Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Mon amour...
Tu rentres, fatiguée, après une journée de travail épuisante.
Tu poses ton sac sur une étagère, dans l’entrée du studio et tu t’avances vers moi, souriante, les bras tendus, pour m’embrasser.
Je viens de te préparer un bain aux essences parfumées. Cette eau limpide, odorante, attend sagement l’immersion promise de ton corps, prête à détendre enfin tes muscles endoloris.
Après t’avoir prise dans mes bras et savouré longuement tes lèvres d’amande douce, je te regarde, le sourire aux lèvres.
Tu lis dans mes yeux, le désir de que j’ai de toi.
Les boutons de ton chemisier cèdent facilement.
Tu me rends mon sourire en captant mon regard, l’air coquin.
Les bretelles de ton soutien-gorge glissent le long de tes bras fins et tes seins ronds et fermes apparaissent gonflés comme des fruits trop murs sous mes yeux pétillants de désir.
Je les caresse, doucement, paumes ouvertes. Mes doigts glissent et se referment sur les douces rondeurs de ta poitrine, pinçant légèrement au passage le relief des aréoles afin d’en gonfler les
pointes arrondies.
Tu rapproches alors tes deux seins l’un contre l’autre afin que ma langue gourmande puisse circuler plus rapidement de l’un à l’autre. De plaisir, tu gémis doucement en penchant la tête en
arrière et tu fermes les yeux.
Ma langue, qui joue avec les pointes durcies de tes seins offerts, te fait frissonner d’aise et mes mains descendent et se glissent sous tes aisselles, après que l’ai lentement remonté tes bras
au dessus de ta tête.
Offerte à mes caresses, je promène ainsi mes antennes tactiles, doucement, longuement, sur le haut de ton corps, dénudé. Le parfum délicat de ton corps qui exsude une douce sueur, me trouble et
m’enivre.
Ma bouche, impatiente, avide de sensations, effectue des circonvolutions sur ton petit ventre plat et se love un moment au creux de ton nombril, alors que mes mains continuent de se maintenir,
plus haut, en coquille, autour de chacun de tes seins.
Je suis maintenant à genoux. J'enfouis mon visage entre tes cuisses lisses et fermes, m’imprégnant de ta chaleur intime.
Je défais lentement un par un, les boutons de ton jean jusqu’à voir apparaître le haut de ton petit slip rouge. Baissant lentement le pantalon jusqu'à tes chevilles, je prends le temps de
contempler ton corps épanoui comme on décortique longuement les détails d’un tableau de maître.
La fleur qui se devine, à la jointure de tes cuisses est la plus belle création qu’il m’ait été donnée de voir.
Le léger renflement de ton mont de vénus invite à l’escalade et, sans résister davantage, je colle mon visage sur le fin tissu qui le recouvre afin d’en respirer longuement le parfum.
Puis, prenant entre mes doigts la fine bordure de l’ultime protection qui désormais te pare, je la fais glisser lentement, de chaque coté de tes hanches.
Au fur et à mesure que ton triangle d’or apparaît, j’aspire en les humidifiant, les petites touffes de poils frisés qui glissent sur mes lèvres, prenant un malin plaisir à les étirer, doucement
entre mes dents.
Debout et dressée, tes jambes s’écartent, marquant ainsi leur approbation tacite en m’incitant à poursuivre mes petits jeux.
Ma langue se fait soyeuse et tendre en se glissant entre tes lèvres roses.
Ouvrant délicatement le pistil délicat de ton sexe fleuri, j’écarte les pétales en enduisant de salive l’intérieur de l’accueillante grotte, qui se me livre ses secrets, sans oublier d’en ourler
tous les bords arrondis.
Je me concentre ensuite un long moment sur ce cœur en bouton qui gonfle sous mes caresses. Ma langue le contourne, l’aspirant doucement.
Poursuivant mon manège de plus en plus savant, j’entends en même temps, au dessus de ma tête, ta respiration qui se fait haletante.
C’est trop intense, mon amour, toutes ces sensations !!!….
Je pense brusquement à ton bain qui t’attend, interrompant à regret mes investigations festives, repoussant le plaisir annoncé. Je te prends dans mes bras et t’emporte vers la salle de bains. Là
tête sur mon épaule, détendue et heureuse, tu te laisses aller.
L’eau tiède enveloppe doucement ton corps jusque dans ses replis les plus secrets, délassant peu à peu tes muscles contractés. Tu es bien, je le sens à ce frémissement que je viens de parcourir
ton corps. Si bien dans la douce chaleur de ce bain parfumé.
Alanguie, abandonnée, lascive, tu t’étires pendant que je te contemple, amoureusement.
A genoux, le menton posé sur les mains, au bord de la baignoire, je te laisse un moment profiter du bien être liquide qui pénètre doucement tes muscles fatigués.
Enfin, un peu jaloux de cette onde qui t’enveloppe plus complètement que je ne le pourrai jamais, je glisse mes mains dans l’eau chaude et je commence à te caresser, nonchalamment. Tu te tournes
et te penches, m’invitant à masser ton dos endolori.
Enduite d’une huile parfumée, ma main droite, descend maintenant, le long de ta colonne vertébrale s’arrêtant sur les endroits qu’elle devine crispés. Tu étires voluptueusement ton corps. Mes
mains effleurent ta poitrine, ton ventre, tes cuisses, et descendent ensuite le long de tes jambes jusqu’à tes pieds que je masse et que j’embrasse longuement.
