Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Ici, nous sommes en pleine saison chaude et sèche. Il fait en moyenne 34° tous les jours. La nuit, on peine à descendre en-dessous de 30°. Alors, le soir, on va se promener, on tente de trouver un peu de fraicheur en bord de crique ou sur la plage.
Hier, pourtant, il a plu. Première pluie depuis sept mois. Dans une des zones les plus humides de la planète, la sécheresse rôde. Malgré cette averse rafraichissante, hier, je mourrais de chaud. Je décidais d’aller faire un tour à la plage, profiter de l’alizée du soir.
Je sortis, juste vêtue d’un haut à bretelles, et d’un paréo noué sur les hanches en guise de jupe.
Après quelques minutes de voiture, j’arrivais enfin à Montravel. La lune n’est pas pleine, mais on y voit assez clair. Le bruit des vagues me rafraichit déjà l’esprit et le corps.
J'allais m'allonger sur le sable, dans un coin sombre, sous les cocotiers, à l'abri des regards curieux, n'ayant que le bruit des vagues comme compagnie. Je fermais les yeux, bercée. Au bout de quelques minutes, dans un semi-état comateux, j’eus la sensation d'être observée
J'ouvris alors les yeux, et j’aperçus une ombre se dessinant dans la lumière de la lune. Un homme était là. Il fumait tranquillement une cigarette dont la rougeur m'apparaissait à un rythme régulier. J'étais subjuguée, mais bizarrement je ne ressentais aucune peur. J'étais au contraire sereine…
Comme s'il avait sentit mon accord tacite, il jeta sa cigarette au loin et se rapprocha de moi. J'eus un léger mouvement de recul, bien vite réfreiné par mon envie de savoir le pourquoi de sa présence auprès de moi. Je fermais les yeux, les bras le long du corps. Je sentis alors ses lèvres chaudes, douces et légèrement parfumées de l'odeur de cigarette, se poser sur les miennes. Il était d'une délicatesse incroyable. Il força avec douceur le barrage de mes lèvres, nos langues partirent alors dans un ballet sensuel, nos salives se mêlèrent… Il entama avec sa langue un tango de fièvre, me coupant presque le souffle. On dit qu’un baiser montre la façon dont son auteur fait l’amour. Alors, je sais que je vais être gâtée…
Je ressentis une langueur me prendre au plus profond de moi, mon cœur battait la chamade. Une main vint se poser sur mon sein, et malgré l'obstacle du tissu, je ressentis comme un feu sur mon corps, je me cambrai pour renforcer ce contact, et gémissais doucement…
Tout en continuant à m'embrasser, il commença à baisser les bretelles de mon haut et soudain mes seins furent libres de leur carcan de toile. Je ne portais pas de soutien-gorge, j’étais partie
trop vite de chez moi
Sa main vint en caresser les pointes qui se tendirent sous cet assaut sensuel. Je frissonnai de plaisir
contenu… Mes aréoles durcies me faisaient presque mal.
Sans un mot, il commença à tracer un chemin sur mon corps…
Avec sa langue, il lécha mon menton, descendit le long de mon cou. Je ressentais une volupté sans nom. Sa
bouche vint jouer sur mes mamelons dressés, excités. Je soupirais de sensualité, d’excitation. Mes mains étaient venues se fondre dans ses cheveux, le plaquant sur mes seins, comme si je voulais
qu’il ne fasse plus qu’un avec moi.
Tout en continuant à descendre sur mon ventre, il dénoua mon paréo. Ne restait alors que la barrière de mon string...
Il ôta son polo, le déposa sur le sable et m'aida à m'installer dessus. Il était d'une grande délicatesse. Je me sentais un peu égoïste de goûter au plaisir qu'il m'offrait sans retour. Il finit par ôter mon string, me retrouvant enfin nue devant lui. Mon corps plein était éclairé par la faible lueur de la lune.
Mes yeux s'étant habitués au noir, je devinais son visage, il était beau. Mais pas une beauté commune, non, je dirais une beauté dangereuse. On aurait dit un loup aux aguets, guettant sa proie, qui était déjà soumise à lui… Je devinais des yeux verts, éclatants au milieu de son visage noir. Le miracle du métissage…
Il écarta mes cuisses, approchant sa main, qu'il posa sur le haut du pubis, allant ensuite caresser l'intérieur de mes cuisses. Il jouait sur mon corps comme le ferait un artiste sur les touches d’un piano. Je désirais ses mains sur moi, sur ma chatte avide. Je sentais que ses doigts avaient déclenché au creux de mes lèvres, la naissance de ce jus qui annonçait le futur plaisir que j’allais ressentir…
J'étais très excitée. Mon souffle se faisait de plus en plus saccadé. Aucun mot ne franchissait nos lèvres. Il s'allongea sur le sable, son visage à proximité de mon abricot offert. De ses doigts, il en écarta les chairs, allant caresser mon bouton d'amour, déjà bien gonflé de désir exacerbé.
