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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Nous roulons depuis plus d'une heure. Je ne sais pas où nous allons. Par contre, je sais ce que l'on va y faire et ce qu'il m'attend. Je n'ose pas trop y penser, je suis terriblement anxieuse depuis le départ de Lyon. Il est presque onze heures du soir, la nuit est claire, nous avons encore pour quinze à vingt minutes de route me dis-tu.
J'ai peur.

 

Comment ne pas avoir peur la première fois à une telle expérience ? Une expérience qui, à mes yeux, est toute aussi montreuse que sordide. Comment ai-je fait pour l'accepter ? Je me le demande encore. Il a fallu que nous en parlions durant de nombreux mois, pour seulement me faire accepter l'idée de tes fantasmes complètements délirants. Au début, lorsque tu m'as présenté ton désir. J'ai cru à une blague. Que tu te foutais de moi. Que ce n'était pas sérieux, que tu n'étais pas sérieux. Puis petit à petit, j'ai compris que pour toi c'était très sérieux.

 

A force de persuasions d'explications, d'encouragement sans fin, de photos explicites et de récits j'ai fini par le comprendre et même par imaginer le vivre. Tu as insidieusement installé ton fantasme épouvantable dans mon esprit.

Lorsque j'y repensais seule, j'avais honte d'avoir eu de telles pensées aussi malsaines, aussi sordides. Je me jurais qu'il était impossible d'accepter cela, que j'accepte cela. Même si cela devait-être une question de vie ou de mort. Fantasmer sur ce sujet était déjà pour moi suffisamment monstrueux et honteux. Il y a encore deux jours, le réaliser, le vivre n'était même pas imaginable. Je me sentais protégée par la distance qui nous séparait. Je savais bien-sûr, j'aurais envie de te rencontrer lors d'un de mes séjours dans le centre. Mais ce n'est pas pour cette raison que j'accepterais des désirs aussi pervers que monstrueux. Mais en parler, fantasmer sur le sujet encore une fois, pourquoi pas ?

 

Au fond de moi, je n'étais pas vraiment persuadée que tu veuilles le faire réellement. Au contraire je pensais que c'était toujours qu'un fantasme. Comment me suis-je laissée convaincre ? Je me le demande encore. Nous arrivons à l'entrée d'un petit village. Tu me dis que nous sommes presque arrivés, et tu me demandes de mettre mon collier. Je me sens rougir dans l'obscurité de la voiture, je me mords les lèvres.

Je tiens le collier dans les mains depuis le départ de Lyon. Tu m'as conseillée de le mettre juste lorsque nous arriverons. Un accident, un contrôle de gendarmerie était toujours possible et, avoir un collier de chien autour du cou n'était pas innocent et courant. Un collier que tu m'as offert lors de notre rencontre il y a deux jours. Un collier que tu as choisi pour moi. Un collier en cuir rouge avec une plaque d'identification gravée à mon prénom « Sabine ».

 

Un collier qui me va parfaitement, suffisamment long et large, muni d'une laisse en acier chromée. Un joli petit collier de chienne que tu me disais. Je repousse mes cheveux et passe la sangle en cuir autour de mon cou. Je la passe dans la boucle en acier et cherche la bonne position. Légèrement serré autour du cou sans m'étrangler. J'ai un peu de mal à repasser le bout de la sangle dans le passant en cuir. Voilà, je suis prête. Je tiens dans mes mains la laisse en acier. Tu m'as dit qu'ici où nous allions, je n'aurais pas à avoir honte et rougir de porter ce collier.

Il ne devrait pas y avoir plus de dix personnes au total. Certains notables, hommes et femmes ayant au moins la cinquantaine et des situations importantes. Des personnes qui se réunissent en secret de temps en temps pour vivre un fantasme hors du commun. Des gens bien sous tous rapports, à qui on donnerait le bon-Dieu sans confession, certains d'entre eux, pour ne pas dire la plupart, vont à la messe chaque dimanche.

 

Mais, pour moi à cet instant, ce sont des pervers et des malades. Mais je me garderai bien de leur dire. La voiture ralentit et s'engage dans un petit chemin. Mon cœur commence à s'emballer. A la peur, l'angoisse, se mêle aussi l'excitation. Tu connais l'endroit pour y être venu plusieurs fois. Tu ralentis encore et passes un portail resté ouvert. Les pneus crissent sur les gravillons. Quatre ou cinq voitures sont déjà garées devant une grande maison imposante. La porte s'ouvre un rayon de lumière une ombre, un homme sort.

Il nous salue, il te reconnait et me regarde. Il te dit que nous sommes les derniers et qu'ils nous attendaient pour enfin commencer. Une femme apparait à son tour sur le perron. Elle nous salue, nous demande de rentrer et demande à l'homme d'aller refermer le portail à clés. Tu as pris la laisse de mes mains et m'ordonne à voix basse de rester juste derrière toi, dans ton dos. La dame m'a regardée longuement, m'a dévisagée. Elle s'adresse à toi.
«  Comment s'appelle-t-elle ?
– Sabine.
– Elles seront deux ce soir… Avec trois chiens. Elle te sourit.
– L'autre est une habituée… Elle c'est la première fois que je la vois… Elle est très jolie légèrement typée, elle plaira beaucoup… Surtout à Dick. »


J'ai honte de vous entendre parler de moi ainsi. Je voudrais à la fois repartir mais aussi rester, je te regarde, je suis au bord des larmes, tu n'as pas un regard pour moi. Nous suivons la dame, elle nous fait rentrer dans une immense pièce qui doit être le salon.
Plusieurs personnes sont déjà présentes et discutent entre elles, assises sur des fauteuils et des canapés. A notre arrivée, le silence se fait et je sens que tous les regards se portent sur moi. Je suis terriblement gênée, j'ai honte et baisse les yeux, je t'en veux beaucoup. Je m'en veux énormément.

