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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

La Punition

 

 

Quelques semaines après ma mise aux enchères à Megève, je reçu un premier coup de fil sur mon portable. L’homme me dit s’appeler Pierre, il désirait me rencontrer suite à une recommandation du réseau.

 

Je me souviens très bien de cette première rencontre, tellement elle fut inattendue, pleine de tendresse. Pierre me donna rendez vous au Sofitel de Lyon en fin d’après midi, un mardi, après mes cours au lycée. J’avoue que j’étais, pour cette première fois, inquiète. Je ne savais trop comment m’y prendre et j’avais peur de tomber sur un tordu.

 

Nous avions convenu d’un signe de connaissance, et en le voyant rentrer dans le hall de l’hôtel, je fus rassurée. C’était  un homme de quarante ans, à l’allure sportive, au visage très ouvert. Il m’amena dans un excellent restaurant de la ville. Je me souviens lui avoir demandé pourquoi recherchait il la compagnie d’une occasionnelle comme moi. Il me répondit qu’il était un homme d’affaires toujours en déplacement, souvent sur Lyon et qu’il souhaitait rencontrer une femme qui lui apporterait un peu de tendresse et aussi du plaisir.

 

Nous avons parlé de tous nos goûts nos envies, je me souviens même lui avoir parlé de Paul. Il était très attentif, à mon écoute. Nous avons terminé la soirée dans un bar à cocktails sur les quais de Saône. Ensuite nous sommes revenus au Sofitel ou il avait sa chambre. Il me fit l’amour divinement bien, avec beaucoup de tact, sans brutalité. Lorsqu’il me demanda de rester la nuit entière avec lui, naturellement j’ai accepté.

 

Alors que je rentrai chez moi le lendemain matin, je ne pus m’empêcher de penser que, finalement, cela avait du bon. J’avais rencontré un homme charmant, qui souhaitait me revoir, j’avais passé une excellente soirée et pour embellir le tout il m’avait donné « un cadeau » non négligeable.

 

C’est pour cette raison que sur le moment j’ai décidé de continuer.

 

Bien sur je racontai mon histoire à Paul qui me dit façon de m’encourager : « Tu vois ce n’est pas difficile et tu prends du plaisir en supplément… »

 

Quelques semaines plus tard, je reçu un nouveau coup de fil. L’homme qui était médecin, me demandait de venir le voir à son cabinet dans le vieux Lyon .Je m’y rendis en fin d’après midi. Je fus surprise de voir sur sa plaque qu’il était gynécologue. Il n’y avait personne dans la salle d’attente. Au bout de dix minutes, une porte s’ouvrit, je reconnus à sa carrure imposante et un peu à sa voix l’homme qui m’avait prise lors de la première enchère à Megève. Une fois dans son cabinet, il me dit : « Déshabillez-vous, Virginie, je vais vous examiner.»

 

C’est ainsi que je me retrouvais cuisses écartées sur sa table d’auscultation.

Il avait enfilé une paire de gants et durant les premières minutes, il me fit un examen normal avec quelques commentaires équivoques, mais sans plus : « Vous avez de belles lèvres, votre utérus est souple à souhait.»

 « Vous allez vous retourner, dit il au bout de cinq minutes. Je voudrais examiner votre anus. »

 

Je m’exécutai et me retrouvai les fesses cambrées sur la table. Je compris que les choses allaient prendre une autre tournure. En effet, il avait enlevé ses gants, et je sentis qu’il m’introduisait un gel dans l’anus. Je me contractais.

« Laissez-vous aller, je vais vous faire une dilatation anale, car il semble que vous êtes étroite à ce niveau », dit-il.

Dans le même temps, il me demanda de pousser. J’étais honteuse de la position et de ce qu’il me demandait de faire. Pas l’ombre d’un doute, c’était un pervers.

 

Il m’introduisit dans l’anus un spéculum et se mit à l’activer. Je sentis alors mes chairs s’écarter, et au bout de quelques instants, je ne peux m’empêcher de gémir de douleur.

« Il faut que tu souffres pour être bien pénétrable », affirma-t-il.

 

Un avilissement total. Enfin il s’arrêta et me dit : « Tu vas rester ainsi dix minutes. Je reviendrai ensuite pour voir si la dilatation est bien faite. »

 

 Il est alors sorti, et je suis restée ainsi seule. Mes pensées se bousculaient, j’avais envie de partir, d’arrêter ces jeux .Il revint une quinzaine de minutes plus tard, il n’était pas seul.

« Je te présente Virginie, elle est dans le réseau » dit il en s’adressant à un homme plus jeune que lui.

- Elle est nouvelle dans le réseau, une vraie blonde aux formes arrondies comme il faut, un beau sujet pour la soumission, continua-t-il.  

- Je te présente, Alain, un collègue médecin comme moi, me dit-il alors. 

- Nous allons voir si tu es suffisamment dilatée avant de t’essayer », conclut-il.

 

Le spéculum fut enlevé me libérant ainsi, je ne sentais plus mon anus. Les deux hommes étaient derrière moi commentant en terme crus ce qu’ils voyaient : « Un beau cul, un bel anus, elle est vraiment faite pour la sodomie !

