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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Chapitre IV

 

La clé se fit entendre alors que je glissais mon boxer short pour révéler ma queue à la vue de Marie qui se caressait avec les dessous d’Anaïs.

« Elle est belle monsieur. Cela va être un plaisir que de la satisfaire. »

 

Anaïs eut un temps d’arrêt en nous voyant, avant de nous sourire.

« Votre collègue était en session de rattrapage. Juste le temps de tremper son tanga et vous voilà.

- Right on time, n’est-ce pas ? me répondit-elle en dégrafant son chemisier. »

 

Elle fit apparaître un soutien gorge noir en dentelle aussi précieux que celui de sa collègue. Un puissant soupir de plaisir me parcourut. J’avais devant moi une nuit avec deux bombes…

 

« Anaïs, pour la suite du module, veuillez vous mettre a genoux derrière votre collègue et glisser une main dans son tanga… Oui voilà. Allez sentir comme votre collègue a déjà trempé sa dentelle.

- Sa chatte est très douce. C’est un plaisir. »

 

Puis je me calai confortablement dans le canapé pour contempler ces deux stagiaires, ces deux jeunes femmes élégantes s’exciter entre elles, me contentant de les guider et de leur parler.

Marie se mit en position levrette, les épaules sur le tapis, le cul relevé bien haut devant le visage d’Anaïs. En un tour de main, elle avait rejoint la tenue de son amie. J’avais sous les yeux deux parures en dentelles, deux paires de bas. De la lingerie à m’en tourner la tête. De la dentelle humide.

« Masse ses orifices à travers son tanga, dis-je à Anaïs. Oui. Promène tes doigts comme cela. Oh les deux belles biches. On va s’amuser. Je sens peu à peu le fétichiste qui cède la place au client salace. Envie de vous faire tremper les cuisses avant de vous sauter, mes demoiselles.

- Oh mais nous sommes là pour le fétichiste autant que pour le grossier personnage », me fit Anaïs. 

 

Puis elle écarta le tanga de Marie. Elle lappa sa cyprine, elle joua avec sa rondelle. Marie était aux anges, ainsi offerte, le cul relevé, avec une langue en train de lui fouiller les orifices.

Anaïs attrapa son amie par sa queue de cheval pour la redresser à genoux. Là, elle descendit son tanga à ses genoux pour mettre ses deux mains sur son entrejambe et sa bouche sur la sienne. Elles s’embrassèrent langoureusement alors que les doigts de ma première stagiaire fouillait l’entrejambe de Marie. Pour lui doigter la chatte et le cul.

« Doigte-lui bien le cul, à cette petite salope, dis-je à Anaïs.

- J’ai un doigt dans chacun de ses trous, monsieur. Est-ce ainsi que vous aimez vois les stagiaires ?

- Exactement. C’est un plaisir que de se branler devant deux petites chiennes en dentelle, devant deux stagiaires qui aiment les clients vicieux. »

 

L’étape suivant de ces jeux passait par le shorty d’Anaïs. Marie lui mit les épaules sur le canapé, croupe fa ce à moi, elle aussi offert à mon regard. Voir ce cul dans un shorty me donna très envie de l’enfiler par la petite porte.

Marie fit glisser le shorty et me le montra là où la dentelle l’avait humidifié.

« Voilà une belle vue. Maintenant, Marie, caresse la chatte de ta collègue avec cette dentelle humide. Parfume la bien avec cette fente de stagiaire, avec cette fente que j’ai déjà très envie de fourrer.

- Et la mienne, fit Marie, minaudant, avez-vous envie de la fourrer ?

- Oh mais mademoiselle, sachez que les six trous que vous mettez à ma disposition ce soir vont recevoir mes hommages. »

 

Quand elle eut bien caressée Anaïs avec le shorty, je lui fit mettre la précieuse étoffe dans la bouche d’Anaïs, pour la bâillonner avant de jouer avec son entrejambe.

Je m’approchai d’elle pour écarter sa croupe et ouvrir ses fesses de mes deux mains

« Crache sur cette petite rondelle, Marie, et léche lui le cul, je vous prie. »

 

Elle s’exécuta. Je vis avec délice la stagiaire darder sa langue pour aller titiller l’anus de sa collègue.