 

Il y a quatre ou cinq hommes et autant de femmes, des couples certainement qui doivent avoir la cinquantaine ou plus. Deux femmes échangent des commentaires à voix basses en me regardant. Les hommes me déshabillent du regard, certain sourient. Certaines personnes semblent avoir des sourires ironiques. Un des hommes fait une remarque désobligeante sur moi, ce qui fait rire doucement trois ou quatre autre personnes.
«  Mais non, soyez gentil et indulgent.
– C'est la toute première fois qu'elle vient… Je vous présente Sabine, à peine vingt-trois ans. C'est la dame qui nous a accueillis qui semble être la maitresse de maison qui parle.
– Regardez comme elle est jolie… Intimidée, mais si mignonne.
– De si beaux yeux, il serait dommage de les voir pleurer. »

Certaines personnes échangent entre elles des commentaires à voix basses en souriant. Je suis morte de honte. Je remarque assis à l'écart sur une chaise une jeune femme avec autour du cou un collier de chien, elle aussi. Elle tient la laisse dans sa main. Elle me regarde aussi.
« Admirons sa beauté autant que son courage d'être à cet instant parmi nous… Et remercions Remi de nous avoir apporté un aussi joli petit lot. »

 

Entre deux fauteuils, un chien berger-allemand de couleur clair est couché, la tête relevé. Il me regarde et ne me quitte pas des yeux.
« Elle semble intéresser très fortement Dick. »

 

La remarque vient d'une des femmes et fait sourire et rire doucement plusieurs personnes.
« S'il n'en veut pas, je serais très intéressée par contre. »

 

C'est une autre femme assez forte qui vient de faire cette remarque. Je la regarde, elle me sourit et rajoute… Je suis même prête à la partager avec lui.

Tu me demandes si cela va. Je suis perdue, au bord des larmes, j'ai honte et j'ai très peur. Tu me fais assoir sur une chaise aux cotés de la jeune femme en laisse, elle aussi. Tu rejoins les autres. Je remarque alors deux autres chiens couchés derrière les canapés. Ils semblent encore beaucoup plus imposants que le premier. La maitresse de maison vous sert du champagne dans des coupes. Vous discutez entre vous. De temps en temps, vous nous regardez et faites des commentaires sur l'une ou l'autre de nous. Je n'ose pas m'adresser à ma voisine, tu me l'as interdit plus tôt. Elle est plus âgée que moi et doit avoir trente ou trente-cinq ans. Elle est certainement elle aussi la maitresse d'un des hommes présents. Vous parlez de nous deux.

 

De temps en temps, la femme un peu forte qui accepterait de me partager avec Dick se retourne et me regarde, me dévisage avec insistance. Je suis terriblement gênée et certainement rouge de confusion. Elle semble s'amuser et jouer de ma gêne. Je vois qu'elle s'adresse à toi plusieurs fois, Remi. Je suppose qu'elle parle de moi, car elle me regarde en te parlant à voix basse. Elle te pose certainement des questions sur moi. La discussion entre vous tous est chaleureuse. Votre discussion porte pour savoir laquelle de nous deux passera la première, et avec lequel des trois chiens. Je semble avoir la préférence pour la majeure partie d'entre vous. Ce qui, dans un sens me soulage un peu. Je ne sais pas si je pourrais attendre mon tour sereinement. Le chien qui m'est désigné est Dick. Expérimenté, plus âgé et plus calme, il convient mieux pour une première fois.

Tu te lèves et t'approches de moi. Deux hommes font sortir de la pièce les deux autres chiens qui étaient couchés derrière le canapé. Tu me dis tout bas que c'est pour éviter qu'ils ne se battent entre eux pour me monter. A ses mots, je suis terrorisée. Des femmes débarrassent entièrement la table basse du salon. L'une d'entre elle étale un drap de bain blanc dessus. La maitresse de maison a éteint plusieurs lampes. Certains se rassoient autour de la table, deux femmes et un homme restent debout et semblent m'attendre. Un des hommes tient la laisse du chien Dick qui s'est levé et me regarde lui aussi. Tu prends ma laisse. Je me lève, les jambes tremblent sous moi. Je suis littéralement tétanisée tant l'émotion me bouleverse. Je ne peux retenir quelques larmes.

 

Je sens leurs regards sur moi. Nous nous approchons de la table basse. Je suis incapable de faire le moindre geste seule. Je pleure doucement, sans bruit. Ils me regardent et ne disent rien. Ma vue est brouillée par les larmes. Je sens qu'on dégrafe ma robe de soirée noire que tu m'avais offerte aussi pour l'occasion. La robe glisse le long de mon corps de mes jambes. Une personne, une des deux femmes certainement soulève mes jambes une à une pour en dégager la robe. Tu me tiens toujours en laisse. La table basse recouverte du drap de bain est là.

 

Tout va très vite. On dégrafe mon soutien-gorge. C'est une des femmes qui l'enlève sans qu'un mot ne soit échangé. Ma culotte glisse le long de mes cuisses, et là encore, on me soulève un à un les pieds pour la dégager. Je cache d'une main mon fin pubis et l'autre devant la poitrine. Une personne, un homme demande à voix basse à ce qu'on me laisse les bas et les chaussures.

« Assieds-toi. »

 

C'est toi qui me parle doucement. On me tourne, je sens le bord de la table contre mes mollets.
«  Assieds-toi, n'ai pas peur. »

Je m'assieds sur la table basse. A peine assise, je sens qu'on me force à m'allonger. Je ne veux pas, je crie. Une main se plaque sur ma bouche. J'essaie de me relever. On me tient les bras écartés du corps de chaque cotés. La main plaquée sur ma bouche maintient ma tête sur la table. Je pleure doucement. Une voix de femme me demande de me calmer. Elle me demande et me répète à voix basse de ne pas paniquer, de ne pas avoir peur, de me calmer. Sa voix parait douce et gentille. J'ai peur. On me maintient allongée sur le dos sur la table basse. On tient mes bras écartés, et une personne ou deux tiennent mes jambes. J'essaie plusieurs fois de me dégager.

