Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
« Je suis ton cadeau d’anniversaire ! Et je te promets que tu en seras très contente ! Je suis un vrai bon coup ! D’abord je suis bien monté ! Tu
comprends ? J’ai un sexe de bonne taille ! Tu n’as encore jamais été tirée par une queue comme la mienne ! Une fois que tu y auras goutté, tu ne pourras plus t’en passer ! Ensuite, je suis
quelqu’un de résistant. Je peux passer une nuit entière à baiser sans me fatiguer. Ma queue est en acier ! Elle n’est jamais au repos !
- Arrête de te vanter ! Je ne crois pas un mot de tout ce que tu racontes ! Rachid ne peut pas t’avoir raconté tout ce que tu dis. Et surtout, il ne
peut pas avoir pensé une seule seconde à m’offrir à un autre homme ! Il m’aime trop pour cela !
- C’est bien parce qu’il t’aime qu’il veut pour toi ce qu’il y a de mieux ! C’est-à-dire moi ! Il ne me l’a pas dit comme cela, mais je crois que ton
mari fait partie de ces hommes qui prennent du plaisir à porter des cornes ! Je suis sûr que son bonheur serait de te regarder te faire tirer par un autre homme ! Et jouir comme une folle devant
lui ! Mais pour le moment, il se contentera de t’imaginer subir les assauts de son ami Moussa et y prendre un immense plaisir ! Quand est-ce que je viens ?
- Tu es fou ! Il n’est pas question que tu viennes ! Ni qu’il se passe quoi que ce soit entre nous ! D’abord qu’est-ce qui te dit que tu es mon genre
d’homme ? Que j’ai envie de faire l’amour avec toi ?
- Je sais que tu en as très envie ! Je sais qu’en ce moment même tu es entrain de te caresser ! J’entends presque le bruit que font tes doigts à
l’intérieur de ta chatte qui coule de désir! J’entends le clapotis ! Ose me dire que ce n’est pas vrai ! Je voudrais que tu te lâches et que tu te mettes à gémir ! Je sais que tu as envie de
gémir ! De crier ! Laisse-toi aller ! »
Ce diable d’homme avait deviné juste. Après les petites caresses presque inconscientes sur mes seins et mes tétons, j’étais passée, tout aussi
inconsciemment, à mon entrecuisse. D’abord je me caressais discrètement par-dessus la culotte (comme si j’avais peur que l’homme me voit entrain de me masturber) puis plus franchement en faisant
pénétrer trois doigts à l’intérieur de mon vagin et en m’y prenant avec vigueur. Comme il l’avait deviné, je m’efforçais de me retenir de gémir.
Alors que l’envie de le faire se faisait de plus en plus pressante. Ma chatte était pleine de jus et mes doigts faisaient effectivement un bruit de
clapotis à l’intérieur. Je voulais m’arrêter de me masturber -j’avais honte de ce que je faisais- mais une force supérieure m’empêchait de le faire.
Je continuais de plus belle, en écoutant la voix envoutante de Moussa.
« Ne te retiens surtout pas ! Laisse-toi aller ! Continue de faire aller tes doigts à l’intérieur de ton vagin ! Combien as-tu mis de doigts
?
- Trois ! »
J’avais répondu instinctivement, sans réfléchir. J’étais maintenant prise au piège. Je ne pouvais plus reculer. Et puis je n’avais absolument pas envie
de reculer. Je voulais jouir très fort! Et rien ne pouvait plus m’en empêcher. Et Moussa n’avait certainement pas envie de m’en empêcher.
« C’est bien ! Continue ! Dis-moi à quoi, ou à qui, tu penses en te caressant. A moi ? A ma grande queue ?
- Oui ! A une grosse queue qui me remplit complètement le vagin et qui me pilonne comme une brute ! Je veux une queue que je sente bien en moi ! Une
queue qui me fait très mal en me possédant ! Une queue qui devient mon seigneur et maître ! Un vrai zob d’homme !
- Comme le mien ! Un vrai zob d’homme ! Ferme les yeux et imagine-moi entre tes cuisses. Imagine un immense zob à l’entrée de tes grandes lèvres qui
s’ouvre la voie royale entre elle et qui s’apprête à entrer dans le tunnel. Imagine la poussée brutale de mes hanches et la douleur quand mon zob prend possession de ton tunnel. Tu sens toute sa
force ? Tu sens comme il lime la paroi de ton vagin ? Tu sens comme il est heureux à l’intérieur ?
