Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Cela faisait quinze jours que Valy, ma belle et très gourmande stagiaire ambulancière avait réussi à faire succomber François à la tentation et qu'elle avait pu goûter à sa belle et grosse bite. Il avait beau avoir beaucoup joui du corps sublime de cette jolie fille, cela avait été traumatisant pour lui au point qu'il était parti, qu'il s'était enfui plutôt de chez moi tant cela l'avait gêné.
C'est que François et Valy étaient frère et sœur. ¾ de sang européen et ¼ de sang antillais. Ce mélange avait donné deux êtres beaux et très sensuels. Très tôt ils avaient senti qu'ils étaient bisexuels. Très proches , très fusionnels, ils échangeaient depuis toujours des caresses et des baisers qui ne se pratiquent pas entre frères et sœurs. Très tôt, Valy avait sucé son frère qui lui rendait la politesse. Mais jamais ils n'avaient baisé ensemble.
Valy, complètement dénuée d'apriori sur la sexualité, se moquait plus que royalement de savoir si François était ou non son frère. Elle ne voyait en lui qu'un bel homme dont elle était folle de désir chaque fois qu'elle le voyait. Lui par contre, bien qu'ayant envie de Valy au corps splendide, n'arrivait pas à franchir cette barrière invisible qu'est le fait qu'ils étaient frangin et frangine. On ne pouvait lui reprocher d'être arrêté par ce grand tabou qu'est l'inceste
Valy l'avait invité chez moi, bien décidée, avec ma complicité à faire flancher François. Nous nous étions mis à deux pour le tenter, l'exciter, troubler son bon sens et ses sens. Valy cuisses ouvertes se masturbait la chatte en gémissant tandis que j'embouchais la superbe bite de François. J'y avais mi tout mon amour pour les bites pour l'exciter au maximum. Nous sommes arrivés à nos fins puisqu'enfin ma Valy avait réalisé son grand fantasme se faire baiser par son frère. Celui-ci, une fois ses sens apaisés mais profondément troublé par ce qui venait de se passer, était parti de chez moi sans un mot. Valy, connaissant bien son frangin m'avait dit de ne pas m'inquiéter, que François allait ruminer un temps mais qu'il referait surface plus ou moins vite.
C'est ainsi que 15 jours plus tard environ, Valy me dit un matin, visage illuminé d'un sourire gourmand, que François voulait nous revoir, et qu'elle lui avait dit de venir le samedi suivant, où, pour une fois, nous avions le weekend complet pour nous. Cela nous laissait le temps de tout préparer. Il fallait absolument que l'ambiance soit propice à la tentation pour que jamais François ne se pose de questions.
Tout le samedi matin se passa en achat de tout ce qu'il fallait pour nous nourrir et désaltérer tout en nous excitant. Une fois de retour chez moi, Valy se mit à la cuisine pour nous faire quelques petits plats légers mais bien épicés, à la mode antillaise bien entendu. Quant à moi, je préparais les boissons et les amuse-gueule qui vont avec. Ensuite, nous nous sommes fait une toilette mutuelle. Tout frais, tout propre, dedans et dehors, très beaux et tentants, du moins l'espérions nous. Vêtus de rien, notre tenue favorite, c'est donc seulement habillés de tongs que nous accueillîmes François quand il sonna. Il ne fut pas du tout surpris qui savait notre goût du naturisme et le partageait. Il est 18 heures 30.
Avec le naturel qui était sa signature, Aly fit entrer son frère, se jeta dans ses bras et lui prit la bouche en un baiser qui n'avait rien de fraternel et qu'il partagea avec la même passion. Quand elle consentit à se séparer de lui, François et moi nous sommes salués d'une manière plus virile. Nous le conduisons au salon et nous asseyons tous trois, Valy et moi sur des fauteuils, François seul en face de nous sur le canapé.
