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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Il fait une chaleur étouffante quand Ludovic gare sa Golf cabriolet dans la cour de sa mère Annabelle, veuve d'un riche industriel. Ludovic est un garçon de vingt ans, cheveux noir, yeux bleus, très séduisant, qui mord la vie à pleine dents.

Fêtes avec les copain, sorties nocturnes, etc..etc. Sans compter les innombrables conquêtes féminines.

« Te dérange pas man », je suis juste passé me changer, je repars. Bisous.

- Attend mon chéri, j'ai un colis à faire passer à Janet, tu peux le lui porter ?

- Oh non. ! Merde, mes copains m'attendent man.. .allez, donne-le moi, vite.. »

 

Il se saisit du colis, et file à toute allure vers la maison de sa cousine Janet. 

Elle est une  superbe créature blonde de vingt-quatre ans, et vit dans une magnifique villa sur les hauteurs de la ville. Son mari, Jean-Yves,  est employé par l’Ong « Médecin sans frontière », et s'absente souvent.

 

Janet en profite pour recevoir des copines, ou organiser des soirées entre amis. Certains mâles voient là l'opportunité de passer une nuit avec elle, et n'hésite pas  à la draguer tous azimuts. Hélas, Janet est d'une fidélité à toute épreuve.

 

Cet après midi, Jean-Yves s'est envolé pour une quinzaine de jours, pour une aide humanitaire en Afrique. C'est elle qui l'a déposé à l'aéroport. De retour, elle prend une bonne douche, et s'installe confortablement devant la télé, vêtue d'un simple peignoir. Elle s'est préparé un dvd un peu chaud, et met le lecteur en mode lecture. Elle regarde presque sans y penser les images de cinq personnes se mélangeant en tous sens, se suçant, se léchant, se baisant, sans distinction de sexe. L’orgie est totale, et l’excite de façon intense. Alors, elle laisse glisser sa main ver sa grotte en feu, et commence à se la caresser pour soulager la tension qui monte en elle…

 

Ludovic déboule à la villa vers dix sept heures. Il est vêtu d'un bermuda, et d'une chemise blanche ouverte sur le torse. Tout est calme. Il sonne une première fois, rien, une deuxième, toujours rien. Il se permet d'ouvrir la porte, en habitué des lieux. Il pense juste deposer le colis sur la table basse.

« Janet doit prendre une douche ou faire une sieste, » pense-t-il

 

Arrivé à l'entrée du salon, il tombe sur le cul : Janet est assise, peignoir ouvert, une jambe posée sur le sol, l'autre repliée sur le canapé. Une main s'active entre ses cuisses, une autre caresse les seins. Il lui arrive aussi de porter, ses doigts à la bouche, faire le plein de salive, puis regagnent la source d'amour, comme pour lui donner à boire.

« Régale-toi salope... » murmure-t-elle.

 

Le majeur, plus vicieux, affole le clitoris, à fleur de peau. La tête de Janet vacille de droite à gauche, sa longue chevelure blonde balaie le visage, passe devant les yeux mi-clos, et la langue court sur les lèvres pulpeuses, la respiration s'accélère.

 

Elle n'a pas vu son beau cousin, qui a reculé d'un pas. Il sent que sa queue bande très vite. Il faut dire qu’il est un coquin affirmé, et ne rate pas une occasion de pratiquer le sexe à fond, avec toutes et tous, quelques soit l’endroit où le lieu. Pourtant, Ludovic est pressé, ses copains l'attendent. Il décide d'intervenir, même sil meurt d’envie de dévorer cette chatte accueillante !

« Rrumm...rrum », tousse-t-il. 

 

Janet sursaute sur le canapé, rabat les pans du peignoir pour cacher sa nudité.

« Oh mon dieu, dit-elle, mais comment es-tu rentré?

- Ben... par la porte, répond-il, elle était ouverte...houa ! Chaud le dvd..

- Heu... je suis désolée, rougit Janet, ne va pas croire que... je suis vraiment confuse. »

 

Ludovic s'assied à côté de Janet, passe tendrement un bras autour de son épaule.

« Mais je n'ai pas à te juger, dit Ludo, je suis simplement surpris. Jean-Yves ne te  satisfait pas, il ne s'occupe pas de toi ?

- Si si, mais je préfère un bon doigté, qu'un coup de queue. Je suis plutôt clito... »

 

Soudain, le peignoir s'ouvre, et dans un réflexe, Ludovic tente de le remonter. C'est ce moment que choisit Janet pour lui prendre la main. Furtivement, leurs regards se croisent. Ludovic ne peut s'empêcher de mater entre les cuisses de Janet.