- Oui ! Il me fait atrocement mal ! Mais quel plaisir et quel bonheur que cette douleur ! Encore ! Continue d’aller et venir comme cela ! Comme une
brute ! J’aime être niquée comme ça : en force ! Continue, nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi ! Je vais jouir ! Je jouiiis ! »
Et effectivement, j’avais joui comme jamais je n’avais joui auparavant. Une jouissance qui dévala des tréfonds de mon corps, qui se positionna un moment
sur tout mon bas-ventre puis qui irradia vers ma poitrine et mon cœur, qui faillit s’arrêter, tant il battait trop vite. J’avais vaguement conscience qu’il venait de se passer quelque chose
d’exceptionnel et d’anormal. Mais au fond de moi, je n’en avais cure. J’étais encore toute à mon bonheur d’avoir joui. D’avoir vraiment joui ! Rien qu’en me caressant et en écoutant un homme me
parler.
Puis petit à petit je sortis du brouillard dans lequel j’étais et je pris conscience de la situation. J’eus un peu honte de mon comportement. Mais je me
retenais bien de le dire à mon partenaire. Ce fut lui qui parla le premier. Non pas pour se vanter ou se féliciter, ou me reprocher quoi que ce soit, mais pour me répéter que j’étais une femme
exceptionnelle et que mon mari Rachid avait raison de dire que je méritais de connaître le vrai bonheur; le bonheur qui provient de relations sexuelles débridées et d’une vie érotique
libérée.
« J’aurais bien voulu te rejoindre cette nuit, mais il est trop tard. Je le ferai demain soir, après le travail, vers dix-neuf heures. Je veux que
tu sois prête à accueillir ton cadeau d’anniversaire. Tu verras, tu n’y trouveras que du bonheur ! »
Et il raccrocha subitement; sans me laisser le temps de refuser sa proposition. Ma première réaction était en effet de lui dire non. Il n’était pas
question pour moi de l’accueillir chez moi -chez nous- sous notre toit conjugal, dans notre chambre conjugale, sur notre lit conjugal ! Mais cet état d’esprit ne dura que quelques secondes
(quelques minutes au plus !)
Rapidement le souvenir de la jouissance de tout à l’heure vint s’imposer à moi et m’empêcha de penser à toute autre chose qui ne soit pas le plaisir qui m’attendait la nuit prochaine. J’y pensais tellement que j’avais du mal à trouver le sommeil. Je m’étais même remise à me masturber pour calmer le désir qui continuait de m’étreindre. Je n’eus pas un orgasme identique à celui que je vécus quelque temps auparavant, mais cela suffit à calmer mes nerfs. Je pus enfin plonger dans un profond sommeil. Un sommeil plein de gros zobs qui me prenaient de toutes parts.
En me réveillant le matin, le souvenir de Moussa revint brutalement occuper ma pensée. Il ne me quittera plus de toute la journée. Au travail – je suis
professeur de français dans un lycée d’Alger – je vaquais comme un zombie, l’esprit occupé par les évènements de la nuit passée et ceux qui allaient advenir la nuit prochaine. Vers midi, comme à
son habitude, Rachid m’appela pour s’enquérir de mon état de santé et pour me demander, sans avoir l’air d’y toucher, s’il n’y avait rien eu d’exceptionnel la nuit précédente.
« Si j’ai reçu un appel, tard dans la nuit, d’un homme qui se prétend ton ami et qui m’a dit des choses étonnantes sur notre couple.
- Tu as apprécié ? Moussa est un gars vraiment bien ! Un homme totalement différent de ceux que nous connaissons et fréquentons. Je crois que tu aimeras
sa compagnie.
- Y compris qu’il soit mon cadeau d’anniversaire ?
- Oui ! Je sais qu’il te plait déjà. Il m’a appelé pour me raconter votre discussion et le rendez-vous pris pour cette nuit. Cela me fait plaisir.
J’espère que tu vivras des instants merveilleux.
- Tu veux dire que tu veux vraiment que je couche avec lui ? Que tu n’es pas jaloux ? Que tu ne m’en voudras pas de te tromper ? Tu m’aimes donc si peu
?
