Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Salut Sophie,
Je voudrai partager avec toi et tes lecteurs une rencontre vraiment très riche et intense avec...une perle rare. D'ailleurs, je ne sais plus combien de fois je me suis branlé en écrivant et en relisant ce texte tellement cette expérience m'a marqué.
Il y a deux semaines, je poste une annonce : « quadra hétéro bi marié plutôt passif cherche homme plutôt actif pouvant recevoir en toute discrétion pour relation de qualité ».
Parmi les quelques réponses que je reçois, je retiens celle de Jean, qui a un profil très proche du mien car lui aussi quadra bi marié donc recherchant aussi un minimum de discrétion. Il me laisse son portable je l'appelle.
Le courant passe et on se chauffe mutuellement en se décrivant et en échangeant sur nos goûts en matière de sexe avec un homme. Tant et si bien qu'on bande tous les deux et qu'on s'envoie grâce à nos portables des photos de nos queues bien raides et luisantes.
Il a une belle bite circoncise avec un gland qui déborde de sa hampe bien plus fine que la mienne. Je suis ravi car je suis assez étroit et je me souviens de précédentes rencontres avec des queues plus larges m'avaient laissé l'anus irrité et endolori pendant plusieurs jours. Je le rappelle pour lui dire que je me vois déjà en train de lui sucer son joli gland avant de l'accueillir entre mes fesses.
On convient de se voir le surlendemain, puis au comble de l'excitation, on finit de se branler au tel : lui
aussi adorerait me sucer et me préparer le petit trou avec sa langue avant de m'enculer. On éjacule pratiquement ensemble, impatients de se retrouver.
Le surlendemain vers dix-sept heures, je me mets en route pour me rendre au rendez-vous. Les trois lavements que je me suis administré avec le flexible de la douche de l'hôtel m'ont tellement
excité que faute de mieux, je m’assois sur une lampe torche que je garde dans la voiture. J'écarte bien mes fesses malgré le pantalon et la présence dure et cylindrique du manche contre ma
rondelle me calme un peu pendant que je conduis.
En fait, dans ses moments-là, sous l'emprise de la pulsion je deviens « folle du cul ». Pendant mes déplacements professionnels, je ne compte plus les arrêts en voiture pour me fourrer deux ou trois doigts directement dans le cul avec juste un peu de salive tandis que je branle ma queue. Ou idem, enfermé dans les toilettes du bureau ou d'un quelconque aéroport. Sans parler des soirées seul dans une chambre d'hôtel où tout y passe : manche de brosse à dent ou de brosse à cheveux, marqueur au bout arrondi...
Je suis même parti plusieurs fois dans le supermarché acheter un concombre minutieusement choisi pour sa
taille et sa forme et qui, une fois épluché avec mon canif, s'est révélé être excellent gode autolubrifiant et biodégradable !
Comme convenu, je me gare devant son pavillon, et le cœur battant, je sonne. Il m'ouvre, referme de suite la porte derrière moi, et avant que j'ai pu dire bonjour, pose ses lèvres sur les
miennes. Passée la surprise, son baiser est tellement doux et sensuel, et son haleine agréable, que je ne peux que lui rendre. Nos langues font connaissance, et immédiatement je me mets à bander.
Notre baiser devient fougueux, il me caresse l'entrejambe, tâte ma bite gonflée à tout rompre :
« Bonjour, hum je crois qu'on va bien s'amuser mon chéri. Installe-toi sur le canapé. Fait comme chez toi. Un apéro ? Whisky ? Pastis ? »
J'opte pour le whisky et pendant qu'il me le sert j'en profite pour mieux l'observer. Il n'est pas très glamour : le crâne dégarni, une silhouette ordinaire assez longiligne et la peau blanche
comme un cachet.
Il a bien fait de m'embrasser dès mon arrivée pour briser la glace
« On a toute la soirée pour nous je dois aller chercher ma femme à la gare ce soir à vingt-trois heures trente. »
On trinque. Il me dit qu'il est très content de me recevoir, qu'il me trouve très à son goût et qu'il espère que la réciproque est vraie. Je le rassure à ce sujet même si je mens un peu à cet
instant précis…. Mais j'ai envie d'aller plus loin avec lui car l'ambiance n'est pas glauque, et puis surtout, parce que c'est la première fois qu'un homme me fait bander.
Avec ma femme, quoi de plus naturel que de bander contre la peau si douce son cul, en caressant sa chatte bien gonflée et humide, en suçant les tétons de ses magnifiques seins, le tout savamment mis en valeur par des dessous affriolant ?
