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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je m'appelle Sylvain et c'est aujourd'hui mon quarante-septième anniversaire. Je suis dans le train qui me ramène vers les souvenirs de mon enfance et j’ai quelques heures de tranquillité devant moi pour vous raconter mon histoire… Je retourne ainsi dans la ville où j’ai connu mes premiers émois. Voici donc mon histoire.

J’ai commencé à me masturber je devais avoir une dizaine d’années… Très vite, j’ai compris tout le plaisir que je pouvais retirer de ces caresses et c’est ainsi que je suis rapidement devenu « accro ». Quel souvenir mémorable et quelque peu inquiétant de ce « jus » qui sortit de ma bite la première fois ! Ensuite, ce furent des masturbations à répétition avec comme support mon premier livre érotique « emprunté » à l’un de mes frères… « Justine ou les malheurs de la vertu » du Marquis de Sade.

Ainsi donc en allait la vie en ces temps où la féminité avait encore tout du mystère et où je ne comprenais pas tous les mots que découvrais dans cet ouvrage. Néanmoins, une excitation grandiose me portait vers la jouissance. C’est ainsi que je me forgeais ma manière de penser un monde sans tabous, où le plaisir serait non seulement un droit mais aussi un devoir. Libertin je serai donc !

Mes copains de classe n’étaient pas en reste non plus concernant les « choses » du sexe et c’est comme cela qu’un jour, Maxime, avec qui je revenais tous les jours de l’école, sorti de son sac un magazine et quel magazine ! Il me dit :
« Regarde ce que j’ai trouvé dans le bureau de mon père ! et il me tendit la revue.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Eh bien ouvre et regarde ! »

Je prends l’ouvrage et découvre en première page une magnifique créature, blonde, plantureuse qui ne laisse rien voilé de ses charmes. Premiers émois face à cette féminité dévoilée, mais ce n’est qu’un début ! Mon sexe dans mon pantalon s’érige fier et ardant du haut de ses 10 ou 12 ans.

Et je feuillette ma première revue de cul ! Quelle révélation, c’est encore mieux que dans mes fantasmes ! Pénétrations, sodomies, fellations et foutre qui coule à flot, bref… Jus de couille pour tout le monde ! Mais ça ne s’arrête pas là. Au détour d’une page, un beau black est à quatre pattes la fameuse blonde allongée en dessous de lui dans ce qui est la vision de mon premier soixante-neuf. Et derrière lui un magnifique berger allemand est entrain de lui lécher l’anus. Ha bon ! On peut faire ça aussi ? Et je continue de feuilleter… La page suivante présente une scène identique, sauf que le chien est maintenant sur le dos de l’homme et qu’il lui enserre fermement la taille avec ses pattes avant.

Un rictus se dessine sur son visage et je ne saurai dire si c‘est du plaisir ou de la douleur. La femme quant à elle aspire sa pine dans la bouche. Quelle vision, quelle révélation !
Je tourne à nouveau la page et un gros plan me montre la rondelle du mec défoncé par la queue du chien enfoncé jusqu’aux boules. En fait, c’est un peu plus tard que j’appris ce qu’était le « knot » ou nœud du chien. Ces boules grossissent et permettent un verrouillage dans le vagin d’une chienne, lui permettant ainsi de rester enfoncé pendant plusieurs dizaines de minutes, lui permettant ainsi de vider entièrement les couilles, afin de garantir la reproduction.

La photo suivante montre la pine du berger allemand enfoncée au maximum.
Le nœud a passé les sphincters et le black.est maintenant verrouillé.
Le visage de l'homme exprime l'extase. Je crois que c'est là que j'ai lâché mon foutre dans mon pantalon. Écarlate je devais être ! Et j'ai continué à tourner les pages.
Vous devinez probablement l'image suivante.

La bite du chien qui ressort, l'anus écartelé, le foutre qui gicle du cul du mec…
Et l'apothéose, le mec qui jouit dans la bouche de la blonde, le foutre du chien qui se mélange avec celui de l'homme et cette belle jeune femme qui avale le tout.
Une bonne pelle bien goulue sur l'image suivante avec le chien qui lèche le visage des deux et mon destin était scellé.
Ma vie serait vouée à la recherche de ce plaisir si particulier et si tabou : La zoophilie.

