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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Nous sommes en Juillet 2003. Un ami m'avait gentiment prêté son camping-car pour une semaine. J'avais une grande envie de me retrouver seul, sans personne autour de moi, histoire de faire le plein de bon air et de calme. Je suis donc allé dans un coin de Bourgogne, au bord d'un lac en un endroit, à ce qu'on m'avait dit très peu, voire pas du tout fréquenté. Un endroit rêvé pour me retrouver.

 

Au matin de ma première nuit, je me réveille aux aurores, vers 8 heures. Curieux, tout de même comme le silence de la campagne perturbe le citadin habitué aux bruits de la ville. La température est déjà haute, environ vingt-cinq degrés. L'eau du lac est là qui me tend les bras, je succombe à la tentation et à poil bien entendu. Personne ne pourra s'en offusquer, ou s'en extasier, qui sait ? On a le droit d'être optimiste. Me voilà donc dans l'eau un peu fraiche mais délicieuse.

 

Je nage donc en ne m'occupant que de mon plaisir. Mais au moment de sortir de l'eau, je vois qu'un autre camping-car vient de s'installer non loin du mien. Me v'là bien. Pour la solitude c'est raté et en plus je suis à poil dans la baille. Avec la chance qui me caractérise, ces gens-là vont faire un scandale en me voyant sortir de l'eau nu. Mais j'aperçois la plaque d'immatriculation de mes « gêneurs' ». Ce sont des allemands. Je suis rassuré car on trouve chez les Teutons bon nombre de Naturistes.

 

Je sors de l'eau l'air naturel, comme s'il était normal que l'on se baignât à poil. Mes trublions sont un couple de quinquagénaires. L'homme sort table et chaises durant que la femme examine les lieux. Elle est debout, bien campée sur ses jambes, les mains sur les hanches. Elle est bien foutue, facile à deviner car elle est seulement dévêtue d'un mini-string. Me voilà encore plus à l'aise. Ce n'est pas aujourd'hui que ma nudité va choquer quelqu'un. Je suis accueilli par un '' Hello!'' souriant prononcé presque en chœur par le couple. Sans pour autant insister notablement sur ma nudité, leurs yeux parcourent mon corps, sans plus de commentaire que si j'avais été vêtu.

 

Nous nous présentons. Elle se prénomme Birgitt et lui Hans. Ils semblent si peu perturbés par ma tenue qu'ils m'imitent et se retrouvent à leur tour complètement à poil. Aussitôt je subodore que la quiétude que j'étais venu chercher là est à jeter aux orties. Ils ont le corps glabre. Et cette absence de pilosité ajoutée au hâle de leur peau et la façon à la fois décontractée et directe avec laquelle ils ont examiné mon anatomie me donne à penser que les heures ou les jours à venir risquent d'être animés.

 

Après quelques instants de bavardages je les abandonne, car je n'ai toujours pas pris mon pti-déj'. Et de toute façon, Birgitt et Hans, se sont rhabillés pour aller faire du footing dans la forêt toute proche. Me voilà donc seul à nouveau et pour une heure ou deux. Tout en faisant ma toilette je me remémore les corps de mes voisins. Ils ont environ cinquante-cinq ans.

 

Birgitt fut sans doute aucun une fort jolie gretchen. Chevelure blond cendré, elle a encore plus que de très beaux restes que la pratique du sport met en valeur. Seule sa poitrine, la loi de la gravité sans doute aurait une petite tendance à tomber. Les aréoles sont bien marquées et larges J'aime ça. Son absence de poil permet de constater que sa chatte a des lèvres charnues du plus bel effet. Elles semblent attendre qu'on s’occupe d'elles.

 

Hans quant à lui est un gars athlétique. Le cheveu qui fut blond se raréfie. Si l'on ajoute le bleu de ses yeux, on ne peut s'interdire de penser que ce ''très cher'' tonton adolf aurait aimé l'avoir parmi les siens. Le corps de Hans est bien conservé, ses différentes pratiques sportives favorisent cela. Et je me rends compte soudain que je n'ai pas complètement détaillé son anatomie autant que celle de Birgitt.

 

La Nature l'a-t-elle gâtée ? Ou alors l'a-t-elle boudée ? On verra ça à leur retour. Je ne sais rien de leurs habitudes et de leurs goûts mais s'ils correspondent aux miens, l'avenir immédiat risque d'être passionnant. Nous verrons bien.

 

Mes voisins reviennent bientôt de leur footing. Après une douche ils ressortent se sécher au soleil et restent nus. J'ai le même costume qu'eux. Mis à part quelques propos anodins rien ne se passe durant la journée. Le soir venu, l'air était encore assez chaud, chacun de nous avait diné de son côté. Birgitt est allongée sur une chaise longue, bien évidement nue offrant son corps à la nature et à nous, elle a un grand verre de boisson fraiche à la main. Hans est assis sur les marches de son camping-car, lui aussi à poil et verre en main. Birgitt me hèle et me propose de venir prendre un verre avec eux. J'accepte avec plaisir.

