Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Cette histoire est celle d’un mari cocu après dix ans de mariage.
Dans notre vie de couple, le côté sexe n’a jamais été le point fort, sans être un sujet de discorde mais quelque chose de banal et conventionnel. Ceci n’est d’ailleurs pas de mon fait, étant plutôt assez imaginatif côté cul.
Après avoir proposé à ma femme des situations un peu plus cocasses que d’habitude, du type soirée en club, et ayant toujours essuyé un refus catégorique, je me suis lancé. Lors d’une soirée bien arrosée avec deux jeunes amis du Rotary, je leur ai proposés qu’ils restent chez nous. Il était tard, et il n’était pas raisonnable qu’ils reprennent la voiture. Ceux-ci étant tous deux célibataires, ils n’avaient pas de contraintes familiales. Devant ce fait indéniable, Isabelle n’a pu refuser, risquant alors d’être la cause d’un accident de la route.
Rassurés de pouvoir rester sur place, nous avons illico ouvert une autre bouteille afin de terminer la soirée. Il était déjà minuit passé. Fatiguée, Isabelle s’excuse et prend congé de nos invités. Elle va alors à la salle de bain pour mettre sa tenue de nuit. Une fois Isabelle disparue du salon, la conversation devient plus une conversation d’hommes, avec des propos un peu moins stylés... Marc et Phil, de plus en plus enivrés, me font des compliments sur ma charmante épouse : sa cuisine, son élégance, son charme !!!
Ayant moi-même trop absorbé d’alcool, je rebondis immédiatement sur la situation et emmène mes camarades sur le terrain réservé du sexe. Je leur explique qu’Isabelle est effectivement très jolie et bien faite, qu’eux ne l’ont vue que dans sa tenue de ville, mais que nue, c’est une divinité, avec une peau soyeuse, des seins bien fermes et des fesses rondes et rebondies.
Phil m’entreprend directement, me demandant si au lit, c’est une bonne affaire. Je lui réponds que c’est assez mitigé. On prend son pied avec Isabelle, mais il ne faut pas être trop gourmand. Voulant plus de détail, Marc me dit :
« Mais quand même, tu la prends par derrière, non ??
- Eh bien non, répondis-je, elle n’aime pas du tout. »
Je leur explique j’ai essayé de l’entraîner en club, et que j’ai pris un râteau immédiat. Ils rient de la situation. Il est maintenant minuit et demi. J’allume la télé sur Canal+.
Évidemment, à cette heure là le samedi soir, on tombe sur un film de cul. Les yeux se rivent sur la télé où l’on voit une superbe blonde prise en sandwich par deux molosses. Surement Rocco et son frère. Commentaires immédiats de Marc sur la taille des engins ramonant la belle, et de dire qu’il n’avait rien à envier au pieu du type. Phil me regarde pensif, et me dit que lui, il n’est pas si bien équipé... Moi non plus d’ailleurs.
Afin de voir si le bruit de la télé ne dérange pas Isabelle, j’abandonne mes camarades quelques minutes et monte à l’étage. Ma femme est toujours à la salle de bain. J’entre et la vois dans sa nuisette la plus torride, prête à aller se coucher.
Elle me dit qu’elle a un peu mal à la tête, certainement dû à l’alcool, et me demande de lui préparer un médicament. Je redescends, lui prépare un verre avec une aspirine et retourne au salon vers mes amis. Ils sont rivés sur le film porno. Je leur fait part du mal de tête d’Isabelle. A ce moment, on l’entend descendre les marches. Pour aller de l’étage à la cuisine, il faut passer devant le salon. Quand Isabelle passe, mes deux amis regardent instinctivement de son côté.
Durant les quelques secondes où on peut l’apercevoir, Marc et Phil ne l’ont pas quittée du regard. Il faut dire que dans la lumière, tout son corps et ses formes apparaissent nettement sous sa nuisette transparente. Mes amis me regardent, et me font un signe du pouce qui veut dire « superbe ». Je me lève alors et vais voir ma femme dans la cuisine. Mes pensées s’accélèrent. Je lui demande gentiment de bien vouloir nous apporter trois verres à liqueur.
Elle me regarde et me dit :
« Non mais ça va pas, tu as vu ma tenue ?
- Ben quoi ? Tu n’es pas nue ! Et puis tu viens de passer devant la porte, et ils ont bien vu que tu étais en nuisette…. »
D’un hochement de tête, Isabelle me fait comprendre que je ne l’amuse pas. Mais comme elle est très attentive à mes demandes, elle me dit qu’elle va s’exécuter. Je retourne au salon, sort une bonne bouteille de Poire William et retourne me rassoir vers mes amis. Surpris de ne pas voir de verres, Phil me demande si on doit boire à la bouteille.
