Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Chère Sophie,
J'avais pourtant promis de ne le dire à personne, mais on est si faible devant les tentations ! Vous nous faites partager de si belles histoires, espérons que notre histoire soit aussi belle que les vôtres !
Aziz
Cela s’est passé l’été dernier, au mois d’août.
Nous vivons à Djerba, au sud de la Tunisie. Et comme tous les étés, ma belle famille, qui habite la capitale, nous rend visite.
Un jour, en rentrant du boulot, je monte dans notre chambre pour changer mes vêtements.
Ce jour là, il faisait lourd et humide. Je me mis à mon aise en me déshabillant complètement. J’ai ouvert la porte de notre terrasse et je tournais en rond en cherchant une petite fraîcheur.
Je ne suis pas exhibitionniste, mais il était seize heures, et par cette chaleur, je doutais fort que quelqu’un se promène et risque de me voir ainsi dévêtu.
Je m’allumais alors une clope, que je grillais en laissant voguer mon regard vers l’horizon et en écoutant les cris des enfants sur la plage proche de notre maison.
Perdu dans mes pensées, je sursautais en entendant Koukou ma jeune belle –sœur, me demander :
« Aziz, peux tu me passer une cigarette, s’il te plait ? »
Surpris, je me retournai. Je ne savais plus quoi faire. Je ne suis pas pudique, mais cette intrusion inattendue dans ma chambre me déstabilisa.
Les premières secondes de surprise passées, sans prendre la peine de cacher ma nudité je lui réponds :
« Le paquet et là, sur le lit. Va s’y prends ce que tu veux ! »
Koukou est donc la petite sœur de mon épouse. Elle vient de réussir brillamment son bac. Elle mesure 1m70, de taille fine, avec de longs cheveux noirs et de très jolis yeux verts. Quand elle marche, on croirait qu’elle flotte dans les airs. Le seul complexe qu’elle a, c’est sa taille de sa poitrine, un petit 85A.
Personnellement, je trouve que tout est en harmonie chez elle. Mais bon, les femmes doivent toutes avoir un complexe quelque part !
Ce jour-là, elle portait son maillot, deux pièces, rose, et autour de la taille, ce qu’elles appellent ici, un « cache maillot » blanc, qui ne cache pas grand-chose.
Revenons à nos moutons !
Sans détourner les yeux, elle prend le paquet de cigarettes, en tire une, et s’approche de moi, tout en fixant mon sexe. On aurait dit que c’est la première fois qu’elle voit un sexe d’homme.
« Peux-tu me l’allumer ? me demande-t- elle
- Eh comment ! » pensai-je.
Je lui tends le briquet, elle tire une première bouffée en levant les yeux au ciel, puis elle redescendit les yeux en direction de ma bite.
« Ne te gêne pas ! lui ai-je dis. C’est à croire que tu n’en as jamais vu ? Et pourtant, si mes souvenirs sont bons, tu les as étudiés en long, en large et en travers durant tes cours de science nat !
- Oui c’est vrai ! Mais j’en n’ai jamais vu d’aussi près !
- Ah ?? et ton copain ? Jamais ?
- Non ! Il a essayé une fois… Il a fini par se prendre une baffe qui lui a sifflé les oreilles…
- Hahahaaaaaa ! murmura-telle en fixant continuellement ma queue.
- Dis-moi d’abord, où est ta sœur ?
- Ils viennent de partir à la plage !
- Et toi ??
- Ben… Comment dire ? J’ai pas envie !
- Oui c’est ça ! C’est pas grave si tu me dis que tu as tes règles !
- Ben voila ! Tu as tout compris ! dit-elle en tirant à nouveau sur sa clope
- On ne risque pas grand-chose alors, répondis-je en souriant perversement.
- Que veux-tu dire ? demande-t- elle avec une petite voix.
- Juste que personne peux te voir si tu avais l’envie d’explorer plus…
- Je ne te comprends toujours pas ! »
En mettant sa main libre, sur mon sexe, je lui ai dis :
« N’aies pas peur de toucher si tu veux ! »
Elle voulu retirer sa main, mais je le retenais encore car je savais que c’était un geste audacieux et je ne voulais pas qu’elle s’en échappe aussi facilement.
