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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Un mois après cette partouze au cours de laquelle j'avais présenté "mon" kiné bi à Marianne et Philippe, couple ami et initiateur, je suis retourné dans leur superbe villa de bord de mer. Nous étions un samedi d'août. J'arrive chez mes amis en fin de matinée. Nous avons jusqu'à 19 heures pour jouer tous les trois, car après, ma famille et des amis doivent venir passer le weekend. Ce séjour sera sérieux, car tous ces gens sont étrangers à nos petits jeux.

A mon arrivée, pour être conforme à la règle respectée par les initiés, je me dénude entièrement, et vais rejoindre Marianne et Philippe sur leur terrasse. Chacun d'eux est allongé sur un transat, une boisson fraiche à portée de main. Leurs corps splendides, nus, bronzés et totalement épilés me fait toujours le même effet. Je bande. Je n'y peux rien, c'est chaque fois la même chose, ils m'excitent ces deux-là. Cela les amuse beaucoup de toujours me voir arriver vers eux la bite bien dressée.

Marianne se lève me gobe les lèvres et caresse ma queue en guise de souhait de bienvenue, puis me sert un verre. Je la rejoins sur son transat. Le contact sensuel de ce corps me donne à chaque fois des envies de caresses. Son corps sent encore l'eau de mer. Elle ne se douche jamais après un bain de mer, elle sait qu'ainsi, elle attire et excite son entourage. Il en est de l'eau de mer comme des parfums qui, sur certaines femmes, se marient admirablement avec leur peau pour dégager une odeur formidablement aphrodisiaque. Marianne le sait et en joue beaucoup.

Bien sûr, Friend, le fidèle boxer, arrive en sautant de joie autour de moi pour m'accueillir. J'ai toutes les peines du monde à ne pas renverser mon verre. Enfin, il se calme, et Marianne, Philippe et moi pouvons continuer à parler tranquillement.

Être tout prêt du corps splendide et si sensuel de Marianne me trouble. Je caresse le haut de sa cuisse avec des petits détours sur sa chatte et surtout sur son Clitoris qui est déjà tout dressé. La Belle est toujours excitée quand il y a ce qu'il faut autour d'elle pour lui donner du plaisir. Ce pénis en réduction me tente, il semble m'appeler. Je ne peux résister à cette demande muette, aussi je me penche et le lèche. Marianne pousse un soupir de satisfaction, elle écarte un peu plus les jambes, et tout en me caressant la tête, tient des propos orduriers pour m'encourager à continuer.

Philippe ne peut rester inactif, il s'approche de notre transat s'accroupit à mes pieds et me suce la bite, doucement, pour faire durer notre plaisir. De sa main libre, il me sodomise avec deux doigts. Bientôt quatre de ses doigts sont en moi. C'est bon, j'adore ça. Je suis au Paradis, pensez-donc ! J'ai ma bouche sur une superbe chatte de plus en plus humide, ma queue est dans la bouche d'un homme qui en plus me doigte. Que demander de mieux ? Je n'ai pas le temps de trouver la réponse que Philippe me la donne car voyant que mon petit trou est bien dilaté, il y entre toute sa main. Il fait alors aller et venir sa main en moi. Je me régale vraiment. C'est la première fois. C'est vraiment très bon de sentir une main jouer avec ses tripes. Philippe dit alors Marianne : « Tu sais chérie, Bruno est bien dilaté, là je crois que nous allons pouvoir lui faire goûter à la grosse bite de l'ami Friend.

- Préparez-moi, encore un peu, voulez-vous ? Enculez-moi d'abord, je serai plus prêt encore et peut-être moins craintif… »

L'idée leur convient d'autant plus qu'ils m'ont toujours dit qu'ils aimaient bien mon cul. Philippe bandait vraiment beaucoup, sa queue était majestueuse, il entra en moi sans précaution et sans problème. C'était bon! Très bon même, au point que je me suis dit ce jour là que rien ne m'empêcherait jamais de me faire sodomiser, ou de me le faire moi-même.