Au même moment, Isabelle arrive devant la porte avec les verres à la main. Mes potes son transis. Dans la lumière rasante, on voit clairement ses seins et son string sous sa nuisette. Elle s’avance vers nous et se penche pour poser les verres sur la table de salon. Faisant face à Phil, il profite alors d’une vue imprenable sur ses seins dont les aréoles foncées et les tétons engageants les mettent en valeur. Isabelle prends la bouteille et nous sert copieusement.
« Doucement, dit Marc. On a déjà pas mal bu ce soir et je n’aimerai pas être malade. »
- Trop tard, répond Isabelle. Tu devras boire ça et ensuite tu dormiras mieux. »
A la télé, le film de cul se déroule. Quand Isabelle se retourne, elle tombe sur une scène ou une petite brune se fait sodomiser tout en suçant une énorme queue.
Surprise et subjuguée par la scène, elle se retourne vers nous et dit :
« Et vous regardez ça souvent ? »
Phil lui répond que tout les samedi soir, c’est son émission préférée. Isabelle sourit et lui conseille de se trouver une nana plutôt que de fantasmer sur un écran de télé. Marc lui rétorque alors qu’un écran de télé, c’est parfois moins chiant qu’une gonzesse et surtout moins cher. La conversation dure un peu, Isabelle se tient toujours debout devant la table, offrant tous ses avantages à mes amis et à moi-même. Ils lui causent sans cesse, m’ayant un peu oublié. Je pense que c’est pour qu’elle reste là, devant eux, presque nue. Le film se déroule, Isabelle y jette un œil de temps en temps, Marc et Phil ne regardent plus qu’elle.
Phil lui demande si son mal de tête se passe. Isabelle répond que ça va un peu mieux.
« Assois-toi un peu » lui propose Marc. On ne se voit pas si souvent. »
Il est évident qu’ils veulent qu’elle reste. Indécise, Isabelle tourne un peu en rond, nous faisant profiter au passage du revers du décor, ses fesses fermes étant mises en valeur par le tissu de la nuisette. La ficelle du string ayant disparue entre les globes, on ne perd rien du spectacle. Elle se décide et s’assied sur un fauteuil en face de nous. La discussion prend alors une tournure un peu plus sexy. Phil et Marc la complimente sur tous les points, en insistant bien sur sa tenue de fin de soirée. Isabelle rougit un peu, mais à mon grand étonnement, ne se vexe pas et ne les envois pas balader. Elle prend même soin de retourner le compliment à Marc sur sa tenue vestimentaire assez classe.
C’est alors que des bruits plus forts nous parviennent de la télé. C’est encore une femme qui subit une double pénétration brutale et qui pousse des cris stridents. Isabelle regarde la scène longuement. Elle n’arrive pas à quitter des yeux les deux énormes bites qui ramonent la gonzesse. Ceci amène directement la discussion sur la taille des sexes. Phil et Marc parlent entre eux des dimensions de bites, disant que cela n’était pas nécessairement l’apanage d’un bon baiseur. Puis Phil prends Isabelle à témoin :
« Et toi, tu préfères un gros morceau ou ca t’est égal ? »
Isabelle me regarde un peu gênée. Je viens à son secours :
« En fait, Isabelle ne sait pas très bien ce qu’est une grosse bite, ayant seulement dix-huit cm à lui proposer. »
Phil la regarde avec des yeux compatissants et dit : « il faudra quand même que tu essayes un jour un gros calibre… »
Je vois alors dans le regard de mon épouse la lueur du désir.
Elle s’est installée plus confortablement, laissant nos deux convives lui parler de sexe, mater ses cuisses dénudées, car la nuisette déjà très courte est remontée quasiment au niveau de ses fesses. Elle nous ressert un verre. Cette fois, ses seins sont sortis du l’échancrure, et les tétons apparaissent au grand jour. Je remarque dans le pantalon de Phil une bosse proéminente. Cela n’a pas échappé à Isabelle qui se permet même de lui faire remarquer :
« C’est le film, ou c’est moi qui te fais cet effet ? »
Là, je suis bouche bée. Entendre ma femme demander à un mec si c’est elle qui le fait bander, je n’aurai jamais pu l’imaginer.