De retour chez moi je ne vous raconte pas les jouissances que je me suis octroyé..
Le foutre a encore coulé a flot avec néanmoins quelque question.
Alors comme ça on peut jouir par le cul ? Que de nouveautés !
Que le monde du plaisir est fascinant et sans limite !

A partir de ce moment là, j'ai cherché des partenaires femmes, hommes possédant un compagnon à quatre pattes et friands de ce plaisir. Pourquoi se limiter à un seul sexe ?
Je n'étais probablement pas le seul amateur de ce type de plaisir.
Possédant moi même un chien bâtard de trois ans croisé entre le labrador et le beauceron je me mis en tête de reproduire ce que j'avais vu dans la revue.
Je dus attendre le moment où ma mère se rendit chez une amie un jeudi après-midi en me laissant seul à la maison pour avoir suffisamment de temps devant moi pour m’organiser.

Ayant vu sur les photos comment pouvait gicler un chien je me mis en quête d’une grande serviette à étendre sur le sol de la cuisine. Seul endroit de la maison carrelé, le reste étant de la moquette pouvant laisser apparaître les traces de mon forfait !
J’appelle alors Rex mon chien qui arrive vers moi en remuant la queue et j’entame alors un striptease en dansant devant lui. J’enlève ma chemise et je continue à danser. Le chien croyant que je veux jouer saute après moi et met ses pattes de devant sur mes épaules. J’en profite pour glisser mes mains le long de ses flancs le caressant d‘une main tandis que l’autre descend vers son fourreau.

Visiblement il apprécie et se laisse faire. Je me dis qu’il doit être aussi sensible qu’un humain et que le branler un peu devrait lui faire du bien. Je prends donc fermement en main son fourreau et commence à le faire aller et venir.

Là, je vois que Rex commence à s’exciter et descend de mes épaules pour se lécher la queue et aboyer après moi. Je suis tout excité par le fait d’avoir osé le tripoter. Un acte qui ne m’aurait même pas effleuré l’esprit et même probablement dégouté quelques jours plus tôt !

Je décide donc de passer aux choses sérieuses ayant toujours à l’esprit les images encore gravées aujourd’hui de ce beau black pris par son chien et sucé par sa copine. J’enlève mes baskets, retire mon pantalon et descend mon slip sur les genoux. Rex qui tourne autour de moi depuis un moment approche son museau pour me renifler la bite. Au contact de sa truffe froide je sursaute et le repousse violemment. Mais visiblement j’ai suscité en lui un désir bien plus fort que les ordres de rester tranquille que je lui donne et je dois bien avouer qu’il ne m’obéit plus guère. Il revient à la charge alors que je suis entrain de me pencher pour retirer complètement mon slip et être nu comme un vers devant lui.

Oui, sauf que le chien a tourné autour de moi et qu’il vient me renifler le cul. Je sursaute à nouveau à cause du contact froid de sa truffe mais finalement me décide à le laisser faire par curiosité malsaine.

Voyant que je ne le repousse pas, il devient plus insistant et enfonce encore un peu plus son museau entre mes fesses. Je suis terriblement excité d’une part car j’ai bien conscience que je suis entrain de briser un tabou et d’autre part car il s’agit de mon premier véritable contact sexuel avec un autre partenaire. Je décide d’aller plus loin. J’écarte les jambes, glisse mes mains sur mes fesses et les écarte au maximum pour bien montrer mon accord à Rex. Celui-ci ne se fait pas prier pour sortir sa langue et me faire une magnifique feuille de rose. Je suis électrisé par le contact de sa langue sur mon anus. Contact chaud, humide, à la fois glissant et légèrement râpeux mais surtout caresse donnée du chien à son maître sans arrière pensée. C’est ainsi à ce moment là que j’ai pris conscience que mon ami fidèle était capable de donner du plaisir par pur plaisir et avec passion. Et c’est aussi à ce moment là que nos rôles se sont inversés. Je devenais le chien pour le plaisir de mon Maître Rex.

