Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Mercredi, je me suis rendue dans une célèbre enseigne acheter un canapé, un clic-clac. Ici, ils ne livrent pas. Il faut s’adresser à l’un des multiples petits livreurs qui attendent devant l’enlèvement des marchandises. On les accoste, on leur demande le prix de la livraison.
Ce que je fis pour mon canapé. Je me suis ainsi permis de choisir celui que je trouvais le mieux physiquement. Rendez-vous fut pris pour le lendemain à dix-huit heures chez moi.
A l’heure pile, il arrive. C’est plutôt rare ici ! Comme à mon habitude dans la maison, je suis uniquement vêtue d’un paréo, avec rien en-dessous. Il fait trop chaud pour porter des vêtements quand on est chez soi…
Je le noue au-dessus des seins. Mais avec l’alizé, il vole souvent quand je suis dehors…
Je tire le portail, le laisse manœuvrer. Je sais bien que mon léger vêtement vole et s’ouvre un peu. Je fais comme si de rien n’était, mais j’ai vu son regard pétillant…
Je l’aidais à descendre le meuble, et à le positionner. Tout en travaillant, il me demanda :
« Vous êtes seule ici ? Où est votre mari ?
— Je n’ai pas de mari, mais je vis avec mes enfants. Ils sont chez des copains. »
— Ah bon ? Alors, vous êtes seule... Ce n’est pas très prudent, avec un homme comme moi…
— Que dois-je craindre ? dis-je en riant.
— Quand je vois une belle blanche comme vous, j’ai des envies qui me passent par la tête… »
Coupant court à la conversation, je lui proposais une boisson. C’est la coutume ici, vu la chaleur ambiante. Il accepta un jus de mangue.
« Il faut bien essayer le canapé, me dit-il en riant.
— Bien sur, alors asseyez-vous. »
Ce qu’il fit. Il commença alors à me raconter des anecdotes de boulot. Dans le flot de paroles, il se mit à me tutoyer.
« Oups, pardon je t’ai dit « tu »…
— Ce n’est pas grave, c’est l’habitude ici ! »
La conversation reprit, et je riais franchement à ses histoires de livraison délirantes. Je m’amusais à cambrer mes reins pour faire saillir ma poitrine, je croisais et décroisais les jambes, mon paréo avait déjà glissé très haut sur mes cuisses, mais je faisais comme si je n’avais rien remarqué, lui offrant ainsi de quoi exciter largement sa libido.
Le livreur me déshabillait maintenant littéralement du regard, je sentais monter en moi des envies folles. Mais je voulais être sure que je ne me trompais pas de la réciprocité.
Je me suis levée pour aller chercher un autre verre.
En revenant, je restais debout devant lui, faisant semblant de m’apercevoir seulement maintenant que mon paréo était largement ouvert depuis son arrivée, et ne cachait pas grand-chose de mon corps nu et bronzé. Prenant le parti d’en rire, je lui dis :
« La curiosité est un vilain défaut !
— Peut-être, mais ce que j’ai pu voir est sans défaut, et pas vilain du tout. Donc ce n’est pas de la curiosité mais bien de l’admiration, répondit-il. C’est vrai que je suis curieux pourtant et j’aimerais bien savoir si ce joli paréo est ton seul vêtement !
— Non seulement tu es curieux, mais tu devrais avoir honte de parler ainsi à une cliente, répondis-je en riant.
— De toute façon, je n’aurais rien fait de mal : admirer une belle femme comme toi est plutôt flatteur. »
Plaisantant toujours, mais sentant grandir en moi une folle excitation, je m’enhardis et, cette fois provocante j’ajoutai :
« Si tu veux tout savoir, je bronzais dans la piscine quand tu es arrivé et j’ai juste pris le temps de remettre ce morceau de tissu. Tu es satisfait, ou tu veux peut-être le constater toi-même ? »
La réponse ne se fit pas attendre. Un immense sourire éclatant barra son visage sombre aux yeux de braise :
« C’est vrai, je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois et, en plus, j’ai du mal à croire que tu bronzes totalement nue ! »
C’en était trop, je sentis tout mon corps frémir : mes seins, mes cuisses, mon ventre réclamaient désormais les caresses. Je fis un pas en avant. Debout devant lui, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées, les reins cambrés, le regard plongé dans le sien, je le provoquai cette fois ouvertement :
« Chiche ! Maintenant que tu peux, tu n’as qu’à vérifier. J’ai rarement eu l’habitude de me dégonfler ! »
Immobile, je frissonnai quand les mains sombres se posèrent sur mes mollets. Lentement, elles remontèrent vers mes genoux, caressantes, énervantes, avant de se glisser sur mes cuisses, dépassant le bord du paréo, contournant mes jambes pour atteindre mes hanches libres sous le fin tissu.
« Alors ? Satisfait ? » dis-je en frissonnant.
Il ne répondit pas, ses mains encore sur mes hanches reprirent leur mouvement, glissèrent sur mes fesses rondes et cambrées. Puis, doucement, une main au bas de mes reins, il glissa l’autre sur mon ventre, à la limite de ma toison. J’ai frémi à nouveau :
« Tu pousses la curiosité un peu loin, tu ne trouves pas ? » demandai-je sans pour autant l’empêcher de poursuivre son petit jeu.
