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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Voici une nouvelle très excitante contribution de Fran.

Sandra, jolie blonde de dix neuf ans, mariée depuis un mois, vient passer quelques jours de vacances chez ses beaux-parents. En effet, son mari Denis, est en déplacement pour affaires. Ce soir, c'est la fête du quatorze juillet, avec bal, et feux d'artifices.

Cédric, son jeune neveu, âgé de huit ans, est en vacance lui aussi chez ses grands parents. Il demande s'il peut aller voir les feux. Les grands parents ne sont pas chauds.

« Je peux l'emmener si vous voulez, propose Sandra, c'est à quel heure ?

- Vingt heures trente, répond papy. Si tu l'accompagnes, pas de problème. »

Les voilà partis. Il fait une chaleur caniculaire. Sandra est vêtue d'une jupette de tennis, et d'une chemise nouée sur le ventre. Très appétissante. Cédric est en bermuda et polo. Ils partent de bonne heure pour être en bonne place derrière les barrières de sécurité.

Sandra, en tante protectrice, se colle contre son neveu. Une foule immense se presse derrière eux. Sandra a passé un bras de chaque côte de son neveu pour le protéger, en prenant appui sur la barrière. Après une longue attente, les lumières s'estompent. La place est plongée dans le noir. Le feu d’artifice va être tiré. La foule pousse contre les barrières.

Soudain, Sandra sent une main qui effleure son genou. Elle la repousse d'un mouvement de jambe. Avec cette foule qui se bouscule, la marge de manœuvre est limitée pour repousser un éventuel assaut. Impossible de se retourner, elle est obligée de subir.

D'autant plus que maintenant, la main est passée sous la jupette, et atteint pratiquement le haut des cuisses. Un doigt écarte même le string, rentre en contact avec le fin duvet. Sandra serre les cuisses, en vain. La main poursuit son ascension, pour atteindre les lèvres intimes. Mais de par sa position pour protéger son neveu, l'espace de la jeune femme est réduit. La main se retire. Sandra pense être sauvée.

Grave erreur d’appréciation…

L'intrus revient à la charge.

Cette fois, ce sont les deux mains qui passent de chaque côté de la jupette, au niveau des hanches. Elles saisissent l'élastique du string, et le fond glisser sur ses cuisses, puis tomber sur ses chevilles. Sandra se retrouve nue sous sa jupe ultra courte. Cette situation inédite l’excite, la fait mouiller comme rarement avant. Même son mari ne l’excite pas autant !

Une main passe devant son mont de Vénus gonflé de désir, et se plaque contre sa chatte, l'autre se forge un passage entre les fesses.  Deux doigts jouent avec le clitoris entièrement décalotté, tant elle est excitée, malgré elle. Un autre doigt taquine le petit trou, et le pénètre doucement. Sandra est trempée, maintenant, tant elle apprécie ces caresses vicieuses.

Elle pousse un long soupir. Elle en veut plus, maintenant, alors elle parvient à écarter sa jambe droite, et pose le pied de l'autre jambe sur la barrière, à gauche de son neveu pour bien s'ouvrir à cette pénétration indécente.

Maintenant, elle se fait fouiller la chatte sans aucune retenue, au risque de se faire remarquer par les autres spectateurs.

Elle ressent un vague remord de tromper son mari, comme une chienne, qui se fait prendre en pleine rue, sans même connaitre son branleur…

Mais bien vite, le désir fou qui la prend a raison de sa honte.

Le majeur de la main gauche est enfoncé dans la rosette dilatée, et fait de lents va et vient. Les doigts de l'autre main branle violemment la chatte, et doigte le clitoris... Au bout de dix minutes de ce traitement de choc, Sandra jouit en plaquant ses lèvres dans les cheveux de Cédric.

- Hummmm...hummmmm..

Après quelques caresses, les doigts s'activent une nouvelle fois au fond de son vagin ravagé. Sandra devient folle de désir. Elle a envie de sexe, une envie brute, hard.

