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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

La JAP - Partie 3

Par Alain

 

Drôle de rencontre.

 

Maître Leslie B. , l'avocate de Lise, pianotait avec impatience contre la paroi de l’ascenseur qui l emmenait vers la pièce des archives. Le report de son rendez-vous avec la JAP l'avait d'abord contrariée. Mais, la petite visite qu'elle venait de faire à Lise, sa cliente, avait été terriblement fructueuse : le récit des ébats torrides de Lise avec la JAP et la petite culotte de celle-ci comme pièce à conviction, voilà des armes terribles dans une "négociation".

 

Elle se surprit à sourire, en s'imaginant bousculer, à son tour, la JAP, qui semblait avoir bien apprécié les manières un peu brutales de Lise... Très tentant.


La porte de l'ascenseur s'ouvrit enfin et elle s'élança d'un pas vif vers la porte d'en face, manquant bousculer Séverine et Théo qui en sortaient... Décidément, quand on parle du loup, la queue n'est pas loin.. Et la queue, elle n'aimait pas, si ce n'est celles en plastique dur qu'elle s'accrochait à la taille, pour chevaucher de frêles jeunes filles.


A peine entrée, elle se figea. Il flottait dans l'air « des effluves de parfum, de sueur, et de sexe », se dit-elle. Ces deux là viennent de baiser ici…


Leslie ne mit pas longtemps à trouver les pièces manquantes du dossier de Lise, vaillante petite soldate de cette cause qu'elles défendaient toutes les deux, avec des armes, certes bien bien différentes. Elle avait trouvé Lise complètement survoltée après la visite de la juge et les baisers qu'elles avaient échangés de manière furtive avaient le goût de la JAP... Elle avait dû laisser Lise aller se calmer toute seule dans sa cellule, sous le regard acerbe de ses compagnes d’infortune.


« Courage Lise, tu vas bientôt pouvoir respirer l’odeur de la chatte de cette juge, fais-moi confiance... »

Cette pensée l'émoustilla fortement, au point d'avoir envie de se caresser, mais patience... Maintenant, à nous deux, madame la Juge ! C'est à mon tour de m'amuser avec vous... et ça me fait mouiller terriblement !


Dans son bureau, Céline avait retrouvé tous ses esprits. Elle mesurait la portée de ses paroles imprudentes sous l'emprise du plaisir, ce plaisir trouble, nouveau et violent qu'elle avait ressenti profondément. Après tout, ce ne sont que des paroles… Repousser la mise en liberté lui permettait de se « racheter » à bon compte pour s'être laissée allée.  Mais, le plaisir éprouvé, elle voulait le connaitre à nouveau, sa simple évocation la troublait... Pourquoi ne pas essayer avec d'autres ?


Elle sursauta lorsque Séverine, passant la tête par la porte à demi ouverte, lui annonça l'arrivée de Maitre B.

Un instant, leurs regards se croisèrent. La secrétaire avait-elle deviné, lu dans ses pensées ? Pas le temps de gamberger, Leslie B. s'avançait, la main tendue, le sourire carnassier, grande femme blonde que la robe noire rendait encore plus mince et élancée, séduisante même...

Elle l'invita à s'assoir, mais celle-ci déclina cette offre, préférant plaider debout la cause de sa cliente.


Malgré toute son attention, Céline se laissait porter par les mouvements de manche, entrainant des effluves de parfum dans leur sillage. La robe noire, qui n'était pas boutonnée jusqu'en bas, laissait échapper parfois une jambe au mollet parfaitement galbé, qu'elle se surprit à caresser du regard.


Maitre "lesbi" B., à en croire la rumeur circulant au palais et le surnom dont certains l'affublaient, sans doute après avoir été éconduits sèchement, Maître Leslie B. jouait le grand jeu, avec bien du charme…


Elle se dressait, immobile, silencieuse, les mains posées sur le bureau, penchée en avant, à quelques centimètres de la JAP, attendant sa décision.

Tout en développant ses arguments, elle n'avait pas quitté des yeux la juge, cherchant à mesurer l'impact de ses mots, mais aussi de sa" danse de la séduction" et elle avait cru capter le trouble de la juge…

Céline, après quelques formules de politesses, annonça son refus d'accorder la liberté...

« Petite salope...

Céline s'était redressée, le stylo à la main, incrédule.

- Je ne...Oh non....

