Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
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Bises libertines,
Sophie
Il y a six mois de cela…
Récemment séparé et refroidi par les relations homme-femme, j'étais en pleine remise en cause. Période sombre que chacun peut vivre à différents moments de sa vie.
Ma confiance en moi étant sauvagement émaillée, je regardais beaucoup les hommes, en me demandant ce qui pouvait etre attirant chez eux, ce que je pensais ne pas avoir. On nage en pleine
frustration je vous l'accorde.
A force de les regarder avec cet œil interrogateur, je parvenais à être « séduit » par certains. Étant profondément hétéro, je flirtais avec ce nouveau regard, sans peur mais avec
curiosité. Je me sentais encore incapable d'engager la moindre démarche envers une femme. Je n’avais pas non plus l'audace de tenter l'expérience homosexuelle, qui ne m'attire pas tant que ça.
Je me suis inscrit sur un site de rencontre... Par curiosité, pour le plaisir d'échanger, pour le plaisir des mots, ce plaisir là étant encore intact.
Quelques contacts rapides et émoustillants avec des femmes de mon ile m'ont enhardis et m'ont fait oser la rencontre réelle.
Des pétards mouillés. Beaucoup d'envies qui retombent très vite une fois la personne en face... Des gens comme moi, un peu tristes, seuls, perdus.
Mais aucune magie, aucune pulsion...
Je tourne alors cette page sordide, et me mets en contact avec des femmes, même loin de moi.
Je suis un homme de trente-six ans, au physique sportif et tonique. J'essaye d'être loyal dans ma description sur ma fiche.
J'ai rencontré trop de femmes généreuses sur leurs profils, mais loin de leur réalité.
Une femme de cinquante-trois ans de Saint Martin visite ma page, et la conversation s'engage...
Comme à chaque contact, il y a un petit pincement subtil.
La découverte de l'autre, et la machine à fantasmes qui se met en route doucement.
Après les banalités de rigueur, nous parlons ouvertement avec une confiance l'un dans l'autre
Je ne cache pas la pauvreté de ma vie sentimentale et sexuelle à cette femme. Nous parlons ainsi de la vie, de nos blessures, et, nous livrant ainsi, la confiance s'instaure.
Au détour de certains mots, je devine une personne très libérée. Certains sont un appel à pousser plus loin une fine provocation.
Jeu auquel je me plie avec délice.
Plusieurs de nos t’chats sont interrompus par ses rendez-vous, un masseur passe chez elle régulièrement. Je devine une femme mature, très bien conservée, élégante, sensible, vivant sa vie
librement.
Nous échangeons nos adresses msn, et malgré le décalage horaire, nous bondissons sur le clavier dès que l'autre se signale.
Le thème du massage nous permet d'accoster les rives sulfureuses de la sensualité
J'aime son rapport au corps, et des envies de sensualité extrêmes s'emparent de moi en la lisant. Peu à peu, nous glissons avec complicité vers ce joli terrain de jeu… Je durcis au simple
souvenir de cet échange...
Nos discussions se font sans cam, juste nos écrits. Un jour, ma jolie coccinelle, c'était un de ses pseudos, est sur le départ pour un rendez-vous extérieur.
Je la taquine sur sa tenue, lui demande ce qu'elle désire porter à cette occasion. J'ai besoin d'imaginer les étoffes qui la couvre...
Elle se plie au jeu et me décrit en détails ce qu'elle porte. Mes mots l'effeuillent ainsi pendant de longues minutes. Je suis sur mon lit, il fait chaud. Je ne porte qu'un simple tee-shirt et un
boxer moulant, qui se tend puissamment à la lecture du bel insecte.
Je lui fais part de ma position, de ma tenue, et avec des mots subtils, de mon état.
Elle oscille entre sa chambre et son salon pour me décrire l'avancée de son habillage, puisqu'elle était en peignoir au départ de la conversation.
La voila debout face à une petite table, penchée en avant, portant un jean simple mais serrée, une chemise blanche ample couvre son dos, mais elle ne l'as pas encore boutonnée. Je devine ses
seins qui respirent un doux alizé.
Ses cheveux tombent en cascade sur ses épaules. Elle me lit, je la lis. Elle apprécie autant que moi de connaitre la position que je tiens à cet instant précis...
Des images puissantes me dévorent l'esprit. Je me projette derrière elle. Je lui en fais part. Elle ralentit son habillage, et j'accélère le flot de mes mots.
Je décris la chaleur qui envahit mes mains à imaginer cette scène. Les vagues frissonnantes qui me parcourent lui font se cabrer au dessus du clavier.
J'accompagne ce mouvement de mon propre corps, et j'ondule savoureusement avec elle.