Ainsi, il se sentit très vite mal à l'aise. Valy et moi nous nous conduisions d'une manière naturelle sans rien lui dire de sa tenue qui tranchait outrageusement. Ce n'est qu'après le premier verre, que détendu, il se leva et sans mot dire se débarrassa de tous ses vêtements. Valy, réflexe très féminin prit les vêtements de son frère pour les déposer ailleurs et proprement puis vint nous rejoindre. Elle s'installa à côté de lui, tout contre devrais-je dire, le regarda un long temps dans les yeux, sans mot dire puis ouvrit enfin la bouche :
« François chéri, tu sais que tu nous a manqué tous ces jours-ci? J'avais peur de ne plus te revoir, je t'aime tant tu sais mon ti frère !! »
Et joignant le geste à la parole, elle caressa le radis noir qui décorait joliment le bas-ventre de son frère. Son geste fut malgré tout assez bref, elle ne voulait pas engager le combat aussi tôt dans la soirée. Mais allez résister à la caresse d'une Valy sans réagir. François se mit à bander franchement et dit :
« Tu sais ma Valy, je me suis rendu compte ces jours-ci que je t'aime plus que comme ma sœur et que je veux que nous continuions ainsi. Seul Bruno sera dans le secret, s'il veut bien. Tu es si belle et j'ai tant envie de toi ma chérie. Alors quelle que soit la durée de notre vie continuons comme ça. D'accord ? »
Pour toute réponse, elle se jeta sur lui, parcourut tout son corps de ses mains et de sa bouche, François frémissait de la tête au pied. Valy prit enfin sa bite dans la bouche et se mit à le sucer presque violemment. D'habitude, elle agit avec une douceur et une lenteur presque insupportables, c'est dire le bonheur qui était en elle. Moi assis dans mon fauteuil, j'étais heureux de voir que ces deux-là s'aimaient et allaient continuer à s'aimer. J'étais excité comme un pou de voir ce spectacle.
Valy mit tout en œuvre pour faire jouir son frère et y parvint assez facilement. Il déchargea en elle. La bouche de Valy semblait pleine, elle me fit un signe pour savoir si je voulais partager le sperme avec elle. Je refusais en lui disant que cette fois-là, tout était pour elle, que je ne voulais pas du tout m'immiscer dans quelque chose qui ne me regardait pas. Elle me remercia des yeux et avala tout consciencieusement. Mais ma gourmandise n'ayant pas les mêmes freins que moi me fit me lever et j'entrepris de faire la toilette de la superbe bite de François.
Propre et heureux, le visage resplendissant d'amour pour Valy, il nous fit assoir prés de lui et remplit à nouveau nos verres et porta un toast:
« A nous mes chéris. Que ce jour soit le premier d'une grande complicité entre nous !!!! »
- A nous 3 et à nos amours !! » avons-nous répondu Valy et moi.
Verres bus d'un trait, nous avons emmêlés nos langues goulument, pleines d'envie d'amour et parfumées au cocktail avalé, nous nous sommes retrouvés allongés sur la moquette corps emmêlés. Nos 6 mains faisaient un ballet érotique du plus bel effet. Cet intense instant de folie cessa enfin, nous nous sommes assis et avons éclaté d'un grand rire et nous nous sommes relevés pour passer à table. Le repas fut gai, animé et bien arrosé, souvent entrecoupé de baisers et caresses coquines. Ce jeu était si agréable que nous avons mangé et bu sans même nous rendre compte de ce que nous absorbions. Pourtant Eros sait si ma Valy avait prit grand soin de nous concocter quelque chose d'agréable et de propice à l'érotisme.
Nous nous sommes éternisés à table tant nos jeux étaient excitants, si excitants que nous mangions en nous léchant, nous suçant, nous caressant. Un dernier verre alcoolisé pour clore le repas, et nous avons changé de lieu de jeu. Valy, décidément chez elle dans mon appartement, nous conduisit dans la chambre où un grand lit nous tendait sa couette. Elle s'y allongea, prenant des poses plus que lascives pour nous tenter. Elle nous regarda d'un œil égrillard, leva ses jambes au dessus de sa tête formant le V de la victoire et de ses jolis doigts se masturba allègrement.
Bon sang quel beau spectacle. François et moi bandions à en avoir mal. En bons camarades chacun de nous deux tenait la queue de l'autre pour le branler tout doucement, non pas pour nous faire jouir mais plutôt comme une caresse amoureuse.
