faut que je les ramène ce soir. Je coucherai là bas, je rentrerai demain matin, ça ne te dérange pas ma chérie ?

- Mais pas du tout mon amour, on a toute la vie devant nous.

- Et nous, on aura toute la nuit, murmure Charlène à l'oreille de Denise.

Gilles mange un morceau, et prend la route. Il est vingt heures. Lentement, le trio se dirige vers la chambre cette fois.

 

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Les libertins des Antilles
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