Puis vint sa bouche, qui se mit à me butiner, très sensuelle. Mon corps dansait au rythme de ses coups de langue. Il prenait un malin plaisir à contenir le mien... J'étais en transe, bouleversée par toutes ces sensations magiques. La nuit, la plage, la mer, tout décuplait mon plaisir.
Il introduisit alors un doigt au fond de ma chatte détrempée, tout en continuant ses coups de langue. Je
sursautais à cette intrusion dans ma vulve en feu, savourant le plaisir que cela me procurait. Je sentais ce doigt, caresser l’intérieur de mon conin, cherchant un je ne sais quoi, au plus
profond de moi….
Il commença de lents mouvements de va et vient au cœur de mon vagin affamé.
Le plaisir montait au fond de mon corps, j'étais en feu….
Il introduisit alors un deuxième, puis un troisième doigt, j'étais au bord de la jouissance. Mon corps se cambrait au rythme de ses doigts. Il ressortit alors ses doigts, puis son index humide se dirigea vers mon anus, qui surprit, se contracta à son contact… Comme si c’était le signal, je fus foudroyée par un orgasme puissant, violent,… Sans tenir aucun compte des éventuels promeneurs, je criais aux étoiles mon plaisir intense.
Sans tenir compte de ce plaisir intense, il fit tourner ce doigt délicatement autour... puis commença à l'introduire doucement, me laissant choisir le rythme de la pénétration, au gré de mes gémissements...
Un jus de plus en plus important sortait de ma chatte, montrant à mon baiseur anonyme combien cela me plaisait….
Une fois son doigt entièrement enfoncé, et lorsqu'il sentit que j'étais prête, il se mit à limer doucement... En même temps, il continua son jeu de langue sur mon clitoris. Je savais qu’une nouvelle jouissance n'était plus très loin. Mon corps se mit alors à danser, au rythme de son doigt et de sa langue… Je soupirais, me tordais sur ces doigts agiles qui me procuraient de telles sensations…
Une seconde fois, mes hurlements déchirèrent la nuit équatoriale.
Sa langue continuait pourtant à me lécher, comme s'il ne voulait pas perdre une goutte de la jouissance
qu'il venait de me donner. Je me sentais bien, très bien. Je me sentais heureuse, épanouie…
Il retira le doigt de mon anus… Mais continua à me lécher doucement, amenant alors une troisième jouissance, plus « soft »…
Au bout d'une minute, je le vis se relever. Remettre un peu d'ordre sur lui. Je sentais qu'il allait
partir, mais je refusais qu'il disparaisse comme ça, sans que je lui rende ce plaisir qu’il venait de me procurer sans aucune raison. Je ne comprenais pas pourquoi, il repartait comme ça, sans
prendre lui–même du plaisir. Pourquoi, m’avait-il donné la jouissance et ne pas jouir à son tour ? J’étais étonnée, comme s’il avait voulu donner sans recevoir… C’était incroyable… Un tel homme
pouvait-il exister ? J’avoue que j’avais envie de sentir une bâton bien dur au fond de moi… le sien, avant tout.
D'une main ferme, j'agrippai la sienne, ce qui le surprit un peu. Sans un mot, je l'obligeai à s'asseoir à son tour sur sa veste. Il était étonné, mais se laissa faire sans broncher. J’entrepris alors de lui ôter à nouveau son polo. Je vis se dessiner un lent sourire complice sur ses lèvres sensuelles. Je l’embrassais, croquant ses lèvres épaisses.
Comme j'étais plus ou moins assise sur lui, à cheval sur ses cuisses, je sentis alors l'excitation qui tendait son pantalon, au contact de mon chatte toujours humide.
Son torse chocolat était bien bâti, sans l’ombre d’un duvet.
J'allais titiller à mon tour ses mamelons noir charbon. Il gémit doucement. Puis, je
continuais à descendre, allant même introduire ma langue dans son nombril, simulant un mini-coït. Je sentais son excitation être de plus en plus forte. Mais aucun mot….
Je retirais sa ceinture, dégrafais son pantalon. Je l'aidais à retirer ce dernier. Ne restait alors qu'un boxer noir, dont la bosse, ne laissait aucun doute à l'envie qui le tenaillait.
Je découvris alors un sexe d'une taille imposante, pas très long, pas plus de 18 cms, à mon avis, mais bien épais, avec un gland large et massif. Il était déjà bien gonflé et
tendu, près à recevoir les délices de ma part. Je salivais à l'idée de goûter à ce chibre d’ébène. Son sourire se fit vorace, réclamant le plaisir qu'il allait subir, enfin recevoir... Pour être
plus libre, je lui retirais son boxer. Nous étions nus tous les deux.
Je pris sa belle bite dans ma main droite, commençant un lent mouvement de va et vient sur sa queue. Il se contracta un peu à ce contact, mais je vis qu'il aimait ça. Taquine, je m'arrêtai quelques secondes et l'entendit râler de désespoir.
