Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Ce soir, je vous invite à lire ce superbe texte, écrit par Thierry K. Il est très long, et justifie, une fois de plus, que je lui consacre une page à part entière. En voici donc le début.
Cliquez dans la colonne de gauche dans la catégorie « textes longs » pour le lire en totalité !
Réalisant enfin mon fantasme, mon épouse Laurence a désormais un amant. En fouillant dans le compte Facebook de Laurence, je découvrais l’identité du fameux
rendez-vous du mardi. Un certain Bruno, donc. Dès le lendemain, j’interceptais ce mec, un barbu avec une écharpe, genre poète à la con, au sortir de son boulot.
« Monsieur, vous êtes bien Bruno Marchepied ?
- A qui ai-je l’honneur ?
- Je suis Thierry K, le mari de Laurence, je peux vous offrir un café ? »
Le gars flippa, mais le fait qu’on se voit dans un lieu public devait le rassurer. Nous nous installâmes au fond d’un café, et j’embrayais direct sur l’affaire.
« Bon je ne suis pas venu vous faire des reproches. J’ai joué avec le feu et maintenant ma femme commence à se lâcher. C’est ma faute. Mais je veux rester maître du jeu, et pour ça, je compte sur
vous.
- Sur moi?
- Je compte sur vous pour l’éduquer en douceur, sans lui faire de mal. Je compte sur vous pour la guider dans la voie vers l’épanouissement. »
Le gars devait se dire que j’étais complètement malade ! Et je dois dire aujourd’hui que c’était effectivement le cas.
« Vous devrez me faire des rapports réguliers des progrès de mon épouse, par mail…
- Sinon ?
- Sinon mon cher ami, c’est pas dur, je vous casse la gueule. »
Là, le gars senti dans ma voix quelque chose de déterminé. Il n’avait pas le choix.
En rentrant à la maison ce soir-là, j’étais content de moi. Au détour d’une conversation, Laurence me dit qu’elle allait revoir ses copines de Facebook, le lendemain soir, et je me félicitais
d’avoir désormais un espion de ses agissements. Je me couchais ce soir-là sans penser à câliner Laurence, tout à mon attente du rapport qui tomberait le lendemain…
Pourtant, mon épouse vint se lover contre moi un ou deux fois. Elle était chaude, mais c’était comme si je ne la désirais désormais que par personne interposée.
Le lendemain, je passais donc la soirée seul, attendant qu’elle appelle pour que j’aille la chercher à la gare, mais le rapport de Bruno tomba sur mon mail avant le coup de fil de Laurence.
« Bonsoir. Votre femme vient de partir prendre son RER. Ce soir, elle est arrivée directement chez moi. Quand elle a sonné, j’ai ouvert la porte en me cachant derrière elle. Après qu’elle ait
fait trois pas dans l’entrée, sans qu’elle me voie, je lui ai ordonné de se dévêtir, là, dans l’entrée. Ce qu’elle a fait. Puis, je lui ai ordonné d’aller se mettre à quatre pattes sur mon lit,
prête à être saillie, ce qu’elle a fait. Je me suis approché d’elle par derrière, lui ai mis un bandeau sur les yeux. Puis, j’ai attendu cinq minutes sans faire un geste. « Tu es là ? »
demandait-elle. « C’est toi ? »
Sa croupe offerte était très excitante, mais je me suis retenu. Puis, j’ai laissé traîner mes mains partout sur elle. Elle gémissait de plaisir. « C’est bien toi ?
Tu es seul ? Vous êtes combien ? » Cette petite chienne espérait peut-être qu’on soit quinze ! Vous avez vraiment une belle salope dans votre lit, monsieur K. Je lui ai répondu, enfin, que
j’étais désormais son maître, et qu’elle devait toujours faire ce que je lui imposerai. Elle m’a répondu, spontanément « oui, maître », et j’ai répondu qu’on commencerait les épreuves le mardi
prochain. Que pour ce soir, ça suffisait, qu’elle allait rentrer chez elle et tout raconter à son mari. C’est ce qu’elle a fait, elle n’a pas été prise ce soir, occupez-vous en si ça vous chante.
Profitez-en bien car mardi prochain, je pourrai lui interdire de vous satisfaire… »
Voilà le contenu de son mail, de ce grand imbécile ! Il prenait décidément son rôle très à cœur ! Sur ce, le téléphone sonna et je fonçais pour aller chercher ma belle salope. Lorsqu’elle entra
dans la voiture, elle m’invita d’emblée à ne pas redémarrer, car elle avait quelque chose à me dire. Elle me demanda de l’écouter jusqu’au bout, sans l’interrompre.
