Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Je suis la petite salope de la faculté
Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux lui prêter un peu de shampooing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.
Une demi-heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir, et j'étais en slip sur mon lit, révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper, et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant
les polycopies du jour.
« Ouah ! me dit-il, tu es un vaillant, toi ! »
Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court, mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire, mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection.
Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au
revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
« Tu as vu dans quel état tu m'as mis ? » me dit-il.
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
« Tu me fais le même effet ! »
Et en étendant les jambes, je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland, et avalai la petite goutte qui venait de perler de son
méat... Puis j'ouvris grand la bouche, et happai d'abord son gland entre mes lèvres, et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche.
Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante, et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer... J'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche, et le retenai par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais, que je bus aussitôt avec délice, jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale, et il se dégagea pour remonter son short.
« Toi, tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu. »
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus, mais je restais sur ma faim, car je bandais toujours...
Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir, lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me
regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit : « Tant pis, je repasserais… »
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service, et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile
sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement.
Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter, et je commençais à le sucer délicieusement.
Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement, quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit : « Je voudrais te parler. »
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir il dégrafa son jeans et sortit son sexe d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland
rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça, mais j'admirais...
Je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon
goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit : "tu suces bien petit blanc"
J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et à peine entrés, ils me soumettaient leur
zob que je faisais jouir avec délice.
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Je vois que nous avons les memes gouts... Une chose qui nous rapproche encore !
Il faut qu'il te reponde lui-même ! et que tu laisses une adresse mail pour te joindre !
Oh que oui.. Dis-moi, Romain, es-tu bi ?
Tu es un veinard d'avoir les bites de la fac pour toi seul
Même en tant que femme, cette histoire m'a aussi terriblement excitée !
C'est une "petite" chose tellement agréable à consommer
Je le pense aussi, mais c'est bizarre, je n'en dis pas autant d'une petite chatte !
Qu'une fmeme me le fasse ne me gène pas, mais j'ai beaucoup de mal à lui rendre la pareille;..
Alors qui sait ? Un jour peut-etre, tu y viendras...
Je te souhaite de le faire, et d'y trouver beaucoup de plaisir !
Que ne suis-je près de toi pour te voir faire ??? Si tu as envie de raconter ici tes pulsions, j'en serai très heureuse !
http://karim-travblog4evercom.blog4ever.com
C'est promis !
gros bisous !
Si tu as d'autres histoires à publier, tu es le bienvenu !