Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Oana, roumaine de quarante ans, est employée au château comme femme de ménage.
Le baron et la baronne sont très gentils avec elle. Il n’en est pas de même pour leur fille,
Chlothilde, jolie blonde de vingt-deux ans, récemment mariée.
En effet, celle-ci n’hésite pas à l’humilier devant ses amis, lors de réceptions au château, se moquant de son physique. Il est vrai que comparé au corps parfait de la jeune épouse, Oana est un peu complexée. Elle n’a rien d’un top model. Pas très grande, assez enveloppée, cheveux noirs geai mal entretenus.
Rien à voir avec la beauté plastique de la jeune fille. Elle accepte très mal les allusions de Chlothilde. Elle attend la faute, murit sa vengeance.
« Qu’un jour je t’attrape, et tu vas le regrette, ma petite. Tu vas en baver, » rumine-t-elle.
Oana connait la vie tumultueuse de Chlothilde, qui n’est pas la première sur le podium de la fidélité. Elle n’est pas farouche, aime prendre du bon temps. On lui sert un verre, elle le boit, On lui offre une cigarette, elle la fume, on lui offre une bite, elle la suce. Seule une relation lesbienne la répugnerait, sentir les mains d’une femme parcourir son corps, la débecte.
Cette semaine, le baron et la baronne, sont partis pour affaires. Ils ont emmené Pierre, leur gendre. Il faut bien le former, car plus tard, c’est lui qui reprendra l’affaire familiale. Connaissant leur fille, ils ont laissé des consignes à Oana. Elle doit contrôler les messages sur le téléphone, sur internet. Elle lit même un ancien sms de Kader, le jeune jardinier, sur le portable. Une mine d’or pour l’employée de maison.
Ce jour là, elle arrive au château vers dix-sept heures. Chlothilde est dans la salle de bains, en train d’avoir justement une communication plutôt chaude avec le jeune beur.
« Allez Kader, déconne pas, ça fait trois jours que tu m’as pas baisée à fond. Je te taillerai une pipe, tu m’en diras des nouvelles… S’il te plait… Oh la, demain ? Boon, ok… »
Oana suit la conversation par l’entre-bâillement de la porte. Elle voit les vêtements de rechange sur le plan de toilette. Elle ferme la porte derrière elle et se cache derrière une cloison en verre martelé.
Sans se douter de rien, Chlothilde, nue, admire son corps devant le miroir de la salle de bains. Doucement, elle se masse le cou, caressent les seins.
« Vous êtes en manque de caresses mes chéris, pourtant vous êtes si beaux », se dit-elle.
Puis les mains descendent lentement, épousent le galbe parfait des hanches, palpent les fesses. Une main vient se loger entre les cuisses, lisse le fin duvet de la chatte. Cette minutieuse opération a pour effet de donner des frissons à tout son corps… une agréable sensation envahit ses entrailles.
N’y tenant plus, elle s’assied sur le bidet, appuie sa tête contre les faïences. Elle écarte ses jambes presque à cent quatre vingt degrés. La jeune femme ferme les yeux. Un doigt court sur la fente humide, une main caresse un sein, fait rouler le bout entre ses doigts, puis les mains se rejoignent entre les cuisses, deux doigts écartent les lèvres gorgées d’excitations, et pénètrent la chatte.
« Oh ma petite chatte… soupire-t-elle. Comme tu es mouillée… Tu as besoin d’un coup de bite ! Attend ma chérie, je vais jouer avec toi… Ha, ha, tu aimes salope ! Et toi mon petit bouton, je vais bien te décalotter, bien te doigter… Hum, que tu es dur ! Ah que c’est bon de se branler ! Ha oui… Je vais jouir ! Oui, crache salope, oui… ouiiiiiii… »
Chlothilde se cambre sur ses pieds, envoie des coups de reins vers la vasque de la salle de bains. Elle se regarde jouir dans la glace face à elle. Son corps tout entier est pris de spasmes. Elle hurle de plaisir, sort ses doigts plein de mouille, les portent à sa bouche, et les lèche. Le surplus s’écoule de la chatte dans le bidet.
« Hum…que c’est bon… il va falloir que je me trouve un mec dès que possible ! j’ai trop envie qu’un gros pieu me défonce la chatte à fond ! »
Elle ferme les yeux à cette douce pensée…
Elle sursaute quand elle ouvre les yeux. Oana, debout devant elle, la regarde en souriant.