Lui tirant la langue, comme une enfant, je repris alors mes mouvements, toujours lents. Puis soudain, j’accélérai le rythme de ma main, entendant alors son souffle s’intensifier, s’accélérer à la même vitesse, je ralentis le rythme à nouveau. Je le serrais au maximum, mes doigts n’en faisait pas le tour, tant il était épais et massif. Tout ce ue j’aime…
Il me regardait droit dans les yeux malgré la nuit, je voyais une lumière se refléter à l’intérieur de sa pupille vert émeraude, marquant le feu que son corps brûlait au plus profond de lui…. J'approchais ma bouche et du bout de la langue, je lapais son gland, il gémit.
C’est à ce moment-là que j’entendis un bruit de feuilles froissées, de palmes écrasées. Du coin de l’œil, je fouillais pénombre. Mon instinct ne m’avait pas trompé. Nous n’étions pas seuls. Un homme se tenait là, à quelques mètres de nous. Mon bel inconnu ne semblait pas avoir remarqué sa présence.
L’homme vit que je l’avais démasqué. Remarquant sans doute que je ne faisais rien pour signaler sa présence, il s’approcha un peu, et sortit de l’ombre des palmiers. Il devait être là à nous mater depuis longtemps, car il s’approcha, la bite à la main. Il bandait dur, d’autant que je pouvais en juger dans la nuit. Il resté à deux ou trois mètres, dans le dos de mon dragueur. Ce dernier avait les yeux fermés, savourant mes caresses prolongées. Le voyeur se camp sur ses deux jambes écartées, et entreprit une lente masturbation. Mon excitation remonta d’un cran. J’ai toujours adoré me faire mater en train de baiser.
Sans le quitter des yeux, j'introduisis le sexe massif de mon amant du soir dans ma bouche. Il eut un mouvement de hanches, m’intimant le rythme qu'il voulait que je prenne. Ma main gauche alla s'égarer sur ses couilles, les massant avec douceur, ce qui le fit gémir encore plus. Alors je me mis à le sucer, tout en le masturbant de la main droite et en me caressant de ma main libre le clitoris, je mouillais moi aussi comme une vraie fontaine, mon désir était intense. J’ouvrais bien les cuisses, pour que le voyeur me voie en train de me caresser la chatte. J’avais envie d’une bonne queue pour me ramoner il avait beaucoup de mal à se contrôler. Je jouissais intérieurement du plaisir que je lui donnais, tout comme au voyeur. Ce dernier accélérait le mouvement et se branlait plus énergiquement. Sa main s’agitait frénétiquement su r son manche bien dressé vers le ciel.
Mon amant avait fermé les yeux, la tête légèrement renversée en arrière, il appréciait ma langue qui jouait sur son gland. Toutefois, il ne s’était toujours pas aperçu de la présence de l’intrus. Il posa sa main dans mes cheveux, me donnant ainsi le rythme de succion qu’il voulait.
Pourtant, je me dégageais de sa main, et le couchais d’un coup sec sur le sable. Il sembla surpris, mais je ne lui laissais pas le temps de protester. Je vins à califourchon sur lui, et m’empalais d’un coup sur son bâton épais. J‘étais si excitée qu’il s’enfonça comme dans du beurre dans ma chatte affamée. Enfin, je me sentais bien rempli, comme j’aime tant. J’entamais une danse des hanches et du ventre sur ce pieu massif, qui me labourait le ventre. Il avait toujours les yeux fermés.
Le voyeur s’est approché. Il est là, tout contre la tête de mon baiseur. Je comprends ce qu’il veut. J’attrape sa queue dans la bouche. Je le pompe au rythme de coups de reins de celui qui me baise la chatte. Ce dernier finit pas sentir quelque chose d’anormal. Il ouvre les yeux, qui s’écarquillent de surprise, quand il me découvre en train de sucer furieusement une bite !!! Il a un mouvement de recul, si je puis dire, mais mon poids le maintient au sol. Alors, résigné, il nous regarde à tour de rôle, et continue de me besogner à fond.
La vue que je lui offre doit lui plaire, car je sens son corps se contracter, la jouissance approchait à grand pas. Dans un râle rauque, il jouit au fond de mon vagin, en jets puissants et saccadés. Quelques secondes après, c’est le voyeur sui se vide dans ma gorge. Le sperme coule entre mes lèvres. Alors, avec un air de défi, je me penche et embrasse mon amant du soir. Il fait une grimace, recrache le foutre mêlé de salive. Ca m’amuse, et je ris comme une petite folle.
Me voyeur se retire dans l’obscurité, aussi doucement qu’il était arrivé. Je retire le membre qui m’a donné tant de plaisir, et roule sur le coté. L’homme se relève, se rhabille et part sans un mot. Il doit être vexé de mon baiser de sperme…
Moi, je suis heureuse, apaisée et je décide prendre un petit bain nocturne, seule dans la vagues….
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