 

La femme s'adresse toujours à moi d'une voix calme et apaisante. Elle me demande encore et encore de me calmer, de ne pas avoir peur. Me dit et me répète que personne ne me fera du mal. Me disant aussi que vais vivre une expérience extraordinaire que toutes les femmes présentent ici ont vécues au moins une fois. Je me calme doucement. Je sens qu'elle caresse mon visage. Je la vois au-dessus de moi. Les autres personnes ne parlent pas. Tu ne dis rien. Je crois que c'est elle qui tient ma laisse maintenant. Elle me parle toujours à voix basse répétant qu'il ne faut pas avoir peur. Qu'elle est là pour m'aider et m'initier, personne ne me fera du mal. Je me calme doucement.

Elle me demande si je suis venue de mon plein gré avec toi, si je ne subis aucune menace ou chantage. Je lui confirme doucement. Elle me demande si je sais pourquoi je suis ici. Elle veut entendre de ma voix que je suis ici pour être prise par un chien. C'est horrible. Il me faut quand-même plusieurs minutes pour me calmer vraiment et arriver à répéter correctement la phrase à voix haute pour que chacun la comprenne. Je sens qu'on me tient avec moins de fermeté. Je n'essaie plus de me relever. J'arrive même à lui dire que je m'excusais d'avoir paniqué. Elle me sourit, et me dit comprendre parfaitement mon moment de panique et rajoute, que pour elle aussi la première fois avait été stressante.

 

On fait venir le chien Dick près de moi que je puisse le voir. L'homme le tient fermement en laisse. Le chien me regarde toujours.
« Je te présente ton amant Sabine. »

 

C'est toujours la femme qui me parle doucement.
« Il se prénomme Dick, il a huit ans. C'est un amant très expérimenté pour son âge. Il est très gentil et ne te mordra pas. Pour ce genre de dépucelage, c'est l'amant idéal. »

Je regarde Dick qui semble comprendre qu'on parle de lui et de moi.
« Il ne te fera pas de mal, il est très doux, puis je suis et reste à tes cotés s'il y a le moindre problème. Tu n'as rien à craindre avec lui. »

 

Je regarde toujours le chien dans les yeux. Je le trouve beau.
« Caresse-le… N'aies pas peur de lui. »

Le chien et assis à ma droite à côté de la table. Il est toujours maintenu en laisse par un homme. La personne qui me tenait le bras droit me lâche. J'avance timidement la main sur sa tête.
«  N'aies pas peur de lui, me répète d'une voix douce la maitresse de maison accroupie à mes côtés. Caresse-le… Il aime les jolies petites chiennes de ton espèce. Tu vas vivre un moment inoubliable avec lui. Il ne va pas te prendre en force, mais va le faire doucement et longtemps. »


Je touche la tête de Dick, il est doux, il me regarde toujours et pousse de petits gémissements d'impatience. Je sens qu'on m'écarte les genoux, et une main se pose entre mes cuisses. Je me souviens alors de ce que tu me disais.
« Cela ne se fera que lorsque tu seras vraiment excitée et prête. Une personne, homme ou femme, te préparera en te caressant, te masturbant et on t'excitera aussi avec des paroles, des mots. »

 
Je caresse doucement Dick, son poil est soyeux et doux, il me regarde toujours de ses beaux yeux bruns. De temps en temps il pousse de tous petits gémissements en me regardant.
« Regarde comme il est impatient de te monter. Il va faire de toi sa jolie petite femelle, il va te prendre comme une petite chienne en chaleur. Il va te monter… Tu vas le sentir venir en toi et grossir pour rester collé. Puis il va jouir de ton corps durant de très longues minutes, tu vas ressentir sa semence couler et te remplir; il restera collé à toi un long moment. »

 

La maitresse de maison, toujours accroupie à côté de moi, continue de me parler doucement. La tension accumulée depuis deux jours atteint son paroxysme avec les moments forts que je suis en train de vivre. Je sais maintenant que je suis prête pour vivre cette expérience.

 

D'ailleurs, je sais en moi que je suis prête depuis de longs mois. Seul le bon sens, le raisonnement, la monstruosité du geste me retient jusqu'ici. Mais lorsque la maitresse de maison prend ma main et doucement la guide sous le chien vers son sexe, je sais alors que je vais le faire réellement. J'en ai à cet instant vraiment envie.
« Touche-le doucement, il aime que ses petites femelles le branlent. Il bande pour toi tu vois, touche là… Elle est sortie de son fourreau. Branle-le doucement, il aime-ca. Oui comme cela, tu le fais très bien… Ne le serre pas trop fort. Tu sens comme il est dur, comme il te désire il a envie de toi, comme elle est chaude douce et tellement lisse<, »

 
J'ai la tête tournée vers Dick. Les personnes assises sur les fauteuils et canapés se penchent pour mieux contempler le spectacle que je leur donne. Deux personnes, un homme et une femme sont accroupis devant moi et me maintiennent les jambes écartées en me tenant les genoux, les pieds sur le sol. L'une d'elle me masturbe doucement depuis un moment.

 

De temps en temps, elle passe sa main imprégnée de mon désir sur ma poitrine, mes seins. Maintenant, elle le fait sur mon visage, ma bouche et mes lèvres. Je me laisse faire. Je sais que Dick sera encore plus excité de sentir que je suis véritablement excitée et en chaleur. Je le branle doucement. Son sexe est entièrement sorti de son fourreau de fourrure. Il est chaud, doux, humide, visqueux de son désir pour moi. Ma main est imprégnée du liquide lubrifiant qu'il laisse échapper depuis un moment. Je regarde ma main autour de son sexe aussi long et aussi large que celui d'un homme. Il est par contre beaucoup plus dur et de couleur rouge sang, des veines blanches et d'autres bleus apparaissent à la surface tout le long du membre qui est aussi extrêmement lisse et brillant. Je touche comme me l'indique la maitresse de maison la base du sexe, le nœud qui gonflera lorsqu'il sera dans mon ventre et qui fera que nous resterons collés le temps qu'il se vide entièrement de sa semence.
« Touche bien le bout maintenant. »

 

Elle prend ma main et la guide maintenant vers mon visage. On va te présenter à lui. Il va te sentir, te lécher, il faut qu'il sente que toi aussi tu le désires, qu'il sente que tu as envie d'être montée, qu'il reconnaisse en toi une femelle en chaleur.