Marc reprend :
« Évidemment que c’est toi ! Les films de cul, il en voit tous les samedis et ça ne lui fait plus rien. Par contre, une ravissante belette qui lui présente ses seins, ça lui fait de l’effet, comme à moi, d’ailleurs ! »
Isabelle éclate de rire. Je suis littéralement bluffé. C’est elle qui relance en disant que si une paire de seins leur fait cet effet, qu’est-ce que ça doit être lorsqu’ils voient une femme nue. Les propos se font de plus en plus torrides.
« Eh bien, dit Phil, si tu veux le savoir, montre en nous un peu plus…
- Et mon mari, dit Isabelle, vous pensez qu’il va accepter que je mette nue devant ses copains ?
- Qu’en penses-tu, me dit Marc. Tu accepterais que ta charmante épouse nous dévoile ses secrets ? »
Hébété, je hoche de la tête un signe qui dire ni oui ni non.
« Alors tu vois, dit Phil à Isabelle, il n’a pas l’air contre. »
Isabelle me regarde en souriant et me répond :
« Puisque tu ne dis rien, et que cela fait longtemps que tu insistes pour sortir en club, je vais considérer que ce club est ici. Expliquez-moi quelle est la tenue qu’il faut…
- Facile, rétorque Marc. Dans un premier temps, tu retires ton string pour être entièrement nue sous ta nuisette. »
D’un bond, Isabelle se lève, et retire son string. Dans le mouvement, on voit nettement son sexe rasé à la lumière. Elle se rassoit et croise les jambes.
« A vous de vous mettre en tenue, » dit-elle à Marc et à Phil.
Sans hésiter, mes deux amis se déshabillent pour se retrouver en deux minutes en slip pour un, et caleçon pour l’autre. Mes deux camarades étant plus jeunes que moi, vingt sept ans pour Phil et trente et un ans pour Marc, ils sont de toute évidence un peu plus musclés que moi. Ils sont surtout beaucoup mieux membrés, et cela se voit immédiatement sous leurs sous vêtements. Isabelle applaudit le streap-tease masculin auquel elle vient d’assister.
Phil continue de lui expliquer le déroulement normal d’un club.
« Maintenant, dit-il à Isabelle, tu va nous allumer. Tu découvres tes seins et tu écartes légèrement les cuisses afin qu’on puisse entrevoir ton sexe, sans trop le montrer. »
Un jeu subtil était en train de se dérouler sous mes yeux, moi étant toujours habillé et totalement oublié par mon épouse et mes amis. Je décide donc de les regarder, même si à ce moment là, l’instinct de jalousie fait son apparition. Voir ma femme écarter les cuisses pour offrir la vision de sa chatte à mes deux amis me fait un petit pincement au cœur. Phil se lève, et s’approche d’Isabelle. Elle est assise et le slip de Phil est la hauteur de sa tête.
« Maintenant, lui dit-il, tu passes ta main sur la bosse de mon slip, lentement. »
Hésitante, Isabelle lève son bras et pose ses doigts sur l’engin.
« Ouah ! dit-elle. C’est monstrueux.
- Et t’as rien vu. Maintenant, baisse toi-même mon slip pour découvrir la bête. »
De ses deux mains, elle prend le slip de Phil, et le fait descendre jusqu’au sol. L’énorme pieu fait son apparition. En relevant la tête, Isabelle se retrouve à quelques centimètres de la bite de Phil. Elle arrête son mouvement, et reste figée devant la queue en érection. Au moins vingt cinq centimètres de chair pointent devant la bouche d’Isabelle. Phil lui prend la tête et la fait avancer directement sur son sexe. La bite bute sur la bouche d’Isabelle, car elle garde les lèvres fermées. Mais la tension est trop grande pour qu’elle fasse marche arrière.
Lentement, sa bouche s’ouvre et la matraque de Phil s’enfile à l’intérieur. A ce moment là, il doit se souvenir que j’existe et me dit :
« Et bien mon salaud, ta femme à une sacrée bouche à pipe ! »
Pour la première fois, je vois mon épouse sucer une autre bite que la mienne, et deux fois plus grosse. Marc se lève aussi et viens se placer devant Isabelle. Il s’accroupit, lui soulève la nuisette pour mettre au jour le fruit défendu. Instinctivement, Isabelle s’ouvre largement pour offrir son abricot à la langue avide de Marc. Au moment où il la pose sur son clito assez proéminent et très sensible, ma femme émet un petit cri de plaisir.
Marc lui lèche la chatte goulument, insérant sa langue entre les lèvres vaginales pour aller chercher le gout de la liqueur secrète. Phil lui caresse les seins tout en se faisant pomper.
