Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Il y a environ vingt ou vingt-cinq ans, grâce à une revue d'annonces échangistes à laquelle j'étais abonné, j'ai pu rencontrer un couple de libertins. Diane qui avait cinquante-deux ans et Jacques qui en avait soixante-cinq. Nous nous sommes plus et avons joué ensemble quelques années, jusqu'à qu'ils émigrent définitivement vers la Nouvelle Calédonie pour y finir leurs jours.
Diane avait donc cinquante-deux ans. C'était une femme au corps mince très harmonieux. Elle avait de longs cheveux bruns et des yeux (elle en avait deux) gris acier. Elle entretenait son bronzage avec l'aide des UV. C'était une adepte farouche de la nudité intégrale et permanente. C'était toujours contrainte et forcée qu'elle enfilait un vêtement pour obéir aux convenances sociales. Par contre, elle refusait catégoriquement « d'emprisonner son corps », comme elle le disait, dans un soutien-gorge et une culotte, même si celle-ci était un string. Elle était très souple, ce qui donnait à ses jeux érotiques un piment supplémentaire.
Jacques, quant à lui, jouait les voyeurs, et armé de sa caméra, filmait les ébats de Diane. Sa seule participation active était de consommer le sperme des amants de sa femme. Et « son petit vice » à lui était de le lécher sur la chatte de sa femme. Je n'ai jamais su pourquoi il ne participait pas. Ce n'était pas de l'impuissance, puisque voir jouir sa femme le faisait bander. Enfin, puisqu’il n'était pas bisexuel, qu'il bande ou non ne m'importait guère, puisque je ne pouvais ni le sucer, ni me faire prendre par lui.
Notre première rencontre eut lieu chez moi. J'habitais une petite maison près de Limoges, autour de chez moi quelques autres maisons occupées par des familles avec de nombreux enfants. J'attendais Diane et Jacques sur le trottoir devant chez moi. Lorsqu'ils arrivèrent j'ai ouvert la porte à Diane. Et là, Ô divin spectacle, la Belle était nue, entièrement. J'ai eu un mal de chien à lui faire revêtir quelque chose afin de ne pas choquer la marmaille voisine. Elle se para d'un paréo et enfila des tongs. Je fus instantanément amoureux de ses pieds. Ils étaient menus et avaient des orteils longs et fins comme j'aime, aux ongles bien faits et à peine vernis. Et je me suis vite rendu compte que ses orteils semblaient avoir chacun une totale indépendance. Elle les bougeait comme on le fait des doigts d'une main. Grâce à ces jolis petons, elle me fit souvent prendre un pied extraordinaire.
A peine la porte d'entrée fermée derrière nous que Diane avait mis son paréo sur le bras. Décidément, elle avait raison quand on est belle comme l'était Diane, c'est un crime de lèse-beauté de se couvrir. Elle s'installe sur mon canapé, Jacques sur un fauteuil en face d'elle, son caméscope prêt à démarrer. Je les délaisse un bref instant pour préparer des rafraichissements. Dés que je me retourne vers eux, les verres en main, je vois Diane allongée sur le canapé, sa jambe droite relevée de telle manière qu'elle faisait une ligne droite avec la gauche. Elle faisait le grand écart donc, pour que Jacques la filme ainsi.
Décidément, cette femme était étonnante, elle était aussi à l'aise que si elle eut été chez elle seule avec son mari. Je présume que sa position était destinée à me faire admirer son entre-jambe. Pas le moindre soupçon de poil qui l'enlaidisse, et une chatte qui ressemblait à une cicatrice, les lèvres étaient fines et surmontées d'un minuscule ergot, son Clitoris. Son petit trou, lui aussi vierge de toute végétation, était beau, tentant, tentateur, engageant. Diane me fixant de son regard gris et un léger sourire aux lèvres tapota délicatement le haut de sa chatte et me murmura :
« Mon cher Bruno, viens dire bonjour à mon minou, je te prie ! »
Comment résister à une invite pareille? J'ai posé les verres et me suis agenouillé pour faire mes dévotions à sa chatte. J'ai tout d'abord fait quelques petites caresses, qui provoquèrent un soupir d'aise à Diane. Puis je donne ma langue au chat, je m'insinue doucement entre ses lèvres, elle mouille déjà beaucoup. Ma langue lui fait de l'effet, si j'en juge par les mouvements de son bassin. Je continue mon petit jeu, la danse de Diane est de plus en plus mobile, ses soupirs aussi, alors j'introduis deux doigts et les fait aller venir un moment. Diane commence alors à émettre des gémissements plus rapides et plus bruyants.
