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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Quinze jours se sont passés. Entre temps y a 2 semaines elle était de l âpre midi et la semaine suivante elle était en vacance. On est le lundi 6 juin de cette année, le soleil se montre timide, il fait un peu froid. J'ouvre les yeux, je tourne ma tète vers la porte entre ouverte, et j’entends une belle voix féminine qui mettait pas inconnue, oh non pas inconnue du tout ! Cette voix pleine de chaleur dit sur un ton sur d’elle à ses collègues :

« Je vais m’occuper de la chambre 310 ! »

 

Je me mis à sourire légèrement, je fis semblant de dormir jusqu'à entendre un léger mais joyeux frappement à la porte. Mais vu qu’elle était ouverte ; elle rentra directement dans la chambre.

Toujours en fermant les yeux,  j’essaye de deviner ses faits et gestes. J’entendis la porte se refermer assez vite, puis un bruit de roulette ? j’ai immédiatement compris qu’elle venait pour me prendre la tension. Elle s’approcha de moi, et posa délicatement ses lèvres sur les miennes :

« Coucou, ca va ? bien dormi ?

-  Coucou mademoiselle, ca va et toi ?

- Tu m’as manqué…

- Merci, c’est gentil. Le réveil de l’autre jour n’a fait que hanter mes esprits… »

 

Et en m’accrochant le brassard autour du bras droit, elle me dit au creux de l oreille :

« Ah oui ? Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. Tu es le seul patient à m’avoir fait craquer comme ça… »

 

En me regardant, elle mit sa main droite sur ma cuisse.

« C’est moi qui m'occupe de toi aujourd'hui, on a le temps ! Non ? »

 

Je souris légèrement je me redresse un peu au dessus du lit et je n avez qu’une hâte : qu’elle enlève le brassard pour pouvoir articuler mon bras dans tout les endroits que je voulais visiter… Et croyez-moi, à partir de cette instant, je savais que mon exploration allait être longue !

« 13.2  Pour un réveil, c’est déjà pas mal… »

 

Avec sa main gauche, elle posa mon traitement sur la table et avec la droite, elle écarta ses doigts, tendit sa main et me la mit au panier. En la posant ainsi, elle me sourit en me caressant tout le matos par dessus le boxer. Alors une fois le brassard enlevé, je m’empressai de mettre la mienne sur son beau cul bombé. Je le lui caressais, et lui murmurais d’une voix gourmande :

« Ma main bouge toute seule, je la contrôle pas..

- Humm... C’est la prise en charge médicale qui fait son effet, dis donc ! »

 

Elle glissa sa main sous mon boxer, sortit ma bite de mon boxer et en retroussant légèrement le drap du coté droit jusqu'à l’avoir sous les yeux. En passant ma main à l’intérieur de son pantalon élastique (sa tenue de travail avec la blouse), me voilà parti à jouer avec la ficelle de son string…

Elle soupira :

« Mhum je la sens grossir de plus en plus… J’adore ta bite ! »

 

Je m’assieds sur le lit je la rapproche vers moi, toujours en jouant avec son string.

Je lui soufflais dans l’oreille :

« Aujourd’hui, c’est mon tour….

- Ah oui ? Et tu vas me faire quoi ? »

 

Sans répondre par des morts, ma main gauche attrapa le côté  droit de sa blouse, je me mis face à elle. Attentive,  elle avait arrêté de me branler. Ma queue était sortie de tout son long, droite de mon excitation.

 

Je fis sauter toutes les pressions d’un coup, et d’un léger mouvement de poignet sur ses fesses.

Elle se colla à moi, et me voila parti à lui manger sa belle poitrine, que je n’avais pas encore vue d’aussi. Elle avait une belle poitrine bien ferme, avec des tétons de plus en plus durs.

Je les léchais rapidement en la regardent droit dan les yeux, tellement j’étais excité. Je commençai à me branler, lui ôtant ma bite de es mains, tout en continuant à lui lécher le sein droit et le sein gauche tour à tour.

Je lui lançai un regard noir, car elle reprit ma queue pour me branler. Je ne voulais pas ça !

Pourtant, je lui pris la main, sachant que j’allai diriger les choses. Je me levai, m’installai dans mon fauteuil, et lui demandais de me conduire dans la salle de bains. Elle obtempéra, et ferma la porte derrière nous.

 

« De toute façon, j’ai ma douche à prendre non ? »

 

Je ne lui laissai pas le temps de répondre, et je dégrafai son soutien-gorge, que je n’avais  pas pris le soin d’enlever tout à l’heure. Me revoilà parti avec de grands coups de langue qui parcouraient tout le diamètre de ses seins et le bout de ses tétons. Elle me caressa les cheveux :

Monsieur sait s’y prendre ! Mhumm, ouiiiiiiiiii, c’est bon… Continue… »

 

Je baissai son pantalon par derrière, il glissa très facilement le long de ses chevilles. Je vis pour la première fois mon infirmière en petite tenue ; toute gênée et déboussolée de voir que les rôles avaient changé. Elle me regarde timidement avec un de ses doigts dans sa bouche.