« Lèche-lui bien le cul. Goûte à son petit trou. Oui, Doigte lui la chatte aussi. C’est magnifique de voir cette rondelle et ces lèvres excitées de plaisir. Elles mouillent bien mes deux stagiaires. »

 

Puis nous donnâmes une fessée à Anaïs. Ses deux fesses, blanches là où le maillot laissait sa trace, devinrent rouges en quelques coups. Elle était si bandante, si excitante, si désirable ainsi, fessée et bâillonnée.

« Ferme les yeux, Anaïs », dis-je doucement à son oreille.

 

L’instant d’après, je la redressai avec l’aide de Marie. Elle lui enleva son soutien gorge pour saisir les pointes de son bonnet b et jouer avec. Elle était dans son dos. J’avais en face de moi la vue de ma parfaite stagiaire avec, sur les seins, les deux mains de son amie.

Je fis glisser le shorty de sa bouche pour, d’un coup, le remplacer par ma queue. Je sentis une vague de plaisir parcourir Anaïs alors que ma queue prenait possession de sa bouche.

« Suce le bien, Anaïs. Elle doit être bonne cette queue, dit Marie à son oreille, alors que, les yeux toujours fermés, elle commençait à me tailler une belle pipe.

- Oh le pied ! exultai-je. Deux bonnes suceuses, deux belles bouches à pipe rien que pour moi. Je suis très excité là. Je ne vais pas pouvoir me retenir des heures donc je vous propose une première éjaculation avec vos bouches avant de passer à l’étage inférieur de vos deux corps. Vous êtes partante ?

- Le client est roi, monsieur, me fit Anaïs en sortant la queue de sa bouche et en me regardant.

- Les deux stagiaires sont là pour vous satisfaire », compléta Marie. 

 

Je vis rouge de plaisir, excité comme un taureau.

« Venez là, mes deux chéries. A genoux toutes les deux, on va s’offrir une belle pipe à deux bouches avant de vous offrir une bonne giclée. »

 

Je les mis côte à côte, à genoux, nue, joue contre joue avant de commencer à jouer avec leurs deux bouches. Je passais de l’une à l’autre, j’offrais mon gland tour à tour à leur deux langues. Je baisais ces deux paires de lèvres. Mon gland fut rapidement luisant de leurs salives et de mon liquide séminal. C’était un spectacle délicieux que de les voir jouer avec ma queue, la lécher, titiller mon gland. Je le promenais sur leurs lèvres, leurs joues. Elles s’embrassaient et je me glissai entre leurs bouches jointes.

« Allez les filles, sucez bien cette queue. Elle a envie de baiser vos petits culs, elle a envie de vous sauter. »

 

Je mis Marie à genoux devant moi pour lui offrir la même pipe dirigée qu’à Anaïs sur la plage. Une main sur sa tête, solidement arrimée, je me mis à diriger le mouvement de sa bouche autour de ma queue. Elle fermait les yeux et se laissait faire. Son visage entier allait et venait autour de ma verge. Le spectacle était magnifique

« Allez petite salope, laisse moi te baiser la bouche. Laisse-moi fourrer ces lèvres de suceuse. »

 

D’elle-même, Anaïs se mit derrière pour lutiner la croupe de sa camarade. Elle enfouit sa tête entre ses fesses pour lui lécher la chatte et le cul. Elle recula la tête, sourit et lui glissa deux doigts dans la chatte puis dans le cul.

Puis je ne fus plus en mesure de retenir mon plaisir.

Elles se mirent à genoux et je vins dans leurs bouches et sur leurs joues à longs traits de semence chaude. Elles échangèrent ensuite un long baiser avec mon foutre en bouche. Il coulait à la commissure de leurs lèvres. Elles s’échangeaient mon précieux liquide en s’embrassant. Je me mis a genoux pour les saisir, pour caresser leurs peaux brûlantes, pour les embrasser et partager nos fluides.

 

Mes mains descendirent entre leurs jambes. Je me glissai dans l’intimité de leur douceur lubrifiée en même temps. Comprenant mon intention, elles se mirent d’elles-mêmes en levrette, relevant pareillement leurs croupes. Et là, de mes deux mains, avec quatre doigts, sur leur clitoris, en elles, je leur donnai un orgasme. 

S’ensuivirent quelques instants de silence où nos corps, collés les uns aux autres, se reposaient, jouissaient de la chaleur et du plaisir dégagés par nos ébats.

« Alors, mesdemoiselles, on continue la formation ou bien vous voulez remettre à plus tard la seconde partie du module, celle du vicieux salace ? » leur demandai-je dès que je sentis monter en moi une nouvelle érection. 

 
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Par Nicosens - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Porno XXX
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