 

Marianne nous abandonna un moment. Tout en me faisant saillir je la regardai s'éloigner et je bandai encore plus. Bon sang qu'est-ce qu'elle était belle! Et ces petites fossettes au dessus de ses fesses me donnaient à croire qu'un violoncelle se déplaçait tout seul. C'était beau et sensuel. Pendant sa courte absence, Philippe continuait à me ramoner et moi à gémir, c'est qu'il me remplissait bien et ses mouvements désordonnés me faisaient presque crier. La belle Marianne revient enfin avec un pot de crème lubrifiante. Je suis tout chaud, tout excité, et bien que je sache pourquoi elle a ce  pot de crème à la main, je ne ressens aucune appréhension, pas l'esprit à ça. Philippe accélère sa cadence et explose enfin en moi. Toujours le même plaisir de sentir une queue gicler en soi. Marianne est maintenant prés de nous, elle pose le pot de crème, et entreprend de me lécher le cul pour déguster le jus de son mari qui s'en échappe. Philippe, lui, appelle Friend qui jusque là était étendu de tout son long sur le carrelage nous regardant d'un œil distrait.

Le boxer s'approche de nous, et par l'odeur alléché (comme dirait La Fontaine), met son museau contre mon petit trou et le lèche avec gourmandise. De mon côté je lui caresse doucement le fourreau poilu pour faire sortir sa queue. Elle ne tarde pas à se pointer, le chien est vite excité et dans le bain. Une fois son gros bâton rouge tout entier dehors, je le suce, j'adore, le contacte est doux et tiède. Friend du coup s'est arrêté de me lécher et me regarde faire, Marianne en profite pour ouvrir le pot de crème, et me tapisse le sphincter et même un peu l'intérieur. J'ai beau avoir le muscle souple, Friend est mieux monté que son maître et il est plutôt brutal quand il essaie de saillir. Il grimpe sur mon dos et donne aussitôt des coups de reins rapides alors même qu'il n'est pas entré.

Philippe le prend par le collier pour le discipliner et m'éviter de me faire griffer la peau par ses pattes avant, heu!! Les pattes du chien bien sûr!! Marianne, de son côté, aiguille Friend pour qu'il soit bien en face de mon trou. Je sens les petits coups de reins rapides du chien et son souffle chaud au dessus de ma tête. Je suis de moins en moins rassuré, j'ai tendance à me contracter un peu, pourtant c'est le contraire qu'il faut faire. Et puis soudain, je pousse un grand cri de douleur. Sale clébard, il m'a fait horriblement mal.

Marianne tente de m'apaiser en m'embrassant goulument comme elle sait le faire. Rapidement, la douleur s'estompe pour faire place à un plaisir formidable. Bien agréable sensation que de sentir une belle queue ramoner rapidement en éjaculant sans cesse un liquide de moins en moins fluide. Je comprends soudain que c'est vrai ce qu'on me disait jusque là que quand on y a gouté, surtout les femmes d'ailleurs, on ne peut plus s'en passer. Pendant la saillie, Philippe veillait bien à ce que le knott, ce gros nœud à la base de la verge du chien n'entre pas en moi, afin de ne pas "rester collé" un certain temps en attendant que tout soit rentré dans l'ordre. Le chien se dégage enfin de moi, et remplace sa queue par sa langue pour déguster ce qu'il m'a injecté. Chacun de nous deux y trouve son compte. Le brave toutou-baiseur avale, par pure gourmandise et moi j'éprouve un plaisir supplémentaire, la langue longue et large de Friend me procurant encore du plaisir.

Nous avons recommencé encore deux fois dans l'après-midi. J'ai à nouveau éprouvé une grande jouissance, mais il a fallu arrêter nos jeux, mettre de l'ordre sur la terrasse, faire disparaître toutes traces de nos turpitudes avant l'arrivée des gens « biens ». Je n'ai, hélas, plus jamais goûté à Friend ni à un autre chien.

Mais rien ne m'interdit de penser que je puisse recommencer un jour. Il suffit de trouver le bon « partenaire.»

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : ZOOPHILIE
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