Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Je regagnai la villa et entrai par la porte de service. Sachant que Jacques et
sa maîtresse s’adonnaient à des jeux dans la chambre de Caroline, je ne voulais pas qu’ils sachent que j’étais là.
Arrivée à l’entrée de ma chambre, un rai de lumière filtrait en dessous de la
porte.
« Ils sont dans ma chambre ! » me dis-je le cœur battant à tout rompre.
Un colère monta en moi et furieuse, j’ouvris la porte violemment. J’allais crier à plein poumon
lorsque je vis un spectacle magnifique.
« Salut Gwendoline !
- Bonsoir Emma. Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu ne devais pas être avec Rodrigue.
- Non ! Il s’envoie en l’air avec une autre. Je ne fais que respecter notre accord ! En fait, il
passe le week-end avec la femme de sa vie. Seulement, elle, elle n’a pas l’argent de mon père.
- Et vous allez vivre comme cela longtemps ?
- Non, le mariage c’est pour l’année prochaine et puis dès qu’il aura sa clinique privée, on
divorcera à l’amiable.
- Et sa copine, elle le sait ?
- Oui ! Même si elle ne connait pas encore le tempérament assez exceptionnel de son futur mari.
Quoique je crois qu’elle s’en doute. Comme je n’avais rien d’autres à faire, j’ai pensé te rendre visite. J’ai apporté une bouteille de champagne. J’avais chaud et je me suis mise à l’aise en
t’attendant.
- Je ne suis pas contente quand même !
- Pourquoi, dit-elle avec un trouble dans la voix.
- Que tu sois venue chez moi seulement parce que tu n’avais rien d’autre à faire !
- Arrête de bouder ! Je pense que depuis ce matin, j’avais qu’une seule envie, être avec toi !
Cela ira comme cela ?
- Très bien !
- Mon père est ici ?
- Oui !
- Sûrement avec sa pouffiasse de Thérèse ?
- Tu es au courant ?
- Et comment ! Je les ai surpris le jour de mes fiançailles. Thérèse entrait dans la chambre et
laissant la porte ouverte, je l’ai vue frapper mon père car il avait sali les draps alors qu’il n’en avait pas le droit. Cela m’a écœurée. Heureusement qu’il n’y a rien qui nous lie lui et moi
!
- Tu es quand même sa fille !
- Sur le papier, oui !
- Comment, sur le papier ?
- Il m’a adoptée.
- Et Steve ?
- Lui, c’est son fils ! La mère de Steve est morte en couches. Moi, je ne connais pas ma mère.
Tout ce que je sais c’est que le jour de l’enterrement de la première femme de Jacques, j’avais cinq ans, j’ai ouvert un tiroir. J’ai pris un papier dans un classeur rouge vif car je voulais
dessiner. J’ai lu mon prénom sur le papier, en fait, je ne savais lire que cela. Jacques a prit le papier et s’est mis dans une colère folle. Il m’ordonna de ne plus fouiller ce tiroir ! Ce fut
une femme qui l’apaisa en lui disant que je n’y pouvais rien, je n’étais qu’une enfant. Cette histoire, je l’ai oubliée longtemps et c’est par hasard, j’ai retrouvé ce classeur rouge vif. Je me
rappelai le dessin d’un clown sur la première page. Il se trouvait dans un coffre dans le grenier. Je l’ai ouvert et j’ai lu que Jacques et Christine, sa première femme, m’avait adoptée. Le nom
de mes vrais parents n’étaient pas inscrits. Je n’ai jamais rien dit à personne. Un jour, je lui poserai la question.
- Et Catherine ?
- Elle n’en sait rien, j’en suis sûre.
- Bigre !
- Caroline fut ma vraie mère. C’est elle qui m’a élevée et m’a donné tant d’amour. Elle a des
défauts que j’ai hérités d’elle.
- Lesquels fis-je en souriant.
- J’adore, comme elle, m’envoyer en l’air.
- Ah ? Et maintenant ?
- Je crois que si tu ne viens pas près de moi, je vais tellement mouiller tes draps qu’il faudra
les jeter.