Elle sent sa mouille qui dégouline sur ses cuisses. Le petit trou, reçoit la visite d'un deuxième doigt.  Elle glisse une main pour les maintenir enfoncés en elle. A sa grande surprise, elle trouve les mains infiniment petites…

« Mon dieu, se dit-elle, qui cela peut-il être ? C'est quand même pas un gamin... »

Mais son corps répond de plus en plus aux caresses Elle brule d’un désir digne de l’enfer. La main entière pénètre son conduit anal. Jamais Denis ne l’a sodomisée. Et là, cette main la fiste à fond, elle aime, elle adore. Tout son corps réclame cette pénétration infernale.

Elle tord son corps dans tout les sens. Un deuxième orgasme se prépare, terrible, puissant. Elle ferme les yeux. Son souffle s'accélère. Pour ne pas hurler sa jouissance au milieu de la foule, elle mord son avant-bras à pleine dents.

Elle râle, des mots quasi inaudibles sortent de sa gorge enrouée :

« L'enfoiré… que c'est bon… vas-y salaud… régale-moi… oui… oui… t'arrête pas... »

Elle grogne comme une cochonne en chaleur…

Comme s'il avait entendu les propos de la jeune mariée, l'inconnu continue à jouer avec le corps soumis de la jeune femme. Elle l'encourage même en poussant la main au fond de ses entrailles. Elle dégage son autre main, et l'envoie en arrière, pensant attraper sa bite pour le branler. Mais elle bute sur le torse de son agresseur.

« Le vicieux, il s'est mis à genoux pour mieux me fister... oh... putain… si au moins je pouvais bouger mon cul… oh… non... pas çà… tu me fais encore jouir... tu m'épuises... et comme tu m'encules bien ! Oui, c’est trop bon de se faire défoncer le cul comme ça... et toi ma petite chatte… comme tu te fais niquer… tu te régales… c'est bon... putain… si je pouvais gueuler... » Elle pense à voix basse, elle a envie de hurler, de se sentir encore plus possédée par cet inconnu qui la rend folle de désir, de plaisir…

Elle sent les deux mains qui se heurtent contre la fine paroi qui sépare ses deux orifices. Elle jouit une nouvelle fois, manque de tomber, tant ses jambes flageolent. Elle s’agrippe à ma barrière de métal, en serrant encore plus son neveu…

La main se retire, les doigts font rouler ses lèvres intimes, comme si elle voulait les apaiser.  Elle serre les cuisses pour garder la main de l’intrus, et tous désirs qu’elle lui a octroyés.

En dépit de toute raison, de toute moralité, Sandra en veut encore, jusqu'à l'épuisement s'il le faut. On ne l'a jamais fait jouir comme çà, même son mari. Mais petit à petit, la main se dérobe, pendant que l'autre restitue le string.

Le bouquet final est tiré dans le ciel. Elle a hâte que la lumière revienne, pour voir enfin celui qui a su réveiller la cochonne qui sommeillait en elle.  Elle tire un mouchoir en papier de son sac, et tente d’essuyer le flot de cyprine qui dégouliné sur ses cuisse.

Ca y est, la place s'allume. Elle se retourne, cherche dans la foule. Elle reste scotchée. En effet, là, trois mètres devant elle, elle aperçoit un nain, debout sur un banc, en train de se lécher vicieusement  les doigts. Il la regarde droit dans les yeux. Elle ne peut réprimer un haut-le-cœur. C’est sa petite taille qui explique la taille des mains, et la hauteur de la poitrine…

Il la regarde en souriant, lui fait un signe de la main et se fond dans la foule.

« Le salaud, murmure-t-elle, comme il s'est amusé avec moi. Il m'a faite jouir trois fois, comme jamais avant…

- Mais à qui tu parles tata ? Et c'est quoi que tu as dans ta main ?

- Heu... c'est pour jeter mon chéri.... j'ai dis quoi ?... A oui… il m'a semblé reconnaitre quelqu'un.... Allez, rentrons. »

Pendant la nuit, Sandra n’aura de cesse d’échafauder toutes sortes de plans pour retrouver ce nain inconnu. Elle veut encore se faire prendre, mais dans un endroit où elle pourra crier tout son saoul, et se faire saillir comme la chienne qu’elle est devenue ce soir, pendant ce feu d’artifice qui n’aura jamais autant mérité son nom !!!

Par Fran. Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : sexblog
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