Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Jean est un homme au physique commun, disons qu’une femme ne se retournerait pas naturellement sur son passage. Celles qui l’ont connu lui reconnaissent du charme, mais souvent après coup. Un
coté assez timide, On lui reconnaît une personnalité quand on gratte ou qu’il se livre un peu. Libertaire, libertin, curieux, il cherche des contacts avec tous au hasard d’un restaurant, d’une
sortie, d’une ballade le plus souvent sous le ton de l’humour.
Virginie est une jeune femme, elle cache ses meurtrissures sous une carapace, elle a décidé de retrouver une vie de femme après avoir élevée ses enfants, elle a perdu du poids, re-soigne son
image de femme, elle explore le monde, veut vivre sa maturité sexuelle, assez distante, elle ne se livre pas, elle choisit, elle utilise les hommes, elle jouit d’eux, mais ne se donne pas.
Ils se sont rencontrés, pour vivre leurs fantasmes… lui pour son coté dominant, elle voulant se relâcher dans la soumission.
Assis à une terrasse de café, ils discutent, parlent de leurs goûts. Dans cette discussion, elle lui avoue aimer le corps des femmes, leur peau, leurs caresses, si elle se sent attirée par un
physique. Il l’écoute religieusement, ne voulant pas interrompre ses confidences. L’encourage à lui expliquer, à détailler.
Il l’écoute en la regardant, il lui a choisi ses vêtements ce matin, elle est terriblement excitante : des bas noir avec le haut en dentelle, une jupe plissée grise à fins motifs
géométriques roses, ornée d’une fine dentelle en bas, un chemisier en soie gris clair presque transparent et largement ouvert laissant deviner sa jolie poitrine et ce soutien-gorge à balconnet
gris et blanc. Un léger châle gris et rose posé sur ces épaules en cette journée ensoleillée. Bien qu’il ne le voie pas, il sait qu’elle porte un string assorti en voile transparent, et il
imagine facilement son sexe épilé, avec juste une petite touffe ronde au dessus des lèvres gainé par ce voile léger.
Elle est belle, terriblement femme, femme enfant aussi, comme il aime.
Elle a vu son regard, elle ouvre instinctivement les jambes, et redresse son buste pour lui offrir la meilleure des vues sur ses jambes et sa poitrine. Fière de voir qu’elle lui plait.
Lui, a mis un pantalon noir, une chemise blanche avec boutonnage à pates noires.
« continue » lui dit-il en portant son verre aux lèvres.
Elle reprend ses explications, décrit les sensations qu’elle ressent dans ces moments-là.
Lui explore les tables, autour d’eux, pour tomber sur le regard d’une jeune femme qui sans aucun doute, essaye d’entendre leur conversation. Elle baisse les yeux, mais ses joues s’empourprent. Il
sait qu’elle écoute, il sait qu’elle est troublée.
Il sort une cigarette, faignant de chercher un briquet dans sa poche, il sait que sa belle ne fume pas, mais il lui demande si elle a du feu. La réponse est négative, mais il lui demande d’en
trouver.
« demande à la jeune femme à coté, stp »
Elle se tourne vers cette jeune femme, elle devine immédiatement le trouble de cette dernière. Comprend également que cette demande n’est pas fortuite, lui qui a toujours deux ou trois briquets
dans ses poches.
Elle plonge sont regard dans les yeux de sa voisine, esquisse un sourire, sourire qui lui est rendu.
« allez… j’ai besoin de feu, de t’enflammer… »
Il prend une revue qu’ils avaient achetée et se plonge dedans, la laissant aborder la voisine.
Elle se lève pour lui demander si elle a du feu. La réponse est négative.
« Non, désolée, je l’aurai fait avec plaisir. »
Avec un sourire, il pose la revue, et se lève, en direction du bar. Demandant du feu, il surveille les deux belles qui poursuivent leur conversation. Il prend son temps, leur laisse du temps.
Quant il revient a la table les deux belles discutent allègrement, elle me présente Charlotte, et me présente, je replonge dans ma revue, suivant discrètement la conversation.
