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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Depuis peu, je suis l’esclave de plus en plus soumis de Maitresse Martine. C’est venu petit à petit, et maintenant, elle me dresse à être une vraie lope, une femelle chaudasse, moi, qui suis pourtant un bel homme de trente-six ans.

 

Ce soir-là, elle m’avait entrainé dans un lieu chaud de Marseille, où les hommes viennent pour se faire sucer ou avaler des bites à la chaine.

Un homme que j’avais déjà vu avec elle était là, un dénommé Daniel. Elle me fit mettre à genoux devant lui : 

« Toi, défais ton pantalon. Il va te bouffer la petite bite. Et toi, ma petite salope, tu vas le sucer en entier. Je veux une gorge profonde ! »

 

Je m’exécutais avec bonheur, pour faire plaisir à ma maitresse. Je m’appliquais donc à le pomper à fond, me lèvres touchant son ventre. Heureusement, son sexe était de dimensions modestes.

 

Ma Maitresse me fit cesser d’un coup sec de Martinet. Elle s’adressa à Daniel :

« Il y a un instant, tu avais l'air d'aimer qu'il bouffe ta bite, alors à ton tour de le sucer là, et ne lui fais pas de cadeaux. Je veux te voir l'astiquer comme un salopard qu'il est. N'oublie pas les couilles. »

 

Se mettant à genoux, Daniel regardait mon membre énorme, long à n'en plus  finir, se disant :

« Putain il va me défoncer la gueule le salaud. »

 

Mais la tentation de savoir ce que ça faisait de sucer une bite d'homme était plus forte que son appréhension.

Alors, il ouvrit la bouche, s'aventurant à lécher le bout, attentif à ma réaction. J’ai bien sur apprécié ce traitement.

 

Maitresse Martine se pencha et poussa brusquement la tête de Daniel avec force en avant :

« Suce-le ! Ce salaud adore ça, enfonce sa queue dans ta bouche, je ne veux pas en voir un morceau dépasser. »

 

Malgré l'inconfort, le pauvre Daniel bandait comme jamais, il aimait ma queue monstrueuse qui labourait sa gorge, il goûtait à ces sécrétions méconnues jusqu'alors, et n'en revenait toujours pas du plaisir qu'il y prenait. Il était fier de lui, de sentir l'effet qu'il pouvait avoir sur cette queue.

Je me tordais, proche de l’éjaculation :

« Je ne vais pas tarder à t'envoyer la purée. 

- Tu suces vraiment bien, continue, oui, tu vas l'avoir, ça monte… »

 

Daniel ayant eu le réflexe de se reculer, la femme lui plaça quelques coups de martinet sur les fesses, l'empêchant de le faire. Il m’entendit alors râler, le traiter de multiples noms, et brusquement il reçut toute ma décharge en pleine poire. Il y en avait tellement que non seulement il en avait la bouche pleine, mais que ça coulait de partout. Je pris ma bite en main, continuait à me branler avec force pour envoyer encore et encore du foutre à n'en plus finir en pleine face de Daniel.

Maitresse Martine lui disait :

« Lèche ! Avale tout ! Tu seras récompensé. »

 

Ce fut une très bonne soirée !

 

En rentrant, elle me donna un nouvel ordre : je devais acheter un plug. J'avais senti venir cet ordre, je le craignais. Après une première réaction de révolte, de nombreuses hésitations, je me suis rendu dans un sex-shop de Marseille. Je commençais à me sentir chienne en payant et ça m'excitait. Je me disais que l'homme au comptoir devait penser que c'était pour une amie.

 

Sa réaction m'a bouleversé :

« Enfin ma petite pute, tu t'es décidée. Téléphone-moi je vais t'enculer devant la cam. »

 

Dans un mélange de peur et d'excitation, j'ai obéis. Quand elle est arrivée chez moi, nous nous sommes mis devant la cam. Elle me fit d'abord lécher le plug, bien l'enduire de salive, le sucer comme j'aime qu'on suce ma bite. Puis je dus me coucher sur le bureau, jambes bien relevées et écartées. Elle me demanda de caresser ma rondelle, de l'assouplir et enfin l'ordre redouté tomba : « Enfiles toi ! »

 

Je n'avais plus les moyens de reculer et, pour la première fois, j'étais enculé.

