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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce soir, je vous invite à lire ce superbe texte, écrit par Thierry K. Il est très long, et justifie, une fois de plus, que je lui consacre une page à part entière. En voici donc le début.

Cliquez dans la colonne de gauche dans la catégorie « textes longs » pour le lire en totalité !


Réalisant enfin mon fantasme, mon épouse Laurence a désormais un amant. En fouillant dans le compte Facebook de Laurence, je découvrais l’identité du fameux rendez-vous du mardi. Un certain Bruno, donc. Dès le lendemain, j’interceptais ce mec, un barbu avec une écharpe, genre poète à la con, au sortir de son boulot.
« Monsieur, vous êtes bien Bruno Marchepied ?
- A qui ai-je l’honneur ?
- Je suis Thierry K, le mari de Laurence, je peux vous offrir un café ? »


Le gars flippa, mais le fait qu’on se voit dans un lieu public devait le rassurer. Nous nous installâmes au fond d’un café, et j’embrayais direct sur l’affaire.
« Bon je ne suis pas venu vous faire des reproches. J’ai joué avec le feu et maintenant ma femme commence à se lâcher. C’est ma faute. Mais je veux rester maître du jeu, et pour ça, je compte sur vous.
- Sur moi?
- Je compte sur vous pour l’éduquer en douceur, sans lui faire de mal. Je compte sur vous pour la guider dans la voie vers l’épanouissement. »


Le gars devait se dire que j’étais complètement malade ! Et je dois dire aujourd’hui que c’était effectivement le cas.
« Vous devrez me faire des rapports réguliers des progrès de mon épouse, par mail…
- Sinon ?
- Sinon mon cher ami, c’est pas dur, je vous casse la gueule. »


Là, le gars senti dans ma voix quelque chose de déterminé. Il n’avait pas le choix.
En rentrant à la maison ce soir-là, j’étais content de moi. Au détour d’une conversation, Laurence me dit qu’elle allait revoir ses copines de Facebook, le lendemain soir, et je me félicitais d’avoir désormais un espion de ses agissements. Je me couchais ce soir-là sans penser à câliner Laurence, tout à mon attente du rapport qui tomberait le lendemain…
Pourtant, mon épouse vint se lover contre moi un ou deux fois. Elle était chaude, mais c’était comme si je ne la désirais désormais que par personne interposée.

Le lendemain, je passais donc la soirée seul, attendant qu’elle appelle pour que j’aille la chercher à la gare, mais le rapport de Bruno tomba sur mon mail avant le coup de fil de Laurence.
« Bonsoir. Votre femme vient de partir prendre son RER. Ce soir, elle est arrivée directement chez moi. Quand elle a sonné, j’ai ouvert la porte en me cachant derrière elle. Après qu’elle ait fait trois pas dans l’entrée, sans qu’elle me voie, je lui ai ordonné de se dévêtir, là, dans l’entrée. Ce qu’elle a fait. Puis, je lui ai ordonné d’aller se mettre à quatre pattes sur mon lit, prête à être saillie, ce qu’elle a fait. Je me suis approché d’elle par derrière, lui ai mis un bandeau sur les yeux. Puis, j’ai attendu cinq minutes sans faire un geste. « Tu es là ? » demandait-elle. « C’est toi ? »

Sa croupe offerte était très excitante, mais je me suis retenu. Puis, j’ai laissé traîner mes mains partout sur elle. Elle gémissait de plaisir. « C’est bien toi ? Tu es seul ? Vous êtes combien ? » Cette petite chienne espérait peut-être qu’on soit quinze ! Vous avez vraiment une belle salope dans votre lit, monsieur K. Je lui ai répondu, enfin, que j’étais désormais son maître, et qu’elle devait toujours faire ce que je lui imposerai. Elle m’a répondu, spontanément « oui, maître », et j’ai répondu qu’on commencerait les épreuves le mardi prochain. Que pour ce soir, ça suffisait, qu’elle allait rentrer chez elle et tout raconter à son mari. C’est ce qu’elle a fait, elle n’a pas été prise ce soir, occupez-vous en si ça vous chante. Profitez-en bien car mardi prochain, je pourrai lui interdire de vous satisfaire… »