- Alors, laisse-moi m’abreuver. »
Je défis mes vêtements et me retrouvai nue rapidement. Emma, déjà nue, ouvrit
ses jambes. Je me couchai sur elle et plaquai ma bouche contre la sienne. Nos langues partirent à la rencontre de l’autre.
Les mains se mirent à se caresser, se cajoler. Emma était superbe, les seins fiers et arrogants,
le sexe lisse d tout poil, les fesses fermes, les jambes longues et fines, les yeux brillants et la bouche si attirante.
Je gobai une partie de ses seins et tétai comme un bébé. Elle gémit. Ma langue tournait autour du
téton, l’agaçant sans cesse. Emma gémit.
Ne voulant pas être en reste, elle me retourna sur le lit.
« Maintenant, laisse-moi faire. »
Elle me prit chaque main et sans que je l’aie vu, elle enroula autour de chaque poignet un cordon
bleu satiné qu’elle enroula sans l’attacher au montant de mon lit. Elle m’écarta les jambes et fit de même.
« Si le cordon devait se détacher du lit, tu seras ma femme de chambre personnelle pendant
tout le week-end. Tu me serviras nuit et jour et tu devras obéir à tous mes caprices. D’accord ?
- D’accord, » fis-je.
On se regarda droit dans les yeux, une vague de chaleur se communiqua par eux. Le trouble me gagna
sans que je ne sache vraiment pourquoi. Emma tressaillit et je vis ses yeux s’embuer.
« Tu es la première femme avec laquelle j’ai vraiment envie de faire l’amour et non pas
baiser pour baiser. »
Elle ne me laissa pas répondre car elle posa un doigt sur ma bouche. Elle s’approcha et m’embrassa
lentement d’abord en suçotant chaque lèvre. Elle les prit une à une, les mordillant, les suçant, les faisant rouler sous ses lèvres, les chatouillant avec sa langue.
Puis sa langue s’introduit dans ma bouche, chercha la mienne et la cajola comme jamais on ne me
l’avait fait.
Déjà l’envie de la prendre dans mes bras m’envahit mais je devais résister sinon le gage serait
appliqué.
Elle quitta ma bouche et du bout de ses doigts, elle effleura mes flancs. Les frissons
m’envahirent rapidement et j’eus la chaire de poule. Je frémissais.
Les mains descendirent encore et encore et arrivèrent à la plante de mes pieds qu’elle chatouilla
lentement.
Très chatouilleuse, je manquai de libérer les cordons de satin.
Ses mains remontèrent à l’intérieur de mes jambes, la chair de poule gagna tout mon corps. Elles
contournèrent mon abricot luisant de désirs, poursuivirent autour de mon nombril et allèrent finir leur voyage chacune sur un sein.
Elle pinça chaque téton alternativement. En même temps, elle les étirait et relâchait subitement
le pincement de sorte que mes seins reprennent leur forme initiale mais sous leur poids, je sentis le plaisir arriver lentement.
Elle se pencha et prit avec ses dents le téton gauche. Elle serra, une petite décharge électrique
partit et enflamma mon corps. L’autre était roulé entre ses doigts. Elle changea de seins et au lieu de prendre le téton, elle mordilla toute l’auréole. Et avec la main, elle pinça l’autre sein
en laissant le téton.
Je gémis lentement. La boule de chaleur m’envahissait sans cesse, mes bras tendus me faisaient
mal. Je levai mon bassin afin qu’elle s’occupe de mon abricot dégoulinant de cyprine mais elle avait décidé que ce n’était pas le moment.
Sa bouche quitta mon sein. Elle se leva et quitta le lit à mon grand regret.
« J’ai soif ! Je boirais bien à ta source mais j’ai envie de faire durer le
plaisir. »
Elle ouvrit la bouteille de champagne qui trônait dans un seau à glace.
« C’est bête mais j’ai oublié les flutes. Fit-elle en me lançant un clin d’œil. Tu me crois
?
- Non ! »
FIN
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