«  On t'a déjà dit que tu avais une jolie petite chatte, sourit Ludovic.

- Tais-toi... Oui, ton cousin me l'a dit... Mais il s'en sert si peu...

- Quel dommage ! Des lèvres si charnues, une fente parfaite, bien épilée... Mum...  tout ce que j'aime ! Serait-elle mouillée ? »

 

 La chaleur est toujours présente, et se consume dans les entrailles de la jeune femme.

« Vérifie par toi même... » souffle Janet, étonnée de sa propre audace.

 

En effet, Janet a un superbe abricot, bien juteux, qui ne demande qu’à être cueilli.

Ludovic a une pensée pour son cousin, mais sa cousine est tellement attirante.  

Après une brève hésitation, il écarte les jambes de Janet, et glisse une main entre ses cuisses. Ses doigts frottent les lèvres une contre l'autre, pianotent sur le clitoris, puis pénètre la chatte encore toute mouillée. Janet décide de s'offrir totalement, et même si elle a une pensée pour son mari, elle veut vivre à fond l'instant présent, quitte à passer aux yeux de Ludo, pour une moins que rien.

 

Très vite, le plaisir reprend le dessus, la respiration devient de plus en plus saccadée,  ses mains malaxent les seins dur comme du béton.

Elle se cambre pour mieux sentir les doigts de son jeune cousin.

« Tu me rends folle...comme tu me clites salaud... Qui t'a appris ça ?

- Personne, pourquoi, ce n’est pas bon?

- Putain... Si que c'est bon, quel talent !  On ne m’a pas souvent chattée comme ça ! Je vais venir là... Vas-y... oui... oui... doigte... Ha... ha... hou… hou... »

 

Janet lâche un terrible orgasme, son corps est secoué par de violents spasmes.

Elle passe un bras autour du cou de Ludovic, et pose sa tête au creux de son épaule.

« Tu es fou... qu'est-ce-que tu m'as fait, salaud ?

- Putain, sourit Ludo, quel volcan, c'est toujours comme ça ? Quelle santé… Oh putain,  tu es vraiment une bombe, ma belle !

- Quand même pas... répond timidement Janet. Jouir comme ça, c'est plutôt rare... »

 

Epuisée, Janet s'écroule sur le canapé. Ludovic referme le peignoir et lui prend la main.

« Il faut que j'y aille Janet. Mes copains m'attendent. Demain on va à un festival au  dessus de Gap, on campe la haut. Tu veux venir, ça de sortira, tu verras l'univers  libertins dans lequel je vis.

- Tu sais que c'est impossible, répond Janet, je ne peux pas faire çà. Si ça vient aux oreilles de Jean-Yves, après ce que je viens de faire….

- Mais il n'en saura rien... Tu es jeune, belle, il faut s'amuser, profiter de la vie, réfléchis... Bon, si tu changes d'avis, tu m'appelle, ok?  Allez, j'y vais. »

 

En signe d'au revoir, Ludovic lui donne un simple baiser sur la joue. Aucune allusion.

Janet regarde son cousin franchir le portail de la villa, un sourire éclaire son visage.

« Merci beau gosse, merci pour tout… »

 

Janet se couche, vers minuit, et se prend à rêver. Il est indéniable que Ludovic l'attire, tout comme son mode de vie la fascine. Le film de son sulfureux après-midi défile dans sa tête, elle a l'impression de sentir les  doigts de son cousin harceler son clitoris, elle entend aussi la proposition indécente.

« Viens dans mon univers libertin. »

 

Janet sait qu'elle est en train de basculer dans le monde de l'infidélité. Au réveil, elle se sent encore imprégnée des caresses de Ludo, à tel point, qu'elle est, sans jeux de mots aucun, à deux doigts de se mettre deux doigts. Et la nuit, même si elle a été très agitée, apporte conseils. Elle tourne et retourne la situation dans sa tête, puis décide d'appeler Ludovic.

« Allo...Ludo ? C'est Janet,  ça va ? Qi tu tiens toujours à me faire visiter ton univers, j'accepte.

- Sérieux ? No problem...je te prends… Disons, vers seize heures...On va passer un week-end  de folie, fais moi confiance… »

 

Seize heures pétantes, Ludovic arrive à la villa de Janet. Il trouve la jeune femme dans le salon, vêtue d'un ensemble noir, pantalon à pinces,  veste, et chemise blanche. Elle s'est même fait un petit chignon fixé par un chouchou rouge. Elle est tout simplement magnifique.