Mon envie durcit énormément, et se plaque sur mon ventre. Je ne suis pas long, mais relativement épais. Je suis moi-même surpris de sentir ma queue avec autant de vigueur.
Elle m'avoue être mouillée. Cela m'excite énormément. Je sens un jus d'excitation parcourir et longer mon sexe pour venir affleurer au bord de mon gland. Je titille du bout du doigt cette crème
onctueuse, et mon sexe bat la chamade au rythme de mes pulsations.
Je gémis...
Je lui demande de baisser son jean. J'ai envie de sentir la peau de ses cuisses sur les miennes. Elle obéit. La situation m'excite, elle aussi. Je devine mon inconnue très sensuelle, et je le
suis aussi à l'extrême.
Le col de son chemisier glisse sur son cou, dévoilant ainsi mon interlocutrice. Elle est debout, le jean à ses pieds, le dos nu. Une dentelle serre son petit berlingot trempé.
Elle est envahie de pulsions de caresses... Nous plongeons tout deux au cœur de nos envies. Ses mots se font plus rares, car elle a glissé une main entre son ventre et son sexe. Je libère le mien
qui tisse une toile de plaisir entre mon ventre et le gland. Elle a envie de le sucer, et une décharge secoue ma queue. Je le décalotte doucement pour savourer la lente descente. Mes doigts
visqueux fondent sur toute ma longueur. J’ôte mon tee-shirt, et sens les moindres parcelles de ma peau se hérisser de désir.
Lorsque je lui avoue mes mouvements, elle avoue être en elle. Le string, déformé par sa main, est imbibé de son jus. J'aimerai le boire, le sucer. Il coule le long de ses cuisses… Elle adore.
Je lui demande de me décrire les mouvements qu'elle s’inflige, leur cadence. Et je l'accompagne. Je me caresse copieusement et délicatement. La petite coccinelle montre des signes de montée en
puissance, je l'encourage par mes mots qui l'engagent à perdre les moyens.
Puis je reprends mes caresses. Nue dans son salon, jambes écartées, elle jouit enfin. L’imminence d'une visite à ce moment crucial m'excite, et je jouis avec elle.
J'évite tout juste l'ordinateur, et mon sperme s'étend loin devant moi sur le lit. Je me couvre le torse avec. Et je n'ai qu'une envie, recommencer de suite, tellement mon excitation est forte
!
Elle a joui aussi, mais son clito est encore électrique. Et nous reprenons nos caresses, pris d'une frénésie sexuelle intense. Nos mots sont crus, et rapidement, nous jouissons à nouveau. Mon lit
est trempé de sueur et de sperme, ses cuisses sont inondées de plaisir, et son jean à ses pieds est bon pour être lavé.
Elle est en retard pour son rendez-vous, et doit filer se doucher. J'ai encore envie d'elle
elle part se doucher et s'y caresse une troisième fois, j'en fais de même en pensant à elle. Ma queue est toujours fermement levée et ne veut plus redescendre.
Son retard devenant honteusement long, nous nous quittons ainsi.
Le soir même, nous nous retrouvons, et reprenons notre échange avec le même plaisir, la même vigueur. Et la nuit s'étale outrageusement...
Nos deux vies nous séparent peu à peu. Mais même connectée à son magasin, lorsque les clients se font rares ou peu curieux, elle me laisse son attention. Ivre d'envie, je lui en fais part.
La voila donc à vendre des vêtements pour femmes chics, à son comptoir, à me lire.
A peine voyons-nous l'autre connecté que le désir s'empare de nous !
J'aime la savoir humide dans ses habits moulants, tenue à rester digne mais couvant un feu sauvage.
Il lui arrive mémé de glisser un doigt dans sa fente pour me parler de son état. Je lui demande de le sucer discrètement. Elle s'y plie, et j'en fais de même.
Cela a duré trois semaines. Puis la réalité de nos vies nous a obligés à reprendre un rythme plus normal. Nous avons ensuite échangé quelques mails tres respectueux, nous remerciant l'un et l'autre de cette aventure. Rien de triste, juste la vie.
Voila, j'ai beaucoup aimé ça. Cette femme m'a aidé à réveiller mon désir, mon envie de sexe, ma sensualité... Une parfaite inconnue, sans visage. Pourtant, nos émotions et notre jouissance fut bien réelle.
Que penser de tout ça ? C'est ainsi... Je suis passé par là, et je ne regrette rien.
Ils ont eu bien raison de le faire, puisuqu'ils en avaient envie.. mais moi, je n'aime pas trrop, le virtuel me laisse froide... Rien ne veut le contact de la peau !
Entièrement d'accord. Les relations sexeulles par telephone ou internet ne me font aucun effet...