J’apprends ainsi que Charlotte est seule et en vacances, l’heure du repas approchant, je propose à Virginie d’inviter sa nouvelle amie à déjeuner avec nous.
« j’espère que vous acceptez Charlotte ? »
C’est sur son acceptation, que je règle les consommations, et me dirigeant vers la voiture les laisse me suivre.
J’ouvre la portière arrière pour laisser monter Virginie, et Charlotte.
Je prends le volant, nous habitons à quinze minutes de là, mais je vais prendre le chemin des écoliers.
La conversation reprend entre les belles, je conduis prudemment, jetant régulièrement un coup d’œil dans le rétroviseur.
Au troisième kilomètre, devant le silence installé, je constate avec un immense plaisir qu’elles sont entrain de s’embrasser.
Concentré, je ne peux m’imaginer ce qui se passe a l’arrière, les mains qui se caressent, les bouches qui se cherchent, les caresses sur le visage, de l’une de l’autre, la découverte de leur peau
mutuelle, de leur formes.
Arrivé, je découvrirai deux ébouriffées, presque dépoitraillées.
Sur un ton faussement neutre, je les invite à venir se découvrir à l’intérieur. Virginie sourit, Charlotte semble gênée, je tourne les talons pour ne pas casser le charme et j’ouvre la porte les
invitant à prendre place dans le salon pendant que je vais préparer le repas.
De la cuisine je leur dis :
« je vous prépare un cocktail ? »
Les deux « oui » me parviennent étouffés, pas difficile d’imaginer, que les deux belles ont remis ça de plus belle.
Je prépare donc le cocktail a base de Pissang, curacao, gin, jus d’orange, champagne. Et prépare des petits sandwichs, me doutant que le repas ne se ferait pas à table.
Quand je reviens dans le salon, elles sont toutes des deux en sous vêtement, blanc et gris pour Virginie, noire et dentelle pour Charlotte portant elle aussi de jolis bas noir.
Je me mets silencieusement dans le fauteuil qui leur fait face, pour profiter du spectacle.
Virginie l’embrasse en lui tenant le cou d’une main, l’autre main lui caressant doucement les hanches, remontant sous les aisselles, effleurant au passage le sein encore emprisonné.
Charlotte n’est pas en reste, répondant aux baisers une main sur la hache de Virginie comme pour l’emprisonner, l’autre main caressant ses jambes.
Elles ne sont qu’une, se dévorant tour à tour, se caressant, dans une infinie douceur.
Elles m’ont oublié, et je me garde bien de faire remarquer ma présence. Virginie cherche de temps en temps mon regard, pas mon approbation, comme on le ferait dans une soirée plurielle. Elle sait
qu’elle l’a, elle cherche à savoir si je prends du plaisir à la voir.
Elle sait que j’aime la voir ainsi, livrée à la jouissance, au plaisir, à la douceur.
Les soutiens-gorges ont été dégrafés, les poitrines libérée, les bouches gourmandes dévorent, chacune a son tour, les bouts érigés. Les mains, comme dans un balai orchestré, découvrent chaque
centimètre carré de leur peau sucré. Des caresses fugitives sur leur sexe sont partagées.
Ce sera Charlotte qui, la première, prendra possession de l’intimité de Virginie, glissant ses doigts sous le fin tissu. Massant doucement, venant humidifier ses doigts entre les lèvres avec une
douceur infinie, comme seule les femmes savent le faire. Je vois Virginie frémir, s’ouvrir pour faciliter la caresse, Charlotte répondre a sa demande en la fouillant doucement plus profondément
ou en jouant avec son bouton de chair.
La main de Virginie cherchant à rendre la pareille, abandonnant sous le plaisir incapable de continuer. La bouche de Charlotte embrasse ses seins, descend sur son ventre, se pose sur le mont de
venus. Virginie descend son string en empoignant les deux ficelles posé sur ses hanches, Charlotte terminera en lui ôtant totalement, le faisant glisser sur ses jambes gainées des soies, virginie
soulevant son bassin pour faciliter la démarche.
