Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Je m'appelle Céline, j'ai vingt trois ans, et suis mariée depuis deux ans, avec Alain, âgé de vingt sept ans.
Nous avons acheté depuis peu une petite maison de campagne, que nous retapons petit à petit.
Mais les travaux trainent en longueur. Aussi avons-nous demandé à Neal, un copain d'enfance d'Alain, de nous donner un coup de main pour le week-end.
« Pas de problème, nous dit-il, vous pouvez compter sur moi ! »
Le samedi, les deux copains s'affairent aux différentes tâches, pendant que je m'occupe des courses. Depuis longtemps, j’ai le fantasme de me faire prendre par deux hommes en même temps, et mon cher mari semble être d’accord. Et si la présence de Neal me permettait de satisfaire enfin cette envie profonde ??? D’ailleurs deus son arrivée, il ne cesse de me faire de l’œil. Je sais qu’il a envie de moi.
Quand le rentre, Alain pose les bordures, je monte à l'étage où Neal termine la mise en place des plinthes. Je m'appuie à la fenêtre, pour demander à mon époux s'il n'a pas soif.
« Non, merci mon amour, çà va. »
Neal est dans l’encadrement de la porte, il me regarde en souriant. Je lui rends son sourire, et me retourne vers mon mari. Soudain, je sens Neal qui s'approche de moi, en rampant sur la moquette. Je sais que je l'ai toujours attiré, mais quand même, il ne prendrait pas un tel risque ! Mais si…
Il pose sa main sur un mollet, me caresse doucement, la laisse remonter vers ma cuisse. Son contact m’électrise. Jamais encore un autre homme ne m’a touchée depuis que je connais Alain. Par réflexe, j'écarte mes jambes, tout en restant accoudée à la fenêtre.
Il place sa tête directement entre mes cuisses.
Neal engage deux doigts entre l'élastique de mon string, et remonte sur mes lèvres intimes, jusqu'au clitoris, qu'il extrait de son capuchon. Je ne le repousse pas.
« Mais il est fou…
- Tu parles seule ma chérie ? me demande Alain.
- J'ai un petit coup de pompe, répondis-je
- Arrête-toi un peu », me conseille-t-il gentiment.
Si seulement il se doutait de ce qu’il se passe de ce coté de la fenêtre…
Neal a ôté mon string, et enroulé ma jupe autour de ma taille.
Les jambes légèrement écartées, j'offre totalement ma chatte aux mains habiles, mais aussi à la langue de Neal. Je ferme les yeux en pinçant les lèvres.
Il enfonce ses doigts dans ma grotte trempée, boit mon liquide clair, me lèche les lèvres sans me laisser prendre mon souffle…
« Mon dieu, comme il me chatte, comme il me suce, que c'est bon… »
Je passe une main entre mes cuisses, pour maintenir la tête de Neal contre ma fente
« Ha, quel salaud... Il me fait jouir !!! »
Je jouis avec des gros spasmes silencieux, pour ne pas alerter mon mari. Mes jambes tremblent, je suis au bord de l’implosion.
Neal a sorti ses attributs de son short. Sa queue, imposante, est au garde à vous. Il me tire par les hanches, jusqu'à ce que je disparaisse de la fenêtre. Je me maintiens sur la pointe des pieds, jambes largement ouvertes, à cent quatre vingt degrés. Il pose son gros gland contre ma fente ouverte, et s’enfonce d’un grand coup de reins. Il coulisse lentement sur sa bite en érection. Je pousse un râle de plaisir, et passe mes bras autour de son cou.
« Qu'est-ce que tu me fais, salaud ? Tu me niques trop bien ! Tu sais que tu me régales ? Putain, tu me maques, là… On m'a jamais écartée comme çà ! Ha, vicieux...
- Tu penses à ton mari, là, petite pute ? Il bosse à quelques mètres de nous, et toi, tu préfères te le faire mettre par une grosse queue, hein ? Et dans quelle position ! Entièrement offerte, salope. Moi aussi je me régale...Tu es tellement bonne... Et ton bouton, comme il est gros ce salaud !
- Vas-y, parle-moi comme çà, tu m'excites... Tu sais, mon coco, on n’a pas fini tout les deux ! Tu veux que je te taille une pipe ? J'ai envie te vider les couilles, te les mettre minables... Une fois que j'en aurai fini avec Alain ce soir, je veux que tu me baises… D’accord ? »
Je me mets à genoux devant Neal, et entreprend de le pomper comme il faut. Vu l’excitation, il ne tarde pas à jouir, et à projeter dans ma gorge des bons jets épais de foutre tiède…
Après le repas, et après avoir pris une bonne douche, je regagne ma chambre, vite rejoint par mon mari. Neal, lui, finit de se laver.