Puis elle me demanda de rentrer, sortir, rentrer ce plug, bien visible devant la webcam. Des nombreuses sensations que j'ai ressenties à ce moment, je n'en retiendrais que deux : je me sentais prise par elle et je devenais une vraie salope.

 

Cette première pénétration anale fut douloureuse. J'étais en même temps honteux et heureux de le faire. J'entends encore ses gémissements quand elle a jouit. Ça a été ma plus belle récompense et ça m'a fait prendre goût à ces jeux.

 

Un jour, étant absente, elle m'a demandé de me filmer en train de me travestir puis de m'enculer et de m'envoyer en l'air. Dans ma salle de bain, ayant enclenché mon caméscope, je me suis mis nu, j'ai enfilé mes bas puis une nuisette rose et, exhibant bien mon petit cul, je me suis pluggé à fond.

 

Puis, après avoir joué un peu la femelle, je me suis remis nu et, face au caméscope, je me suis envoyé en l'air, jambes bien écartées. Je n'ai jamais autant giclé que cette fois. Je revis encore et toujours cette première jouissance mon cul plein. Ce passage lui a plu vu le nombre de fois ou elle m'a demandé de lui montrer.

 

Je devenais une vraie salope chaude. Sur ses ordres, je passais mes bas, et, le plug dans la poche ou dans le cul, je prenais ma voiture pour m'isoler dans la nature. Là, je faisais la chienne sur ces ordres d'abord dans la voiture puis sur le capot et enfin je me rendais dans les sous bois et, me mettant entièrement nue sauf mes bas, je m'envoyais en' l air, léchais mon sperme, re-jouissais en entendant ses gémissements.

 

Certains soirs, je m'isolais dans le garage, montais dans la voiture de ma femme. Nu, j'appelais maitresse Martine et, mettant les pieds sur le tableau de bord, je m'enfilais et déchargeais comme un fou en l'entendant jouir. J'ai même téléphoné à l'homme qui m'avait sucé, Daniel, pour lui dire que j'avais aimé et que, ma foi….  enregistrant cette conversation pour lui faire écouter. J'étais, je suis devenu une salope chaudasse comme elle le dit, une chaudasse heureuse d'être vicieuse et prête à tout.

 

C'est à ce moment que je me suis mis à vraiment désirer être enculé par une femme. Je frémis rien que d'imaginer des mains saisir mes hanches et m'amener au gode. Je rêve d'être ensuite enculé puissamment. Je ressens un sentiment de don, de possession. Je veux être possédé moi le mâle macho. Je veux lui offrir ce sentiment de possession que nous ressentons quand nous pénétrons une femme. Je veux sentir cette sensation d'être prise, remplie. Souvent, je fouillais les affaires de ma femme ou de mes filles. Dès que je trouvais des sous vêtements coquins ou de petites robes sexy, vite je m'habillais, prenant des poses coquines que je filmais ou prenais en photo pour satisfaire ma Maitresse Martine.

 

Pour paraître plus femelle, je remplissais mes soutiens gorges de mouchoirs puis je bombais le torse en m'exhibant devant elle. Petit à petit, je commençais à préférer mon petit cul de salope à cette queue de mâle. Et ma meilleure satisfaction était quand elle me traitait de jolie petite salope, d’allumeuse.

 

Restant le mâle pour ma femme et mes autres amies, je me sentais devenir femelle dès que je pensais à elle, dès qu'elle apparaissait ou me téléphonait. J'avais de moins en moins de gêne à m'habiller en femelle, je sentais ma raie devenir humide, mon cul se tendait.

 

Pour Elle, j'étais devenue une femelle chaudasse, prête à obéir à tous ses désirs. J'étais devenue sa petite pute comme elle aime le dire. Follement excité, je commençais à être possédé. Et, enfin, elle accepta.

Je ne peux pas décrire mon inquiétude en lui exhibant un sexe vibrant tellement il était gorgé de désir et ma joie quand elle sembla l’apprécier, acceptant même que je le lui montre lors de nos dialogues suivants. J'avais aussi plaisir à lui montrer les films et les photos que mon ancienne maîtresse et moi avions fait. Elle a semblé apprécier le passage où Nathalie et moi faisions l'amour avec un autre couple, mais j'aurais du me douter des ses désirs à ses réactions quand je lui ai montré celui où je me faisais sucer par un homme devant Nathalie.

