Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Quelques temps après ma partie de jambes en l’air avec la chaude Patricia, je suis sorti avec Emilie, une autre colocataire, étudiante en art et d’un naturel plutôt timide.
Cela n’est qu’une façade, car j’ai appris à la connaître et elle se révèle très sympa et drôle. Ce n’est pas une fêtarde de folie comme Patricia, mais elle aime s’amuser.
Notre relation n’a rien de sérieux et nous en sommes tous deux satisfaits ainsi. Toute la coloc’ sait pour nous deux, même Patricia.
Emilie est une fille élancée, aux cheveux châtains clairs et qui à toujours un air de « première de la classe ». Ensemble, nous aimons aller au ciné, au restaurant mais elle se passionne pour les musées et les galeries d’art. Ce n’est pas ce que je préfère, mais je fais des efforts.
Cependant, Emilie à une particularité –qui pour moi est une qualité– qui est de se balader constamment à moitié nue à la maison. En effet, malgré sa timidité, elle n’est pas franchement pudique. Elle ne se montre pas nue, mais très souvent, on peut la voir dans la cuisine dans sa tenue d’intérieur : un t-shirt et une petite culotte… et ce même devant Paul et moi.
Cette manie continue toujours, mais je ne suis pas jaloux. De plus, Paul est engagé dans une relation sérieuse, et je ne pense pas qu’il la regarde particulièrement.
Nous sommes vendredi soir, je rentre à l’appart de bonne heure, car nous avons prévu de nous rendre à un vernissage.
Sans avertir, je rentre dans la chambre de ma copine. Elle est avec Sandra (la dernière colocataire) devant l’ordi à regarder les ventes en ligne de lingerie. Sur l’écran apparaît une combinaison intégrale en résille, avec ouverture prévu à l’entrejambe…
Je leur lance :
« Vas-y !! Achète !!! C’est cool !!
Elles se retournent, légèrement surprises et Emilie sourit en me disant :
- Tu me l’offriras à mon anniversaire…. »
Nous rions tous les trois. Sandra se lève et quitte la chambre. Depuis ma baise torride avec Patricia (où elle a sûrement tout entendu) elle me regarde bizarrement… avec insistance, je dirais.
Emilie éteint son ordi. Elle est évidemment en petite culotte, surmontée d’un débardeur vert. La petite touche qui me fait définitivement craquer, c’est qu’elle porte de petites chaussettes… Je suis fan de pieds féminins et j’adore les bas, collants et chaussettes…
Elle sait parfaitement que j’adore ça et elle en joue...
« Tu me donnes envie, Emilie….
- Tu penses vraiment qu’à ça… »
Je m’approche d’elle. J’attrape son pied et tire sur la chaussette. Elle me regarde, et pose son pied nu sur ma bouche. Je l’embrasse, le lèche, et continue de m’approcher.
Elle ôte la deuxième chaussette… Je goûte toujours son pied. J’adore ça !!! Je pose ma main sur son sein gauche…elle retire son pied et vient m’enserrer de ses jambes. Ma bite gonfle. Je saisis son débardeur et lui retire. Sa poitrine est dévoilée. Elle est petite mais très belle. Ses aréoles sont claires et ne contrastent que peu avec sa peau blanche…
Elle sourit :
« Tu veux quoi ?
- Te faire l’amour !!! Encore et encore ma jolie…
- Ohhh. On dirait bien effectivement…. »
En disant cela, elle s’est mise à me caresser la verge à travers mes vêtements. Je lui pétris tendrement le sein et lui caresse les cuisses.
Elle écarte soudainement les jambes, les replie contre sa poitrine et entreprend d’enlever sa petite culotte. Elle me repousse, posant son pied sur mon entrejambe et me lance sa culotte au visage…
Je respire profondément son odeur intime. Je la regarde droit dans les yeux et je lèche doucement la cyprine imprégnant encore sa lingerie…
-« T’es vraiment un pervers !!!
- Tu veux que je mette ma langue ailleurs peut-être ?
Elle se lève, s’approche de moi et lance, fière :
- Je dois me préparer. Et toi aussi. Sinon on va être en retard. Ta queue va devoir patienter… »
Le coup est rude !!!
Je sors donc de la chambre et me prépare. C’est un vernissage assez important, donc la cravate est de rigueur.
Emilie me rejoint bientôt, prête.
Elle porte de jolis bas blancs sur ses chaussures à talon haut, une robe noire qui recouvre partiellement un petit haut bustier.
« Je te plais ?
- Très appétissant !! »
Du revers de la main, j’effleure sa poitrine. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je luis fais remarquer que cela va m’exciter comme un dingue. Elle a un sourire « coquin » et :
« Vraiment ? C’est trop triste…
Elle glisse ses mains sous la robe, se tortille et je vois sa culotte tomber à ses chevilles.
- On va essayer comme ça alors… »
Ma main se glisse rapidement entre ses cuisses. Sa chatte est mouillée. Cela l’excite aussi de sortir le cul à l’air !!!
« Arrête !! Allez, on y va. »
Le vernissage se passe bien. Je n’ai pas fait attention un seul instant aux toiles présentées. Je ne pensais qu’à la jolie petite chatte d’Emilie sous sa robe.