Voilà le contenu de son mail, de ce grand imbécile ! Il prenait décidément son rôle très à cœur ! Sur ce, le téléphone sonna et je fonçais pour aller chercher ma belle salope. Lorsqu’elle entra dans la voiture, elle m’invita d’emblée à ne pas redémarrer, car elle avait quelque chose à me dire. Elle me demanda de l’écouter jusqu’au bout, sans l’interrompre.
« Depuis l’autre week-end, il s’est produit un changement total en moi, et je crois que je suis en train de devenir complètement folle. Mardi dernier, je ne suis pas allée dîner avec une copine, mais avec un ancien collègue de fac, et j’ai fait l’amour avec lui. Puis, trois jours plus tard, c’est avec le livreur de Picard que j’ai fait l’amour, sur notre lit, avec un de tes préservatifs. Samedi, au taï chi, les deux types qui me draguaient depuis des semaines sans succès m’ont sauté comme une vraie salope, en double pénétration dans le vestiaire. Là, je reviens de chez mon collègue du mardi. Il ne m’a pas fait l’amour. Il m’a juste fait adopter une position de soumise et m’a dit qu’il serait désormais mon maître, et j’ai accepté. Voilà. Je ne me reconnais plus mais je sais deux choses : la première c’est que je t’aime toi seul comme je ne t’avais jamais aimé, et la seconde, c’est que c’est trop génial pour que j’arrête l’aventure maintenant. Voilà, décide de ce que tu fais de moi. »

J’ai redémarré. Nous sommes rentrés à la maison sans un mot. Nous nous sommes couchés, Laurence est venue se blottir contre moi, et j’ai caressé sa douce chevelure. Puis, j’ai décidé de me lancer :
« Je crois que le rôle d’un mari, c’est pas seulement de rester un mari quand tout va bien et fuir les épreuves quand elles se présentent. Je dois être aussi ton meilleur ami, ton repère. Je dois veiller à ton bonheur. Si ton bonheur pour l’instant consiste à explorer cette partie cachée que tu découvres en toi, je ne peux que t’accompagner sur ce chemin… »
Elle m’embrassa avec effusion et me dit « merci ».
Je venais d’entrer dans le club des cocus volontaires, mais je n’étais plus sûr d’en être si heureux que cela.

Mon épouse Laurence est tombée sous la domination de son amant Bruno. Voici la suite de notre histoire.


La vie continuait. Le livreur de Picard ne passe qu’une fois par mois, il y a bien celui de Maxximo mais bon, Laurence avait quand même sa dignité, elle n’allait pas sauter sur tout ce qui bouge, tant pis pour Maxximo, il n‘avait qu’à passer une semaine plus tôt…

Le samedi, c’était les vacances scolaires et nos enfants furent confiés à mes beaux-parents, à la campagne, et il n’y avait pas taï chi non plus, donc, pas de baise au gymnase.
Laurence passa donc une semaine bien tranquille auprès de son gentil mari. Le soir, elle lisait et moi je faisais des sodokus. Le pied. C’était à se demander si tout cela n’était pas un mauvais rêve…


Et puis, le mardi suivant arriva.
Je vis l’instant où Laurence allait baisser pavillon, renoncer à ses chimères, mais non, le matin même, elle m’expliqua qu’elle rentrerait tard. La lassitude me prit et je lui répondis que « d’accord, téléphone-moi, je viendrai te chercher à la gare ».

Le soir, j’attendis, seul, dans cette grande maison, à la fois inquiet et surexcité.
Une panne de mon fournisseur d’accès à internet m’empêcha de lire mes mails, et je commençais à me morfondre, lorsque le téléphone sonna et que Marie me demanda de venir la chercher, ce qui fut fait en deux minutes. Laurence était visiblement fourbue. Son rimmel était parti en eau de boudin, et elle semblait avoir du mal à marcher…
Alors, il ne fut question de rien, et nous nous endormîmes. Enfin, elle. Moi, je tournais plusieurs heures dans mon lit avant de trouver le sommeil.