Je passe comme on me l'ordonne ma main imprégnée de sécrétions lubrifiantes visqueuses et intimes de Dick sur mes lèvres, ma bouche déjà imprégnées de mes propres sécrétions intimes.
« Lèche tes doigts. »


Je le fais en soutenant un court instant le regard de la femme un peu forte assise dans un fauteuil près de la table. Son regard et son sourire sur moi me semblent être un encouragement.
« Regarde Dick, la jolie femelle que tu vas avoir. »

Le chien, à l'appel de son nom, se lève et avance vers moi. Il gémit d'impatience. Je ferme les yeux après un dernier regard vers ceux de la femme assise. La truffe humide de Dick frôle mon sein droit, mon menton. Il me sent.
« Oui Dick c'est une bonne petite femelle que tu vas avoir. Elle est toute à toi. Une jolie petite chienne en chaleur. »

La langue de Dick lape, lèche ma poitrine. J'ouvre un instant les yeux pour voir l'homme aider le chien à me lécher les seins. Depuis un moment déjà, la personne qui tenait mon bras gauche m'a lâchée. Je pose mes mains sur la tête le dos de Dick, encouragée par la maitresse de maison qui parle toujours d'une voix douce et apaisante. Des autres personnes, nul de parle, tous regardent avec attention et en silence le spectacle que nous donnons. De temps en temps, je croise le regard de cette même femme un peu forte qui ne cesse de me sourire doucement.

Dick me lèche la poitrine en y déposant sa salive.
« Embrasse ta petite femelle Dick », murmure la maitresse de maison.

 

En disant cela, elle porte ses mains de chaque côté de mon visage pour me tenir. L'homme qui retient Dick depuis le début, dirige sa gueule vers mon visage. Je ferme les yeux, j'essaie un court instant d'échapper sans y parvenir à la langue râpeuse de Dick sur mon visage. Elle passe et repasse autour de ma bouche, sur mes lèvres, il recherche nos sécrétions intimes.
« Ouvre la bouche… Ouvre ta bouche, il veut te donner un baiser. »

 

Depuis un moment sa langue agile et rapide passe et repasse entre mes lèvres pourtant fermées. Je sens que la personne à ma gauche me prend la main qui était sur le cou de Dick et la serre, comme pour m'encourager. J'entrouvre la bouche. Je sers la main dans la mienne. La langue pénètre ma bouche plusieurs fois et touche ma langue.
« Voila Dick embrasse ta petite femelle, sens comme elle est bonne et chaude. »

J'ai les yeux fermés. Le chien au-dessus de mon visage lape toujours mes lèvres ma bouche, sa langue me pénètre à plusieurs reprises. De temps en temps, il gémit, pousse de tous petits jappements. J'ai le bras droit sur son dos. Je sens qu'on guide ma main une nouvelle fois sous le chien. Au toucher, son sexe me semble avoir pris du volume, il est encore plus chaud et plus lisse plus humide. J'ai envie de lui. J'ai tellement envie de faire l'amour, d'être prise par Dick que je suis au bord de l'orgasme. Le fait qu'on continue de me masturber doucement n'est pas la seule raison. J'ai vraiment envie de Dick.
« Tu crois qu'elle est prête, là ? »


Les paroles prononcées à voix basse par la maitresse de maison s'adressent très certainement à une des personnes qui me tiennent toujours les jambes ou celle qui me caresse.
« Ma chérie tu vas vivre un moment exceptionnel, me dit-elle doucement en caressant mon visage.
– Oui présente-le maintenant. »


Dick est retiré de mon visage. Je le lâche, ma main est couverte de ses sécrétions.
« Cela va très bien se passer, me murmure-t-elle en tenant ma tête entre ses mains.
– Je vais rester avec toi… Il faut juste que tu t'avances plus au bord. »

 

Je regarde autour de moi les gens toujours silencieux qui me regardent. On ne me tient plus, je me soulève et vois Dick à un mètre devant moi, toujours retenu par le même homme. Il me regarde, et tire sur sa laisse pour me rejoindre en gémissant de plus en plus fort, son sexe rouge sang brille de sécrétion. Je m'avance un peu.
«  Encore un peu. J'ai les fesses en partie sur le bord de la table.
– Voila tu es bien. »


Je me rallonge.
« Je vais t'expliquer ce qu'il va se passer. Tu es en chaleur et tu as envie que Dick te monte. Il le voit et il le sent. Mais nous devons tout de même te tenir du moins au début pour ne pas que Dick te blesse. Qu'il te fasse mal ou que toi dans une mauvaise position, que tu lui fasses mal. Tu comprends ? »


Je regarde mon interlocutrice penchée au-dessus de mon visage qu'elle tient doucement entre ses mains.
« Il va te pénétrer… Comme le ferait un amant. Sauf que son sexe est beaucoup plus dur que celui d'un amant ordinaire. Puis la base de son sexe ou je t'ai montré, un nœud va se former et grossir dans ton vagin. »

Je sais déjà tout cela car tu me l'as maintes et maintes fois répété Remi, mais je l'écoute avec attention. Je la regarde et regarde la femme assise qui me sourit une nouvelle fois. Je sens que les personnes accroupies devant moi me reprennent les jambes qu'elles écartent en me tenant par les chevilles et les genoux. Celles à mes côtés reprennent mes bras et les écartent de mon corps.