« Lâche-moi, tu veux ! cria-t-elle.
- Ca restera notre secret. Personne, tu entends ? Personne ne sera au courant de ce qui se passe en ce moment. Tu me crois ?
- Oui, dit-elle avec une petite voix qui tremble.
- Il ne te mordra pas tu sais ? Je lui ai retiré toutes ses dents quand j’ai enlevé mon slip tout à l’heure ! » dis-je en rigolant.
Cette petite blague a eu pour effet de détendre un peu l’atmosphère. Koukou pressa doucement ses petits doigts sur ma queue, et commença légèrement à caresser mon zob.
« C’est doux !
- Oui c’est lavé avec mir laine !!! Hahahahaa
- Oh !!! Qu’est ce qu’il a ?? Qu’est ce qu’il fait ??
- Ne t’inquiète pas… C’est simplement que tes doux doigts l’excitent… Et donc… Il va prendre une posture pour que tu puisses mieux le caresser !
- C’est normal qu’il grossisse aussi vite ?
- Oui ! C’est du à l’apport de sang…. Je vais pas te faire un cours d’anatomie, là ! Mais c’est tout à fait normal… vais s’y … Continue, » lui soufflais-je je en me délectant de cette caresse.
Avec application, Koukou se met à faire aller et venir sa main sur ma queue qui prend de plus en plus de volume.
« Oh bon sang ! C’est avec ça que… ma sœur ?
- Tu veux dire, que je fais jouir ta sœur ? Oui ! Un jour peut être tu connaître ce plaisir, » soufflais-je, tout en posant mes mains sur les épaules de Koukou et la faisant mettre à genoux.
« Tu peux le féliciter de ses efforts !
- Comment ?
- Fais lui une petite bise, tu veux ?
- Hummm …… D’’accord ! »
Doucement, avec prudence, elle approche ses lèvres de mon gland tout rouge pour y déposer un petit bisou.
« Vas-y ! Tu peux le prendre en bouche… N’aies pas peur… Il ne te mangera pas… »
Avec une docilité qui m’étonnera toujours, Koukou le prend entre ses lèvres et l’introduit dans sa bouche.
« Humm…… Que c’est bon…… que c’est agréable dans la bouche !
- Va s’y suce !! Suce-moi comme si c’était un sorbet de glace ! Oui c’est bien comme ça…
- Doucement… Apprécie ce moment… C’est pas tous les jours que tu auras droitde le prendre en bouche ! »
Et comme si elle n’avait fait que ça durant sa jeune vie, Koukou s’activa sur mon sexe comme si sa vie en dépendait.
Mes mains se posèrent sur sa tête et glissèrent entre ses cheveux. Tout en la caressant j’imprimais le rythme de cette masturbation buccale qui éveille en moi des envies plus perverses les unes que les autres.
Par deux fois, je lui fourrais ma queue bien au fond de sa gorge, en risquant de l’étouffer. C’est u peu égoïste, mais si bon !
Je sens mon jus qui s’apprête à exploser. Je me retire de sa bouche, et je jouis en lui barbouillant son visage de tout mon foutre.
« C’est quoi ça ? dit-elle toute surprise.
- Tu viens de me faire jouir comme jamais j’ai joui !! la complimentai-je en la relevant.
- Merci pour ta douce participation ! C’est notre grand secret…OK ?
- Ce n’est pas moi qui irai me vanter ! » me répondit-elle en rougissant.
Sur ces dernières paroles, une goutte de sperme glissa entre ses lèvres. Du bout de la langue, elle le recueillit.
« C’est pas si dégueu que ça ! Merci de m’avoir fait connaître ce coté merveilleux de ton anatomie, cher beau frère !
- De rien Koukou ! Allez, laisse-moi rejoindre ta sœur, sinon elle va me faire toute une histoire ! »
Je réalisais que ma chère belle-sœur venait de me faire cadeau de la virginité de sa bouche… J’espérais bientôt qu’elle me fasse cadeau de sa virginité tout court !
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