Je parcourrai tout son corps avec deux doigts, en touchant ses belles lèvres humides de son excitation, de son cou tout lisse, le contour de ses seins, de ses tétons que je pince. Avec ma main droite, je lui baissai le menton pour qu'elle rapprocha son visage de moi, car j’étais bien plus bas qu’elle, du fait de ma position assise.

 

Elle m’embrassa langoureusement, je lui enlevai son string. Une fois su ses chevilles, elle le retira complètement. En se baissant pour le ramasser, je saisis ses mains pour lui mettre le long de son corps, et je la pivotai. Elle m’offrit son beau petit cul que je commençai à bouffer et à masser comme un mort de faim.

 

Je lui écartai les fesses et je pris ma bite en main. Elle était bien bandée, et je fis descendre ma belle infirmière dessus. Mon gland s’enfonça entre les fesses douces et fermes. Ce mouvement commença à la faire gémir doucement, jusqu'à lui rentrer l’intégralité de mon gros sexe dans le vagin. Ca y était, elle était assise sur moi…

« Oh oui !!! C’est bon, continue, j’adore ! Oh ouiii !!!

- Chut on va se faire repérer !!! »

 

Je posais ma main sur le clito pour le masser, et l’autre main, sur sa bouche, pour qu’elle crie moins fort/

«  Oh ouiiiii !!! 

- Tais-toi, bordel ! »

 

Son bassin faisait des va et viens sur moi. Elle s’agrippa aux accoudoirs du fauteuil, et avec la cadence de ses mouvements, mes boules résonnaient sur ses petites fesses. Je lui mordillais l’oreille

« T’aime ça, hein ? C’est moi qui vais te soigner…. »

 

Devant son excitation qui montait, elle se retira en prenant les devants : 

« Tais-toi, je veux pas t’entendre. Elle ouvrit la porte, me poussa jusqu’au lit, me porta (je fais 45kg tout mouillé, alors ça vite)

 

Elle s’allongea à coté de moi :

« Prends-moi encore la chatte ; fais-moi voir de quoi tu es capable… »

 

Sans attendre la réponse, elle me chevaucha, prit ma bite, et l’introduisit directement  en elle. Elle dosa elle-même la cadence des allers et retours, leva un peu la tète et prit appui sur la potence.

 

Elle se souleva afin de sentir tout le long de ma bite frotter sur son clito tout mouillé et ses lèvres qui frottent au contact de mon sexe... Sa respiration s'accélère, ses mains se mettent à trembler, son corps se réchauffe encore plus, et un bruit aussi rapide que jouissif sortit de sa bouche.

 

Pour ne pas crier, elle s’agrippa au drap qu’elle enleva par la puissance de ses poignets. Je serrai les dents car j étais au bord de l’explosion. Elle se colla à  moi, ses seins sur mes pecs,  et me glissa d’une voix  presque fatiguée, mais toujours aussi douce et avec autant d’envie :           

« Je vais bientôt devoir y allez, mais avant je ne repars pas sans... »

 

Elle retire mon sexe de son vagin, me lèche les tétons et les abdos, et en me regardent me prend le sexe avec sa main droite, elle se met à me le lécher de tout son long< ;

Elle l’introduit en entier dans sa bouche, et me suça à une vitesse hallucinante en me massant les boules avec une dextérité des plus excitantes. Elle faisait valser ses mains le long de ma bite.

 

Ses lèvres caressaient avec intensité mon pieu dressé, en salivant dessus et en frétillant sa langue sur mon gland. Avec ce traitement, je ne pus me retenir, et au même moment où ses lèvres retouchaient mon gland, tout mon jus chaud lui dégoulina sur les lèvres.

 

Alors, elle ouvrit la bouche en grand, et la plus grande part de mon éjaculation trouva refuge dans sa bouche. Elle avale tout avec gourmandise. Mais vu les saccades de mon jet, elle en reçut sur le visage. Elle essuya ma verge avec ses mains, et les porta à sa bouche pour les lécher…

 

Comme pour bien achever le travail, elle donna des derniers coups de langue en appuyant ses lèvres dessus. Une fois fini, elle rangea délicatement ma bite dans mon boxer- alla a la salle de bain prendre du papier au-dessus des toilettes pour s-essuyer et remit ses sous-vêtements et sa blouse. Enfin, elle sortit du niflugel de sa poche et me dit :

«  Je venais pour ça, à la base. Mais tu dois savoir t’en mettre sur les jambes non ?

- Oui oui ne t’inquiète pas, ça, je me débrouille file, tu vas être en retard… »

 

Elle m embrasse une dernière fois :

« Au revoir beau jeune homme, tu pars demain non ?

- Oui, c’est ça, je pars demain. C est dommage je me plaisais bien ici finalement… »

 

Avant de partir, elle prit un stylo, saisit la paume de ma main et inscrit son numéro de téléphone. Elle me dit :

« Ce sera mieux chez moi… »

 

Avec un sourire et un léger en revoir de la main elle repartit. Je ne la revis pas dans l’hôpital…

 

Voulez vous voir une suite ? A vous de me dire !

Par Steven le marseillais - Publié dans : Vos contributions - Communauté : les blogs persos
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