Mais cette promenade, ces caresses, si elles te soulagent, font renaître dans le bas mon corps une érection persistante car soudain, entre tes cuisses, je viens de sentir ton sexe qui s’ouvre
sous mes doigts.
Ma main, instrument privilégie de mon désir, se fait experte et impatiente.
Se referme en coquille sur ce triangle blond (ou brun lol) dont je vois le reflet qui bouge doucement, par réfraction, sous l’eau.
Mes doigts écartent précautionneusement les grandes lèvres. Mon index pénètre entre des plis soyeux et sensibles, pénétrant sans effort dans le creux de ton cops. Tu gémis, doucement. Mon sexe
devient dur, tendu, douloureux.
Comme l’eau attendrit le passage, ce sont deux doigts gourmands qui fouillent maintenant ton ventre épanoui. Je t’entends respirer de plus en plus vite. Des petits cris de plaisir sortent de tes
lèvres et mes doigts, encouragés, accélèrent leur va et vient.
Avec mon autre main je masse lentement mon sexe, maintenant turgescent. Sous l’eau, mes caresses se font de plus en plus précises, parcourant la ligne de tes fesses et s’arrêtant sur l’orifice
étroit et secret qui dort encore, paisiblement. Mon doigt s'y s’attarde, tandis que tu gémis plus fort. Lentement, doucement, il tente d’y pénétrer. L’intérieur est serré et mon index, un moment
prisonnier, peine à s’enfoncer plus avant.
Je force doucement les chairs qui résistent. En même temps, je sors mon sexe de sa prison de toile. Un autre de mes doigts vient de reprendre possession d’une oasis soyeuse et ondulante.
Ensemble, ils poursuivent alors un lent mouvement de va et vient. Mon sexe tendu me fait mal. Tu gémis plus fort. Ton ventre, tes seins, jaillissent hors de l’eau devant mes yeux émerveillés,
anticipant la montée de la jouissance. Les muscles de ton ventre et de tes cuisses, tendus à l’extrême, réclament des caresses nouvelles, plus fortes, plus possessives, suppliant que ce moment
d’extase ne s’arrête jamais.
Mes doigts lissent la paroi de séparation des deux orifices, suivant le rythme de tes gémissements, de plus en plus courts. Je contemple ton visage en continuant de me masturber. La tête penchée
en arrière, le cou offert, la bouche ouverte, les yeux fermés, tu es si belle ainsi... et mon plaisir s’accroît en même temps que le tien.
Ta langue lèche sensuellement tes lèvres, exprimant le plaisir qui monte, dans ton corps.
Tes seins flottent à la surface de l’eau… Ton pubis monte et descend jouant sans fin avec les vaguelettes qui l’assaillent… Mes yeux affolés courent sur ton corps tendu, ne voulant pas perdre une
miette du spectacle qui s’offre à eux….
La jouissance, comme une marée qui soudain se déchaîne, monte en toi par vagues successives, t’arrachant des gémissements de plaisir. Ton corps est tendu comme la corde d’un arc, prêt à se
rompre. Ton bassin tourne, de plus en plus vite, autour de mes doigts. Tu ne penses plus qu’a eux, qui te fouillent, qui ravagent l’intérieur de ton corps.
Dans ton esprit, se déploient des ondes de jouissance. Ta vision se trouble. Tes yeux chavirent. Tu te concentres de plus en plus sur la pression de mes doigts. Tu emprisonnes cette sensation
délicieuse, t’accrochant à elle, comme à une bouée salvatrice.
Tes soupirs se font de plus en plus sonores et, dans un dernier sursaut, tu serres violemment les cuisses autour du pivot de mes doigts dont tu sais qu’ils vont te délivrer enfin, en provoquant
l’orgasme…. Tu jouis… Tétanisée. Tu exploses dans un débordement total des sens,… Jouissance longue, totale, absolue.
Je viens d’éjaculer en même temps que toi, sur le sol carrelé…De longues coulées de sperme s’échappent convulsivement de ma verge qui n’a pas pu retenir sa semence plus longtemps devant le
spectacle de ton corps assouvi. Sensation merveilleuse et unique que l’explosion d’un corps dans l’amour. C’est l’ivresse de l’apesanteur... C’est, pour un court instant qui parait éternel,
l’impression d’être dégagé des contraintes du monde, l’impression de rejoindre, libéré de tout, un endroit inondé de soleil !
Pendant un court instant, je ne peux plus bouger. Mes doigts sont prisonniers. Puis, l’ivresse, doucement, se dissipe. Tu reprends tes esprits. Ton corps enfin s’apaise et tu me rends mes doigts.
Je vois, à ton sourire canaille, que tu voudrais bien les retenir encore un peu, mais je souris à ton sourire, qui me remercie.
Il est si beau, ce sourire, que je voudrais l’emporter toujours avec moi, comme un trésor qui ne me quitterait plus. Mais il y aura d’autres sourires, d’autres moments, car l’amour, tu le sais,
c’est vraiment merveilleux !..
Je dépose un long baiser sur tes lèvres et tu te laisses glisser… lentement… dans l’eau chaude…
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