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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Après des années à en rêver, voici que m'arriva ma première et hélas dernière aventure avec une Sirène. Elle est restée un excellent souvenir. Une Sirène ? C'est le joli nom qu'une jeune femme a donné aux Transsexuelles sur un site qui a aujourd'hui fermé, hélas. Aussi je me permets de reprendre ce mot, je le trouve tout à fait approprié et fort délicat pour ces êtres qui se veulent avant tout féminines.

Cela se passait dans les années 85/86 à Paris. J’étais Ambulancier. C’est une profession qui offre des occasions de rencontres intéressantes. Tout le monde sait que le milieu médical n’est pas réputé pour avoir des mœurs de moines. Encore que les moines…. Mais c'est une autre histoire.

Il m’est arrivé un jour donc, de sympathiser avec quelqu’un que je devais ramener à son domicile depuis un centre de rééducation, après une fracture de la jambe. Cette personne vêtue d’un pantalon et d’un blouson avait un prénom ambigu et une allure androgyne, appelons le (ou la) Claude.

Claude mesurait 1,60 m environ et était mince. Une chemise assez large cachait péniblement des pectoraux plus féminins que masculins. Sa voix était chaude et légèrement rauque comme j’aime.

 

Bisexuel depuis toujours je n’ai pu m’empêcher de draguer discrètement cette jolie personne à l'allure particulièrement androgyne et cela avait l’air de lui plaire. Arrivés au domicile en consultant sa carte de Sécu, j’ai constaté que son numéro commençait par 1. C’était donc un homme, ou plus exactement une transsexuelle car sa poitrine était bien réelle.

 

Formalité remplie, je lui donne mon téléphone perso pour le cas où elle aurait besoin d'aide tant qu'elle n'était pas complètement autonome. Il ne se passa pas une semaine avant qu’elle ne me contacte sous un faux prétexte, pour que je vienne dans la soirée car elle avait toutes les peines du monde à déplacer un meuble, « et pour vous remercier je vous garde à dîner. C’est d’accord ? » «Avec plaisir, à ce soir ! »

 

A mon arrivée, Claude m’accueillit joliment dévêtue d’une robe légère, et dont le décolleté laissait apparaître une fort belle poitrine. Je ne saurai jamais l’allure que Claude avait dans sa version mâle, mais sous sa forme actuelle elle était vraiment superbe. Je lui fais compliment sur sa beauté.

 

Elle y est sensible : « Merci beaucoup ! Mais tu n’as pas l’air surpris par ma tenue ? » A quoi je lui répond que je savais qui elle était après avoir deviné sa poitrine et vu son numéro de sécu.

« Et même que c‘est pour ça que je t’ai proposé mon aide si tu en avais besoin », lui ai-je répondu en riant.

 

Claude n’eut alors aucun scrupule à m’avouer qu’elle m’avait appelé parce qu’elle avait envie de passer une soirée avec moi. Visiblement, nous avions les mêmes envies, il était donc inutile de… euh… tourner autour du pot. Il valait beaucoup mieux y entrer… dans ce pot !

 

Nous eûmes donc tôt fait de nous retrouver à poil. Bon sang que Claude était belle. Des seins bien fermes qui semblaient presque vrais, et ses hanches arrondies faisaient d’elle une femme d’autant plus belle qu’elle avait une queue qui tranchait avec sa silhouette menue. Claude n’avait eu simplement qu’à faire développer ses seins pour se féminiser un peu plus car sa silhouette était naturellement celle d’une femme.

 

Sa verge par contraste semblait énorme. Elle frôlait les 19 cms en érection et était fine. Pour un bisexuel de mon acabit, cela faisait de Claude une « femme parfaite ».

 

Je ne saurai jamais qui a attaqué le premier, toujours est-il que nous nous sommes retrouvés très vite un verre de whisky dans une main et dans l’autre, en guise d‘amuse- gueule, une queue qui n’était pas la nôtre.

