Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Ce soir, Christelle, jolie lycéenne fête ses dix-huit printemps. Elle habite toujours chez ses parents, dans une villa située sur les hauteurs de la ville. Une vingtaine de convives sont là. Il y a les deux oncles de Christelle, Raoul et Emile, âgés d’une cinquantaine d’année, avec leurs épouses, il y a Nathalie, professeur d’éducation sexuelle, a qui on prête une relation avec Christelle. Elle est accompagnée de son époux.
Armel et Magali n’ont rien oublié pour plaire leur fille unique : buffet, et surtout, ce qu’il faut pour s’abreuver. Le champagne coule à flot. A la fin de la soirée, pas mal de personnes sont ivres.
Vers une heure du matin, Christelle est prise d’une soif soudaine. La jeune fille, qui n’a pas l’habitude de boire, est un peu éméchée. Elle descend à la cuisine, simplement vêtue d’une courte nuisette, transparente.
Nathalie, qui s’apprêtait à la rejoindre dans sa chambre, la suit sans bruit, se tapit derrière une immense plante. Elle regarde, éberluée, la scène qui se déroule sous ses yeux. Les deux oncles sont toujours là. Connaissant leur réputation, elle se doute bien que la soirée ne va pas s’arrêter là !
« Mais vous allez être saoul, dit Christelle.
- Mais non, répond Raoul. Tiens, la bouteille est vide, si tu pouvais nous en passer une autre ? »
Christelle se dirige vers le bar, et apporte une bouteille de whisky.
« Tu vas trinquer avec nous, ma chérie.
- Ah non, répond Christelle, déjà que je suis pompette, un verre d’eau suffira.
- Mais enfin, poursuit Emile, Tu ne vas pas nous faire ça pour ton anniversaire ? »
A force de baratin, Christelle accepte la proposition de ses oncles. A contre jour de la lumière, les deux quinquagénaires voient les superbes formes de leur nièce sous la nuisette.Ils se regardent malicieusement. Christelle, pas méfiante pour un sou, s’approche d’eux. Subitement, Raoul la saisit par un bras, et la tire à lui. La jeune fille perd l’équilibre. Son oncle la rattrape en passant une main par derrière, entre ses cuisses, bien sur la chatte.
Christelle, surprise, pousse un « ho » de stupéfaction, sans toute fois se dérober. La coquine aime trop le sexe pour manquer la moindre occasion qui se présente à elle… Même si ce sont ses oncles ! Après tout, ils ne sont que les maris des sœurs de sa mère. Pas de liens de sang… La « faute » est moindre… Elle se retrouve dos à Raoul, jambes écartées. Elle ne se débat pas non plus, quand le majeur de Raoul se recroqueville pour lui ouvrir la fente. Mieux, elle s’écarte d’avantage.
« Ben dis donc, fait remarquer Emile, elle n’a pas l’air farouche la petite.
- Tu as raison, sourit Raoul, elle aime la garce. Tu veux qu’on joue un peu avec toi ?
- Vous n’avez pas honte, salauds ? Faire ça à votre nièce ? Et si quelqu’un nous surprend ? »
Avec dextérité, Raoul joue avec les lèvres intimes de sa nièce, puis glisse deux doigts dans la chatte. Est-ce l’alcool qui libère la jeune fille ? Toujours est-il que le corps de Christelle ondule sur les doigts qui la fouillent. Elle va même pousser le vice jusqu’à faire passer sa nuisette par dessus sa tête, offrant son corps superbe à la vue d’Emile, placé en face d’elle. Christelle s’assied sur Raoul, la chatte toujours empalée sur ses doigts.
« Alors Emile, sourit Raoul, qu’est-ce-que tu attends, tu dors ? Y a des trucs à s’occuper, enfin ! »
Emile s’approche et glisse une main entre les cuisses de Christelle. Il saisit le clitoris, qu’il décalotte vivement. Le petit bouton se dresse dans la lumière de la lampe, telle une mini-bite prête à jouir. Christelle est électrisé par la caresse, elle s’agite de plus en plus sur les doigts de Raoul, gémit de Plaisir.