« Lorsque le nœud va grossir, tu risques de ressentir une légère douleur qui ne durera pas. Puis lorsque Dick sera bien dans sa petite femelle, qu'il sera bien collé à toi petite chienne, il va vider longuement sa semence dans ton ventre. Tu vas jouir comme tu n'as jamais jouie jolie petite chienne. »


Je pousse un léger cri lorsque je sens la truffe de Dick, puis sa langue. J'essaie de bouger de me soustraire à la langue râpeuse rapide et mobile qui lape mes sécrétions sur mes lèvres intimes. C'est horrible, la langue me pénètre plusieurs fois, je suis au bord de l'orgasme.
« Oui Dick elle est prête ta petite femelle, tu vois comme elle est en chaleur, elle veut que tu la montes. S'adressant à l'homme qui tient la laisse.
– Attend encore un peu, je crois qu'elle va jouir l'adorable petite chienne. »


Elle ou une autre personne me pétrit la poitrine depuis un moment, je ne sais pas. Je me sens partir je serre les poings, j'ouvre la bouche à la recherche de plus d'air. Je regarde autour de moi, des personnes dont la femme se sont levées pour mieux me regarder. Mon ventre vient au-devant de cette langue chaude humide et si agile et si rapide.
« Regarde Dick, comme elle est en chaleur, ta petite chienne, elle jouit déjà. Régale-toi, Dick, de son nectar avent de la monter. Oui c'est une belle et bonne petite chienne que tu as ce soir mon vieux Dick. Profites-en, elle est à toi pour toute le nuit si tu le désires. »

 
D'entendre la femme murmurer et répéter des encouragements à Dick me fait chavirer. Je ferme les yeux. Je pars. L'orgasme traverse mon ventre, mon corps, ma tête. Je pousse une longue plainte, j'ouvre les yeux, je suis dans un état second je cherche ton regard, ne le trouve pas. Je vois Dick debout, il est au-dessus de moi. Ils ne me laissent pas le temps de me remettre de mon orgasme.

 

Je comprends que le moment le plus important est arrivé. Je voudrais pouvoir reprendre mon souffle. Mais les pattes avent de Dick sont posées sur la table basse de part et d'autre de mon corps. Il est au dessus de moi et regarde sa maitresse. Je remarque que comme sur certaines photos que tu m'avais passées, les pattes sont recouvertes de chaussette afin de ne pas me blesser.

 

Aux mouvements de Dick, je sais qu'il cherche à me pénétrer. Non cela va trop vite. Je te cherche dans la salle, je croise le regard des hommes des femmes qui attendent ce moment eux aussi. Je ne vois pas qu'un homme retient le corps de Dick et qu'un autre le tient toujours en laisse. Tout va très vite. Dick gémit de plus en plus fort, il est de plus en plus impatient. Son sexe chaud et humide me touche. Je sens la pénétration se faire.

 

Je voudrais regarder, on maintient ma tête sur la table. J'ai l'impression que son sexe est brulant. Il me pénètre, vient en moi sans aucune difficulté. Je me tends. On me retient. Dick pousse toujours des petits gémissements.

 

Je le regarde, il regarde sa maitresse. Il bouge ses reins avec rapidité. Je le ressens entièrement en moi. Il est contre moi, je sens son corps entre mes cuisses. L'impression est indescriptible. On me maintient toujours fermement sur la table. Mais Dick, lui, est libre de ses mouvements. Sa laisse et maintenant dans les mains de sa maitresse avec la mienne. Il bouge ses reins avec rapidité en appuyant avec force contre moi, comme si il voulait venir encore plus profondément. Ce que je ressens est surréaliste. C'est à la fois extraordinaire et monstrueux. Je ne comprends pas de suite ce qui ce passe. Je suis sur le point de jouir. Cela part de mon sexe, le plaisir est immense, j'ai l'impression d'être ouverte. Je ne peux me retenir, je me lâche, je ferme les yeux, je crie tellement c'est bon. Je crois que je mords la main qui étouffe mon cri.


Les mouvements de Dick s'estompent petit à petit. Je suis hors de temps. Je me sens ouverte comme écartelée. J'ai l'impression d'être pénétrée par un sexe énorme. Je ne comprends pas de suite. Je ne suis plus en mesure d'analyser une telle situation, de la comprendre. Je sens mon corps mon ventre mon sexe être parcouru par de légers tremblements. Puis, je me souviens de tes explications, et je comprends. Comment ai-je pu oublier ? Le nœud de Dick a gonflé dans mon vagin et nous sommes collés l'un à l'autre. Je ne sais pas si cela est fini. Je voudrais pouvoir toucher, mais on me tient toujours les bras.
« Cela va ? »


J'entends comme dans un brouillard les paroles de la maitresse de maison prononcées à voix basse.
« Laisse-toi aller jolie petite chienne. »


J'ouvre les yeux et la vois penchée au-dessus de moi. Sa main ou celle d'une autre personne vient entre Dick et moi.
« Il est bien place, tu n'as pas trop mal ? On me touche pour vérifier.
– Il est bien entré et le nœud c'est formé correctement. »

 

Puis je sens qu'on masse mon ventre en appuyant assez fort entre le nombril et le pubis. On lâche mes bras, mes mains. Je prends dans mes mains les pattes de mon amant. Je le regarde. Il regarde au-dessus de moi sa maitresse et n'a pas un regard pour moi. Il bouge de temps en temps mais doucement. Je suis bien. On relâche aussi un petit peu mes chevilles et mes genoux. Je peux serrer mes jambes et ressentir entre mes cuisses beaucoup mieux le corps de Dick.

Je suis bien, je suis dans un état second comme ivre. Je réalise maintenant qu'on caresse, qu'on masse et pétrit ma poitrine. Une main caresse mon visage, mes lèvres. Je m'entends gémir. On force doucement mes lèvres. Je suce des doigts imprégnés de sécrétions. Je ne distingue pas les personnes penchées au-dessus de moi. Ce ne sont que des ombres. Je sens un moment que mon amant pousse et force de façon soutenu entre mes cuisses. La poussée dure plusieurs secondes et je prends conscience en le ressentant qu'il libère de sa semence, qu'il jouit dans mon ventre.