Le lendemain, du boulot, j’interrogeais ma boîte perso et tombais sur deux messages de l’autre enfoiré de Bruno. Je lus le second, dernier arrivé, en premier, machinalement :
« Dis donc, connard, tu pourrais répondre lorsque je te pose une question ! ».
J’étais scié ! Comment cet imbécile osait-il me parler ? Curieux, j’ouvrais son premier message, arrivé avant :
« Salut cocu ! Commençait-il. Qu’est ce qu’on a pu se vider les couilles avec ta salope, ce soir, moi et mes potes, c’est dingue ! Et elle en redemandait encore ! On était six à se la taper et elle réclamait encore de la bite après nous avoir complètement essorés ! Moi, je vais pas pouvoir m’en occuper plus que ça, hein, c’est vraiment trop de boulot, j’ai pas que ça à foutre non plus, hein, va falloir que je sous-traite !
Quand elle est arrivée chez moi, on avait, moi et mes potes, déjà un peu commencé la soirée à la bière. J’ai dit à ta femme de faire le service, mais complètement à poil, bien sûr. Elle, sublime de perversité, avait enfilé un petit tablier de boniche qu’elle avait trouvé dans la cuisine, qui la rendait encore plus nue que nue ! Les mains baladeuses y allaient de bon cœur. Et puis, j’ai ordonné qu’elle se branle de partout avec un énorme godemiché que j’avais ramené d’un voyage au Japon et après on lui est tous passé dessus, devant, derrière, les deux en même temps, c’était dingue ! Elle couinait comme une chienne, ta meuf.
Mon moment préféré, c’est quand je me suis mis sur le canapé, qu’elle est venue s’empaler rectalement sur moi, en me tournant le dos, et que mes cinq copains sont venus la pratiquer par devant à tour de rôle ! Homérique ! Dantesque ! Après, on lui a refait la façade au jus de pine, t’aurais du voir ça… C’était chouette, mais ça nous a vraiment crevés, tout çà. C’est pas pour râler, mais quand même. Nous, faut nous comprendre, s’amuser un peu, on n’est pas contre, faire jouir ta femme, c’est pas si désagréable que ça, mais on a aussi notre travail, on se lève tôt le matin, alors tu seras gentil, mardi prochain, de lui confier un peu de blé, histoire qu’on ait le sentiment de rentrer un peu dans nos frais, quoi, une participation, moi, je trouverais ça normal, quoi.
D’autant que vendredi prochain, Régis (un copain) a promis de faire venir ses équipiers du club de rugby pour qu’ils puissent se défouler un peu sur ta meuf, ça va me faire des frais de bière. Disons 500 euros et on est quitte. Bon, j’attends ta réponse, mais grouille ! Sinon, ta meuf, faudra que t’ailles la faire tirer ailleurs, on n’a pas non plus que ça à foutre ! Salut. »

Là, c’était clair, il fallait arrêter ! Laurence était traitée de la façon la plus ignoble qui soit, c’était insupportable !
Je renvoyais à ce paltoquet un mail sans équivoque :
« Espèce de malotru ! Je vous croyais digne de confiance, mais vous n’êtes qu’un malappris ! Je romps toute relation avec vous et je compte que Laurence ne vous revoit jamais ! ».

Voilà qui était envoyé ! Et je pensais être bien tranquille avec ce connard, désormais…

Je pensais m'être débarrassé de Bruno, l'amant dominateur de Laurence. Erreur !
Le vendredi suivant, je posais ma journée afin de rester auprès de ma tendre épouse, désireux de la soustraire à ces brutes.
Nous fîmes les courses ensemble, une promenade en forêt, un petit repas en tête à tête à midi, et une sieste tendre (non crapuleuse) lorsque nous fûmes réveillés par la sonnerie de l’entrée.
J’allais ouvrir et fus balayé par un groupe d’excités d’une vingtaine de gaillards complètement déjantés.
« Non mais dites donc, dis-je, où vous croyez-vous ! »

Le fameux Bruno se détacha du groupe de salopards qui commençaient à fouiller partout et lâcha « Ta gueule, cocu ! Envoie-nous ta meuf ! ».
Laurence descendait à l’instant.
« Ici ! lui lança le grand connard, et elle vint se placer près de lui.
- Laurence ! Criais-je, il faut lui dire que tout est rompu désormais !