Mais chez un homme, à part sa bite, ses couilles et son trou du cul, le reste aurait plutôt tendance à me
refroidir. Sans parler de la barbe et des poils sur le torse et le dos. Ce que j'aime, c'est sucer une belle verge, qu'on joue avec mon anus si sensible pour le préparer et ensuite me faire
prendre. C'est pourquoi je suis passif avec les mecs. Mais ce soir, mon horizon érotique va peut être s'élargir en même temps que mon petit trou...
Il pose son verre et se colle à moi et me tâte à nouveau l'entrejambe
« Toujours aussi tendu hein ? Laisse moi faire je vais t'arranger ça ... »
En un clin d'œil, je me retrouve le pantalon et le caleçon sur les chevilles, et il entame une très belle pipe. Sa façon de me branler, de me lécher la hampe, de tirer sur mon prépuce pour bien
me lécher le frein et la couronne, tout en me massant les couilles montre que c'est un épicurien qui a un art consommé de la fellation. Je ne peux m'empêcher de lui caresser la tête en gémissant
de bonheur.
Il a vraiment l'air de se régaler si j'en crois ses « hum elle bonne ta queue », ce qui m'excite
encore plus.
Quand finalement il me chatouille la rondelle de son index, par association d'idées, je pense à sa bite. Je suis impatient de découvrir celle qui, je l'espère, va bientôt se glisser dans mon
fourreau et me combler. Mais avant cela, j'ai terriblement envie de la sucer.
Me voilà à genoux entre ses jambes, j'ouvre son pantalon, tire sur son slip et fait jaillir sa queue comme
un diable à ressort. Effectivement, c’est une belle tige dont le diamètre me conviendra très bien. Elle est surmontée d'un gland plus large, d'un magnifique rouge écarlate, qui tranche étonnement
avec la blancheur de sa peau. Ses couilles sont, comme le reste, parfaitement épilées. Je prends un énorme plaisir à sucer son gland qui laisse perler une goutte au goût poivré. Je peux l'avaler
sans avoir cette sensation d'étouffement que j'ai pu avoir avec d’autres queues plus imposantes.
Et puis celle-ci est d'une rigidité impressionnante, contrairement à des grosses plus paresseuses. Alors
qu'elle coulisse entre mes lèvres, je l'imagine déjà aller et venir entre mes fesses. Je ne sais plus depuis combien de temps je lèche, je suce, je pompe, mais j'ai très envie de me faire
prendre. Je le dis à mon amant qui m'entraîne dans sa chambre.
Une fois débarrassé de nos vêtements, on se roule de grosses pelles qui me font à nouveau triquer à mort (décidément !) puis il me fait mettre en levrette. Je m’attends à ce qu'il me prépare avec
ses doigts et du lubrifiant, mais il me caresse les fesses, me les malaxe, les écarte et commence à me lécher l'anus. La caresse est divine, je ne peux m'empêcher de gémir quand il pointe sa
langue comme pour me pénétrer.
Je m'abandonne à cette caresse et mon anus se détend au point j'accueille avec plaisir trois doigts d'un
seul coup qui me dilatent sans problème. J'entends mon amant déchirer le sachet d’une capote. Je me retourne pour le voir se couvrir le sexe. Nous nous sourions. Je me cambre au maximum et
dandine mes fesses pour manifester mon impatience tandis qu'il lubrifie abondamment sa bite et mon cul.
« Voilà j'arrive mon chéri, » dit-il en posant son gland sur ma rondelle.
Il me fait languir en la caressant avec sa queue :
« Prends-moi maintenant ! »
Finalement je sens mon cul s'ouvrir sous la pression de cette queue chaude et bien raide. J'adore cette sensation d'étirement et de dilatation à la limite de la douleur. Jean me pénètre très
lentement et je l'accueille sans problème en poussant. Je me dis que j'ai enfin trouvé l'amant que je cherchais : rien à voir avec mon gode ventouse sous la douche mais une vraie verge de chair
et de sang qui une fois en place commence à me faire beaucoup de bien : je pousse lorsqu'il me rempli et je resserre lorsqu'il ressort pour bien le sentir. Ses va et vient comblent mes muqueuses.
Je me sens femelle, j'ai envie qu'il me besogne. Je lui demande de me baiser plus fort.
Il accélère le rythme avec une certaine souplesse dans le mouvement que j’apprécie. Il accélère encore et souffle fort, son pubis et ses couilles claquent sur mes fesses en cadence. J'adore me faire bourrer de cette manière, je me sens chienne.
Je sens sa jouissance proche et je l'encourage :
« Oui vas-y gicle-moi dans le cul ! »
Effectivement après quelques bons coups de reins, il s'immobilise et jouit longuement en râlant. Je peux
percevoir les contractions de sa bite qui éjacule.
Il se retire doucement et m'embrasse dans le cou en me soufflant
« Merci mon chéri c'était très bon.
Je reste un instant sans bouger, allongé sur le ventre tandis qu'il se débarrasse de la capote.