Ma femme se transforme rapidement en bonne salope, malaxant les couilles de Phil, pompant comme une meurt de faim son énorme bite et se cambrant au maximum pour laisser le plus grand passage à la tête de Marc entre ses cuisses. En ce qui me concerne, je ne préfère pas participer aux ébats, préférant laisser ma femme aux mains de mes deux camarades. Je sors donc ma queue de mon pantalon et entame une lente masturbation.
Phil retire sa bite de la bouche de mon épouse et pousse la tête de Marc qui semble surpris. Il prend Isabelle par le bras et l’emmène jusqu’au canapé. Il s’assoit et lui dit d’un ton assez autoritaire :
« Enfile-toi sur ma bite ! »
Isabelle lui dit alors qu’il n’a pas de préservatif.
« On s’en fout, répond-il. De toute façon, on va se vider les couilles dans tes trous. »
A ces mots, Isabelle se rebelle : « Pourquoi dans mes trous ? Vous n’allez pas me sodomiser ?
- Ta gueule petite pute, crie Marc. Bien sur qu’on va t’enculer, et après, tu aimeras ça et tu ne te refuseras plus à ton mari. »
Isabelle me regarde d’un air effrayé. Je me surprends alors à lui dire :
« Tu as commencé ce jeu, tu dois le terminer. Phil et Marc vont te défoncer et si tu résistes, on t’attache et on te bâillonne »
Impuissante et surprise par mes propos, Isabelle se positionne devant Phil, enjambe le canapé et présente son sexe humide devant la bite énorme.
Lentement, elle se laisse descendre et s’enfile en un seul trait les vingt cinq centimètres de bite. Phil lui lèche les seins pendant qu’elle se lime elle-même sur le pieu. Marc se place derrière elle, le prend par les épaules et la pousse un peu en avant. Il se lèche les doigts et les frotte sur son petit trou. Isabelle sert les fesses. Une claque retentit dans la pièce. Alors, elle relâche la pression et laisse le doigt inquisiteur de Marc lui pénétrer l’anus.
Après quelques mouvements préparateurs, Marc retire son doigt et place sa queue à l’entrée anale. D’un coup sec, il lui pénètre le fion et s’appuie sur elle de tout son poids pour entrer jusqu’à la garde. Quand les couilles de Marc touchent celle de Phil, Isabelle a les bites totalement en elle. Voir ma femme prise en sandwich par les deux grosses bites de mes amis me fait entrer en transe. J’éjacule à fond sur le parquet., fou d’excitation…
Ils la liment ainsi plusieurs minutes, et en cœur, ils déchargent leur purée dans les deux trous respectifs d’Isabelle. Dans un râle général de plaisir, on entend le générique de fin du film porno. Marc retire sa queue du cul d’Isabelle. Elle se lève alors pour se dégager de l’énorme pieu de Phil, à peine dégonflé. Le sperme lui coule sur les cuisses. Elle me regarde alors fixement et me dit :
« Tu as bien fait d’insister pour que je me fasse baiser par d’autres hommes. J’ai tellement apprécié cette soirée que chaque samedi, on ira en club et je me ferai défoncer les trous par des bites les plus grosses possibles, ainsi que par tes amis quand tu seras parti en déplacement. »
Je ne m’attendais pas à une telle tirade ! Je savais dorénavant, que je serai cocu chaque semaine. Ma femme avait ce soir là découvert son appétit sexuel sans limite. Depuis ce jour, chaque semaine, elle se fait baiser par mes deux potes, et la semaine prochaine, à la réunion du Rotary, elle veut se taper un grand black qui a la quarantaine et dont les attributs sont, selon les dires, hors normes. Son dernier souhait est un Gang Bang avec six ou sept types….
Il y aura à coup sur Phil et Marc. Donc, quatre ou cinq places restent à prendre, à condition d’être bien membré et d’être respectueux et discret. Celui se fera un week-end en avril. Avis aux amateurs…
Je voulais une épouse moins sage, je me retrouve avec une vraie salope avide de sexe et de bites en tout genre… Ai-je eu raison d’ouvrir la boite de Pandore ???
J'ai été cocu, mais pas content quand je l'ai appris. J'ai donc imposé, pendant pas mal d'année, à ma femme, de faire l'amour à trois avec un copain. Un genre de punition. Elle n'avait pas le choix. Petit à petit, elle appréciait cette relation. mais tout à une fin
Pas envie de recommencer ? J'aurais aimé ce genre de "punition"....
faut trouver le troisième laron
Pas toujours évident. ...