Sophie, marquise de
R.
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Sophie
Faire jouir l'adversaire en premier : voilà le défi qu'avaient accepté une vingtaine d'étudiants des clubs de sport de la fac de Toulouse. Chacun de ces mecs, âgés de
dix-huit à vingt-deux ans, et bourrés de testostérone, voulait prouver sa force sexuelle en montrant sa capacité à bander le plus longtemps et à retenir son jus, queue contre queue.
Les deux premiers sportifs à mesurer leur force sexuelle étaient Thibault et Seb. Thibault était une des stars de l'équipe de rugby locale, et on sait ce que signifie le rugby à
Toulouse...Grand, brun, poilu, Thibault était un mec très sûr de lui, bien foutu bien évidemment, mais qui le savait un peu trop. Il aimait narguer les plus faibles que lui à la fac.
Face à Thibault, le tirage au sort avait désigné Seb. Joueur de Tennis, Seb était loin de dégager la même puissance physique. Seb avait vraiment la tête du garçon sympa, le petit minet blond, bourgeois, poli. En termes de domination sexuelle, la balance ne semblait pas pencher en sa faveur.
Et pourtant, Seb fut le premier, dès le lancement du défi, à s'approcher de Thibault pour lui défaire la braguette, lui baisser jeans et caleçon, et lui empoigner fermement la
bite après avoir craché dans sa main. Surpris, Thibault dut rapidement faire de même. Les deux sportifs commencèrent alors à se branler vigoureusement. Rapidement, les deux sexes devinrent plus
que rigides. Et le plus grand n'était pas celui que l'on croyait. Alors que la bite du rugbeux dépassait à peine les quinze centimètres, le jeune tennisman affichait fièrement 20 bons centimètres
au compteur ! Seb comptait bien profiter au maximum de cet avantage.
Il provoqua alors Thibault :
« Ça alors le rugbeux, on a tout mis dans les muscles et rien dans sa queue ? Viens un peu te frotter à moi pour voir si ta bite peut se retenir de cracher son foutre..." »
Thibault enserra alors vigoureusement Seb de ses bras musclés et colla sa bite contre celle, considérablement plus longue, du joueur de tennis. Malgré ce désavantage, Thibault était certain de gagner. Tout le monde savait qu'il était un des plus gros baiseurs du campus.
« Ma queue est habituée à limer les chattes des plus jolies filles de la fac pendant des heures, ta bite n'est pas prête pour affronter la mienne... Tu n'as pas vu une chatte depuis quand ? «
Les discours de Thibault n'effrayaient pas Seb... Son chibre dépassait la queue du rugbeux de cinq bons centimètres, et c'est bien lui qui donnait le mouvement à leur « frottage ». En même temps qu'il balançait de grands coups de reins pour dominer le rugbeux, Seb n'oubliait pas d'utiliser toutes les techniques possibles pour le dominer sexuellement. Après les suçons dans la nuque, il se mit à mordiller le lobe de l'oreille du brun poilu. Petit à petit, le plaisir montait chez les deux hommes, mais Thibault semblait moins confiant qu'au début.
Alors que Seb le regardait fixement, droit dans les yeux, Thibault détournait souvent le regard. Il sentait la pression de la bite de Seb contre la sienne, et sa résistance faiblissait. La queue du blondinet réussissait à courber celle de Thibault tellement elle s'avérait rigide. Une vraie épée contre laquelle le membre du rugbeux commençait à s'épuiser. C'était un spectacle impressionnant de voir un joueur de rugby hyperviril tenu en respect par la seule force d'une bite plus dure que la sienne. Thibault écarta les jambes et balança son cul musclé pour répondre aux coups de boutoir du tennisman. Mais les muscles ne pouvaient rien y faire : seule la force sexuelle comptait dans le combat bite contre bite.
Seb sentait qu'il tenait le bon bout. Non seulement l'érection de Thibault faiblissait, mais de la mouille commençait à sortir du sexe du rugbeux. En spécialiste de cockfight *, Seb savait qu'une queue qui mouillait n'en avait plus pour très longtemps.
La bite de Seb continuait à coulisser, et Thibault était maintenant quasiment immobile, il n'arrivait plus à rendre coup de rein pour coup de rein face au blondinet à grande queue. Ses gros muscles ne s'agitaient plus, et il semblait se concentrer pour retenir son foutre encore quelques minutes.
Mais ce qui devait arriver finit par arriver. Le rugbeux sentit ses couilles se contracter, jeta la tête en arrière, et ouvrit la bouche en grand, dans un cri silencieux. Son foutre se mit à jaillir de sa queue vaincue. Un adversaire bien moins fort que lui en apparence avait réussi à dominer sa virilité. Pour la première fois de sa vie, sa bite avait touché la bite d'un autre gars, et ce gars lui avait fait cracher son jus.
Les autres joueurs de rugby présents étaient consternés de voir le poireau de leur camarade se rabougrir progressivement contre la queue toujours dure de Seb. Ayant remporté la victoire, ce dernier exigea comme il en avait le droit que Thibault se mette à genoux, et il lui vida le contenu de ses couilles sur la tête. L'humiliation du rugbeux était complète.
Seb pouvait maintenant poursuivre le défi.
Retrouvez cette histoire, et d’autres encore sur :
* cockfight : littéralement, combat de coqs. C’est un sorte de corps à corps assez violent.
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