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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Après de longues années de pratique hétéro, deux mariages ratés, des amants baba cool et d'autres flics ou militaires, j'ai enfin trouvé ma voie. Je ne sais comment, mais Élodie a su me séduire au point que, pour la première fois de ma vie, je m'installe. Nous avons acheté une maison ensemble et nous sommes pacsées. Elle a réveillé chez moi le plaisir de tendres moments que j'avais connus dans mon enfance. Sa douceur et son exhibitionnisme me rappellent cette adorable relation que j'ai entretenue pendant deux ans avec une enseignante qui m'a marquée par son audace et sa gentillesse.

 

Je voudrais vous la raconter.

 

Je me sens mal lors de cette rentrée scolaire. En début d'année, j'ai eu mes premiers saignements et personne pour m'expliquer ce qui se passe. Ma belle mère s'est contentée de me remettre un paquet de serviettes périodiques et m'a conseillé la lecture du mode d'emploi. Mon corps se modifie. Mes seins naissants et mes fesses plus rebondies attirent le regard des hommes et cela me met mal à l'aise. Je me sens à l'étroit dans mes vêtements. Mon chemisier se tend sur mes seins. La braguette de mon jean  ne se ferme que si je retiens mon souffle et rentre le ventre. Je n'ai plus envie de sortir de la maison et pourtant l'école m'attend !

 

Dés le premier jour, je supporte mal le regard aimanté des garçons plus grands sur mes formes et celui, envieux, des filles. Je me fais la plus discrète possible et affectionne les vêtements amples qui masquent mes « différences ». Seule, l'attention que me porte la nouvelle institutrice me réjouit. Elle ne cesse de me mettre en valeur pour mon intelligence. Lorsqu'elle effleure ma joue ou ma main, je ressens comme une exaltation. Mon souffle s’accélère et mon corps est réceptif à la caresse. De longues semaines passent entre l'isolement de ma chambre, ou je me réfugie, et ces longs moments passés en compagnie de l'enseignante.

 

Elle est de plus en plus proche de moi. Sa main s'égare sur mon genou lorsqu'elle m'explique une partie du cours. Elle me demande parfois de rester après la classe. Tout est prétexte à me prendre par l'épaule, glisser un doigt dans mon col ou caresser tendrement ma cuisse. Je la sens émue sans comprendre pourquoi. Elle me croit capable de réussir brillamment le certificat d'études et propose à mes parents de me donner des cours particuliers pendant les vacances de Toussaint.

 

Dès le premier jour, elle me conseille d'enlever mon manteau et mon pull tant son studio est bien chauffé. Nous sommes assises côte à côte à son bureau. Pendant toute la séance sa main gauche est posée sur ma cuisse tandis que la droite ponctue les encouragements en me caressant la joue, le dos... Au milieu de la semaine, la main gauche remonte sur la cuisse et me caresse l'aine tandis que sa jumelle pelote tendrement mes épaules et glisse souvent vers ma poitrine entre les boutons de mon chemisier trop tendu.  A hauteur de mes seins, un d'entre eux cède et laisse entrevoir ma gorge. Je le laisse ainsi, comme pour la remercier de toute cette attention. Elle se trouble et bafouille. J'ai atteint mon but.

 

Le lendemain, elle m'accueille seulement vêtue d'une nuisette à demi transparente. Je suis émue par le spectacle. Je suis ravie car son anatomie ressemble à la mienne. Elle m'embrasse tendrement. Elle évoque encore le chauffage collectif et me retire ma jupe et mon chemisier « pour être à l'aise ». Je suis le cours uniquement vêtue de ma culotte. A chaque bonne réponse ses mains s'agitent sur mes seins et à mon entrejambe. J'en ressens un plaisir coupable, une exaltation... Je fais tout pour faciliter sa caresse. J'écarte largement les cuisses, je tends mes seins vers elle. Sa voix reste ferme mais ses mains tremblent et son visage se couvre de pourpre. Ma culotte est humide et sa caresse se fait plus précise. Puis soudain elle m'aide à me vêtir et me  chasse.

 

Le dimanche passe avec ses rituels. Pendant l'office, je ne fais que penser à elle. Ma culotte se mouille à nouveau. Je rentre rapidement à la maison et me caresse, mais le plaisir ne vient pas. Je m’ennuie de la retrouver, de sentir ses mains sur mon corps, de la laisser me caresser et de ressentir à nouveau cette intense exaltation.