La petite culotte jetée devant elle sur le bureau, la fit tressaillir, prête à défaillir.
- Tu baises avec elle et tu ne veux pas la laisser sortir ? »


Elle parlait à voix basse mais ces mots faisaient mouches, paralysant la juge.
L’avocate avait fait le tour du bureau, forçant Céline à se tourner vers elle. D’un geste vif, elle avait glissé sa main entre les genoux de la juge, la forçant à les ouvrir et le sourire de l'avocate ne laissait aucun doute sur ses intentions.

« Madame la JAP ne porte pas de culotte ? Et pour cause ! »


Céline, dans un sursaut, chercha à la repousser, à se révolter mais, impossible de crier… Son esprit et son corps semblaient vaincus.

Elle s'abandonna aux doigts de la blonde qui en profitait pour la caresser, forçant sans

mal le barrage de ses petites lèvres déjà bien humides.

« Oh non », murmura-t-elle dans un soupir…


le piège s'était refermé sur elle, elle luttait pour ne pas jouir. Mais la peur d'être surprise ainsi la faisait fondre encore plus...

« Tu mouilles de peur, tu pourrais te faire pipi dessus... »


L'avocate retira brutalement ses doigts, cette situation l’avait terriblement excitée aussi mais, pour le moment, cela devait suffire.

Elle enfonça ses doigts brillants et humides dans la bouche de Céline.

« Lèche-les bien, petite salope, avant de me dire ce que je veux entendre... sinon... »


Les joues en feu, lu jupe retroussée très haut, le cœur battant à se rompre, Céline articula bien fort la proposition de mise en liberté, tandis que la main de l’avocate s'égarait sous son chemisier, lui tripotant la poitrine sans beaucoup de douceur...
« Signe ! »

 

Et la juge s'exécuta encore.

«  Lise avait raison, tu es vraiment une petite salope et cela me donne envie de fêter ça... Tu ne peux pas nous refuser cette invitation, disons, demain soir… Et bien, au revoir Madame la Juge, et merci encore pour maa cliente... »

 

Avant d'ajouter, plus bas :

« Tu devrais surveiller tes adjoints... je suis sur que le greffier baise ta secrétaire ! Décidément... Vous faites une sacré équipe de vicieux… »


Les apparences sont si importantes dans ce monde, un seul grain de sable et elles s'écroulent, se révèlent trompeuses, vous laissent nue et sans défense si elles viennent à disparaitre...

La petite culotte n'était plus sur le bureau...

 

Ce dernier point laissa la jeune juge dans un état de panique absolue, pourtant mêlées d’excitation…

 

 

Enfin seule…

Céline s'était littéralement effondrée sur son bureau. en quelques minutes, il lui semblait que sa vie avait basculé, qu'elle ne la maîtrisait plus, la faute à cet instant d'égarement. Elle voyait sa carrière menacée, le goût de la peur, de la honte se mêler à celui de ce plaisir trouble qu'elle avait, par deux fois, découvert et éprouvé.... Et puis, il y avait la rage... La rage de s'être laissée manipulée, tripotée par cette femme et d'en avoir ressenti du plaisir, et même, l'envie d'aller plus loin...


Plus rien à quoi se raccrocher, si ce n'est ce désir qui la torturait toujours, ce désir d'avoir du plaisir, encore et encore !

Arriver à faire le vide... pleurer un bon coup, comme pour laver son esprit et son corps. Ou se précipiter encore dans « la petite mort »....


Il fallait qu'elle rentre chez elle, prenne un bon bain, un verre de vin, même plusieurs..
Les yeux fermés, elle s'était mise à rêver, à un long massage sensuel et parfumé qui finit par dégénérer en caresses plus intimes... Mais Pierre n'était pas là, il ne rentrait que le lendemain. Et demain, il y a cette saleté d'invitation... 

« J’aurais du refuser ! Mais je ne pouvais pas refuser ! »


Elle se redressa, passant ses mains dans ses cheveux pour les repousser en arrière. Pierre adorait ce geste qu'il trouvait très sensuel.

Trois petits coups à la porte, rendez-vous suivant.


Elle entend Séverine qui refuse, presque brutalement, l'invitation de Théo qui se propose de la raccompagner. Une autre fois, peut être, car son mari vient la chercher.
« Et ces deux-là, se dit elle, est ce que c'est vrai ? »

 

Cela lui arrache un sourire, et puis alors, elle les imagine, enlacés sur le bureau, au milieu de dossiers éparpillés !