Mais son sourire en dit long sur ses intentions.
« Oh, dit Chlothilde en mettant une main devant sa bouche, mais comment es-tu rentrée ? »
Oana s’approche d’elle, et caresse tendrement la joue de la jeune femme d’un revers de main.
« Mais par la porte, tout simplement, répond l’employée de maison, elle était ouverte.
Alors comme ça, on a envie de se le faire mettre, de tromper son mari ? Ce n’est pas gentil, ça belle dame !
- Heu… Mais non, je disais çà comme ça, bafouille Chlotilde. Tu comptes faire quoi, me balancer ? Ou puis-je compter sur ta discrétion ? »
Oana glisse une main entre les cuisses toujours ouvertes. Interloquée, Chlothilde essaie de bloquer le bras. Sa bonne lui fait les gros yeux, parvient à enfoncer deux doigts dans la chatte, et les portent à la bouche de Chlothilde.
« Tiens, sourit-elle, il en reste encore. »
Tel un automate, Chlothilde lèche les doigts.
« De quoi on parlait déjà ? Ah oui, de discrétion. Mais ça dépend de toi, ma chérie. Je veux que tu sois docile, que tu m’obéisses au doigt et à l’œil… »
Oana se penche sur Chlothilde pour lui prendre les lèvres. Celle-ci la repousse brutalement.
« OK...apparemment, tu n’as pas compris, dit-elle. Tchao.
- Non, non, pars pas, implore Chlothilde. Qu’attends-tu de moi ?
- Je veux juste jouer avec toi, te goder, répond Oana.
- Mais je ne suis pas une gouine… j’ai jamais fais ça, pleure Chlothilde, honteuse de subir de chantage de son employée…
- Ca n’a jamais tué personne, reprend l’employée, tu vas voir comme c’est bon. Attends, on va bien trouver quelque chose. »
Oana ouvre l’armoire de toilettes, et en sort un tube de dentifrice de dix-huit centimètres sur quatre de diamètre, et une bombe de laque de vingt-cinq centimètres par cinq. Elle fixe les bouchons à l’aide d’un sparadrap rugueux.
Chlothilde, stupéfaite assiste à la préparation de ces engins de plaisirs si inhabituels. Elle ouvre grand les yeux en voyants les deux engins. Jamais elle n’aurait imaginé se faire baiser par du dentifrice et de la laque ! Est-elle tombée si bas ? Comment ses appétits sexuels ont-ils pu la mener à cette déchéance ?
« Kader a du déjà te prendre en levrette, n’est-ce-pas ? Tu aimes cette position ?
- C’est ma préférée, se surprend à répondre Chlothilde. Mais comment connais-tu Kader ?
- Peu importe, mets-toi en place ma chérie, bien écartée, d’accord ? »
Sans un mot, très excitée malgré tout, Chlothilde obéit, se met à quatre pattes, en se demandant quel calibre va aller dans quel orifice… Elle est de plus en plus trempée à l’idée d’être perforée par un objet. Ses doigts sont bien trop courts et fins…
Oana se met à genoux à côté d’elle, caresse le dos, puis insinue une main entre ses cuisses. Les doigts pénètrent la grotte encore humide, barbouille le petit trou bien offert à sa vue. Oana prépare sa soumise du jour en lui doigtant les orifices, arrachant déjà les premiers gémissements. Le traitement peut commencer.
La bombe de laque caresse la fente de la jeune femme, écarte les lèvres, et s’enfonce doucement dans l’antre chaud du vagin inondé. Chlothilde pousse un râle de plaisir au moment du passage du sparadrap. Petit à petit, l’objet prend sa place, en faisant des va et vient dans la grotte d’amour pleine de mouille.
« Oh putain, gémit-elle. On dirait Kader ! Vas-y… Baise-moi ! C’est bon tu sais… »
Tellement bon que Chlothilde ne se rend pas compte qu’en même temps, le tube de dentifrice a dilaté son petit trou bien plus que d’habitude.
Oana s’aperçoit avec plaisir que le deuxième orifice n’offre aucune résistance, qu’il n’en est pas à sa première pénétration.
« La chienne, pense-elle. Elle cache bien son jeu, la baronne !