- A toi l’honneur moi je l’ai déjà baisée… »

 

Je sentis bientôt la verge d’Alain qui me pénétrait. L’autre se mit en face de moi pour m’observer et commenter mes réactions : « Vas-y elle aime, je sens que tu la faire jouir du cul cette salope ! »

 

Il avait repris son langage ordurier. Il encourageait son collègue avec des mots de plus en plus durs : « Encule-la bien à fond, elle aime, je le vois sur son visage… »

 

 Alain se retira et décida alors : « Il faudrait la raser, elle a trop de poils. Qu’en penses-tu ?

- Bonne idée », répondit l’autre.

 

A ces mots, un déclic se produisit en moi, je ne voulais absolument pas être rasée !

Pourquoi ?  Je n’en sais trop rien, mais je tenais à rester nature avec ma toison pubienne.

« Non, je ne veux pas être rasée ! » protestai-je de nouveau.

 

Face a ma détermination qui semblait les surprendre, le docteur me dit : « Bien, rhabille-toi c’est fini pour aujourd’hui.»

 

Un peu interloquée et ne sachant comment interpréter tout cela je me suis rhabillée et je suis partie.

J’avais presque oublié cela, lorsque deux semaines plus tard, Paul me dit : « Serge veut nous voir, nous irons demain à Lyon. »

Je m’en souviens très bien, nous étions un jeudi soir. Nous avons retrouvé Serge dans le centre de Lyon. Il est monté à l’arrière de la voiture, et m’a demandée d’en faire autant. Nous avons pris la direction de l’autoroute qui contourne Lyon par l’est, et sommes partis vers Vienne.

 

« Tu as désobéi », me dit Serge au bout de quelques minutes.

Je ne voyais pas ce qu’il voulait dire, il me rappela alors l’incident chez le médecin. 

« Tu dois obéir à tes clients, c’est pour cela qu’ils font appel à toi. Pour la peine, tu vas être punie. »

  Je ne comprenais pas très bien où cela pourrait aller. Serge me banda les yeux. Au bout d’un quart d’heure, nous nous sommes arrêtés. Nous étions, je l’apprendrai plus tard, sur un parking réservé aux routiers qui se trouve sur à Communay. Je suis restée plusieurs minutes seule dans la voiture ,Paul et Serge étaient descendus. Au bout de dix minutes ou plus, j’avais un peu perdu la notion du temps, ils me firent descendre.

 

Serge me mit contre le capot de la voiture poitrine en appui. Il souleva ma jupe et je l’entends annoncer : « Messieurs, elle est à vous pour 50 €,. Allez, elle a un beau cul à baiser ! »

 

J’allais me redresser pour protester, mais à ce moment, je fus maintenue en place par deux bras de chaque coté, probablement Serge et Paul.

Alors commença pour moi une véritable punition. Des mains, des doigts, m’écartaient les fesses, me palpaient, s’introduisaient dans mes orifices, bientôt je sentis une verge qui me pénétrait. Les hommes qui étaient la parlaient peu. Je les entendais seulement haleter, rugir comme des bêtes en rut. Je dus bientôt subir l’assaut de plusieurs mâles en série de 3 ou 4.

C’était une véritable tournante.

 

Serge me sermonna :

« Tu obéiras, maintenant !

- Non, » retoquais-je.

 

Au bout de plusieurs minutes, je fus reconduite dans la voiture, pour en ressortir de nouveau dix minutes plus tard. Je fus encore mise à la disposition de plusieurs hommes. Ils étaient maintenant une dizaine. Ce fut un véritable viol collectif.

 

Sodomisée, pénétrée de partout, je ne savais plus où j’étais, qui j’étais. Au bout de plusieurs minutes, je me mis à pleurer. Cela sembla décupler leurs ardeurs. C’était à qui me prenait le plus violemment.

Serge réitéra sa question : «Tu obéiras ?

- Oui, » murmurais-je cette fois.

 

Tout cela cessa au bout d’une heure.

Alors que nous remontions dans la voiture, Serge dit : « Il y a deux types qui la veulent pour une heure dans leur cabine, on va leur donner. Cela va la mater définitivement !

Non ! Ca suffit, on arrête elle a compris », s’interposa Paul.

 

Malgré ma colère pour ne pas dire ma haine, j’en fus reconnaissante à Paul .Sur le chemin du retour Serge ne put s’empêcher d’être horrible et sauvage. Il me dit : « Suce-moi salope ! »

 

Je dus m’exécuter. Au moment où il allait éjaculer, je voulus retirer sa verge de ma bouche. Il me plaqua contre lui et je l’entends encore crier : « Avale, salope ! Tu es bonne qu’a ça ! »

 

Nous sommes rentrés très tard chez nous. Je n’ai pas dis un mot, je me suis mise à pleurer. Paul toujours équivoque m’a prise dans ses bras :« Tu dois faire ce que te demande tes clients, et  il ne t’arrivera plus rien je te le promets.. »

  

J’allais pourtant être de nouveau mise à l’épreuve quelques semaines plus tard avant de retrouver un semblant de liberté.                  

Par Virginie - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Couples candaulistes
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