 

Elle m'offre un grand verre de jus d'orange que je déguste affalé sur une chaise longue en face d'eux. Nous bavardons gentiment. Notre conversation m'amuse car bien qu'ils parlent un français parfait, ils ont un accent assez prononcé et moi, un rien m'amuse. Nous faisons allègrement le tour de toutes les banalités habituelles en faisant semblant de refaire le monde. Mais tout ça n'a qu'un temps. Très vite, nous glissons vers le sujet qui quoi qu'on en dise a toujours dominé le monde, j'ai nommé le Sexe. Et ces gens-là étant d'un naturel étonnant n'hésitent à me donner des détails sur ce qu'ils aiment et ce qu'ils détestent.

 

La chaleur et nos bavardages nous ont donné soif, Hans déploie sa grande carcasse et nous refait le plein. Quand il s'approche pour me tendre mon verre, ma position assise met mes yeux à hauteur de son pubis. Et plus exactement à hauteur de sa queue. Elle est athlétique, tout comme le reste de son anatomie. Je me prends à rêver du plaisir qu'elle pourrait me procurer et cela me fait bander. Brigitt remarque ma réaction et note que je me mets à bander. Ses yeux bleus clairs brillent, elle sourit puis me regarde. Je sens une interrogation muette. Je lui dis alors ma bisexualité. Cet aveu la fait sauter de joie et elle s'écrie :

« Ach! Formitaple! Hans aussi !! »

 

Ce qui pend entre les jambes de Hans est tout simplement impressionnant. Alors qu'elle est au repos sa verge a déjà belle prestance. Sa circoncision permet de voir que son gland est bien évasé à la base. Je comprends alors pourquoi on traite de phalloïdes certains amanites. En érection, l'effet doit être superbe. Sous peu cela va m'être confirmé et je constaterai que le gland est séparé de la base par vingt-cinq centimètres d'une épaisseur intéressante. Je leur dis tout haut ce que j'étais en train de penser. Tous les deux mettent à rire et Birgitt me dit tout de go :

« Fous safez, ça me ferait plaissir de fous la prêter un peu! Ch'atore foir mon mari avec un autre homme! T'ailleurs che fais fous la préparer!!! Ok ? »

 

En souriant elle se penche vers son mari et le branle doucement en se plaçant de manière à ce que je la vois faire. Quel beau spectacle! Je vois la queue de Hans grandir de plus en plus. Tout en admirant je me rend compte qu'à aucun moment Birgitt n'a pensé que j'aurais pu refuser son offre.

 

Je me lève et m'approche d'eux. Birgitt tourne sa tête vers moi et me fait une pipe. Elle suce admirablement bien Hans bande très fort maintenant, je suis favorablement impressionné. Birgitt arrête de me sucer la queue, passe derrière moi et je sens une langue fureteuse se glisser entre mes fesses. Je cambre mes reins et me penche un peu pour qu'elle pousse plus loin son exploration. Mais cette position met le mat de cocagne de Hans à hauteur de ma bouche. Et j'en profite tout de suite pour joindre l'agréable à …..L’agréable. La bite emplit ma bouche. Je ne dois pas être si mauvais, car il gémit et chuchote des:

«  Ach! Ach! Ya !! »

 

De plus en allant faire le plein de boisson fraiche, Hans en a profiter pour pisser. Je m'en rends compte car de son gland perlent encore quelques gouttes et c'est loin d'être désagréable .Je le leur dis. La belle teutonne crie aussitôt :

« Ach! Tu aimes ça toi aussi? Alors on ferra tout à l'heure. Mais en attendant, si tu feux pien laisse-moi te préparer le cul ! »

 

Elle me fait alors un massage anal, très vite je sens une douce chaleur autour de mon petit trou, puis elle m'encule avec deux doigts. Je crois qu'elle adore ce qu'elle me fait si j'en juge par ses commentaires. Ils sont en allemand, je ne comprends pas mais le ton qu'elle y met me le laisse penser. Birgitt fait signe à son mari que « je suis prêt à l'emploi » !

 

Elle a raison, j'ai chaud à mon anus et je le sens frémir. Je prends appui sur les marches du camping-car et me tourne de manière à ce qu'elle puisse assister au spectacle.