Valy continua à se faire plaisir, son corps était maculé de crème, tout comme les nôtres d'ailleurs, alors nous nous sommes allongés prés d'elle et nous nous sommes fait une toilette à coup de langue. La tension montait de plus en plus. J'incitais François à s'occuper de la chatte de sa frangine. Il avait beau être tout chaud, il fallut tout de même le pousser encore, il a toujours le mot «sœur» pour le freiner un peu. Mais le fendu de Valy est si beau et si tentant, si humide qu'il ne pensa plus qu'à consommer. Pour cela, il se mit à quatre pattes, ainsi il avait les fesses en l'air. Le spectacle était vraiment tentant, alors je lui ai fait une feuille de rose, j'adore ça, lui aussi qui gloussa de plaisir. Sa belle bite pendait, bien grosse, je la pris en main et tout en le léchant je la branlais.
Nous modifions un peu notre position de manière à offrir ma bite à la bouche de Valy. Nous continuons ainsi à nous manger en prenant tout notre temps pour que le plaisir dure. Nous avons un point commun tous les trois, nous adorons les préliminaires bien plus que la pénétration.
Mais nous sommes ainsi faits qu'il arrive un moment où on en veut plus. Nous cessons de nous grignoter. Valy demande à son frère de se coucher sur le lit, elle s'assied sur sa queue qui lui emplit aussitôt la chatte. Un moment elle danse dessus avec frénésie puis s'arrête se penche vers François lui prend la bouche avidement, puis tourne la tête vers moi et me dit :
« Bruno chéri encule-moi, je veux sentir mes deux amours en moi en même temps, j'ai trop envie de vous. »
Les désirs de Valy étant mes désordres j'obtempère et présente mon gland à son petit trou, son délicieux petit trou qui n'a aucune ride, il est presque rose, il tranche ainsi avec sa peau qui est couleur pain d'épice pas assez cuit. Le petit trou semble trouver mon gland à son goût et se met à clignoter un peu m'invitant gentiment à entrer, ce que je fais, avec précaution quand même car la bite de son frère assez épaisse pour la remplir me fait un peu obstacle. Ma queue trouve enfin sa place en Valy, nous restons un instant immobile pour jouir de cette sensation. Je sens son muscle anal qui enveloppe ma bite, je sens aussi celle de François qui frotte contre la mienne à travers la membrane. Valy est aux anges, elle geint doucement et nous demande de la laisser faire à sa guise et de ne bouger que quand elle nous le dira.
Alors Valy, tête rejetée en arrière, reins cambrés, ses mains prenant appui sur les épaules de son frère se met à faire onduler son corps lentement pour parcourir nos bites sur toutes leurs longueurs, pour varier, elle roule des hanches. Elle prend un pied fou à faire ça. Elle gémit, elle grogne, elle feule même. Cette belle salope est à son affaire, François et moi sommes bien ainsi, bien qu'il nous faille serrer les dents pour ne pas jouir tout de suite. Enfin, Valy semble avoir pitié de nous et nous hurle presque :
« Allez-y baisez moi, fort et vite, j'peux plus me retenir, faites- moi jouir, mes chéris !! »
Aussitôt, François et moi nous mettons en mouvement. Quelques secondes, où on patine un peu, le temps de trouver le bon rythme, c’est à dire alterner nos mouvements, quand l'un avance, l'autre recule. C'est l'idéal ainsi, tous les trois avons du plaisir. Sentir sa queue frotter contre une autre dans un corps de femme est un plaisir qu'il ne faut pas rater tant il est super bon.
Sans nous consulter nous bougeons lentement pour faire durer ce bonheur et pour rendre encore plus importante cette lente montée du plaisir qui nous envahit. Il devient vite délicieusement insupportable. Nous faisons un drôle de trio que les mélomanes n'aimeraient pas car nous gémissons, soupirons, crions parfois, en chœur aucune harmonie musicale mais bon sang quel p.......de pied nous prenons là !
Et soudain, Valy se raidit, pousse un rugissement et s'écroule sur son frère en gémissant, elle jouit. François et moi continuons à bouger un moment en elle, pour prolonger son plaisir mais nous ne pouvons pas résister beaucoup, nous nous retirons de Valy qui s'affale sur le lit, presque inconsciente. François et moi retirons nos capotes et nous mettons en 69 pour nous boire.
Quel régal de se vider dans une bouche qui aime ça ! Nous prenons garde de ne pas tout avaler pour en faire profiter notre Valy. Celle-ci refait surface lentement, nous regarde en souriant, repue, satisfaite, heureuse. François et moi lui prenons la bouche chacun notre tour pour lui offrir ce qu'il reste du bonheur qu'elle vient de nous donner.
