Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Le lundi, pour bien entamer une semaine de travail acharnée, je pratique l’un de mes sports favoris, la pelote basque.
Sur l’un des terrains, mes camarades et moi avons la bonne surprise de découvrir deux équipes de filles s’affrontant avec pugnacité. Activité
habituellement réservée aux hommes en mal d’efforts physiques violents, la présence de quatre jeunes et jolies filles nous met allègrement en joie.
Après deux heures d’affrontement sans relâche, nous quittons notre terrain de jeux favori pour retrouver les vestiaires. Nos alter-ego féminins font de
même au même moment. Nos mines épuisées retrouvent miraculeusement un large sourire !
J’échange un regard insistant avec l’une d’entre elles. Blonde, fine, regard bleu océan, lumineuse, souriante, je suis emporté par l’aura de cette jeune
sportive. Mon sang ne fait qu’un tour… Il est temps que j’aille faire un tour sous la douche pour récupérer mes esprits.
Mes amis prennent un temps minimum pour se changer et se retrouver le plus rapidement autour d’une bonne bière fraîche. Et comme d’habitude, je suis le
dernier dans le vestiaire. Je n’y peux rien, la douche et moi, c’est une grande histoire d’amour, j’y resterais des heures.
Mes partenaires de jeux le savent et ne manquent jamais de me le rappeler au travers de moqueries convenues.
Enfin frais, propre, ragaillardi, mon boxer à peine enfilé, une paire de bras se saisit de mon torse. Deux mains fines et douces s’emparent de mon
buste. Je me dresse, me raidit, surpris.
Un bref doute.
Me revient à l’esprit cet incroyable regard, tentant de percer mes désirs.
Je me retourne, elle est là, belle, désirable, désireuse. Elle ne dit mot, mais nous comprenons bien tous les deux qu’il ne sera pas nécessaire de
parler.
J’approche ses lèvres délicatement, timidement, puis le contact est foudroyant, le doute disparaît, et le baiser devient langoureux, savoureux,
fougueux.
Nous nous dévorons, nos mains avides de se découvrir, elles vont et viennent le long de nos corps respectifs, les muscles encore bandés par l’effort. Je
la déshabille au fur et à mesure que je la parcours. Ces courbes sont une merveille, elle s’empare de mes fesses rebondies. Je saisis sa poitrine parfaite, ronde, ferme, dressée, sa main passe
sur mon caleçon trop étroit.
Je ne sais pourquoi, mais mon impulsion soudaine me pousse à me détacher d’elle, je lui saisis le bras droit, la regarde droit dans les yeux, elle me
fixe, je lis dans son regard toute sa confiance. Un tee-shirt sur le banc, un premier lien pour l’attacher au crochet servant à suspendre nos vêtements. Un pantalon de survêtement, un second
lien. Elle est ainsi, devant moi, offerte, liée au mobilier du vestiaire, ses deux jambes écartées en appui sur le banc.
Nous sommes seuls, mais pour combien de temps ? Elle est là, abandonnée à mes désirs, je suis presque transi tant la situation me paraît
irréelle.
Je m’assieds entre ses jambes et décide de ne pas me servir de mes mains, ma langue commence à déguster ses pieds. Je suce, j’aspire ces orteils.
J’adore ça. J’adore la voir se tordre sous mes coups de langue. Je lèche ses mollets avec un plaisir non dissimulé. Sa peau frissonne, sa sensibilité s’affirme dès que j’arrive sur l’intérieur de
ses cuisses. J’évite malicieusement ses lèvres intimes. Mon visage remonte le long de son bassin, je respire son parfum charnel avec délectation, je baise son joli ventre plat et musclé, ses
hanches sont parfaitement marquées. Fine mais galbée, ma jeune sportive m’offre un joli cadeau.
Ses seins sont une ode à la volupté, ma langue pointe, joue avec ses tétons dressés, je la sens frissonner, je continue d’autant plus. Elle aimerait
certainement que je sois plus franc, plus vorace. Elle remue pour que je la bouffe, mais je me contente de la faire souffrir en la titillant, l’effleurant, je veux la rendre folle, je veux
qu’elle me supplie de la prendre à pleine bouche, que je veux qu’elle me supplie de la baiser.
Son regard me fusille, elle veut être prise. Je presse alors le pas. Mon visage vient faire face à son abricot si délicat, lisse, humide, charnu… si
appétissant. Mon nez s’approche de sa vulve, je m’enivre de ses effluves aphrodisiaques. Mon appendice écarte ses lèvres, et, en un mouvement, je déploie ma langue pour m’abreuver de sa
cyprine.
Pas de tanin, salé mais doux, une saveur équilibrée, un bouquet merveilleux, son jus est harmonieux, un grand cru, mes sensations sont fortes, puissantes. Sa petite chatte est si douce, si ouverte, j’y rentre et sors, la lèche, la suce. Son bouton de rose se dévoile, me réclame, je ne résiste pas. Je joue avec, mes lèvres le pressent, l’aspirent.
Mes doigts ne peuvent plus se retenir. Ils viennent vibrer sur le mont vénus de ma muse. Puis, ils se font curieux. Humides, agiles, ils l’a pénètrent,
un puis deux. Curieux, ils fouillent l’antre chaleureuse de la belle. Agiles, ils ressortent pour stimuler son petit trou voisin. Celui-ci s’ouvre un peu plus à chaque passage. Ma compagne se
relâche de plus en plus, son abandon s’intensifie. C’est un signe.
Ma proie ainsi prisonnière va recevoir mes assauts. Glissé entre ses jambes, ma verge déployée, je me frotte à l’intimité de ma future hôte sans pour
autant la pénétrer. Je la sens tenter d’agiter son bassin pour que je la fourre, mais je veux jouer. Ma dard s’agite entre ses lèvres, et vient frotter son clitoris bien gonflé. Je vais et viens
entres ses cuisses, et d’un coup sans la prévenir, mes yeux plantés dans les siens, je m’enfonce enfin dans ses entrailles.
Je ne joue plus, je rentre dans la belle comme un boxeur assène ses coups à son sac d’entraînement. Plus de ménagement, je la veux, entière,
physiquement, mes assauts sont puissants, vifs, profonds, percutants. Je me retire quelques secondes pour mieux la regarder. Rougie, essoufflée, je la vois, magnifique. Elle me réclame, encore.
Je bascule légèrement son bassin, je devine son petit cul dilaté. Mon gland vient relever l’affront de cet orifice caché. Il résiste, je force, il succombe. Je fête cette victoire en limant ma
déesse amplement, le rythme est régulier, mais toute en longueur.
Je m’enfonce jusqu’à la garde. Je ressors, et j’y retourne, j’y retourne, je ressors…une main sur ses hanches, une mains agrippée à ses seins, je
m’active dans un dernier élan de générosité. Je n’en peux plus, son anneau m’enserre, ses cris m’excitent, je râle, je la percute, son corps la lâche dans un cri de jouissance ultime, j’explose
sur elle de mes jets puissants, chauds, saccadés.
Quel bonheur.
Je la détache… une bière m’attend.
Signé : un ami qui vous veut du bien…
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