 

Claude, gourmande de bonnes choses, trempa ma bite dans son verre d’alcool et la prit en bouche pour une pipe magistrale. Elle me parcourut la tige en la mordillant délicatement me procurant des sensations dans tout le corps. Puis sa langue enveloppa mon gland en le suçant comme elle l’aurait fait d’un cornet de glace. Mon émotion et mon excitation savamment orchestrées par Claude me firent jouir très vite.

J’ai explosé.

 

J’ai alors pris ses lèvres pour partager avec elle le sperme qu’elle m’avait si bien et si agréablement volé. J’ai toujours adoré avalé le sperme, le mien et celui des autres, aussi, j’ai pris la belle bite de Claude dans mon bec pour la sucer.

Je suis certain de n’être pas aussi bon suceur qu’elle mais elle apprécia, car elle ne tarda pas elle aussi à exploser dans ma bouche. Je me souviens encore du goût de son sperme.

 

C’était un savant mélange d’âcreté et de sucré qui avait un goût de «revenez-y », et d’ailleurs, j’y suis revenu souvent.

Cette dégustation faite, nous nous sommes parcourus le corps comme des morts de faim. Elle avait la peau douce, un léger bronzage la rendait encore plus belle. Ses tétons extrêmement sensibles pour peu qu’on les mordille devenaient tout durs et la Belle en devenait encore plus excitée et désireuse de jeux de plus en plus hardis. Elle en perdait toute inhibition, encore que je ne sois pas sûr qu’elle n’en ait jamais eu beaucoup.

 

Après avoir « habillé ma bite » (maudit Sida) Claude finit par s‘empaler sur moi en me faisant face, et bien amarrée à ma queue, elle fit tourner son bassin un peu comme si elle dansait la lambada. Difficile de résister à ça, surtout que Claude proférait des mots orduriers de cette voix rauque si craquante en me regardant droit dans les yeux. Et sa queue bien raide qui battait la mesure.

 

Il me fallut faire des efforts surhumains pour retarder mon explosion. Mais quand elle arriva elle fut suivie de très prés par celle de Claude. Et vu comme elle était placée, elle m’envoya son jus à la figure. Claude se pencha vers mon visage pour le nettoyer avec sa langue, puis m'embrassa. Je pus ainsi apprécier une fois de plus son sperme.

 

Nous avons trouvé ensuite un peu de réconfort dans le délicieux repas qu'elle nous avait préparé. Puis nous avons continué toute la nuit à faire l'amour.

 

Une fois, je suis venu chez Claude, avec son accord, accompagné d'une amie ambulancière, qui était bisexuelle également. Elle était impatiente de faire l'amour avec Claude. Ce trio ne fut pas aussi passionnant et chaud qu'on pouvait l'espérer, car « ma sirène », contrairement à ce qu'elle imaginait, n'était pas du tout attirée par les femmes.

 

De ce jour-là, notre aventure qui dura quelques mois, ne se passa qu'à deux.

J'aimais beaucoup quand Claude m'enculait. Sa queue fine entrait facilement en moi et ses 19 cms me fouillaient bien au fond, et elle avait une manière bien à elle de me sodomiser.

Non seulement, elle allait et venait, faisant parfois sortir sa queue complètement pour la rentrer aussitôt d'un coup sec qui me faisait râler de plaisir, mais encore elle s'amusait à onduler du bassin, et sa queue caressait alors tout mon intérieur, c'était génialement bon. En outre, cela durait longtemps, car elle était très endurante.

 

Puis un jour Claude quitta la France avec dans ses bagages un peu de ma nostalgie de son corps et de nos jeux. Grâce à elle, je suis devenu un chaud partisan des « Sirènes ».

 

Grand merci à toi, Claude, où que tu sois maintenant…

 

Je n'ai plus jamais rencontré de « Sirènes » par la suite, où du moins de celles qui mènent une vie normale, car une forte proportion d'entre elles se livrent à la prostitution.

 

Par Bruino bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : sexblog
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