« Allons, ce n'est pas sérieux... Et pourtant, je marche à fond ! »


Deux heures plus tard, Céline peut enfin quitter le Palais, épuisée par cet après midi déconcertant.
Elle ne sait pas que Pierre, son mari, haut fonctionnaire européen, a déjà rejoint leur appartement, plus tôt que prévu grâce à l'amabilité et la voiture d'un de ses collègues. Voyage agréable en compagnie de cet homme affable, proche de la retraite, et de sa jeune épouse (la troisième avait il précisé). Échange de cartes. Invitation à diner... 

« Pierre, vous savez, nous serions heureux de vous recevoir, mon épouse et moi nous aimons aussi organiser de petites soirées un peu spéciales, entre gens de bonne compagnie, vous me comprenez, n’est ce pas ? Éléonore, vous contactera. A bientôt, cher ami. »


Pierre les avait remerciés, plutôt embarrassé par la proposition à peine voilée et maintenant, il préparait un petit diner surprise sur le mode sucré, salé et épicé, le parfait prélude à une partie de jambe en l'air, petit rituel lié au plaisir de se retrouver, manière de l'exprimer aussi.

 

Quelques bougies parfumées sur la table dressée sur la terrasse qui surplombait la ville, au sommet d'un immeuble cossu du centre. Tout était prêt lorsque la porte de l'ascenseur de leur duplex s'ouvrit devant Céline.

« Surprise... » s'écria-t-il, un peu décontenancé de voir Céline presque atterrée par sa présence inattendue.

 

Mais très vite, elle vint l'enlacer pour masquer son trouble, posant ses lèvres sur les siennes pour un long baiser qu'elle semblait prendre plaisir à prolonger, comme pour se faire pardonner.

 

Tendre partie de cache-cache, langue contre langue, douce sensation humide, chaude, voluptueuse comme la caresse de son parfum. Elle se laissait toucher, les hanches puis les seins, avait glissé ses mains sous le polo de son mari, sur son torse, puis lui caressait les fesses, se frottant contre son entre jambe. Il bandait, même les crissements de leurs vêtements qui se froissaient l'excitaient.

Il lui faisait de petits bisous dans le cou, la forçant à se cambrer.


Elle finit par se redresser, passa sa main dans ses cheveux d'un geste lent, en le regardant, puis se mit à déboutonner sa veste de tailleur qui vint s’échouer sur le sol.
Après tout, voilà mon roc, ma bouée de sauvetage, elle le regardait d'une manière un peu lascive. j'ai envie qu'il me baise, comme jamais, là sur le carrelage de la terrasse, pour tout oublier.. au moins un moment et après....

 

Pierre était un peu perplexe mais la froideur puis la moiteur torride mais équivoque du premier baiser s'étaient dissipées. De nouveau, Céline l’avait embrassé, s’était collée à lui et il s'était enhardi. Fébrilement, ses mains avaient retiré le chemisier de la jupe et elles couraient sous le tissu, sur le ventre, sur la poitrine encore emprisonnée par le soutien-gorge. Céline n’était pas reste, sa langue frétillait sur le torse, les tétons tout durs de Pierre qu'elle mordillait.


Il l'avait renversé contre le rebord, dégrafant son chemisier et son soutien-gorge d'un geste sur malgré l'excitation, rien de tel pour faire retomber l'ambiance si les doigts s'emmêlent, se troublent…

 

« Préfères-tu mes seins ou mes fesses ? » lui demandait-elle souvent.

Voilà bien une question de fille... attention à la réponse qui risque de fâcher ! Et il répondait invariablement, d’une manière très provocante pour un homme policé, en chantonnant :
« J'adore sucer tes gros seins et baiser ton cul joufflu, alors viens vite, tourne-toi que je t'encule... »

Il s'accrochait à ses fesses, les pelotant à travers la jupe, le visage plongé entre les seins de sa femme qu’il léchait avec délectation...

Elle se laissait faire, en se demandant quelle tête il allait faire en constatant l'absence de petite culotte sous sa jupe, d'autant que son sexe était plus que trempé, qu’elle devait déjà tacher sa jupe...

« Plus tard », se dit-elle.


Il aimait les seins de Céline, leur galbe qui faisait se dresser fièrement deux petits tétons rosés, il aimait les prendre à pleine main, les presser, caresser de l’index, mordre la pointe tendue, lécher le bout qui durcissait, devenait tout grumeleux sous la langue, tant il était sensible. Il en avait la queue toute raide, à l'étroit dans son caleçon. La jambe relevée, elle se frottait contre la bite, en cherchait le contact, plongeant sa main sous son pantalon. Pierre passa alors sa min sous la cuisse de Céline, remontant sous la jupe, la retroussant au passage, pour s'échouer sur sa fente glissante, les lèvres gonflées et toutes ouvertes.