 

La vicieuse teutonne confortablement installée joue avec son trésor. De ses mains elle écarte les lèvres et me demande de la regarder faire. Sa chatte est toute humide. Elle se caresse le clito, on dirait une petite bite. Hans, quant à lui, placé derrière moi, frotte sa grosse bite contre mon trou, ça me donne encore plus envie de me faire mettre. Et soudain d'un coup sec il fait entrer le gland puis s'arrête un instant, le temps que nous nous habituions l'un à l'autre et que la première douleur s'estompe. En fin il reprend sa poussée et entre lentement.

 

Très vite je n'en peux plus, je fais un léger mouvement de recul, Hans comprend et s'enfonce entièrement, je sens son ventre claquer contre mes fesses. Ses vingt-cinq centimètres vont et viennent en moi lentement et soudain il fait deux ou trois aller-retours violents puis reprend sa vitesse de croisière. Je mouille du cul, je me régale. Voilà longtemps que je n'avais pas été enculé comme cela. Parfois, Hans sort complètement de moi pour me pénétrer aussitôt rapidement, bien sûr je pousse un léger cri à chaque fois, mais c'est tellement bon.

 

On entend des gémissements en stéréo. Ce sont ceux de Birgitt font écho aux miens. Elle a les jambes écartées et levées et se masturbe avec ardeur en faisant entrer dans sa chatte sa main presque entièrement. Et soudain elle pousse un grand cri :

« Ach! Ya ! Ich come ! Ich come !! »

 

Cela semble servir de détonateur à Hans qui explose en moi. Il a une réserve impressionnante car je sens sa capote gonfler. Ses ardeurs ne semblent pas calmées pour autant, car il continue ses coups de reins pendant un bon moment encore.

 

J'apprécie ce petit jeu. Que voilà une formidablement belle façon d'être occupé par un allemand, non ? Pardonnez-moi cette vanne, elle me brulait la langue, il fallait que je vous la fasse partager.

 

Hans sort enfin de moi et retire sa capote, il la brandit devant les yeux de sa femme et les miens comme un trophée avant de la jeter à la poubelle puis il s'accroupit devant moi et me suce. J'ai mal tellement je bande. Sa pipe me fait un bien fou, je sens que je vais exploser. Birgitt s'en rend compte, arrête sa branlette, s'approche de moi, prend la place de son mari et me tète rapidement pour hâter mon éjaculation. En même temps elle pose sa main sur ma bouche pour me la faire lécher. Elle est pleine de sa mouille.

 

Je finis par jouir, Birgitt n'en perd pas une goutte. Puis elle roule une pelle à son mari pour lui faire partager mon sperme.

Hans a une sacrée santé. Il vient à peine de jouir et le voilà qui bande à nouveau. Est-ce le baiser au goût de sperme de sa femme qui l'aura excité? Qui sait ? Birgitt apparemment pas repue lui redonne un peu de fermeté. Après qu'il se soit couché sur le sol, elle s'empale d'un seul coup. On sent qu'elle a une grande habitude à en juger par la facilité avec laquelle elle introduit en elle la queue de son homme. Une fois bien installée sur lui elle engage une chevauchée fantastique quasiment wagnérienne. Une vraie walkyrie cette Birgitt, même qu'elle entonne une sorte de chant un peu discordant d'une voix rauque.

 

Le jeu de mes deux amis dure un bon moment. Le spectacle me plait. Hans est sur le point de jouir aussi Birgitt se relève et me laisse sucer Hans qui finit par se lâcher sur ma langue. Birgitt s'empresse de m'embrasser pour partager le bon jus de son chéri. Puis nous affalons nos trois (belles ?) carcasses en sirotant, une fois n'est pas coutume, un verre d'alcool écossais où nagent des glaçons.

 

Soudain Birgitt se lève entre dans son camping-car et en sort presque aussitôt, avec un grand saladier vide et transparent. Elle l'installe sur le sol face à nous elle s'installe au dessus, s'accroupit et avec un sourire dont l'angélisme est démenti par l'éclat de ses yeux elle se met à pisser dans le saladier. Puis elle se redresse sous nos applaudissements.

 

La belle saisit nos verres qu'elle emplit de son ''champagne intime'' et nous les tend. Nous trinquons et buvons. En confidence je ne sais pas qu'elle est son régime mais nom d'Eros de nom d'Eros, la cuvée Birgitt 2003 est très bonne.

 

Tout le reste de mon séjour se passa ainsi dans la joie du sexe. Et je suis resté étonné de la capacité d'absorption de Birgitt.

Son mari et moi l'avons régulièrement pris en double sans qu'elle ne manifeste autre chose que de la joie et du plaisir. Elle contrôlait à merveille son muscle vaginal, ainsi elle procurait un plaisir intense au sexe qui la pénétrait.

 

Merci à Birgitt et Hans d'avoir si joliment troublé mon désir de solitude.

 

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Récits Erotiques X
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