 

Pendant ce temps, nous discutions de nos aventures, et je lui avouais avoir été l'objet d'une dominatrice à Lyon et de l'être d'une autre dominatrice Parisienne. Ces relations étaient uniquement sexuelles sans domination mentale et sans pénétration. Dès cet aveu, son attitude changea. Elle me dit qu'elle attendait plus de son objet. Elle acceptait de me prendre, mais elle voulait, elle exigeait plutôt, une soumission totale, y compris mentale. Je devais devenir sa pute, sa salope.

 

Progressivement je devais me donner à elle. Tenté, j'acceptais ce que je considérais alors comme un jeu et elle exprima son premier ordre : Je devais lier mon sexe pendant toute une journée et faire une photo toutes les heures de mon état que je devais lui envoyer.

Avec plaisir je m'exécutais d'autant plus que je l'avais déjà fait tant avec les deux dominatrices que j'avais connu qu'avec mon ancienne maîtresse Nathalie.

 

Nous nous retrouvions de plus en plus souvent sur le net, quittant le chat pour aller sur Msn. J'avais toujours mon pseudo de mâle mais je lui obéissais de plus en plus facilement devant la webcam. Je continuais malgré tout à draguer d'autres femmes, tout et en rencontrant certaines. Nathalie, mon ancienne maîtresse, ayant probablement senti mon trouble, essaya de renouer. Mais Maitresse Martine, n'ayant pas apprécié ce que nous avions fait lors de notre relation ne m'autorisa pas à reprendre cette relation et me détacha petit à petit de Nathalie.

 

Arriva alors son deuxième ordre.

 

Du jeu au trouble

 

Maitresse Martine me demanda d'aller acheter des bas. Je devais lui téléphoner quand je serais dans le rayon. J'ai hésité, fais traîner les choses, je ne me sentais pas prêt. Je me révoltais, j'ai essayé de la satisfaire en mettant un collant de ma femme, me décidais, reculais.

 

Patiente, elle revenait sur son ordre et, finalement, je me suis retrouvé le cœur battant devant le rayon, le téléphone à la main. Je ne me suis jamais senti aussi troublé, elle l'a senti au son de ma voix. Je n'avais pl us qu'une hâte : les essayer devant elle.

Là encore, je ne peux décrire mes émotions quand j'ai enfilé ces bas devant la webcam. Nous étions en même temps au téléphone, j'obéissais à ses ordres, ma voix commençait à se transformer, je me sentais possédé, le trouble dépassait largement mon sexe. J'étais déjà prêt à son désir suivant.

 

À ses yeux, j'étais déjà devenu sa pute, sa chienne. Je le sentais, ça me troublait de plus en plus, mais je ne l'acceptais pas encore complètement.

Et bientôt je me retrouvais en nuisette devant elle, puis en robe, puis en bas string et soutien gorge. Gêné au départ, j'y trouvais de plus en plus de plaisir et ses jouissances téléphoniques renforçaient ce plaisir. Je restais malgré tout un homme jouant à s'habiller en femelle. Mes érections étaient folles, mais petit à petit elle m'apprenait à cacher mon sexe et à lui exhiber mes fesses, à les rendre sensuelles, attirantes.

 

Sans m'en rendre compte, j'essayais de me rendre indécente pour l'exciter et mériter s es jouissances. Je trouvais moi même de plus en plus de plaisir à m'habiller en femelle, à jouer à l'allumeuse, je me mettais à parler de plus en plus au féminin.

 

Elle s'en rendait compte et me disait que je succomberais à la première femme qui voudrait me faire jouer à ces jeux. Je lui prétendais que non, tout en n'en étant pas encore sur car je prenais de plus en plus goût à m'exhiber en femelle. J'en étais même arrivé à me lever la nuit et, alors que ma femme dormait, je me filmais avec une seule hâte : lui montrer. En visionnant ces films, je me rends compte que je devenais de plus en plus salope et que mes érections se transformaient, elles se diffusaient de plus en plus dans mon ventre et dans mon anus.

J’étais enfin devenu la femelle qu’elle attendait…

Par Gérard - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : plaisirs SM
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