Épuisés, nous nous levons pour grignoter et boire quelque chose et revenons à la chambre. Nous nous allongeons, Valy entre nous deux. Nous échangeons des câlins, presque en silence et nous nous endormons. Blottis les uns contre les autres. Tard, très tard dans la nuit, une sensation sublime me réveille tout doucement. Que se passe-t-il ? J'allume la lumière et je vois ma Valy à genoux entre François et moi qui s'occupe de nos bites, de la main et de la bouche, avec douceur et délicatesse. Valy est à son affaire, elle roucoule de plaisir en nous faisant ça. Jolie vicieuse qui prend plaisir à donner du plaisir. Tout ceux et celles qui ont été réveillés par la bouche de leur partenaire savent quel plaisir inégalable on éprouve.
Impossible d'imaginer plus agréable réveil que de subir les délices distribués par las mains et la bouche de Valy sublime vicieuse. François et moi sommes au paradis. Mes yeux se jettent sur la bite de François. Superbe radis noir qui me fait frémir d'envie. Je préviens tout de suite Valy, avant qu'elle ne réagisse :
« Valy chérie je veux que ton frère m'encule, ça fait quelques temps qu'elle me manque sa queue !
- Ok, mon Bruno mais tu me prends en même temps… »
François et moi nous nous levons. Valy s'allonge sur le bord du lit et je la pénètre d'un seul coup comme elle aime. Elle est déjà toute mouillée. On se sent bien en elle. Je ne bouge pas, j'attends que François me pénètre. Il présente sa queue devant mon entrée, elle est humide d'envie. Son gland caresse un instant mon anus puis il entre, doucement jusqu'à que son ventre c laque sur mes fesses. Je pousse un gros soupir de plaisir.
Quelques secondes d'immobilité pour apprécier notre position, puis je donne un rapide coup de rein qui fait crier Valy. Son frangin ne bouge pas, il me laisse faire un moment. C'est moi donc qui donne le rythme. On joue au p'tit train en poussant des grognements de plaisir. C'est un pur bonheur de sentir cette bite longue et épaisse aller et venir en moi. Je suis bien rempli, Valy aussi est pleine, elle gémit de plus en plus fort à chaque fois que mon gland frappe au fond d'elle. Je suis en général silencieux, mais là je ne peux m'empêcher d'imiter ma copine tant son frère me fait du bien.
Je remue mon bassin pour bien exciter le gros pieu de François qui ne tarde pas à jouir. Je le sens exploser en moi, il m'inonde le ventre, dans notre excitation et notre envie de baiser, on n'avait pas enfilé de capotes. Faut dire que le Sida commençait juste à montrer le bout de son nez, on n’avait pas encore le réflexe automatique. Par chance, nous n'avons jamais eu de problème. Sentir les jets de sperme gicler en moi m'a fait jouir à mon tour en Valy. Sentir ma crème gicler en elle lui provoqua un orgasme formidable. Et comme nous sommes tous les trois d'affreux cochons gourmands, nous nous sommes léchés l'entrejambe pour profiter de ce qui sortait de nous.
Voilà de quoi nous conforter dans l'idée que l'amour avec toutes les fantaisies qui tournent autour est une sacrée belle invention. Nous étions presque à l'aube, aussi avons-nous continué à nous aimer, un peu partout dans la maison. Un temps de repos pour le repas de midi qui fut occupé seulement à manger, ensuite une sieste très crapuleuse où je rendis à François sa politesse en l'enculant à mon tour. Puis il repartit chez lui nous laissant seuls Valy et moi. Pendant très longtemps il revint chez moi abriter ses amours avec sa sœur jusqu'à ce qu'il cesse définitivement de baiser avec elle car il rencontra l'amour. Ce qui ne l'empêcha pas de venir de temps me voir pour me donner un de mes plaisirs préférés: Être sodomisé.
Valy, quant à elle, quitta la société où je bossais, ce qui ne nous empêcha jamais de nous rencontrer et nous faire l'amour jusqu'à ce qu'elle aussi, habitude familiale rencontre l'amour, se marie et devienne une trop sage mère de famille.
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