Mes fesses écartelées s’ouvraient au maximum pour laisser cette langue tenter de me pénétrer. Ma rondelle léchée sous tous les angles s’épanouissait de plaisir. Je me penchais plus en avant pour lui laisser le champ libre et lui offrait ainsi mes boules qu’il s’empressa de lécher. J'essayais de rabattre ma queue entre mes cuisses pour lui proposer mon bout à sucer en angoissant quelque peu qu’il ne me morde mais le désir et la curiosité étant trop grande je désirais plus que tout aller au bout de mon phantasme. Il ne me mordit pas bien au contraire. Sa langue m’enveloppa la bite et il me fit une toilette intime de premier ordre. J’étais aux anges. Ce petit manège dura ainsi une bonne vingtaine de minutes alternant les feuilles de roses très appuyées et les simili-fellations « dévorantes ».

Je me mis en tête de lui rendre la pareil et décidais de m’allonger sur le dos. Le temps de m’allonger sur la serviette, il continuait à tourner autour de moi tout content en aboyant d’excitation par moment. Une fois allongé sur le dos, je saisi l’instant où il se remit à me lécher pour me glisser sous ses pattes et saisir son fourreau. Tout d’abord il se figea, grogna, se retourna pour se lécher puis se remit à me tourner autour. Le manège continua ainsi quelques minutes. Ma pine sur le point d’exploser à tout instant.

Puis il commença à se calmer et sembla commencer à comprendre et à accepter le plaisir que je me proposais de lui offrir. Il devint moins agité, je me glissais à nouveau entre ses pattes pendant qu’in avait repris son léchage de mes parties intimes. J’enserrai délicatement une main autour de son fourreau tandis que je me branlais de l’autre. Et commençais à le masturber gentiment, faisant aller et venir ma main le long de ce bel et tendre étui de fourrure. Descendant par moment sur ses boules que je m’employais à masser délicatement avant de remonter sur l’objet de mes désirs…

Visiblement, Rex appréciait. Plus de grognement, mais une excitation bien réelle que je ressentais au creux de ma main. L’augmentation lente du volume de sa bite ne me laissant aucun doute quant à la suite de nos aventures. Si ma bite coulait d’excitation, Rex laissait poindre le bout rougeoyant de l’arme tant attendue. Encore quelques allés retour et le bout laissait apparaître une jolie et assez fine tige rose dont la finesse de la peau laissait présager une douceur extrême. Au bout de quelques minutes de masturbation, Rex commence à donner des coups de reins faisant ainsi sortir un peu plus sa queue de son fourreau. Quelques gouttes d‘un liquide transparent commence à poindre de ce bout particulièrement pointu que forme son méat.

« Le bout de la pine du chien a la particularité d’être très pointu avant l’érection. C’est le méat par lequel va sortir le bon jus de foutre. Et celui-ci est extrêmement liquide. »
Rex remue maintenant son arrière-train de manière frénétique et je commence à avoir du mal à maintenir son fourreau dans ma main. Sa bite coulisse maintenant librement hors de son fourreau et les quelques gouttes de liquide séminal m’arrose la poitrine. J’ai très envie de poser ma langue sur ce bout tout rouge pour voir quel goût ça a !

Mais vais-je aller jusque là ? J’ai un peu peur de l’odeur que peut avoir sa bite et du goût qu’elle peut avoir. Mais je me suis fais une promesse et je veux aller jusqu’au bout de mon expérience. Je redresse alors la tête et pose avec hésitation d’abord le bout de ma langue sur le bord de sa queue. Juste sur la peau de sa bite pour voir. Je goûte sa peau. Je renifle son odeur.

Surprise. Pas du tout d’odeur désagréable. Pas de goût particulier. Non, c’est simplement chaud et très doux. Je m’enhardis et colle mes lèvres sur le bout de sa bite. Les gouttes de son liquide séminal m’humidifie les lèvres. Je passe ma langue dessus et découvre une saveur légèrement salée mais aucunement désagréable. Mon excitation est à son comble. Je sors ma langue et commence à lécher tout son membre maintenant bien sorti du fourreau. Deux petites boules sont à la racine de ce membre. Ce sont elles qui grossissent lors de la saillie et permettent le verrouillage du chien avec la chienne. Ma langue passe dessus et remonte le long de cette jolie pine jusqu’au méat. Maintenant plus d’hésitation, j’enfourne littéralement son pieu dans ma bouche et l’enfourne jusqu’à la gorge.

