Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Cet après midi là, j’avais rendez vous avec Éric dans notre lieu habituel.
Lorsque j’arrive, il est déjà là, et m’attend sur la terrasse en fumant une cigarette. Dès que je le vois, mon cœur s’emballe. Il me sourit, nous nous embrassons, et je lui dis que je souhaite prendre une douche et également aller aux toilettes. Il m’accompagne sous la douche et nous nous lavons mutuellement, nous embrassant à pleine bouche, nous caressant et nous nous câlinons. Les caresses sont de plus en plus insistantes sur nos bites qui ne tardent pas à grossir et à durcir. Nos mains parcourent nos fessiers et le désir commence à monter en moi. J’ai envie de lui, de sa bite. Je lui propose d’aller dans une cabine, il me répond d’un grand oui !!!
Hummm… Je vais pouvoir m’offrir à lui. Il me dit qu’il doit récupérer quelque chose dans son vestiaire. Je lui réponds d’en profiter pour prendre du gel et des capotes. Je me dirige vers les
cabines et oh, grand bonheur : j’en trouve une avec un très grand lit. Nous allons être superbement installés.
Éric me rejoint. Dès qu’il rentre dans la cabine nos bouches se soudent, nos langues se mêlent, nos mains se promènent à nouveau sur nos corps. Je délaisse sa bouche et l’embrasse tendrement dans
le cou. Mes mains prennent possession de sa bite déjà toute dressée et de ses couilles. Je promène ma bouche sur son torse et descends sur son ventre, je lèche son gland et sa bite sur
toute sa longueur… Bon sang, quel bel et bon engin il a !
J’ouvre la bouche et le prend bien au fond. Il gémit très fort, il me dit que je le suce très bien, il caresse mes cheveux. Je l avale ma salive trempe sa bite, je fais tourner ma langue sur
son gland, ce qui a pour effet de le faire gémir encore plus fort. Il décide que nous allons nous allonger, et la il me présente une petite fiole de popers, nous en prenons tous les deux.
Humm… Je me sens sur un nuage. Nous partons alors dans un 69, et à son habitude, il me bouffe le cul. Je suis aux anges et gémis très fort avec sa bite bien plantée dans ma bouche. Il
m’introduit son index dans mon p’tit trou que je sens tout ouvert. Je lui bouffe les couilles en alternant avec son cul.
Ma langue prend possession de son cul. Je salive beaucoup et lui rend sa pénétration. Mon majeur le rejoint pendant que je l’accueille à nouveau dans ma bouche. Il gémit très fort, me dit qu’il est sur le point de jouir. Mais je veux faire durer le plaisir. Alors, j’arrête de le sucer et je continue a l’enculer avec mes doigts.
Lui, de son coté, glisse trois doigts je me sens tout ouvert, à l’écoute de ses désirs. Il peut faire de moi ce qu’il veut, je suis sa chose…. Nous calmons nos ardeurs, nous embrassant et nous doigtant mutuellement... C’est très doux et fort en même temps.
Nous faisons une pause autour d’une cigarette partagée. Celle-ci terminée, je reprends Éric dans ma bouche et le suce très goulûment. Je l’entends qui sniffe du popers plusieurs fois de suite. Il me tend la fiole, et j’en fais de même. La chaleur monte en moi, le désir est trop grand. Je veux sa bite, je veux qu’il me baise.
Je retourne et lui offre mon cul à deux mains comme une grosse chienne. Il entre en moi avec une facilite déconcertante, d’une seule et douce poussée. Je suis littéralement comblé par sa bite qui me semble énorme. J’halète, il est au fond de cul. Je sens ses couilles contre les miennes. Il commence alors de petits va et viens. Je sens ses poils sur ma rondelle. Il m’encule à fond avec beaucoup de tendresse.
Ses mouvements sont des plus en plus longs. Je gémis très fort, lui dis que je suis à lui, fou d’amour et de bonheur, que je suis sa pute, qu’il me baise comme il le souhaite. Il me dit qu’il adore m’enculer, que mon cul est fait pour sa bite. Ses couilles claquent sur les miennes je tends encore plus mon cul. Je veux qu’il me défonce. Je m’écarte encore plus les fesses de mes mains. Il gémit très fort, sa bite sort complètement de moi pour y revenir aussi rapidement. Je crie mon bonheur et ma jouissance… Il m’encule tellement bien et fort que une larme vient couler sur ma joue.
Je veux changer de position. Il s’allonge et je le chevauche. Nous reprenons du popers. Je n’ai jamais autant joui. Ma chevauchée se transforme en cavalcade, avec lui qui bouge son bassin avec un rythme effréné. Je n’en peux plus de jouir sous nos assauts communs.
Nous sommes deux amants ivres de jouissance. Il me prend dans ses bras et nous basculons, je me retrouve sur le dos mes jambes sont autours de son cou. Je le sens qui me défonce avec frénésie. Je jouis encore et encore et encore… Je veux que cela ne s’arrête jamais tellement je nage en plein bonheur !
Lui me défonce et se déchaine dans mon cul. Il dit qu’il m’aime, je lui réponds que moi aussi. J’attrape mes jambes et les replie.
Là, je sens ses couilles claquer sur mon cul, son bassin heurte le mien. Cela me secoue énormément je ne suis plus que sa chose qu’il encule à son grès… Je jouis, le sperme sort de ma bite sans que je me sois branlé. J’hurle mon plaisir.
Je jouis encore et encore. Il continue à me défoncer à une vitesse folle. Je jouis du cul et dans un grand râle de bonheur, il jouit enfin en moi, remplissant sa capote d’une quantité incroyable.
Il s effondre sur moi, nous nous embrassons, et nous faisons une déclaration d’amour. Il sort de mon cul, je lui enlevé la capote et me badigeonne le corps avec son nectar d’amour puis le suce goulûment pour me remercier. Il en fait de même. Je ne sens plus mes jambes, je sens mon cul tout ouvert, nous sortons de la cabine trois ou quatre mecs sont là. Je les vois se branler. Ils ont du suivre nos dialogues. L’un d’eux nous sourit.
Nous arrivons aux douches. Nous nous savonnons mutuellement. En nous embrassant il vient dans mon dos sa bouche atteint ma rondelle qu’il me bouffe avec délectation. Je me tends à lui et écarte encore mes globes. Il me bouffe le cul, et cette fois y introduit quatre doigts. Je le laisse faire quelques instants, puis lui fais comprendre que là, maintenant, je souhaite un peu de repos. Nous nous embrassons pour clore ce merveilleux après midi.
La suite de mes aventures a la prochaine publication
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