Mais mon épouse semblait soumise.
« Enlève ce peignoir et expose ton cul sur le canapé », ordonna Bruno, et Laurence se retrouva nue, majestueuse, s’avança dignement vers le canapé du salon, y déposa les genoux, puis cambra sa croupe nue et offerte en s’appuyant langoureusement sur le dossier. Ses formes pulpeuses exposées me firent basculer dans une ambiance irréelle. Les orifices de mon épouse semblaient largement dilatés et accueillants. Elle entrouvrit aussi ses lèvres, pour accueillir les éventuelles queues de ceux qui passeraient derrière le canapé.


Je fis un geste vers le téléphone avec la ferme intention d’appeler police secours, mais un autre dépravé m’arrêta net et me cria « Tu ne bouges pas de là, et d’ailleurs tu vas me sucer, bordel, pour que je puisse niquer ta meuf ! »

 

La suite dans la colonne de gauche, et je vous l'assure, vous ne serez pas décus !!!

Par Thierry K. - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

Très belle histoire qui trouve toute sa place sur ton blog!
commentaire n° :1 posté par : Philippe le: 20/10/2009 à 00h16
passionnant cela fait rèver mais je vais garder la suite pour demain!!!
commentaire n° :2 posté par : labite973 le: 20/10/2009 à 01h18
Que dirais-tu si ta femme se faisait prendre ainsi devant toi ? Tu acceptes, tu la pousses, ou tu te mets en colère ???
réponse de : Sophie de R. le: 20/10/2009 à 05h27
Bonjour Sophie, c'est un plaisir et même un honneur que d'être publié dans ton blog, que j'ai découvert par le biais de celui de Philippe et Olga, que je suis fidèlement.
Philippe et Olga publiant en priorité les histoires avec photos, je leur ai donc envoyé notre histoire sous formes de commentaires, en plusieurs fois pour en faciliter la lecture.
Je voudrais dire que l'hypersexualité de Laurence a changé notre vie et que nous sommes heureux. Moi j'assume sans complexe mon candaulisme.
Merci à toi chère Sophie et beaucoup de bisous de ma part et celle de Laurence.
commentaire n° :3 posté par : Monsieur K le: 20/10/2009 à 06h38
C'est moi qui te remercie, Thierry, pour ton beau récit. il me plait énormément... Pourquoi tous les hommes ne sont-ils pas comme toi ????
réponse de : Sophie de R. le: 21/10/2009 à 17h26
Comme tu l'as souligné, le récit est long et tu as chosis de démarrer dans le "vif" de l'action. Ce n'est pas une critique.
Mais je t'envoie dans ce post le début, à partir de ce que j'ai publié sur le blog d'Olga. Afin d'expliquer comment nous en sommes arrivés là.
Cela fait quelques temps que je visitais le site de Philippe et Olga, par amusement.
Il me parut d’abord très bizarre (quelle idée de se satisfaire d’être trompé par son épouse ?). Mais à la lecture, j’ai compris les ressorts qui animent vos désirs, et je dois dire que les récits m’ont intrigué.
Mon épouse Laurence est une jolie brunette avec tout ce qu’il faut pour rendre un homme heureux, mais il est vrai que nous sommes désormais tombés dans une certaine routine, et nous sommes plutôt tendrement amoureux que toujours à chercher un coin pour la baise !
Elle est de plus très « les pieds sur terre » et je ne me serai pas risqué à lui proposer quoi que ce soit de fantaisiste, comme de lui suggérer un amant !
Pourtant, lors d’une récente relation, un matin, et après que j’eus consulté plusieurs fois votre site, j’ai tenté une expérience…
Elle avait du mal à prendre son plaisir, me semblait peu excitée. Je lui faisais un cunni et, n’ayant plus de salive, j’ai du m’interrompre pour aller boire un verre d’eau.
En revenant, je lui ai dit, en plaisantant : « on est tombé dans la routine, tu devrais te trouver un petit copain, ça nous stimulerait tous les deux… ».
Elle ne répondit «tu crois que j’ai que ça à faire de tomber amoureuse ! ».