 

La chaleur de son éjaculation est comme une douce brulure. Elle n'est pas puissante mais soutenue. Cela dure que quelques secondes qui deviennent extraordinaires. Je me tends sur la table au-devant. On reprend mes mains que je sers de toutes mes forces. Cette sensation ne dure qu'un moment, elle s'estompe légèrement lorsque Dick relâche sa poussée.

J'essaie de reprendre ma respiration. Je ne sais plus si c'est toi qui me l'avait dit ou les nombreux témoignages que tu m'avais fait lire qui préconisaient de calquer sa respiration le plus possible avec celle de l'amant. J'entends des murmures de voix, je ne comprends pas ce que les personnes disent. Je suis comme dans un brouillard opaque. De nouveau Dick pousse son corps contre moi. Je crie doucement. Je serre les mains qui tiennent les miennes. De nouveau, Dick me donne de nouveau une partie de sa semence. Je ferme les yeux, c'est impossible de tenir tellement c'est bon. Je sais que de nouveau je vais jouir. Je tremble, je sens mon ventre, mes cuisses être parcourus par de légers tremblements que je ne peux maitriser.

 

Dick me laisse de nouveau quelque secondes de répit. Je respire par saccades comme le ferait une chienne. J'ouvre les yeux. Des visages sont penchés sur moi. Une voix qui doit appartenir à la maitresse de maison, je crois, me demande de ne pas me retenir, de me laisser aller, de me lâcher. Je ne sais pas si je comprends. Je ne sais plus. Je sens qu'on masse mon ventre.

Je serre les mains de toutes mes forces. Une main se plaque sur ma bouche pour étouffer mon cri. De nouveau, Dick force entre mes cuisses, et de nouveau encore, lâche une partie de sa semence. L'orgasme traverse mon bas ventre. C'est presque douloureux. Je ne me sens pas soulagée comme les autres fois.

 

Au contraire je me sens de nouveau au bord d'un nouvel orgasme comme si je ne venais pas de jouir. J'ai du mal à respirer à faire la chienne. J'ai l'impression qu'il force toujours. Je ne sais plus. Je comprends que ce n'était pas le cas. Je hurle dans la main qui étouffe mon cri. Dick vient de lâcher une autre quantité de semence chaude épaisse et si onctueuse. Je ne perds pas de suite complètement connaissance. Je reste consciente de très longues minutes encore. Mais je suis incapable de comprendre et maitriser mon corps, ce que je ressens.

 

Le brouillard est de plus en plus opaque dans ma tête. Je ne sens plus mes seins, mes cuisses et mon sexe. Seules les poussées espacées de Dick sont perceptives. Une légère douleur qui a pris naissance au creux de mon ventre s'accentue de plus en plus à chaque poussée de Dick. Une personne masse continuellement mon bas ventre et la rend très supportable, même très agréable.


Je ne sais pas à quel moment j'ai perdu connaissance et combien de temps réellement je suis restée inconsciente. Avant ou après un énième orgasme, je ne pourrais pas le dire. Cela a duré quelques minutes. Lorsque je suis revenue à moi doucement, Dick avait terminé. Il était toujours en moi, entre mes cuisses. Il ne poussait plus à intervalle régulier. Il ne me faisait plus l'amour. Il attendait que son nœud dégonfle pour me libérer. Il gémissait et regardait sa maitresse au-dessus de moi. Elle essuyait doucement la sueur sur mon visage, mon front. Me disait tout bas qu'elle était contente que cela ce soit bien passé.
« C'est bientôt terminé, il va te libérer. »


Je soulevais la tête pour pouvoir voir. Elle m'aidait et me tenait la nuque. J'étais encore dans les vapes. Mais je voulais le voir entre mes cuisses. Jusqu'ici je le savais et le voyais au-dessus de moi. Il avait ses deux pattes de part et d'autre de mon corps et on avait l'impression qu'il me tenait entre ses pattes. Je le sentais vivre en moi. Je reposais ma tête fermais les yeux, j'attendais dans le calme. J'étais morte d'épuisement, j'essayais de ne pas penser à ma position, à ce qui se trouvait encore dans mon ventre.


Dick me libéra de son étreinte en se retirant doucement. On me demandait de ne pas bouger. On me maintenait les cuisses ouvertes. On éloignait Dick de moi. La maitresse de maison toujours accroupie à mes côtés me dit qu'on allait retirer le sperme la semence de Dick de mon ventre. Je la sentais couler de mon vagin. J'ouvrais les yeux pour voir qu'elle était récupérée dans une coupe de champagne tenue par une femme. Une autre s'avança avec dans les mains une sorte de seringue munie d'un tube transparent. Je me raidissais.
« Détends toi c'est juste pour curer, pour enlever tout le sperme, ce n'est absolument pas douloureux.
– Avant tu vois Sabine, avant c'est Dick qui l'aurait fait avec sa langue.
– Depuis quelque temps nous ne faisons plus ainsi. Il t'a donné sa semence ce n'est pas pour qu'il la reprenne. »

 

Je sentais le tube transparent me pénétrer doucement. Puis à l'aide de la seringue un maximum de sperme fut ainsi récupéré.


La coupe de champagne était presque pleine. Une femme en vida la moitié dans une autre coupe et rajouta du champagne. On m'aida à me relever, à m'assoir sur la table. On me présenta la première coupe, que je devais boire. Elle était remplie pour moitié de champagne et l'autre moitié de semence de Dick, blanche épaisse et onctueuse. Je prenais la coupe et la portais à mes lèvres. Tous me regardaient en silence. A leurs yeux je crois que j'étais devenue une des leurs. Ils ne me regardaient plus avec des sourires tantôt ironiques ou moqueurs.

 

Cela a était beaucoup plus facile à avaler que je ne l'aurais cru avant. C'était même délicieux à boire. Je finis la première coupe et on me tendait la seconde. Cela me faisait du bien. Puis tu es venu me prendre dans tes bras pour me porter dans une chambre mise à ma disposition. Ma prestation était terminée. Avant de quitter la pièce dans tes bras, je voyais la jeune femme tenue en laisse qui était debout et attendait devant la table. On me remerciait et on me félicitait même pour ce que je venais de faire.