Je sens ses mains sur fesses, il les écartent et roule une pelle à mon petit trou.
« Va prendre une douche pendant que je prépare quelque chose à manger. Tu amèneras le dessert me dit-il en me léchant les couilles, j'adore la crème ... »
Sous la douche je ne peux m'empêcher de me caresser l'anus encore ouvert en repensant à ce qui viens de se passer et me dit que j'ai vraiment trouvé un compagnon de jeu idéal.
Il m'apporte un peignoir et nous passons à table : un bon steak, un bon bordeaux. Il ne perd pas une occasion de me peloter et fini par découvrir mon point sensible : mes tétons. Posté derrière
le dossier de ma chaise il les pince, les fait rouler entre ses doigt bref en use et en abuse. On dirait que mes seins sont reliés directement à ma queue : je bande comme un âne. Il me branle
doucement et me murmure à l'oreille.
« Tu vas me donner toute ta crème mon chéri me chuchote-t-il à l'oreille. Installe toi dans le canapé j'apporte le café… »
Je m'assois, le peignoir ouvert sur ma queue fièrement dressée, attendant impatiemment la suite
Le café est expédié, et me voilà sur le dos les jambes écartées, le cul au bord de l'assise du canapé. Jean englouti ma queue sans crier gare tandis deux doigts étalent une bonne dose de
lubrifiant sur ma rondelle. Hum trop bon ! Je vais me faire prendre une deuxième fois ce soir. Je passe mes bras sous mes genoux pour relever mes jambes sur mon torse et m'offrir
totalement.
Il continue à me sucer et à me fouiller le cul avec son index et son annulaire et c'est délicieux. Je suis
complètement détendu et apprécie les deux caresses. Soudain Jean commence à me branler le cul en agitant sa main de façon très rapide et très saccadée. Je suis surpris mais c'est bon, très bon
même. Dommage qu'il s'arrête. Heureusement il recommence. Je l'encourage :
« T'arrête pas c’est trop bon ! »
La sensation de plaisir monte et se diffuse dans ton mon bassin, c'est nouveau ! Je joui du cul ou de la
bite ? Qu’importe ! Avec les doigts de Jean qui s’agitent à toute vitesse dans mon cul avec un bruit de clapotis, j'ai l'impression d'avoir une chatte. Je me branle en même temps. La bouche
ouverte à quelque centimètre de ma queue, Jean est prêt à la gober. Dès que j'hurle mon plaisir il aspire mon gland et mon sperme tandis que l'orgasme me tord. Je me vide en lui et sa main
s'immobilise dans mon fion en marmelade. Après quelques instants il me prend le menton pour m'embrasser. Je tends ma langue à la rencontre de la sienne et ma bouche est envahie par mon foutre
qu'il a gardé pour le partager avec moi. La bouche pleine de sperme et deux doigts dans le cul je me sens vraiment salope.
Nous finissons notre dessert à bouche que-veux-tu avant d'aller nous savonner mutuellement sous la douche.
La encore tout est très sensuel et tendre.
Rhabillés nous retournons au salon prendre un cognac. Nous nous congratulons mutuellement pour cette super soirée et convenons de recommencer bientôt. Je lui avoue qu'il est le seul mec à m'avoir
fait bander ce qui le touche beaucoup. Je le remercie de m'avoir fait découvrir de nouvelles sensations. Il a baptisé sa technique de branle la « mitraillette » : évidement pour le
côté rapide et saccadé des mouvements mais aussi parce qu'à cause de la fatigue du bras le branleur est obligé de faire des poses et donc de procéder par rafales. Tacatacatac puis tacatacatac et
ainsi de suite.
Il la tient d’un travesti brésilien qu'il fréquentait lors de ses déplacements parisiens. J'en profite pour lui confier que les trav et les trans sont un de mes fantasmes préférés.
« Ah bon ? Mais c'est très intéressant ça. Pour la prochaine fois je te réserve une petite surprise…. »
Je suis rentré chez moi crevé mais heureux...et avec le manche de la lampe torche entre les fesses !
ÉPILOGUE
Deux jours après cette aventure nous sommes partis en WE sur la côte avec ma femme dans un hôtel très sympa
qui propose des formules bien être avec massage et hammam. Toujours surexcité de ma soirée, libérés pendant quarante huit heures des enfants, la bonne humeur régnait dans la voiture et la
conversation est vite devenue coquine.
S'apercevant que je bandais, elle a sorti ma queue pour la branler tout en continuant à me parler naturellement… Ppuis jugeant que la circulation le permettait, j'ai mis le régulateur et reculé le siège. Elle a vite compris mon manège et s'est penchée pour me sucer. Pas jusqu'au bout évidement, mais ce fut une bonne mise en bouche selon ses propres mots. Arrivés sur place avec un après un petit resto, le temps étant au beau fixe nous avons décidé de faire une petite croisière d'une heure dans la baie.