- Il ne s’agit pas de ça, c’est juste pour la bagatelle, avec le livreur de Maximo, par exemple ».
Elle rit, mais je poussais mon avantage : Je la prenais dans mes bras et lui soufflais d’un air énamouré:
-Oh, madame K, ils sont splendides, m’autorisez-vous à caresser vos si jolis seins ?
Et je la pelotais avidement, suçant ses tétons qui s’érigeaient soudain. Il faut dire que sa poitrine est lourde et elle devient très ferme sous les caresses, c’est un régal.
- Monsieur K doit bien se régaler, chaque soir ! Fermez les yeux et laissez-vous aller… »
J’ai continué mon manège en l’embrassant dans le cou, puis, j’ai posé ma main sur sa tendre chatte et je l’ai presque retirée sous la surprise : elle était trempée !
Elle, si réservée, semblait formidablement troublée par l’évocation du livreur de l’épicerie…
Inutile de préciser que je me suis empressé de passer à l’acte…
« Vous aviez déjà fait l’amour dans votre cuisine ? poursuivis-je en m’engageant en elle.
Elle ne répondit rien, mais dégusta tranquillement, les yeux fermés la frénétique copulation que lui prodiguais.
C’était il y a une quinzaine de jours.
Depuis, les choses ont sacrément évolué…
Deux jours plus tard, elle m’expliqua qu’elle avait retrouvé, sur Facebook, une copine d’enfance qui travaille à Paris, et qu’elle souhaitait dîner un soir, avant de rentrer. Je ne fus pas étonné, nous venions tous les deux de découvrir cet outil et de renouer avec d’anciens amis. Dans la journée, j’allais par curiosité me connecter sur Facebook avec son identifiant (c’est moi qui lui avais créé son compte). Je précise qu’avec le recul, je ne suis pas très fier d’avoir commis cette intrusion, encore qu’à ce moment-là, je ne pensais pas que c’en fut une…
Je pus constater qu’un certain Bruno, qu’elle avait apparemment connu à la fac lui avait depuis quelques temps laissé des messages pour le peu ambigus sur une éventualité de venir dîner dans son quartier. Elle n’avait répondu à aucun, sauf le dernier, la veille, par un « d’accord, je peux demain soir, en tout bien tout honneur ».
Quelques minutes plus tard, la coquine m’envoya un mail pour me rappeler qu’elle rentrerait tard. Je lui répondais que je m’occupais de tout à la maison, et qu’elle n’avait qu’à me téléphoner pour que j’aille la chercher à la gare.
Un comble ! Je n’avais aucune preuve, bien sûr, mais quoi ! J’attendrai tranquillement à la maison, en faisant manger les gosses et en faisant la vaisselle, pendant que mon épouse se ferait sauter, puis j’irai jouer les chauffeurs !
Un zeste de fierté probablement mal placé me titillait, mais aussi, et c’est là que je voulais en venir, une sorte d’excitation à me trouver dans cette situation…
Le soir, elle appela vers 23h30, je pris la voiture et lorsqu’elle monta dedans, je pus constater qu’elle avait fait des efforts vestimentaires… Sa jupe droite très sexy mettait en valeur le galbe de ses jambes et le chemisier était assez échancré sur inspirer des idées lubriques, mais je ne relevais pas ce point.
« Tu as passé une bonne soirée ? lui demandais-je innocemment.
- Excellente, oui, et toi ? répondit-elle seulement, et je la trouvais un peu mystérieuse. Elle était généralement plus loquace…
Arrivé à la maison, j’attendais que nous soyons sur le point de nous déshabiller pour l’enlacer et l’embrasser dans le cou. Elle tenta de me repousser mais je fis part d’un désir irrépressible.
« Il faut que j’aille me laver, dit-elle
- Tu te laveras après, c’est plus logique, répondis-je, et j’ajoutais : j’en ai pour une seconde !
Je ne croyais pas si bien dire...
Je l’allongeais sur le lit et fourrais mon groin sous sa jupe et ce fut délicieux. Toute chaude, sa chatte semblait un peu irritée et ne fit aucune difficulté à s’ouvrir lorsque j’y glissais deux, puis trois doigts.