Dans le couloir je croisais un homme qui tenait un des deux autres chiens en laisse. Il était beaucoup plus gros que Dick. Dick lui aussi avait fini sa prestation, il dormait certainement dans une autre pièce. Tu m'allongeais sur un lit et me faisais couler un bain. La maitresse de maison est venue avec mes vêtements. Elle me félicita encore pour mon courage et me répéta que je m'étais bien comportée.

 

Elle m'aida à enlever mes bas, puis le collier autour de mon cou. Je restais couchée complètement vidée et épuisée. Elle avait mis à ma disposition une poire vaginale ainsi qu'un flacon de « Sistéa » du savon liquide antiseptique utilisé pour la toilette intime. Elle m'avait aussi apporté brosse à dents et dentifrice. Elle nous laissa seuls. J'attendais encore un peu de récupérer avent de m'allonger dans l'eau tiède. J'avais besoin véritablement d'un bon bain. Je me sentais sale.

 

Tu me demandais si je me souvenais de la femme un peu forte en robe rouge.
Elle désirait m'inviter chez elle le restant du week-end jusqu'à lundi. Elle me ramènerait elle-même à Lyon lundi matin. Je savais que maintenant tu devais retourner chez toi, avec ta femme et tes enfants. Que tu me laisserais à mon hôtel. Tu me précisas qu'elle était la maire d'une petite ville au sud de Lyon.

 

Veuve, elle aimait les femmes, les jeunes femmes pour être précis. Je me rhabillais en t'écoutant. J'étais crevée, tu le savais. Tu me dis qu'elle avait une résidence secondaire à la sortie du petit village que nous avions traversé juste avent de tourner ici. En partant avec elle je serais dans un lit d'ici dix à quinze minutes. Alors qu'en rentrant avec toi sur Lyon je ne serais pas couchée avent deux bonnes heures.
« Oui, je serais dans un lit, mais je doute qu'elle m'y laisse dormir. Je ne savais pas quelle décision prendre. »

 
Tu m'accompagnais dehors, tu voulais repartir de suite sur Lyon. Dans le couloir, tu ouvrais la porte du salon pour avertir la maitresse de maison. Je regardais. Il manquait quelques personnes. Il était tard. La dame qui voulait m'inviter n'était pas présente. Ce que je voyais était monstrueux. La jeune femme était entièrement nue. Elle était à genoux devant la petite table basse. Les coudes sur la table, elle était penchée en avant. Elle avait les yeux fermés, la bouche ouverte et semblait souffrir. Le chien était sur elle. Debout sur ses pattes de derrières il la tenait de ses pattes de devants. Aux mouvements lents qu'il faisait, je savais qu'il était très certainement entrain de jouir dans son ventre.

 

La maitresse de maison me laissa regarder un instant. Puis elle referma la porte en me disant que si je le désirais je pourrais être montée de cette façon la prochaine fois, puis…
« Si tu désires maintenant Sabine… il y a un autre chien disponible pour toi ce soir… Il suffit que tu remettes ton collier et que tu attendes très sagement de nouveau ton tour sur la chaise.
– Non, fut mon cri du cœur. Je prenais la direction de la sortie. Elle souriait. Dehors, la nuit était sombre. Il manquait deux ou trois voitures. Je remarquais la femme qui m'attendait près d'une berline, elle attendait de savoir ma décision.
– Remi je te dis à plus tard, je vais avec elle. Tu ne m'en veux pas ?
– Bien-sûr que non de toute façon tu aurais était seule cette nuit.
– Amuse-toi, prend du plaisir avec elle. »


Je me dirigeais vers la voiture. Sans un mot, elle m'ouvrait la portière côté passager et fit le tour de la voiture pour s'installer au volant.
« Je vais bien m'occuper de toi Sabine. »


Je ne répondais rien. Je te regardais monter dans ta voiture. La nuit était sombre, les phares éclairés le chemin. Je regardais ma conductrice. Elle avait un joli visage et un sourire de satisfaction. Moi j'étais crevée. J'espérais seulement qu'elle me laisse dormir jusqu'à ce matin au moins….

Fin de la première partie.
Il y aura-t-il une deuxième partie ?

Toute personne qui se reconnaitrait de près comme de loin devrait très vite me demander l'adresse de mon propre psy. Sourires. Ceci n'est qu'un récit. Il est sorti tout droit de mon cerveau malade et certainement très dérangé. Il m'a été commandé par un ami aimant ce genre de fantasmes, il voulait un récit plus ou moins cohérant. Je voulais lui faire plaisir. Uniquement

 

 

Signé : Sabine

Sabi-sand-maeva@hotmail.fr

Par Sabine - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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Commentaires

Effectivement tu devrais aller voir un psy :] et non un psychologue mais plutôt un thérapeute.

Car ton problème est ancré au plus profond de ton inconscient ! à moins que tu souhaite faire une psychanalyse :D

Mais non je plaisante bien entendu ! de l'humour ! non sérieusement j'ai bien aimé ton récit, et par la même occasion j'espère en avoir d'autre aussi bien réfléchi et imaginé.
commentaire n° :1 posté par : Jordan le: 04/03/2012 à 13h47

Son auteur appréciera surement votre commentaire...  ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 01h54
Voila un récit comme je les aime.
Oui, je partage ce fantasme, et je me suis mis dans la peau de sabine.
J'adorerai être baisé par un chien avec autant de douceur pour la première fois.
Merci
commentaire n° :2 posté par : titou le: 05/03/2012 à 12h11

Il faut te lancer !

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h10
histoire sublime, j'en suis raide (!!!) dingue
commentaire n° :3 posté par : ahuahu le: 05/03/2012 à 22h39

Ravie que ca te plaise.. l'auteure est particulièrement douée...

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h10
Excelent réçit, j'adorerais lire une suite. ^^
commentaire n° :4 posté par : Lo le: 06/03/2012 à 01h41

J'ose esperer que l'auteure nous fera la grace de la publier ici !