- Au contraire, je t’aime beaucoup plus ! C’est pour cela que je veux que tu vives complètement ces instants d’érotisme intense ! Il n’y a pas eu
jusqu’ici beaucoup de moments érotiques entre nous. Et je sais que c’est un vrai manque dans notre vie. Je veux que cela change et que notre vie prenne une nouvelle direction : celle du sexe
libre, du sexe débridé. Cela ne veut pas dire que nous n’avions pas été heureux auparavant. Nous avons eu beaucoup de bonheur. Mais aujourd’hui, il nous faut aller plus loin, il nous faut
atteindre le Paradis.
- Et tu penses qu’en couchant avec ton ami, nous atteindrons le Paradis ? Je peux imaginer que moi je sois heureuse (en admettant que ton ami soit
vraiment un super coup), mais toi, où sera ton plaisir ?
- Dans le tien ! Je serais très heureux de savoir que tu as atteint des sommets de plaisir sexuel avec Moussa (ou même avec un autre homme). Ton bonheur
sera le mien. Surtout, si après tu me racontes tout ce que tu as ressenti ! Je te dégoute ? »
Je n’ai pas su quoi répondre à sa dernière question. J’ai marmonné quelque chose d’inaudible et j’ai raccroché. Je ne voulais pas lui dire que j’étais
impatiente de rencontrer Moussa. Que j’étais vraiment sur des charbons ardents. Que plus l’heure approchait et plus mon cœur battait plus vite et plus fort. Et plus l’émotion qui m’avait étreinte
la nuit dernière revenait à grand pas et mettait mon corps en émoi.
Je quittai le lycée vers quinze heures et rentrai directement à la maison. Je passais tout le reste du temps à me préparer à recevoir Moussa, comme si j’étais une nouvelle mariée. Non seulement je pris un bain très chaud et m’épilai avec soin partout –y compris mon intimité que je débarrassai de tous les poils qui pouvaient s’y trouver– mais encore, je choisis la tenue la plus affriolante que j’avais dans ma garde-robe : une petite nuisette super coquine et un ensemble culotte/soutien-gorge en soie noire qui mettait en évidence la blancheur laiteuse de ma peau.
Par-dessus, je mis un kimono en soie bleue qui moulait mon corps et mettait en valeur mes rondeurs. Et j’attendis avec impatience que la sonnette de la
porte d’entrée tintât. Je n’arrêtais pas de me regarder –et de m’admirer- dans la grande glace du salon. Sans forfanterie je me trouvais belle. C’est vrai que je n’avais plus la fraicheur de mes
vingt ans, ni la fermeté des chairs que j’avais à cet âge. Mais je trouvais que j’étais toujours une superbe plante.
Pour me décrire rapidement, je dirais que je suis une femme plantureuse, avec toutes les rondeurs –encore fermes– qu’il faut, là où il faut. J’ai surtout un superbe fessier qui faisait fantasmer tous les hommes que je croisais dans la rue. Je suis très blanche de peau, une Kabyle du Djurdjura, avec un visage long se terminant par un menton volontaire. J’ai un nez droit, un peu trop grand à mon goût, des yeux marron-clairs et une grande bouche gourmande.
Mes dents, sans être celle d’une publicité pour un dentifrice, sont blanches, bien plantées et régulières.
En somme, un physique plutôt agréable, que même les garçons du Lycée trouvent bandant (c’est du moins ce que mes collègues femmes, n’arrêtent pas de me répéter depuis des lustres que j’enseigne dans cet établissement).
Pendant tout le temps que j’attendais son arrivée, je me posais des tas de questions sur Moussa : surtout sur son physique et son âge. Si je devais me
fier à sa voix, il ne devait pas avoir plus de trente-cinq ans. Sa voix était celle d’un homme mûr, d’un homme avec un vécu avéré, mais pas encore blasé.
« Au maximum, me dis-je comme pour me rassurer, il devait avoir quarante ans. Pour la beauté, je ne savais pas trop, la voix ne donne aucune indication. Mais j’avais l’espoir que c’était un bel homme, même si ce n’était pas un Apollon. »
J’en étais là dans mes réflexions quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade. J’avais l’impression qu’il allait exploser. Je m’efforçai de me calmer un peu, avant d’aller ouvrir. Je n’y arrivai pas totalement et ce fut en tremblant un peu que j’ouvris la porte et me trouvai en face de Moussa.