« Depuis l’autre week-end, il s’est produit un changement total en moi, et je crois que je suis en train de devenir complètement folle. Mardi dernier, je ne suis pas allée dîner avec une copine,
mais avec un ancien collègue de fac, et j’ai fait l’amour avec lui. Puis, trois jours plus tard, c’est avec le livreur de Picard que j’ai fait l’amour, sur notre lit, avec un de tes préservatifs.
Samedi, au taï chi, les deux types qui me draguaient depuis des semaines sans succès m’ont sauté comme une vraie salope, en double pénétration dans le vestiaire. Là, je reviens de chez mon
collègue du mardi. Il ne m’a pas fait l’amour. Il m’a juste fait adopter une position de soumise et m’a dit qu’il serait désormais mon maître, et j’ai accepté. Voilà. Je ne me reconnais plus mais
je sais deux choses : la première c’est que je t’aime toi seul comme je ne t’avais jamais aimé, et la seconde, c’est que c’est trop génial pour que j’arrête l’aventure maintenant. Voilà, décide
de ce que tu fais de moi. »
J’ai redémarré. Nous sommes rentrés à la maison sans un mot. Nous nous sommes couchés, Laurence est venue se blottir contre moi, et j’ai caressé sa douce chevelure. Puis, j’ai décidé de me lancer
:
« Je crois que le rôle d’un mari, c’est pas seulement de rester un mari quand tout va bien et fuir les épreuves quand elles se présentent. Je dois être aussi ton meilleur ami, ton repère. Je dois
veiller à ton bonheur. Si ton bonheur pour l’instant consiste à explorer cette partie cachée que tu découvres en toi, je ne peux que t’accompagner sur ce chemin… »
Elle m’embrassa avec effusion et me dit « merci ».
Je venais d’entrer dans le club des cocus volontaires, mais je n’étais plus sûr d’en être si heureux que cela.
Mon épouse Laurence est tombée sous la domination de son amant Bruno. Voici la suite de notre histoire.
La vie continuait. Le livreur de Picard ne passe qu’une fois par mois, il y a bien celui de Maxximo mais bon, Laurence avait quand même sa dignité, elle n’allait pas sauter sur tout ce qui bouge,
tant pis pour Maxximo, il n‘avait qu’à passer une semaine plus tôt…
Le samedi, c’était les vacances scolaires et nos enfants furent confiés à mes beaux-parents, à la campagne, et il n’y avait pas taï chi non plus, donc, pas de baise
au gymnase.
Laurence passa donc une semaine bien tranquille auprès de son gentil mari. Le soir, elle lisait et moi je faisais des sodokus. Le pied. C’était à se demander si tout cela n’était pas un mauvais
rêve…
Et puis, le mardi suivant arriva.
Je vis l’instant où Laurence allait baisser pavillon, renoncer à ses chimères, mais non, le matin même, elle m’expliqua qu’elle rentrerait tard. La lassitude me prit et je lui répondis que «
d’accord, téléphone-moi, je viendrai te chercher à la gare ».
Le soir, j’attendis, seul, dans cette grande maison, à la fois inquiet et surexcité.
Une panne de mon fournisseur d’accès à internet m’empêcha de lire mes mails, et je commençais à me morfondre, lorsque le téléphone sonna et que Marie me demanda de venir la chercher, ce qui fut
fait en deux minutes. Laurence était visiblement fourbue. Son rimmel était parti en eau de boudin, et elle semblait avoir du mal à marcher…
Alors, il ne fut question de rien, et nous nous endormîmes. Enfin, elle. Moi, je tournais plusieurs heures dans mon lit avant de trouver le sommeil.
Le lendemain, du boulot, j’interrogeais ma boîte perso et tombais sur deux messages de l’autre enfoiré de Bruno. Je lus le second, dernier arrivé, en premier, machinalement :
« Dis donc, connard, tu pourrais répondre lorsque je te pose une question ! ».
J’étais scié ! Comment cet imbécile osait-il me parler ? Curieux, j’ouvrais son premier message, arrivé avant :
« Salut cocu ! Commençait-il. Qu’est ce qu’on a pu se vider les couilles avec ta salope, ce soir, moi et mes potes, c’est dingue ! Et elle en redemandait encore ! On était six à se la taper et
elle réclamait encore de la bite après nous avoir complètement essorés ! Moi, je vais pas pouvoir m’en occuper plus que ça, hein, c’est vraiment trop de boulot, j’ai pas que ça à foutre non plus,
hein, va falloir que je sous-traite !