Là, je dois dire que je me suis un peu comporté en soudard, et j’ai pénétré mon épouse avec une facilité qui en disait long sur son prétendu dîner au restaurant !
Tout en lui faisant l’amour, j’ouvris son chemisier et défis son soutien gorge, et là, j’éjaculais instantanément ! Sa poitrine sentait le foutre à plein nez ! Le sagouin avait du se vider les burnes sur la poitrine de mon épouse !
Je m’excusais pour la piètre qualité de ma prestation, l’embrassais tendrement d’un baiser que Laurence me rendit et je la laissais aller se laver...
J’étais devenu cocu. Et ma réaction montrait à l’évidence que j’en avais joui !
Je ne me connaissais plus, et surtout, je ne reconnaissais plus Laurence !
Elle vint se coucher et nous éteignirent la lumière.
« Bonne nuit ma chérie », susurrais-je.
Elle vint se lover près de moi.
« C’est bizarre, tu sais, je me sens un peu… bizarre, depuis ce week end… »
Je la laissais venir…
« Depuis tes histoires de livreur, tu sais… (je voyais venir le coup, elle allait tout mettre sur ma responsabilité !), je me sens un peu plus émoustillée par les hommes, j’ai souvent des symptômes bizarres… »
Bizarre, bizarre, oui, comme c’est bizarre.
Je me faisais disert : « Ben écoute, c’est sans doute normal, tu as peut-être découvert là un fantasme que tu refoulais et ça te perturbe… Mais bon, c’est pas dramatique, même si tu devais ressentir une attirance pour quelqu’un, on n’en ferait pas tout un fromage, quoi, il faut vivre ta vie. De toute façon, c’est moi que tu aimes, non ?
- C’est dingue que tu réagisses comme ça ! Alors si j’avais une aventure, tu le supporterais !
- Bien sûr mon amour ! Au contraire ! Regarde, depuis mon livreur, comme tu dis, on a fait l’amour deux fois en trois jours, ce qui est franchement inhabituel… Déculpabilise, vit pleinement ta vie, éclate-toi, je ne veux que ton bonheur, mais ce que je souhaite, c’est avoir toujours la primeur de ton amour.
C’était beau comme du Marivaux !
Elle s’est lovée plus fort contre moi, a eu un moment d’émotion, une hésitation. J’ai cru qu’elle allait m’avouer quelque chose, mais non, elle m’a fait un petit baiser et m’a dit « je t’aime », puis « bonne nuit », et elle s’est tournée.
J’étais bien sûr complètement dépassé. J’avais, avec mes conneries, allumé une bombe ! Bien sûr, je pouvais me vanter d’avoir révélé ma femme à sa sexualité, mais j’espérais quand même en être le principal bénéficiaire ! Au lieu de cela, les événements dérapaient salement !
Je décidais de reprendre le contrôle de la situation.
Fais moi savoir si tout est passé dans le commentaire Bonne journée
commentaire n° :4 posté par : Monsieur K le: 20/10/2009 à 06h41
C'est un immense plaisir pour une femme de découvrir son hypersexualité et de l'assumer aux côtés d'un mari candauliste!
Je suis heureuse à chaque fois qu'une femme assume ses envies, que son mari reconnait que son corps appartient à la femme et qu'elle est libre. L'obligation de fidélité est une "relique barbare" ce qui compte c'est l'amour dans le couple. Et moi je suis heureuse quand je suis bien baisée mais aussi et surtout quand je croise le regard complice de mon chéri. Comme Laurence, je suis heureuse grace à mon mari
bisouxxx à toi, ma douce Sophie
Bravo à toi Sophie d'avoir publié le beau récit de Monsieur K.
commentaire n° :5 posté par : Olga le: 20/10/2009 à 07h13
Tu as trouvé un équilibre, avec tes maris et ta femme. C'est une bonne chose. Puisse la vie continuer ainsi pour vous quatre, et bientot 5 ! Bisouxxx à tous les quatre.
réponse de : Sophie de R. le: 21/10/2009 à 17h27
Quel beau récit, quelle expérience fabuleuse. j'aimerai beaucoup faire la pareil avec ma femme, mais elle est trop coincée ! Donnez-oi la recette pour la convaincre !