La première réflexion qui me vint en tête à ce moment précis est que je venais d’ouvrir à un pirate, les pirates que l’on voit dans les films
hollywoodiens. Il en avait la prestance et la dégaine.
D’abord, il était très grand et mince, presque maigre, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et des jambes qui n’en finissaient
pas. Il avait cette fameuse barbe de trois jours, dont je me demande aujourd’hui encore comment il faisait pour la maintenir en l’état – des cheveux noirs, raides et longs, qui lui tombaient sur
la nuque, et un visage basané, anguleux, comme taillé par une serpe. Son long nez droit et son menton volontaire accentuait encore plus cette impression de plus en plus présente que j’avais
affaire à un pirate.
Sans parler de ses petits yeux noirs au regard brillant et du sourire moqueur qu’il avait – en permanence – sur les lèvres. Je ne parle pas non plus de
son immense bouche gourmande et des canines de prédateur qui apparaissaient sous ses fines lèvres, constamment ouvertes. Et pour confirmer cette apparence, il portait un costume en toile légère
de couleur grise, dont la veste déboutonnée laissait apparaître une chemise à petits carreaux bleus, négligemment ouverte sur un poitrail velu.
« Bonsoir ma grande ! fit-il avec un sourire de carnassier qui présageait d’une suite des plus torrides. Je vois que tu m’attendais ! Tu es super
mignonne ! Mieux que dans la photo !
- Bonsoir ! » répondis-je d’une toute petite voix.
J’étais vraiment intimidée. D’abord l’homme était à l’aise. Trop à l’aise par rapport à moi qui me sentais comme un petit lapin prise au piège. En plus,
il était beau. De cette beauté virile qui n’avait rien avoir avec la régularité ou la finesse des traits. La beauté du Diable ! Il donnait l’air d’avoir environ trente-cinq ans, mais j’étais sure
qu’il se vieillissait volontairement par sa manière de se tenir et de s’habiller. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Un enfant ! Du moins comparé à moi, qui allais avoir cinquante ans, le
lendemain.
J’étais encore plus intimidée. Je lui fis signe gauchement de me suivre vers le grand salon qui se trouvait au fond du couloir. Je le devançais pour lui
indiquer le chemin. Mais avant d’avoir fait un mètre, je sentis sa main qui venait de se poser sur mes fesses. J’eus une crispation involontaire, comme pour réagir à un geste incongru, mais me
repris très vite, en me disant que c’était normal qu’il se comporte ainsi : s’il était là, si je l’avais laissé entrer, si je le précédais vers le grand fauteuil du salon, c’était uniquement pour
cela : pour me tirer ! Et je ne pouvais être que consentante.
« Rachid a vraiment raison : tu as un cul superbe ! Il ne faut pas te scandaliser, c’est de ma part un vrai compliment !
- … »
Je ne répondis rien. D’ailleurs qu’aurais-je pu répondre qui aurait pu changer le cours des choses. Et puis avais-je vraiment envie que le cours des
choses changeât ? Non ! Mille fois non ! Au contraire je voulais, j’espérais, que les choses s’accélèrent et que mon pirate me saute dessus.
Je voulais qu’il exerce sa force sur moi et me soulève du sol pour me jeter sur le divan. Je voulais qu’il déchire mon kimono et ma nuisette et mes
dessous. Je voulais… Mais Mouloud continuait de me caresser les fesses, sans se presser, tout en marchant derrière moi. Je sentais son énorme paluche qui malaxait une fesse et puis l’autre; en
insérant de temps en temps un doigt entre elles, pour aller à la recherche de mon anus.
Il m’est aujourd’hui encore très difficile de décrire les sentiments qui me traversaient en ce moment précis. C’était un mélange d’excitation – excitation provoquée surtout par la situation bizarre dans laquelle je me trouvais, seule chez moi avec un homme que je ne connaissais pas encore et qui était là pour me tirer – et de gêne. Le reste de mon éducation puritaine me commandait de résister à tout ce qui se passait en moi et de chasser l’homme de ma maison.
A suivre....
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