Quand elle est arrivée chez moi, on avait, moi et mes potes, déjà un peu commencé la soirée à la bière. J’ai dit à ta femme de faire le service, mais complètement à poil, bien sûr. Elle, sublime
de perversité, avait enfilé un petit tablier de boniche qu’elle avait trouvé dans la cuisine, qui la rendait encore plus nue que nue ! Les mains baladeuses y allaient de bon cœur. Et puis, j’ai
ordonné qu’elle se branle de partout avec un énorme godemiché que j’avais ramené d’un voyage au Japon et après on lui est tous passé dessus, devant, derrière, les deux en même temps, c’était
dingue ! Elle couinait comme une chienne, ta meuf.
Mon moment préféré, c’est quand je me suis mis sur le canapé, qu’elle est venue s’empaler rectalement sur moi, en me tournant le dos, et que mes cinq copains sont venus la pratiquer par devant à
tour de rôle ! Homérique ! Dantesque ! Après, on lui a refait la façade au jus de pine, t’aurais du voir ça… C’était chouette, mais ça nous a vraiment crevés, tout çà. C’est pas pour râler, mais
quand même. Nous, faut nous comprendre, s’amuser un peu, on n’est pas contre, faire jouir ta femme, c’est pas si désagréable que ça, mais on a aussi notre travail, on se lève tôt le matin, alors
tu seras gentil, mardi prochain, de lui confier un peu de blé, histoire qu’on ait le sentiment de rentrer un peu dans nos frais, quoi, une participation, moi, je trouverais ça normal, quoi.
D’autant que vendredi prochain, Régis (un copain) a promis de faire venir ses équipiers du club de rugby pour qu’ils puissent se défouler un peu sur ta meuf, ça va me faire des frais de bière.
Disons 500 euros et on est quitte. Bon, j’attends ta réponse, mais grouille ! Sinon, ta meuf, faudra que t’ailles la faire tirer ailleurs, on n’a pas non plus que ça à foutre !
Salut. »
Là, c’était clair, il fallait arrêter ! Laurence était traitée de la façon la plus ignoble qui soit, c’était insupportable !
Je renvoyais à ce paltoquet un mail sans équivoque :
« Espèce de malotru ! Je vous croyais digne de confiance, mais vous n’êtes qu’un malappris ! Je romps toute relation avec vous et je compte que Laurence ne vous revoit jamais ! ».
Voilà qui était envoyé ! Et je pensais être bien tranquille avec ce connard, désormais…
Je pensais m'être débarrassé de Bruno, l'amant dominateur de Laurence. Erreur !
Le vendredi suivant, je posais ma journée afin de rester auprès de ma tendre épouse, désireux de la soustraire à ces brutes.
Nous fîmes les courses ensemble, une promenade en forêt, un petit repas en tête à tête à midi, et une sieste tendre (non crapuleuse) lorsque nous fûmes réveillés par la sonnerie de l’entrée.
J’allais ouvrir et fus balayé par un groupe d’excités d’une vingtaine de gaillards complètement déjantés.
« Non mais dites donc, dis-je, où vous croyez-vous ! »
Le fameux Bruno se détacha du groupe de salopards qui commençaient à fouiller partout et lâcha « Ta gueule, cocu ! Envoie-nous ta meuf ! ».
Laurence descendait à l’instant.
« Ici ! lui lança le grand connard, et elle vint se placer près de lui.
- Laurence ! Criais-je, il faut lui dire que tout est rompu désormais !
Mais mon épouse semblait soumise.
« Enlève ce peignoir et expose ton cul sur le canapé », ordonna Bruno, et Laurence se retrouva nue, majestueuse, s’avança dignement vers le canapé du salon, y déposa les genoux, puis
cambra sa croupe nue et offerte en s’appuyant langoureusement sur le dossier. Ses formes pulpeuses exposées me firent basculer dans une ambiance irréelle. Les orifices de mon épouse semblaient
largement dilatés et accueillants. Elle entrouvrit aussi ses lèvres, pour accueillir les éventuelles queues de ceux qui passeraient derrière le canapé.
Je fis un geste vers le téléphone avec la ferme intention d’appeler police secours, mais un autre dépravé m’arrêta net et me cria « Tu ne bouges pas de là, et d’ailleurs tu vas me sucer, bordel,
pour que je puisse niquer ta meuf ! »
La suite dans la colonne de gauche, et je vous l'assure, vous ne serez pas décus !!!
Derniers Commentaires