« Regarde comme elle se régale, ironise Emile, tu aimes hein, petite salope. Pourquoi tu bouges ton cul comme ça ? Tu es bien la chienne lubrique que j’imaginais…
- C’est la faute à Raoul… Regarde comme il branle ma petite chatte ! Et toi salaud, qu’est-ce-que tu fais à mon petit bouton ? Vous voulez me faire jouir ? Oh oui…. oui… Allez-y, ça y est…je jouiiiiiiiiiiis !!! »
Les deux hommes éclatent de rire en la libérant. Rouge de honte, Christelle enfile sa nuisette, et regagne sa chambre comme si de rien n’était…
Nathalie, qui n’a rien raté de la scène, sort de sa cachette, et s’approche des deux hommes, l’air sévère, et s’intercale entre eux, bras croisés sur sa poitrine. Elle est face à Raoul :
« J’ai tout vu, ces quoi ces manières, vous n’avez pas honte ? Profiter d’une jeune fille à moitié saoule ? »
Pour toute réponse, Emile soulève la nuisette et donne une claque sur les fesses de la prof.
« Elle aussi à un joli cul, dit-il.
- Aie… ça va pas ! » dit-elle en faisant demi-tour.
C’est au tour de Raoul de soulever le mini vêtement, et claquer les fesses fermement.
« Aie… ça suffit j’ai dit, bande de vieux vicieux ! »
Nathalie fait un autre demi-tour, pour se trouver dos à Emile. Celui-ci soulève la nuisette, en recouvre la tête, exposant la chatte épilée en fin triangle de Nathalie. Elle s’agite pour éviter de se retrouver nue devant les deux hommes. Elle recule en équilibre sur les talons, jambes légèrement écartées. Raoul profite de ce que Nathalie est perdue sous sa nuisette, pour caresser le galbe parfait des hanches. Une main s’insinue entre les cuisses, lisse la fine toison.
« Lâchez-moi s’il vous plait, » implore-t-elle, de façon à garder un semblant de pudeur.
Mais elle sait déjà qu’elle va baiser avec ces vieux mâles en rut, et cela la fait mouiller encore plus…
Sans ménagement, deux doigts ont ouvert les lèvres intimes, et fouillent la chatte baveuse. Emile a saisit les seins à pleine main. Nathalie se relâche, prête à accepter e qui l’attend. Et dont, finalement, elle a très envie ! Les mains qui retenaient la nuisette, la font passer par-dessus La tête.
« Mais ça l’excite, la salope, sourit Raoul, elle a la chatte toute mouillée !
- Ah… ah… Salauds… ah… ah… Déshabillez-vous que je vous donne un cours de sexe ! »
En un tour de main, les deux hommes sont nus, la queue en érection. Emile se met sur la chaise, force Nathalie à s’asseoir dos à lui. Elle sent la bite taper contre sa chatte. Elle la saisit, s’y empale dessus. Elle est tellement trempée, que la hampe de chair pénètre dans son vagin comme dans du beurre…
« Hou… enfoiré ! Tu es monté comme un âne, mon salaud ! »
Tout en se branlant pour mettre sa queue aux normes, Raoul s’avance en écartant les jambes pour éviter le couple assis. Nathalie prend le membre encore mou, le décalotte et l’excite du bout des lèvres. Elle commence une savante fellation.
« Wouah…ça c’est de la pipe... Elle est bonne la prof, bougonne-t-il.
- Putain, t’as raison, râle Emile, si tu voyais comme elle me serre… La salooooope !!! »
Nathalie sent que la pipe a un effet immédiat. La queue gonfle très vite dans sa bouche. Elle agrippe Raoul pas les fesses, jusqu’à ce que ses couilles soient contre ses lèvres.