Et soudain, elle se raidit en poussant un : « Oh!!! Ouiiiii !! » et éjacule copieusement. Tel que j'étais placé je prends tout en pleine figure. C'est délicieusement acre, et gourmand comme je suis je déplore que ma langue ne soit pas assez longue pour me lécher. Diane redescend lentement de son orgasme, s'assoit, se penche vers moi et me lèche le visage avant de me rouler une pelle majestueuse, puis elle éclate d'un grand rire si communicatif que tous les trois nous rions à gorge déployée. Quand enfin nous reprenons nos esprits, Diane me dit :
« Ça c'était ma petite surprise pour notre première rencontre. Je suis une vraie femme-fontaine. Tu as aimé ?
- Aimé ? Adoré, tu veux dire. C'est une chose rare cela et j'apprécie ton cadeau ! »
Elle se met debout, moi aussi, nous prenons nos verres apéritifs. Diane se met debout à côté de Jacques toujours assis sur son fauteuil. Durant que nous papotons, Jacques passe sa main entre les jambes de sa femme et entre deux ou trois doigts dans sa chatte, et les fait jouer à l'intérieur. Très rapidement, Diane commence à se dandiner et s'accroche au dossier du fauteuil, et puis soudain, la voilà qui recommence. Elle gémit fort, son mari poursuit les mouvements de sa main un peu plus rapidement. Diane chancelle brièvement, elle écarte ses jambes et laisse exploser sa jouissance. A ses pieds sur le parquet une flaque. C'est vrai que c'est une vraie femme-fontaine !
Nous venions de procéder à un cérémonial de bienvenue un peu particulier, comme d'autres poseraient des questions sur les familles respectives. Nous nous sommes donc assis, Diane et moi, pour enfin déguster nos apéritifs tout en approfondissant ce que nous nous étions dits pas courrier et téléphone. Diane était grande amatrice de rapports zoophiles avec divers animaux, elle était très exhibitionniste et enfin aimait beaucoup les jeux Uros. En dehors de la zoo qu'il m'avait été donné de goûter une seule fois et de beaucoup apprécier, je partageais complètement ses autres plaisirs.
Nous en étions au second verre, décoré de quelques câlins déguisés en amuse-bouche quand Diane avec un naturel désarmant et sans qu'elle soit du tout directive me déclara :
« J'ai envie de faire pipi, peux-tu me conduire là où il faut, s’il te plait ? »
Moi naïvement, sans penser vraiment à ce pourquoi nous étions réunis, je la conduit aux toilettes
"Mais non, voyons, conduis-moi à la salle de bain, on va faire ça dans la baignoire ! »
Où avais-la tête ? Elle voulait que nous jouions à touche et à goute-pipi. Aussi sommes-nous allés dans la salle de bain. Ses pieds sur les bords de la baignoire, elle se baissa au maximum, grâce à souplesse, et se laissa aller sur moi, allongé sous elle pour recevoir son « champagne » dans le bec. Un peu plus tard, je lui rendis la monnaie de sa pièce. Et tout cela, bien entendu sous l'œil du caméscope de Jacques, qui bien que la bite raide, ne participait à aucun de nos jeux.
Nous avons fait l'amour toute la nuit, et pour une fois tous les trois, car Jacques finit par craquer et baisa Diane avec moi. C'était une femme extraordinairement demandeuse et suffisamment tentante pour que nous trouvions en nous assez de ressource pour la satisfaire. Au cours de cette nuit, elle me fit une démonstration de caresses avec ses pieds. Elle me massa tout le corps avec une douceur formidable qui avait le don de me maintenir dans une excitation qui me mettait au bord de la jouissance. Puis, se rappelant qu'elle avait deux mains, elle me fit un massage anal qui me détendit le petit trou et me sodomisa avec ses doigts. Voyant que j'appréciais son traitement, elle finit par entrer sa main entière. J'adore ça. Cela lui donna une idée et sûre de ma réponse affirmative ne me demanda pas mais me dit :
« Mon petit Bruno je vais essayer de t'enculer avec mon pied… »
Elle commença par me titiller le sphincter avec ses orteils, un peu comme on le ferait avec notre main sur la bouche d'un bébé pour lui faire faire une risette. Puis petit à petit elle réussit à entrer ses cinq orteils. Mais ne put aller plus loin. Elle eut beau essayer en insistant doucement, mais n'y arriva pas, c'était bien trop douloureux. Alors, elle se contenta, si j'ose dire, de pianoter en moi avec ses orteils. C'était tellement bon que je n'ai pu tenir bien longtemps, et l'ai prévenue que j'allais jouir. Alors Jacques lâcha son caméscope pour nous rejoindre et boire le sperme que j'allais éjaculer. Il le partagea avec Diane qui m'embrassa ensuite pour me rendre un tout petit peu de « mon bien ».