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h11
Un texte magnifique qui ravive mon fantasme...et pas que cela!!! Merci. Bises de Vincent.
commentaire n° :5 posté par : vincent le: 06/03/2012 à 09h52

Le principal est que tu y trouves du plaisir...

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h11
Au debut, j'etais choquée, et je me suis laissée entrainée. j'ai fini excitée comme une puc. non, comme une chienne !
commentaire n° :6 posté par : Sandrine le: 06/03/2012 à 14h24

Parfois, il seuffit d'une lecture pour se decouvrir de nouvelles envies...

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h15
Bonjour, j'ai découvert dernièrement votre site, j'ai parcouru plusieurs récits, et ce qui est absolument admirable, c'est la qualité d'écriture de vos récits. Votre écriture transforme une situation hors norme en un tableau de maitre, laissant aux lecteurs le soin de constituer le film qui convient. Un grand bravo et si seulement je pouvais être témoin réel de vos scène, ... ce serait un grand bonheur.
commentaire n° :7 posté par : Hervé le: 06/03/2012 à 14h55

Merci Hervé, de vos compliments ! Mais vous savez, je n'ecris pas tous les textes ! certains sont de moi, certains sont co-ecris ou enormément corrigés...

d'autres sont tels quels, tant ils sont de qualité...

J'espère que vous trouverez de nouveaux recits qui vous plairont tout autant !

réponse de : Sophie de R. le: 13/03/2012 à 02h17
A priori je ne suis pas du tout branché zoophilie, mais maintenant après ce très très beau récit.....

Il est superbement rédigé, la musique de ses mots décrivant selon un lent crescendo cette initiation à ce nouveau plaisir. Erotisme torride quand Sabine décrit elle est prise, et ses orgasmes successif. En lisant, je rêvais
d'être Dick le chien ..... ;)

Un gros bisou Sabine pour cette tranche de plaisir " littéraire "
commentaire n° :8 posté par : Trekker le: 11/03/2012 à 01h53

Je suis ravie que cela te plaise, sachant ton niveau d'exigence et la qualité de ta propre plume !

réponse de : Sophie de R. le: 14/03/2012 à 02h29
Bonsoir,
J'avais lu cette histoire il y à quelques mois sur "histoires-hard". Je l'ai relu aujourd'hui sur le blog de Sophie. Elle m'a parue encore plus "incroyable" et toujours aussi sexuellement envoutante. Sabine nous dit avoir été choquée puis excitée comme une chienne et bien moi je dois avouer que j'étais de plus en plus "tendu" au fil de la lecture. Bravo à l'écrivaine et qu'elle n'hésite pas à commettre d'autres aventures aussi excitante.
A vous lire
commentaire n° :9 posté par : Jean Louis le: 11/03/2012 à 22h55

En effet, elel m'avait été communiquée, et depuis, son auteur, Sanrdine G. va publier ici d'autres histoires. Je l'en remercie d'avance ! Les femmes qui font des ecrits erotiques sont bien trop peu nombreuses !

réponse de : Sophie de R. le: 14/03/2012 à 02h36
bonjour

en tant que homme j ai vecu cela devant aussi des hommes et femme ou ils me regardaient comme une chienne certe je pleurai aussi quand le chien ma pris mais c est vrai sentir leur sexe dedans c est bon mais certe c est tres humiliant surtant devant des personnes
commentaire n° :10 posté par : julien le: 13/03/2012 à 18h40

Si cela avait eu lieu en privé, tu auraisbien aimé ?

réponse de : Sophie de R. le: 14/03/2012 à 02h40
superbement écrit et décrit ce fantasme, ma chère Sabine. tu m'as excité au plus haut point.
Je m'y voyais. J'aurais aimé être à ta place.
Vite, fais nous lire d'autres aventures. C'est si bien écrit
commentaire n° :11 posté par : brunobi le: 15/03/2012 à 16h08

Elle l'a fait, mais dans un autre style...

réponse de : Sophie de R. le: 31/03/2012 à 14h36
Bonjour sabine,

superbe recit, merci pour ce moment d'érotisme zoo. reit plein de détail qui permettent de visualiser totalement la scene.
amicalement
josé

ps: merci à sophie pour son site. bises
commentaire n° :12 posté par : josé le: 18/03/2012 à 13h55
Merci José, Sandrine sera heureuse de lire ton commentaire ! et moi, de tes bisous... ;-)
réponse de : Sophie de R. le: 01/04/2012 à 05h05
j ai recommencé avec une femme et son chien oui j aimé d etre saillie par lui et de le sucer c est tres bon et surtout de belle bite et tres rapide bisous maitresse j espere pour vous que sa suite a vos souci mille bisous tout partout vous savez ou ....
commentaire n° :13 posté par : julien le: 21/03/2012 à 22h24

Merci Julien... les denociations semblent se calmer, et je n'ai pas de nouvelles d'erog.. tout doit etre ok...

réponse de : Sophie de R. le: 04/04/2012 à 05h00
Slt,

j'ai aimée ton histoire, super
commentaire n° :14 posté par : Charlotte973 le: 18/04/2012 à 00h53

Merci de le dire ! ca faisait longtemps que je ne t'avais pas vue ici... as-tu pu enfin réaliser tes envies ?

réponse de : Sophie de R. le: 01/05/2012 à 04h07
Très joli texte et belle écriture sur la forme. Quant au fond ... on s'y croirait ... ;). Virginie.
commentaire n° :15 posté par : Virginie le: 14/05/2012 à 00h24

Je suis ravie que cela te plaise autant ! As-tu de l'expérience en la matière ?

réponse de : Sophie de R. le: 30/05/2012 à 20h40
Eh bien non je n'ai jamais eu aucun rapport de ce type, cependant c'est vrai que la lecture d'un tel texte est évidement très évocateur, voire même plus qu'évocateur ... ^^
commentaire n° :16 posté par : Virginie le: 31/05/2012 à 21h52

Je suis ravie qu'il te plaise, en tout cas !

réponse de : Sophie de R. le: 20/06/2012 à 16h00
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