« Ha, ha… Comme elle m’aspire, la pute ! Je crache… Ha, ha, vas-y, avale… ho putain ! »
C’est au tour d’Emile de vider sa semence dans la chatte de Nathalie, au même moment où elle a un orgasme terrible. Elle crie très fort, sans se soucier de réveiller la maisonnée..
« Encore, encore, niquez-moi, enculez-moi en levrette, ou comme vous voulez ! Remplissez-moi, j’en veux encore… »
Les deux lascars ne se le font pas dire deux fois, et entraient la jeune femme sur le tapis du salon. Elle se met en levrette, la chatte et l cul ouverts et offerts. Les deux hommes n’en peuvent plus, de voir ces orifices bien ouverts qui n’attendent qu’eux…
Ils rebandent très vite, et sans perdre une seconde, Raoul s’enfourne dans la grotte béante, et Raoul plante son pieu dans la bouche gourmande de la jolie salope.
Enfin, elle se sent bien, traitée comme une grosse cochonne, chose qu’elle aime par-dessus tout… Les deux vieux salauds se vident presque en même temps dans la belle, qui crie à nouveau sa jouissance. Elle s’écroule sur le tapis, jambes écartées, fleur intime et lèvres poissées de foutre tiède.
C’est à ce moment que Christelle, attirée par le bruit, fait son apparition. Sidérée, elle voit sa maitresse prise par les deux vieux cochons.
« Ben dis donc, on dirait que ma prof se fait mettre, wouah… Qui prend un cours, c’est toi ou c’est eux ?
- Oh, c’est moi ma chérie ! Si tu savais tout ce qu’ils m’ont fait ! Quels vicieux ! Je n’ai jamais connu ça… Assieds-toi. Si tu savais les coups de queues que j’ai pris… Mes trous sont pleins de foutre ! »
Christelle s’accroupit devant sa prof préférée, jambes écartées, montrant sa chatte encore baveuse de sa jouissance de quelques minutes avant…
« Tu veux quoi ? demande Nathalie. Que je te bouffe la cramouille ? Approche petite pute… Je vais te donner ton vrai cadeau d’anniversaire ! »
Christelle s’allonge tête-bêche avec sa maitresse, et écarte ses lèvres avec ses doigts. Elle glisse sur le tapis pour mieux s’approcher de la bouche de sa prof. Le premier coup de langue la fait gémir, la pénètre bien profond…
Pendant un long moment, elles vont se gouiner sous les regards vicieux des vieux barbons, qui n’en n’espéraient pas tant. Mais ils n’arrivent plus à bander. Alors, ils les regardent se faire jouir, et mémorisent bien ces images excitantes. Ils savent que ca recommencera !
Il est quatre heures du matin, quand les deux femmes se réveillent, enlacées sur le sol. A côté d’elles, un mot.
« Sommes prêts pour rendez-vous… Nous contacter au numéro suivant : 06 07 xx xx
Bisous petites vicieuses… »
Nathalie et Christelle se regardent en se passant la langue sur les lèvres.
- Tu as sommeil ? demande Nath.
- Pas plus que ça, répond Christelle.
- Allons au lit que je te gouine à fond », poursuit Nathalie, tout sourire, et encore plus excitée…
Comme tu dis.. Dommage qu'il n'y en ait pas plus !
Et moi donc ! deux mecs pour moi, et ensuite une petite coquine... Quel reve...
Je pense tout comme toi : je les adore. Et son auteur aussi....
L'Amoureux a beaucop de talents; Vous avez d'ailleurs pas mal de points en commun tous les deux ! Vous devriez faire connaissance.
Certains "roturiers" ont plus de noblesse que ceux qui petendent en faire partie !
Et pour les baisers, c'est autant que tu veux... Et tu le sais bien !
Alors mon cher, as-tu finalement rêvé d'un anniversaire torride ?
Tu me flattes, et me fais trop d'honneur, mon cher...