Tout pouvait la faire jouir. Diane me le prouva vite. La souplesse de son corps allait jusqu'à son entrejambe. C'est ainsi qu'elle reçut mes mains en elle, une dans sa chatte et une dans ses fesses. Elle se trémoussait en criant son plaisir jusqu'au moment où elle se raidit et me cria d'une voix rauque :
« Arrête Bruno ! Arrête !! C'est trop fort là ! Je jouiiiiiiiis !!!! »
J'ai doucement retiré ma main de sa chatte, et continué avec l'autre à la sodomiser. Et bien entendu, Madame Femme-Fontaine a ouvert les vannes en grand pour m'asperger, asperger son mari allongé, visage tout prête de l'entrejambe de Diane et inonder le lit. Refaire la literie à deux heures du matin, c'est la conséquence vraiment pas gênante, bien au contraire, d'une partie de baise bien agréable et particulièrement agitée.
Au matin, pendant qu'elle prenait sa douche, je me suis assis entre ses jambes pour lui câliner la chatte avec mes doigts pendant qu'elle se savonnait le corps. Et bien sûr, elle abandonna très vite le savon pour prendre appui contre le mur de la douche, car elle sentait venir un orgasme. Elle arrêta l'écoulement de l'eau, et finit par jouir et éjaculer puissamment. Mon visage eut droit à une grande partie de son jus. Voilà une douche comme j'aimerais en avoir tous les matins !
Le dernier soir que nous avons passé ensemble avant qu'ils partent pour Nouméa, nous sommes allés tous les trois dans un club échangiste, Diane s'était délicieusement vêtue d'un chemisier si fin qu'il ne masquait rien et d'une minijupe très très courte qui permettait de voir qu'elle n'avait pas de culotte. Alors que nous descendions les escaliers conduisant au club, elle s'arrêta, s'appuya contre la rampe, les pieds sur des marches différentes elle dit à son mari :
« Jacques, mon chou, sors ton caméscope ! »
Celui-ci sortit son appareil sans poser de question inutile, de longues années de vie commune lui permettant de deviner les désirs de sa Diane. Elle se mit à se masturber la chatte tout en regardant les couples qui passaient devant nous pour rejoindre eux aussi le club. De tous ceux qui passèrent devant elle, un seul s'arrêta pour admirer le spectacle. Diane arrêta avant de jouir vraiment, ce n'était tout de même pas le lieu pour « ouvrir sa fontaine ».
Le couple d'admirateurs lui fit des compliments, et nous sommes entrés tous les cinq ensemble dans le club. Ce couple était très sympathique et ouvert. La femme était bisexuelle, ce qui fit plaisir à Diane, le mari lui se disait hétérosexuel, mais disait aussi apprécier parfois faire l'amour avec un homme. Je n'ai pas entamé de discussion avec lui, c'était inutile, mais pour moi, il était bisexuel et ne voulait pas l'admettre. Bref, cette soirée en club se passa formidablement bien.
Diane et la jeune femme du couple se taillèrent un franc succès dans un show lesbien de toute beauté.
Jacques pour une fois, laissa son caméscope au vestiaire pour baiser avec nous. L'homme du couple nouvellement ami, m'encula et le fit d'une belle manière. Ce spectacle eut le don d'exciter Diane, au point qu'elle s'est branlée en nous regardant. Elle se tailla un succès phénoménal, permettant à tous ceux, hommes et femmes, qui nous regardaient de voir une très jolie femme-fontaine dans ses œuvres.
En sortant du club, Diane Jacques et moi sommes allés dans un restaurant pour un diner d'adieu. Diner au cours duquel, Diane assise en face de moi me fit une brillante démonstration de l'agilité de ses orteils.
Pendant tout le repas, j'ai eu son pied nu poser sur ma braguette, elle pianotait gentiment sur ma queue qui devint très vite raide et bien avant le dessert, j'ai éjaculé sans que je puisse me retenir. Même pas eu le temps d'aller aux Toilettes pour le faire.
Et comme moi aussi je ne porte jamais ni slip, ni string, ni quoi que ce soit sous mes pantalons, j'ai eu beaucoup de mal à cacher la grosse tache que j'avais sur ma braguette. Traverser la salle ainsi en essayant de passer inaperçu alors que j'étais entouré par mes deux zigotos qui riaient comme des baleines, tout fiers de ce qu'avait réussi à faire la Belle Diane. Voilà le dernier souvenir que j'ai de Jacques et de la belle et délurée Diane. Deux personnes éminemment sympathiques et qui aimaient l'amour sans vulgarité, et qui m'ont laissé un brin de nostalgie.
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