Parfois, elle murmurait à mon oreille pour me rendre fou : « je sens les courants d’air entre mes jambes », « je crois que je mouille. Je la sens couler le long de mes cuisses » ou encore « il fait frais, mes tétons sont durs comme de la pierre. »
J’ai donc passé la soirée avec une barre de métal en fusion dans le caleçon. Je ne la savais pas aussi allumeuse et « garce »…
Nous sommes rentrés en métro. A peine arrivé dans sa chambre, elle ferme la porte à clé et s’attaque à ma chemise. Puis le pantalon tombe. Enfin, le caleçon vole et je me retrouve nu, la bite dressée vers le plafond. Elle me pousse sur une chaise et me lance de manière on ne peut plus sensuelle :
« Regarde-moi bien… Je te fais envie ? Caresse-toi…
Elle se caresse les seins, les hanches, les cuisses… Obéissant, je me masturbe tout doucement pour elle.
- Oh ouiiiii Franck… Je t’excite ?
- Continue ma belle… »
Elle entame alors un striptease. Elle se retourne, se cambre, offrant ainsi ses fesses. Elle se penche en avant, puis se redresse en caressant ses jambes, remontant vers ses cuisses, relevant sa robe…
Elle s’approche de moi. Ses mains disparaissent dans son dos et sa robe tombe au sol.
Elle passe sa main sur sa toison.
« Branle-toi plus fort… Ca me fait mouiller de te voir…. »
J’accélère mon mouvement. Elle se dirige vers le clic-clac, se retourne et se met à genoux, faisant ressortir son superbe cul. Lentement, son doigt glisse sur sa fente… Elle tourne la tête vers moi :
« Mmmmhhh… Elle est grosse…
- Elle est à toi….
Elle s’assoit sur le canapé, écarte ses cuisses et se caresse tout le corps. Elle rit.
- J’aime te voir te branler… mais j’ai envie que tu t’occupes de moi… »
Je me mets à genoux devant elle. L’odeur de sa chatte ruisselante m’appelle.
Je plonge mon visage entre ses cuisses. Sa cyprine est sucrée, abondante… Je lui dévore la chatte !!!
« Ohh ouiiii !!! Comme ça ouiiiiii…… »
J’aspire son clitoris gonflé et le titille de ma langue. Son clito est gros, je le garde dans ma bouche longuement…
Elle halète, gémit.
Je redresse la tête et lui embrasse l’intérieur des cuisses.
Elle ôte son bustier et se pince doucement le bout des seins.
Elle me regarde :
« Mange-moi mon chéri…. Et branle-toi encore…. »
Je replonge ma tête. J’enfouis presque entièrement mon visage dans son sexe. Je respire ses effluves de femme, bois sa liqueur.
Je suis excité comme un fou. Ma queue est grosse, dure. Je me branle de plus en plus fort.
Je la pénètre de ma langue, lèche ses lèvres, son clito… Puis je décide de passer aux choses sérieuses.
Je glisse un doigt dans sa fente et aspire à nouveau son petit bouton. Au bout de quelques instants, elle gémit plus fort, respire plus vite… Elle se cambre de plus en plus, pose sa main dans mes cheveux… Elle attrape un coussin et le plaque sur son visage pour étouffer ses cris. Elle se tend, je sens sa cyprine couler dans ma bouche. Soudain elle m’agrippe par les cheveux, me tire la tête en arrière…. Son corps est animé de très légers spasmes….
Je la regarde profiter de son orgasme en continuant de me masturber.
Elle ôte le coussin et me regarde, son regard se dirigeant alternativement de mon visage à ma bite… Son souffle est court.
« Que tu es beau quand tu te branles…
- Ooohhhh Emilie… »
Je craque. Je n’en peux plus !!! Je me colle à elle et déverse mon foutre bouillonnant sur son pubis. Mes giclées remontent jusqu’au piercing de son nombril… Quelle quantité de sperme !!!
Je m’écoule à genoux.
« Ohhhh ma chérie….
- Tu aimes quand je fais la « garce » ?
- Tu as été parfaite Emilie… »
Lentement, presque au ralenti, elle trempe le bout de son doigt dans mon jus, et le porte à sa bouche.
Elle dépose une goutte sur sa langue.
Je n’arrive pas à y croire !!! Je ne la savais pas comme ça !!!
« Mmmhh, pas mauvais…. La prochaine fois je gouterais directement à la source….
- Emilie…..
- Tais-toi et fais-moi l’amour maintenant ! »
Nous avons fais l’amour trois fois, nos corps se frottant… Elle a goûté à plusieurs reprises mon foutre. Elle a aimé car je l’ai « nourrie » systématiquement jusqu’à la fin de notre relation…
Celle-ci s’est d’ailleurs fini deux semaines plus tard, lorsque celle-ci à quitté la coloc’ pour continuer ses études à l’autre bout du pays…
Dans la colocation, sa place a été prise par Dominique. Comme vous le verrez, ce n’était pas tout à fait le même genre…
Kukaman
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