N'étant accompagnés que d'un petit groupe de personnes âgées, j'ai entraîné ma femme de l'autre côté du
bateau et dans mes bras, et adossés au bastingage, nous avons commencé à flirter sous les tous premiers rayons de soleil de l'année (la métropole ce n’est pas la Guyane!). J'ai glissé ma main
sous sa jupe pour atteindre son clito déjà tout dur, et j'ai joué avec à travers ses collants et son slip comme avec un petit ressort tout en lui roulant des pelles et en pelotant ses gros seins
dont les tétons pointaient outrageusement à travers son chandail. Pour ne pas être en reste elle a ouvert ma braguette et plongé sa main dans mon caleçon pour me branler et me masser doucement
les couilles tandis que je lui murmurais à l'oreille comment j'allais lui faire l'amour ce soir.
De retour à l'hôtel, nous sommes allés nous « relaxer » à la piscine intérieure chauffée. En fait, on a juste continué à faire la même chose que sur le bateau mais dans l'eau, le plus
discrètement possible en présence des autres clients de l'hôtel. Heureusement, il n'y avait pas d'enfant et malgré la réticence se principe de ma belle qui n'est pas exhibitionniste, j'ai bien
senti que ce petit jeu l'a beaucoup excitée, puisque ensuite dans les vestiaires, à peine la porte verrouillée, elle s'est jetée sur ma bite comme une morte de faim.
J'en ai même profité pour mettre quelques bons coups de queue bien sentis dans sa petite chatte trempée qui
n'attendait que ça. Puis de jeunes baigneurs sont arrivés, et nous avons préféré interrompre notre petite affaire et remonter dans notre chambre nous préparer pour aller dîner.
De retour du dîner nous nous sommes mis au lit tout nus peau contre peau et ça a très vite dégénéré. Je l'ai mise sur moi en 69 pour déguster tranquillement en guise de dessert son petit abricot
juteux pendant qu'elle me suçait langoureusement. J'adore cette position parce que je peux contempler le plus beau paysage du monde : la chatte de ma femme. Rapidement le ton est monté, un geste
en appelant un autre, nous nous sommes rendu coup pour coup : j'ai aspiré son clito, elle aspiré mon gland, j'ai activé ma langue sur son clito, elle a fait pareil avec mon frein.
Tant et si bien que j'ai commencé à la doigter, à masser avec mon majeur délicatement les parois de son vagin, en faisant le tour du col pour me focaliser sur son point G qui est très facile à trouver. Et soudain j'ai pensé à mon arme secrète : la mitraillette. J'ai donc introduit un deuxième doigt et tiré une première petite rafale pour voir la réaction. Encouragée par ses soupirs (difficile de parler la bouche pleine), j'ai continué à la branler fort en faisant bien attention de ne pas lui faire mal. Mes doigts passaient et repassaient sur son point G le plus vite possible. Les sensations devaient être au RDV si j'en crois l'intensité et la conviction avec laquelle elle me pompait la bite.
Malgré la fatigue de mon bras mais j'ai gardé le rythme en lui aspirant le clito. Elle a arrêté sa
fellation et dans un feulement, s'est effondrée sur moi fauchée par l'orgasme. Je pouvais sentir sa respiration sur mon sexe qu'elle gardait tout contre son visage. J'ai retiré doucement mes
doigts et lapé amoureusement du plat de la langue sa chatte béante le temps de nous calmer.
Le lendemain en parlant de cet orgasme mitraillette elle me dira : Ho putain !c'était puissant !
Elle a repris sa fellation de plus belle voulant me faire jouir à mon tour mais je me suis dégagé car comme je lui avais promis plus tôt sur le bateau je voulais la pilonner comme elle aime. Je
l'ai mise en levrette, pointé mon gland à l'entrée de sa chatte et l'ai pénétré d'une seule poussée ce qui l'a fait crier. Je l'ai besognée à grand coup de reins en cognant bien fort le fond de
son vagin mais ses jambes ne la tenaient plus.
Je l'ai retournée sur le dos, glissé un oreiller sous ses fesses pour la reprendre de plus belle en
missionnaire. Cette fois, je l'ai baisée de tout mon poids. Plusieurs fois, je me suis retiré complètement pour replonger d'un coup jusqu'à la garde : elle adore ça. J'ai fini par inonder sa
chatte. Je l'ai câlinée longtemps jusqu'à ce que Morphée nous emmène.
Voilà j'espère que ce n'est pas trop indigeste à lire. J'aimerai bien lire une de tes nouvelles aventures ou avoir des nouvelles de Sabine….
Je t'embrasse.
Fred
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