Mes lèvres entourent maintenant la racine de son sexe enserrant ainsi ses deux jolies boules.et le retient avec force. Rex ne bouge plus, savourant probablement le traitement que je lui fais subir. Je suis devenu sa chienne ! Je sens couler au fond de ma gorge son jus qui se transforme en jets de plus en plus drus. J’avale ? J’avale pas ?... J’avale ! Oui, légèrement salé bien moins mauvais que j’en avais peur. En fait, la surprise passée je dois dire que j’aime bien ! Son jus s’épaissit un peu et ma bouche est remplie. Le goût a maintenant changé, assez ferreux, j’ai du mal à tout avaler et je laisse filer le trop plein par la commissure de mes lèvres. Je suis aux anges !

Au début j’ai cru que c’était de l’urine e je dois bien avouer que cela me rebutait. Mais en fait il s’agit de liquide séminal servant à lubrifier la pénétration et amener ensuite la jouissance et le sperme du chien. En fait, contrairement à l’homme, le chien n’arrête pas de gicler du début à la fin du coït et c’est ce qui fait une partie du plaisir lorsqu’on le suce ou qu’on se fait pénétrer. Le chien vous imprègne littéralement, vous rempli de sa jouissance et de son plaisir. Et du plaisir, j’en prends ! Mes tabous et préjugés son tombés. J’ai l’impression d’une communion, C’est mystique ! Même à douze ans, je vis un instant grandiose. L’union de la belle et la bête. Je le répète, je suis maintenant sa chose. Le foutre coule à flot, à jets continus.

Son sexe a maintenant doublé voir triplé de volume. D’une petite queue mignonne c’est devenu une matraque impressionnante.
J’en ai plein la bouche. La texture elle aussi a changée. Mes aspirations répétées et l’’afflut de sang dans son sexe tend maintenant la peau au maximum et les veines à la surface de la peau donnent un relief nervuré qui font vibrer mes lèvres allant et venant .le long de ce Priape. Son bout à l’origine très pointu c’est élargi et aplati de manière impressionnante même si le méta reste bien pointu ce qui devrait faciliter la pénétration, mon petit cul ne perd rien pour attendre...

Je n’en peux plus et visiblement Rex non plus ! Je retire ma bouche de son sexe, tête encore quelques instants son méat pour ne rien perdre de ce qui en sort et enfin le libère complètement de mon emprise. Sa grosse matraque ce retrouve suspendue sous son ventre pesant lourdement ente ses pattes et continuant presque de manière grotesque à battre la mesure au rythme de ses pulsations orgiaques. Je me glisse alors hors de ses pattes et me retrouve à quatre pattes, prêt à me relever pour reprendre mon souffle et mes esprits.

C’est sans compter l’excitation de Rex qui a maintenant compris que j’étais sous son emprise et qui demande lui aussi la libération totale de ses instincts. Il me saute presque agressivement sur le dos m’enserrant la taille de ses pattes avant, me mordillant la nuque afin que je comprenne maintenant qui est le patron ! Après tout, c’est bien ce que j’étais venu chercher, non ? Son arrière train pompe comme un malade. J’ai voulu l’exciter et bien c’est réussi ! Sa queue vient frapper lourdement contre mes couilles puis remonte, pointe quelques fois sur ma rondelle bien ouverte et lubrifiée pendant de longues minutes par sa langue et maintenant par ses jets de liquide séminal.

Puis elle remonte et glisse entre mes fesses pour frotter ensuite sur mon dos. Il descend alors pour se lécher la bite et me mettre encore quelque coups de langues dans toute ma raie devenue grasse de bave de chien et de foutre. Je regarde entre mes jambes et peux constater que sa queue a légèrement diminuée de volume. Mais je suppose que c’est une stratégie pour mieux "pointer" ma petite rondelle vierge…

 

(à suivre… si vous aimez)

 

Signé : Lib Ertyz

Par Lib Ertyz - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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