Là, Chlothilde ne peut s’empêcher de crier. Oana enfonce le tube en entier. Il aurait fallu plus gros…
Tout est en place, Oana peut mettre en œuvre ce qu’elle rêve depuis longtemps : soumettre la pimbêche hautaine. Par contre, elle ne se doutait pas que Chlothilde prendrait autant de plaisir. Sa satisfaction en est un peu amoindrie.
La jeune baronne cambre sa croupe, donne de violents coups de reins, pour aller à l’encontre du calibre qui la baise, et de celui qui l’encule. Les cris de plaisir s’intensifient. L’orgasme est terrible, intense, fort comme jamais avant.
« Haaaaaa…. haaaaaaa… ouiiiiii… ouiiiii…
- Vas-y, petite salope, sourit Oana. Lâche toi, crie, crie, il n’y a que nous dans la maison ! »
Chlothilde sent la sueur couler sur ses joues, la mouille cyprine sur ses cuisses.
Lentement, Pana retire les deux godes improvisés des entrailles de la jeune femme.
« Oh non, soupire celle-ci, encore ! S’il te plait, s’il te plait…
- Assez pour aujourd’hui, répond Oana. Ce soir, c’est toi qui fais le service. Ne tarde pas trop.
- Comment ça ?
- Eh oui, on ne s’arrête pas là. tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte ! Ce soir, tu me sers à table, en tenue de bonniche, s’il te plait ! S’il ne te plait aussi, d’ailleurs. Sinon, ton mari et tes parents sauront quelle salope tu fais… »
Oana quitte la salle de bains, en emportant la petite culotte de Chlothilde.
« Mais… laisse mon string, proteste cette dernière.
-Tu n’en as plus besoin », sourit l’employée.
Chlothilde ne peut qu’obtempérer. Le reste de sa journée se passe à se demander comment elle va être traitée par sa bonne. Elle commande un repas, incapable d’en préparer un elle-même.
Oana passe à table vers vingt heures. Chlothilde la sert à table, simplement vêtue d’une minijupe, couverte par un mini tablier blanc, et d’un petit haut. Elle se place à la droite d’Oana pour la servir. Brusquement, l’employée de maison glisse une main à l’intérieur des cuisses, et remonte vers la chatte. Chlothilde monte un genou sur la table pour lui faciliter la tâche. Difficile de plus s’offrir aux caresses odieuses d’Oana !
Deux doigts écartent les lèvres intimes, gorgées d’excitation, et pénètrent vivement la jeune femme. Le pouce lui, taquine le petit trou, qui s’ouvre sous la caresse.
« Mais cette petite chatte est encore toute mouillée, la vilaine. Et ça, si dur, c’est quoi ?
- Tu le sais, gémit Chlothilde, c’est mon clitoris. Vas-y, doigte le, J’ai envie… Allons au lit… »
Mais Oana refuse. Elle oblige Chlothilde à se coucher sur la table, bras et cuisses écartées. Excitée par ce nouveau jeu, la baronne se laisse faire. De sur une chaise, la bonne sort des liens, et attache la jeune femme par les poignets et ls chevilles, solidement arrimés aux chaises qui entourent la table.
Elle attend, à la fois impatiente et inquiète, le traitement qui l’attend. La porte s’ouvre, et stupéfaite, elle voit Kader entrer, nu comme un vers, la queue érigée vers le plafond.
« Alors ma belle, on joue sans moi ? Ce n’est pas bien ça, tu avs devoir m’obéir en tous points… »
Incapable de formuler un mot, Chlothilde acquiesce d’un mouvement de ttëe. Oana revient devant elle. Elle aussi est nue, un bras derrière le dos.
« Regarde, Kader, cette pute est prête à tout pour baiser. Eh bien, on va lui en donner. Et pour garder des souvenirs, on va filmer le tout… »
La jeune baronne panique, et tente de protester. Mais d’un bond, Elle monte sur la table, et bâillonne sa maitresse de sa chatte.
« Tais-toi, et lèche ! »
Sans pouvoir dire un mot, elle sort sa langue et entreprend de fouiller les chairs odorantes qui l’étouffent à moitié.
Elle se remet à peine de cette situation, qu’elle sent le gros pieu familier de Kader s’enfoncer dans son abricot bien ouvert. D’habitude, il fait preuve de plus de tendresse.. Mais là, il la baise sauvagement, sans aucun ménagement. Elle entend ses employés s’embrasser au-dessus d’elle. Elle en est jalouse. Comment elle, Chlothilde, Baronne de M… en est-elle arrivée là ???