Nous commençons très vite à baiser. Depuis l’épisode avec Neal, je suis chaude-bouillante. Après de brèves caresses, il me baise à fond. Je suis allongée sur le lit, jambes écartées au maximum, la queue de mon mari enfoncée bien profond dans ma chatte pleine de mouille. J'avais trop besoin d'un bon coup de queue, même s'il ne venait pas de celui que j'espérais…
Soudain, je sens la masse d'Alain devenir plus pesante. En fait, je m'aperçois que Neal est vautré sur le dos de mon époux, prêt à le chevaucher.
« Mais qu’est-ce que tu fais là ?? Tu ne vois pas que je fais l’amour à ma femme ???
- Ta femme ? C’est un trou à bites. Et je veux ma part !
- Ne parle pas comme ça d’elle, c’est MA femme.
- Tu rigoles ! Je l’ai déjà bien doigtée cet après-midi, et elle m’a pompé le dard comme une déesse !
- Ce n’est pas vrai, dis, ma chérie ? »
Il m’implore du regard, mais mes yeux en disent long…
« Mon chéri, tu sais que j’ai toujours eu envie de deux hommes en même temps, et toi, de tenter la bisexualité. Tu n’y étais pas opposé. Alors, je me suis dit que l’occasion était bonne. Neal est ton ami, on est presqu’en famille... »
Il acquiesce, et recommence à me pistonner, malgré le poids de son ami sur lui.
Soudai, il sursaute :
« Le salaud, il m'a mis un doigt dans le cul...ha… deux maintenant...aie... il les fait tourner… aie ! »
Je vois des gouttes de sueur se former sur le front de mon mari. Je lui caresse la joue, les cheveux, le fixe dans les yeux en souriant. Un rictus de douleur apparait aux commissures de ses lèvres.
« Qu'est- ce- qu'il t'arrive mon chéri, ce n’est pas bon ce qu'il te fait ?
- Ha ! Céline, mais il... Non, pas çà ! Il...il...
- Il t'encule, c'est çà ? Je lui ai demandé, tout à l’heure, quand je lui suçais sa bonne queue. Mets ta tête au creux de mon épaule mon amour, je vais te soutenir. Raconte à l'oreille de ta petite femme, ce qu'il te fait, tu veux bien ? Et t'arrête pas, baise-moi encore à fond. »
En dessus, je vois le visage souriant de Neal, satisfait d'être arrivé à ses fins. Au signe affirmatif de sa tête, je comprends que sa queue est entièrement plantée dans le petit trou de mon mari. Les va et vient peuvent commencer.
« Aie, aie, couine Alain. Il va me déchirer ! Il est trop gros ! Hou,.. hou... Je t'ai jamais fais çà moi !
- Je sais mon chéri, je n'ai encore jamais voulu avec toi. Mais t'inquiète pas, c'est le début qui est douloureux. C'est vrai qu'il est mieux monté que toi, mais tu verras, une fois que sa grosse bite sera bien en place, tu vas te régaler. Après, c'est toi qui va réclamer ta dose. Il te faudra le turlutter aussi. »
Je sens les coups de boutoirs de l'énorme queue entre les reins de mon mari. Son front, toujours appuyée contre mon épaule, est en nage. Progressivement, les petits cris de douleur s'estompent. Soudain, il dresse sur ses mains, se cambre pour offrir
sa croupe.
« Ha le salaud, grommelle-t-il. Il se vide les couilles ! Je les sens qui frappent contre mes bourses ! Putain, quelles sont grosses... Ha… ha ! »
Neal pousse des "han" de bucheron au rythme des jets qui giclent dans le petit trou d'Alain. Mon mari s'agite, essaie d'échapper à cette énorme bite qui lui bourre le cul.
« Calme-toi mon amour, lui dis-je, Il se fait plaisir, laisse-le finir tranquille. On va te libérer après !
- Mais toi ma chérie, me dit Alain, tu n'as pas joui… tu n’as pas envie. ?
- Oh que si. Avec Neal, on a décidé de passer la nuit ensemble. Tu prendras la chambre d'ami, tu veux bien ? Et t'inquiète pas si tu m'entends crier, je me suis trop retenue cette après midi, là je vais me lâcher. Allez mon amour, embrasse-nous, et bonne nuit. »
Alain m'embrasse puis se tourne vers Neal. Celui-ci le prend par la nuque, lui prend la bouche pour un baiser sulfureux.
La nuit sera torride, mais le lendemain, encore plus, quand Alain nous a retrouvés…
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