 

Son accueil sera à la hauteur de mes attentes. La nuisette du jour est vraiment transparente et elle est nue dessous. Sous ses épaules très droites, ses seins en poire sont légèrement tombants. Son bassin est étonnamment étroit et sa toison pubienne inexistante. Les lèvres de son sexe sont proéminentes. Je la contemple avec émotion. Elle me serre contre elle et guide mes mains sous le vêtement vers ses fesses. Sa peau est douce et je la caresse tendrement. Elle se tortille et notre baiser dérape sur nos bouches. Ses lèvres s'emparent de mes lèvres. Je sens sa langue pénétrer en moi et venir provoquer la mienne. Je résiste avec délice.

 

En quelques minutes, je ne suis plus vêtue que de mes socquettes blanches et sa nuisette est à terre. Elle me fait basculer sur son lit étroit et pelote mes seins dressés. Elle écartèle mes cuisses, caresse mon clitoris et mon cul, et me met en transes. Mon corps se cambre, mon ventre se contracte et le désir monte en moi. Je suis submergée par lui et mon corps ne m'appartient plus. Lorsque je regagne ma chambrette, je m'y enferme sans diner et dors peu, hantée par mille tourments.

 

Le jour suivant, je me rends à son domicile, nue sous mon manteau, comme elle me l'a suggéré. Tout le trajet n'est qu'une longue torture de bonheur mélangé de honte. J'imagine que tout le monde voit ma nudité couverte et me juge ou me menace. Elle m'accueille totalement nue, offerte, des rubans dans les cheveux. Je ne peux retenir mes mains qui se tendent vers ses appâts, les effleurent et les pétrissent. Mon manteau, une fois déboutonné, tombe à terre. Mes seins sont dressés, ma vulve humide. Elle caresse mon sexe et m'étend sur sa couche. Elle en épile brutalement le léger duvet à la cire froide, qu'elle a préparée tout exprès. La douleur s'ajoute à la volupté.

 

Elle m'enduit d'un baume calmant puis ses doigts dérapent vers mon clitoris qui se dresse. Je suis en émoi. Elle me demande de la caresser et guide mes gestes tout en étrillant tout mon corps au passage. Mes paumes malaxent ses seins et ses fesses, caressent son dos et ses jambes. Son visage est étreint et embrassé. Elle saisit mes doigts dans sa bouche et les détrempe de salive puis les guide en sa vulve et ses fesses. Elle se tord de plaisir et trempe ses mains de mouille avant de pénétrer mon cul... Honteux extase !

 

Lorsque l'école reprend, l'enseignante se fait plus distante mais continue à m'encourager. Le mercredi, nous nous donnons rendez-vous en cachette le long du canal. Nous nous caressons à l'abri des roseaux ou à son domicile. Plusieurs fois nous avons failli être découvertes ce qui ajoute beaucoup à l'excitation du moment. Nos cachettes au sein de la roselière furent souvent violées sans succès. Un jour, une de mes condisciples pénétra plus loin dans le bosquet au point que j'aperçus son visage.

 

Pourtant, elle ne vit rien, ou ne voulut rien voir, ni dire. A cet instant, mon dos se cabra et mon entrejambe devint humide alors que mon souffle devenait court et ma poitrine oppressée. Mes seins se dressèrent et ma compagne entreprit de me faire jouir. Elle finit de me dénuder et caressa mes zones érogènes. L'insécurité de notre abri et le risque d'être découverte totalement nue en une posture indécente me procura un plaisir jamais atteint depuis.

 

Désormais nous affectionnons les tenues courtes et qui dévoilent largement nos poitrines. Les hommes se retournent sur notre passage. Nous ne portons plus de sous-vêtements les jours où nous nous rencontrons. L'absence de pilosité renforce la sensation de nudité. Nos corps sont excités et en demande de caresses. Je me sens sans voile, exposée au regard de tous et désirable. J'aime à nouveau mon corps. Mon amante l'entoure de soins exclusifs. En classe elle ne cesse de me favoriser et je suis toujours la première. Je le lui rends bien en respectant scrupuleusement toutes ses consignes. Parfois mon cerveau s'embrume et le désir m'envahit. Je soulage discrètement mon sexe. Le plus souvent je m'applique pleine d'affection pour elle. J'ai découvert l'amour.

 

Ainsi, belle Élodie, tu n'es pas la première ! Sans cette adorable institutrice, je n'aurais sans doute jamais été sensible à tes charmes et connu ce bonheur présent. Je ne t'ai rien raconté. Je préfère que tu penses m'avoir initiée et soustraite au monde, si cruel, des mâles dominants. Je te laisse croire que mon exhibitionnisme est le fruit de ton seul désir.

 

Quand je te regarde, confortablement installée dans ton fauteuil, je t'imagine uniquement revêtue de sa nuisette transparente, les seins dressés et la chatte épilée, comme elle. Cela te va bien.

 

Dieu que je te désire !

Par Emile - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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