La vision qu’en aurait un voyeur extérieur est fort excitante. : une jeune femme allongée, écartelée, pieds et poings liés, un homme la besognant vivement et une femme, assise sur sa bouche, se tordant de plaisir sous la caresse linguale...
Ils décidèrent de changer de position ! Oana se souleva, et vint se positionner à quatre pattes au-dessus du visage de sa maitresse. Kader sortir du vint de l’une, pour entrer dans le vagin de l’autre. Chlothilde entreprit de dévorer les couilles qui passaient à sa portée, ne négligeant pas le clito sur excité de son employée.
Par moment, le jardiner enfonçait d’un coup sa bite dans la gorge de la baronne. Elle le pompait alors comme si ca vie en dépendait. Pendant un long moment, il baisa alternativement la chatte de la servante, et la bouche de la baronne. Il finit par jouir, jutant au fond du vagin un foutre épais et chaud. Il s’affala sur elle, épuisé.
Quelques secondes après, un flot de cyprine inonda le visage de la jeune femme, la jouissance de sa bonne secouée de spasmes de plaisir la fit s’étouffer à moitié. Compatissant, Kader se souleva pour qu’elle respire enfin.
Les deux employés de maison la contemplaient dans cette position si humiliante pour elle. Toujours attachée aux chaises, les cuisses ouvertes, la grotte intime dilatée…
Ils riaient de plaisir…
« On va quand même la faire jouir, tu ne crois pas ? demanda Kader à Oana.
- Oui, si tu veux, je me charge d’elle. Mais je veux encore ta bite dans mon cul !
- Détachez-moi, implora la jeune femme.
- Non, pas tout de suite, on n’en n’a pas encore fini avec toi ! »
Elle émit une plainte dont non en savait pas si c’était de douleur ou d’impatience…
Oana remonta sur la table, et se mis en levrette, le cul offert à Kader. Il prit de la mouille et du sperme mélangés dans l’intimité de Chlothilde, qui n’osait plus rien dire… Il lubrifia l’anus de la servante, pendant qu’elle commençait à lécher la chatte crémeuse de sa patronne. D’un doigt inquisiteur, il dilata la rondelle brune, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre de façon satisfaisante. Il cracha pour accentuer la lubrification et prit son élan pour d’enfoncer d’un seul coup de rein dans l’anus. Il avait surement vu d’autres, car il s’ouvrit facilement sous la poussée assez brutale.
Cette dernière fit basculer Oana sur la chatte qu’elle mangeait, et elle croqua par inadvertance dans les chairs rouges.
Chlothilde poussa un hurlement qui déchira le silence du château. Le temps fut comme suspendu, et les sanglots de douleur et d’humiliation de la jeune maitresse raisonnaient dans la grande pièce. Presqu’avec tendresse, la servante embrassa l’abricot meurtri, et calma la fouleur à petits coups de langue. Kader ne bougeait plus. Et lentement, il reprit sont va et vient, pour que la servante bécote en rythme la fleur dévastée. Petit à petit, les plaintes de Chlothilde se muèrent en soupirs de plaisir.
Elle ondulait de plus en plus sous la langue agile de sa bonne.
« Oh oui, vas-y, bouffe-moi, mange ma chatte, tu es une salope. Mais je t’aime !
- Tu n’es qu’une chienne qu’on baisera à volonté, continua Kader.
- Oh oui, on recommencera, haleta la jeune femme. Oh ouiiiiiiiiii je vais jouir, je viens, je viens… »
Ses derniers mots se confondirent avec un extraordinaire cri de plaisir.
Kader, défonçait de plus en plus le conduit anal d’Oana, qui cria elle-aussi :
« Défonce-moi, baise mon cul, crache ton venin ! »
Il ne se fit pas prier plus que ça, et il juta une nouvelle fois dans les intestins de la roumaine. Elle cria aussi, s’affalant sur Chlothilde.
Dans le silence retrouvé, les amants du soir imbriqués les uns dans les autres, repus de fatigue et de sexe, entendirent la porte grincer, et d’ouvrir. Effarés, ils virent le baron, la baronne et leur gendre entrer dans la pièce, muets d’horreurs de les trouver ainsi….
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