Charlotte est venue se mettre entre ses jambes, pour la dévorer, je ne peux plus qu’admirer que ses hanches et ses fesses, deviner la poitrine posée sur les cuisses de Virginie.
Un silence total perturbé uniquement des ohhh , ouiii, hummm, mmmm de virginie qui a se moment là est totalement ouverte a la bouche qui la butine, je ne saurai pas, si c’est la langue, les
lèvres, les aspirations qui libèrent le plaisir de virginie, mais je vois son corps se cabrer, son bassin accompagner les feulements de plaisir en tenant la tête de Charlotte serrée contre elle.
Puis son corps retomber sur le canapé, totalement épuisé.
Elle reste ainsi quelques secondes, puis elle tire la tête de Charlotte pour l’embrasser, les caresses reprennent. C’est maintenant Virginie qui prend la direction des opérations.
Le manège recommence, sous ses mains expertes, je découvre la jolie petite chatte de Charlotte enfin dénudée, je sais que Virginie s’attarde dans cette caresse pour me laisser profiter de la vue,
me laisser m’émoustiller, me rendre gourmand.
Elle enfouit ensuite sa tête entre les jambes, ses deux mains posées sur les seins de Charlotte.
Charlotte ne me regardera pas, je cherche pourtant son regard, je veux voir son désir, c’est les yeux clos qu’elle se libère à longs cris, sans retenue, pour partager son plaisir.
Collées l’une à l’autre, l’une contre l’autre dans ce canapé, Virginie me regarde enfin :
« merci, chéri, j’espère que ça t’a plu aussi.
- on dit merci, quand on n’a plus envie, Virginie… Te connaissant, ca m’étonnerait que ce soit fini.
Virginie se tourna vers Charlotte avec un œil interrogateur. Elle reçu un sourire en retour.
- je vous sers le cocktail ou j’attends ?
- cocktail », répondirent-elles de concert.
Virginie vient se mettre sur un coussin au pied de mon fauteuil, après avoir offert un paréo à Charlotte qu’elle sentait gênée par sa nudité.
Nous buvons et mangeons les canapés et sandwich, le bras de Virginie posé sur ma cuisse.
C’est elle qui porte à ma bouche les petits canapés, s’amusant a chaque bouchée à masser ma virilité. Après quelques gorgées, elle se tourne vers Charlotte et lui dit :
« tu permets que je m’occupe de lui, cinq minutes, je ne peux pas le laisser ainsi mon petit ours…»
Charlotte acquiesça d’un hochement de tête, et replongea sur les canapés.
Virginie entrepris de desserrer ma ceinture tout en me regardant droit dans les yeux.
Massant ma virilité sur le tissu du pantalon, elle finit par l’ouvrir, pour venir me saisir sous le sous-vêtement. Son regard est toujours planté dans le mien pour saisir la moindre de mes
réactions.
Elle me fit me soulever pour me libérer totalement, c’est avec le pantalon sur les chevilles qu’elle s’est penchée pour m’avaler, sa bouche douce, chaude, prend possession de mon sexe.
Je croise le regard de Charlotte souriant, avant de fermer les yeux à cette délicieuse caresse.
Virginie est douce, sa bouche est velours, une de ses mains caresse mon torse, l’autre emprisonne mes boules qu’elle malaxe très délicatement.
Je me laisse aller à ses délicieuses caresses. En experte, elle ne mettra pas longtemps à libérer ma liqueur. C’est une main simplement posée sur sa tête pour la prévenir, qu’elle peut se retirer
si elle le désire, que je la préviens de ma jouissance. Elle ne se retire pas acceptant, ma semence dans sa bouche chaude. C’est ce moment-là que Charlotte a choisi pour me caresser le torse, mon
plaisir en fut décuplé, de ce simple partage.
Quelques minutes plus tard je reprends mes esprits, Virginie et Charlotte se câlinent a nouveau à même le tapis.
Je vous laisse imaginer la suite.....
Signé : Monsieur Pierre
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