« C'est quoi cet accoutrement, demande Ludovic, c'est une blague ? Enfin ! On va à un festival,  pas à une cérémonie ! Tu n’as pas plus court... plus sexy ?

- Ah bon ? Ben non, répond-elle déçue, a part ma jupette de tennis.

- Ce sera parfait, allez va te changer. »

 

Sans piper mot, et vaguement gênée, la jeune femme obtempère, et va dans sa chambre se changer. Quand elle revient, Ludovic lui tourne le dos, contemplant la vue sur le mer.

« C'est bon comme ça ? » demande-t-elle.

 

Ludo se retourne, ses molaires prêtent à tomber au sol. En effet, Janet est vêtue 'une jupette de tennis ultra courte, accompagné d'une chemise rouge nouée sur le ventre, qui laisse entrevoir un soutien gorge noir. La chevelure blonde, est lâchée sur les épaules.  

« The » bombe... Janet pivote sur elle même.

« Finalement, je me trouve assez canon, sourit-elle, qu'est-ce-que tu en dis, toi qui t'y connais ?

- Whoua...c'est vrai que... Dommage que tu sois uniquement clito... je t'aurai bien mis un coup de queue, là, maintenant, tout de suite ! « 

 

Janet s'avance vers son cousin, dans un déhanché provocateur. Elle passe ses bras autour de son cou, provocante :

« Va savoir, murmure-t-elle, le fait de changer de partenaire peut réveiller la cochonne qui  sommeille en moi. Il va falloir qu'on se programme un plan baise tout les deux. »

 

Il n’en faut pas plus à Ludovic pour envoyer balader ses bonnes résolutions.

« Après tout, on n’est pas à cinq minutes près… » murmure-t-il comme pour lui-même.

 

 Il décroche les bras de Janet, et la fait pivoter sur elle-même. Presque brutalement, il la pousse vers le dossier du canapé. Elle se laisse faire, sans un mot. Il la courbe sur le dossier, et ce geste fait apparaitre les fesses rebondies de Janet, pas du tout cachées par le string  noir qu’elle porte.

 

Il l’écarte, et emprisonne les deux globes entre ses mains. Il les écarte, laissant apparaitre la rosace brune qui frémit, et juste en-dessous la chatte en feu de sa cousine. Il voit nettement qu’elle coule beaucoup.

 

« Mais tu es excitée, ma chère.. En effet, tu vas devenir une vraie cochonne…. »

 

Pour toute réponse, Janet pousse ses fesses vers lui.

Il ne lui en faut pas plus pour extraire sa belle bite dure de son jean’s. On voit qu’il en a nettement l’habitude, si jeune soit-il !

 

Il la prend dans sa main gauche, et de la droite, écarte les chairs intimes de Janet. Il pose son gland devant l’entrée de la grotte palpitante ; Et vivement, il s’enfonce d’une seule poussée dans l’intimité de la jeune femme. Elle sursaute sous l’assaut, mais très vite, elle accompagne les va et vient qui la ravage de l’intérieur.

 

Ludo se lâche, persuadé que de toutes façons, elle ne jouira pas. Inutile de faire trainer les choses en longueur. Janet, elle, soupire de plus en plus fort, et commence à pousser des gémissements assez bruyants.

 

Déconcerté, Ludo amplifie ses mouvements, et se penche pour branler le clito.  C’est maintenant elle qui pousse son cul vers son « agresseur ». Il la besogne si fortement qu’il ne peut se retenir, et éjacule au fond du vagin qui se crispe. Ila à peine le temps de se rendre compte que.. Mais oui, Janet jouit !

 

Elle se tord, et crie. Elle crie à s’en rompre la gorge.  Il retombe sur elle, pantelants tous les deux. Ils se laissent glisser sur le sol, repus et fatigués.

« Eh bien ma chère, pour une clitoridienne…

- Oh oui, je ne sais pas ce qu’il s’est passé ! Tu as su trouver le déclic... C’était magique. Même si j’ai honte. Tu e sur que mon mari ne saura rien ?

- Mais non, sauf si tu le lui dis.

- Tu es fou ? Il me tuerait !

- Allez ma belle, on s’en va, on a une longue route à faire ! »

 

Il se redresse, et se rhabille prestement. Janet en fait autant, et elle attrape son sac. Le temps presse, il faut partir. 

 

A suivre….

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : les blogs persos
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