L'absence de culotte avait provoquée comme une décharge dans le cerveau de Pierre, une excitation supplémentaire qui avait failli le faire gicler entre les doigts de Céline, toujours plongés dans son pantalon à demi déboutonné. Heureusement, elle se libéra un peu de sa étreinte, luire permettant de se mettre plus à l'aise.


Bien sur, ils avaient déjà joué à ce jeu de la séduction mais il n'imaginait pas que Céline put aller travailler sans cet accessoire...Troublant...

Céline, pour couper cours à toute question, pour cacher sa gêne aussi, s'était agenouillée et s'était mise à le sucer. Elle adorait le faire, prendre son gland humide et décalotté, tout doux, dans sa bouche, le lécher comme une glace dont on veut faire durer le plaisir et la sensation qu'elle apporte.. Puis, toujours troublée, était retournée pour lui offrir le spectacle de ses fesses tendues, de sa moule offerte, qu'elle caressait.


Elle tourna son visage vers lui, rouge de désir.

« Allez... Mets-la moi, » gémit-elle, cherchant à agripper sa bite pour la guider entre ses cuisses.

 

Le gland dérapa sur les lèvres humides mais d'une ruade, elle le fit pénétrer et s'enfoncer comme dans du beurre entre les parois de son vagin tout contracté qui s'écarta d'aise, enveloppant l'intrus.. Elle continua même ses mouvements, toute concentrée sur le frottement provoquant des secousses de plaisir de plus en plus fort. La bite épaisse forçait les muscles qu'elle s'évertuait à serrer le plus fort possible... et cette lutte était inégale...

 

Pierre eut l'impression que sa queue allait exploser lorsque toute la tension, toute la rage ressentie par Céline s'était libérée dans un orgasme énorme dont les ondes semblaient lui électriser tout le corps. Les yeux fermés, un cri "qui ne pouvait pas sortir" au bord des lèvres, elle se sentit fléchir lorsqu'il explosa à son tour, libérant de longues giclées presque douloureuses tant l’excitation était palpable. Elle s'était affaissée, l'entrainant avec sur le sol froid. Mais, elle n'était pas rassasiée, elle en voulait encore… Elle voulait qu'il la baise encore, qu’il l'encule avec vigueur, elle le voulait encore en elle, elle voulait encore jouir, le faire jouir et oublier, mais peut on oublier....


Elle s'était agenouillée au dessus de son visage, les cuisses écartées et, penchée en avant, jouait avec sa bite toute ramollie, avec sa bouche agile et sensuelle. Elle n'hésitait pas à la branler lorsqu'un peu de vigueur était apparue. Elle sentait la langue de Pierre contre ses petites lèvres, contre son clitoris tout tendu et sensible. Puis son index s'était introduit dans son petit anneau de chair tout étroit et resserré, après que sa langue l'ait bien exploré. Il bandait à nouveau. Lentement, elle roula sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, écartant les lèvres de son sexe, la jupe remontée sur le ventre.il ne la quittait pas des yeux, lui aussi avait encore envie, envie de donner, de partager, de recevoir, encore et encore...

 

Il la pénétra avec force, faisant tressauter le corps de Céline, ses seins ballotaient, les pointes dressées sous ses yeux, puis , plus lentement, variant le rythme à l'infini pour aboutir au septième ciel.

Elle s'était mise à quatre pattes, il avait empoigné ses fesses après s'être enfoncé dans son anus dilaté par les caresses et sa langue.

 

Elle criait, se débattait un peu, mais en donnant de grands coups de fesses en arrière, ce qui augmentait encore la sensation, d'autant plus qu'elle s'était enfoncée plusieurs doigts dans la moule. Des images s'entrechoquaient dans son esprit, Leslie la sodomisant avec un énorme gode tandis que Lise lui léchait le clitoris. Pierre a fini par jouir une seconde fois, libérant quelques gouttes de liquide translucide sur son anus dilaté.


Ils restèrent longtemps allongés sur le sol, la pénombre les protégeait encore, mais pour combien de temps ?

Le diner était froid.

Céline se dit : « Demain est un autre jour... »

 

Par Alain - Publié dans : Vos contributions - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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