Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Cette histoire etant particulièrement longue et mysterieuse, elle est classée dans la rubrique " textes longs".
Cliquez sur le lien à la fin de cet extrait, pour le decouvrir en entier !
En voici un aperçu pour vous mettre en appetit...
(...)
Je me lève et prends les assiettes et couverts que j'emmène dans la cuisine, je les dépose sur l'évier. Retournant au jardin où nous venions de manger, je croise Jean. Nous échangeons un rapide petit baisé. Mariés depuis trois ans, nous sommes de plus en plus amoureux l'un de l'autre. Il va à son tour en cuisine déposer les plats qu'il tient sur l'évier. Je finis de débarrassée la table. Jeanne et René mes beaux-parents assis dans le jardin regardent la campagne silencieuse devant eux. Je croise de nouveau mon mari dans le couloir. Un nouveau et rapide petit baisé du bout des lèvres.
« Tu me rejoins à la ferme, ... Comme ce matin ? me dit-il tout bas en me souriant.
- Maintenant ? Attends, je dois remplir le lave-vaisselle et ranger un peu. Mais, je te rejoindrais après m'être douchée et changée.
- J'ai envie de toi. Ne me fais pas trop attendre mon amour sinon ... Je te le ferais payer ! Je t'aime, me dit-il en souriant et en m'embrassant.
- Il te faudra apprendre à être patient mon chéri ou à être beaucoup plus sévère. Je ris doucement.
- Ne me tente pas mon amour, tu pourrais amèrement le regretter. Surtout ne dis rien à mes parents. »
Je réponds par un petit baiser sur le bout des lèvres. Il me laisse seule. Je charge le lave-vaisselle, et commence à ranger la cuisine. La ferme où je dois le rejoindre est celle toute proche, inhabitée depuis des dizaines d'années. Elle est au fond d'une sorte de petite dépression, entourée d'arbres, pratiquement invisible pour ceux qui n'en connaissent son existence. Ce matin, Jean me l'avait fait visiter entièrement. Nous y avons fait l'amour, allongés sur le parquet d'une des chambres vides du haut. Ses parents gardent depuis des années la clé que leur ont confiée les propriétaires vivant eux dans la région parisienne. De temps en temps, une ou deux fois l'an, des personnes envoyées par les propriétaires, demandent à la visiter pour un éventuel achat qui ne se fait jamais. Jean, avait subtilisé la clé toujours accrochée au même endroit. Je mets en route le lave-vaisselle et monte dans notre chambre.
Avant de le rejoindre, je veux me changer. Je me dépêche, dix à quinze minutes plus tard, je suis prête. Une rapide douche et j'ai passé une simple robe en Vichy de couleur bleue. Je veux souhaiter une bonne soirée à Jeanne et René qui doivent être au salon. Seul René écoute et regarde la télévision, attendant les informations de vingt heures.
Jeanne, quant à elle, prend le fraisi juste à côté, dans un des fauteuils en rotin du jardin.
« Vous ne regardez pas la télévision Jeanne ?
- Cela ne m'intéresse plus guerre, tu sais. Vous allez surprendre les animaux ?
- Oui, nous allons le long de la route jusqu'au croisement du diable. Il me dit que nous verrons certainement des cerfs et des biches.
- Vous aurez de grandes chances d'en apercevoir. Surtout à cette heure, ne rentrez pas trop tard. Prenez la chienne avec vous, elle a l'habitude d'être silencieuse avec les animaux. »
Je souriais.
« Je vous souhaite une bonne soirée Jeanne. Bonsoir René.
- Toi aussi Sandrine bonne promenade et attention, il risque d'avoir de l'orage cette nuit. »
Je laisse mes beaux-parents et quitte la maison après avoir mis mes sandales. La chienne n'est pas dans la cour. Jean a dû la prendre avec lui. Contrairement à ce que je venais de dire à Jeanne, je ne tourne pas à gauche sur le chemin pour rejoindre la petite route qui se dirige ensuite vers la forêt. Non, je tourne à droite le long du bâtiment de l'ancienne grange en direction de l'ancienne ferme inhabitée. Comme beaucoup de personnes de cette région de France Jeanne croit vraiment aux légendes, aux superstitions moyenâgeuses qui sont encore très vivaces et nombreuses ici. Pour elle et pour beaucoup de monde cette ferme, cet endroit sont empreint de légendes, de souvenirs tous plus terrifiants et monstrueux, plus horribles les uns que les autres.
« Cet endroit m'avait-elle répété plusieurs fois à voix basse, comme on confie un secret, cet endroit avait été le théâtre de disparitions inexpliquées durant des siècles. Des dizaines et des dizaines de jeunes femmes avaient mystérieusement disparu. Il ne fallait jamais si rendre seule. Surtout ne jamais réveiller les souvenirs monstrueux des esprits démoniaques qui hantent encore les lieux, » disait-elle.
De très bonnes raisons pour que j’aille visiter et revisiter cette ferme et ses alentours. Je souriais. J'eus du mal à imaginer sa réaction, et ce qu'elle aurait pu dire ou penser si elle avait su que ce matin, j'avais fait l'amour dans cette ferme. En plus, j'étais bien décidée de le refaire une nouvelle fois ce soir. Elle en serait très certainement horrifiée. Je souriais intérieurement à cette pensée.
(...)
La sute ici : lien à
cliquer
ça a l'air très intriguant, j'aimerais bien lire la suite mais il semble que le lien a la fin du texte ramène a la page d'accueil du blog :/
L'erreur a enfn été corrigée ! As-tu trouvé le recit entier ?
Bonjour ....la suite où ?
Depuis, j'espère que tu as pu la lire, le lien etait en effet érronné. les manip techniques sur ce blog ne sont pas toujours évidentes !
BRavo Sandrine ! J'avais eu la primeur de ce texte... C'est effectivement un peu "space" mais plaisant à lire !
Le mystère m'a fait réellement frissonner...