commentaire n° :6 posté par : Karl le: 21/10/2009 à 13h31
A force de lire ces histoires où les maris offrent leurs femmes, ca finit par me donner des idées. Après tout, plus besoin de tromper son époux ! J'adore sentir pleins de mains, plein de langues sur moi. Et voir plein de belles bites qui s'agitent devant moi !!!
commentaire n° :7 posté par : Janine le: 24/10/2009 à 15h06
Alors, il ne faut pas hésiter, vivez vos envies, et je vous assure que vous ne le regretterez pas !
réponse de : Sophie de R. le: 24/10/2009 à 16h02
un beau recit tres prenant je sais pas si je pourrai reagir comme Monsieur K
commentaire n° :8 posté par : romain57 le: 25/10/2009 à 10h22
Essaye et tu verras !
Je suis heureuse de te revoir, tes ocmmenaires me manquaient énormémenet !
réponse de : Sophie de R. le: 25/10/2009 à 22h25
tu sais en ce momment je suis tres pris par le travail c est pour cela que je poste en retard mais toujours fidéle j adore ton blog @+
commentaire n° :9 posté par : romain57 le: 26/10/2009 à 08h22
Ce n'etait pas une reproche ! je craignais que tu n'aies des soucis... Big Bisouxxx
réponse de : Sophie de R. le: 26/10/2009 à 17h19
C'ets un peu rareil pour moi, je suis devenue hypersexuelle, une vraie bete de sexe. je ne peux plus m'en passer. Mais ce n'est pas mon mari qui m'y a poussée. Il a accepté, car en fin de compte, il aime bien me voir avec d'autres. Surtout, il sait qu'il ne peut pas me satisfaire, il m'en faut bien plus que ce qu'il me donne.... J'ai u carnet d'adresses, avec plein de mecs, et j''en trouve toujours un de dispo pour moi. J'en prends au moins deux ou trois par jour. C'est ma bonne dose.
commentaire n° :10 posté par : Sylvie le: 27/10/2009 à 12h04
Si tu trouves ton équilibre, c'est le principal. Continue de t'eclater de te faie du bien... Bisouxxx ma belle.
réponse de : Sophie de R. le: 28/10/2009 à 04h20
Bonjour je n ais pas pris ça pour un reproche n ai crainte et je te remercie de te soucier de moi a plus
commentaire n° :11 posté par : romain57 le: 27/10/2009 à 14h17
bon je ne sais toujours pas comment écrire ici une histoire alors je passe par le biais des commentaires
Je suis toujours étonné de constater le nombre dhommes qui comme moi aiment voir ous avoir leur femme avec un ou plusieurs autres hommes et en éprouver un grand plaisir plus cérébral que physique d'ailleurs, enfin les deux mais sublimés par l'esprit En tout cas je ne veux pas me prendre la tête à analyser les pourquoi du comment et autres mystères insondables de notre cerveau et je me contente d'en jouir sans limite J'assume donc mes pulsions (pas du tout honteuses au demeurant) consistant , comme je l'ai dit ci avant, à encourager mon epouse a prendre le maximum de plaisir et d'en donner à tous les mâles qu'elle désire, mon plaisir étant le sien et celui de ses partenaires avec toutes les variantes imaginables et sans cesse renouvelées au gré de toutes les fantaisies de tous les protagonistes ET, j'éprouve également un vrai plaisir a en parler, raconter,prévoir, etc;;.DONC merci de ce site (un parmi d'autres mais assez rare quand même) qui permet de s'épancher et aussi de lire les fantasmes vécus ou non de mes semblables BISOUS
commentaire n° :12 posté par : janfoutre le: 26/09/2010 à 09h26

Mais si tu vois, tu y es arrivé ! Tu n'as pas reçu mon message dans ta boite mails ? Regarde dans les indesirables...

Merci de tes compliments, et comme je l'ai deja dit, tes propres histoires, vécues ou non, seront les bienvenues ici !

je te redonne mon adresse mail : leplaisir973@yahoo.fr

réponse de : Sophie de R. le: 26/09/2010 à 14h14
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