Le contact de ses mains chaudes sur ma peau commençait à m’exciter sérieusement. Il passa une langue gourmande sur ses lèvres :
« J’ai très envie de manger une femme blanche », plaisanta-t-il en éclatant de rire.
Sans perdre un instant, sa main s’insinuait cette fois au bas de mon ventre, et son doigt agile venait caresser mon petit bourgeon déjà follement excité.
Gémissante à ce contact délicieux, je m’ouvris doucement pour m’offrir à la caresse que tout mon corps réclamait maintenant. Il m’attira vers lui, toujours assis, son visage se trouvait juste à hauteur de mon ventre qu’il fouillait lentement. Il abandonna un instant sa caresse, dénoua mon paréo qui tomba à mes pieds. Il avait maintenant sous les yeux mon corps totalement nu. Il approcha son visage, les deux mains sur mes fesses rondes. J’ai laissé échapper un petit cri lorsque sa langue souple vint se glisser dans ma grotte en feu.
Je me mis à onduler sous la morsure et, posant les mains sur ses épaules, j’ai levé une jambe, le pied sur le fauteuil pour lui offrir cette fois sans retenue mes chairs ruisselantes. De longues minutes, il me dévora, aspirant goulûment mon clito gonflé de désir, pétrissant des deux mains mes seins lourds, aux pointes durcies et sensibles. Je me suis tordue sous ses caresses, les yeux fermés en gémissant des mots sans suite. Brutalement, j’ai senti le plaisir m’envahir comme une grande vague remontant de mon ventre. J’ai joui en criant, les mains crispées sur ses épaules. Il m’a soutenue lorsque je suis tombée contre son torse, continuant de caresser mon dos, mes reins avec beaucoup de douceur jusqu’à ce que je reprenne mes esprits.
Le contact de son torse contre mes seins, ses mains douces sur ma peau, son parfum vanillé et l’espèce de barre sur laquelle mon ventre était appuyé au travers de son pantalon réveillèrent rapidement le feu qui brûlait en moi. Au point que, dans un nouvel accès de folie, j’ai pris l’initiative du jeu.
« Tu sais, moi aussi je suis curieuse, et j’aimerais bien savoir ce que tu caches là ! » dis-je en fixant la bosse qui gonflait son jean.
Sans attendre sa réponse, je me suis laissée glisser à genoux entre ses jambes. Il n’a pas hésité ! Dégrafant son pantalon, il en fit jaillir un sexe épais, tendu de désir, d’un noir profond. Il était exactement comme j’aime : pas très long, mais bien épais... Un pur délice pour moi….
J’ai effleuré le large pieu, avant de refermer la main sur l’épais mandrin que je sentais vibrer entre mes doigts. Tirant doucement sur la peau, j’ai dégagé un gland rond et luisant de son excitation. Je l’ai à nouveau regardé dans les yeux, ma main coulissant sur sa queue.
« J’ai le droit d’y goûter ? » ai-je demandé.
Puis, sans attendre sa réponse, je me suis penchée vers lui. Il était gros, mais lentement, je suis arrivée à aspirer son gland et un bout de sa tige. Les joues déformées par ma caresse, à genoux devant lui, nue, les reins cambrés et mes seins qui se balançaient doucement au rythme de mes mouvements sur la splendide sucette de chocolat, je devais offrir un spectacle particulièrement excitant.
J’approfondis ma caresse en branlant la hampe de ma main libre. Ma victime saisit mes seins, en caressa les pointes, pétrissant doucement les globes frémissants. Je le sentis se raidir, sa queue semblait encore grossir…
J’ai sursauté, surprise, lorsque ses deux mains chaudes et fermes se sont posées sur mes hanches ! Je me suis cambrée un peu plus. Il m’a fait me redresser, puis allonger sur le clic-clac tout neuf.
Il écarta alors lentement mes fesses, puis sa langue a commencé à glisser tout au long de ma raie, avant de s’insinuer dans mon sexe brûlant, titillant mon clito. Cette fois, j’avais trop envie de me sentir prise, possédée, défoncée. Je me suis mise à onduler des hanches, m’offrant encore plus à sa bouche experte. Il se redressa, son gros mandrin protégé de latex, vint se frotter contre ma vulve bouillante, avant de s’enfoncer lentement, profondément dans mon ventre en folie. Je me suis sentie distendue, écartelée centimètre après centimètre par cette possession. Enfin son gland buta au fond de mon vagin, et il s’immobilisa, m’emplissant totalement.
J’étais comblée, pleine de cette chair dure et souple à la fois, que je sentais vibrer doucement en moi. Toujours sans bouger, il maintenait mes hanches contre son ventre. Pourtant à cet instant j’ai cru suffoquer. Au fond de mon vagin, le sexe épais, immobile, était en train de grossir encore ! Je sentais palpiter et gonfler son gland légèrement rugueux, vivant comme un animal horrible qui se serait débattu au fond de moi. Il n’en finissait pas de m’investir, distendant mon sexe, écartant encore mes chairs, à la limite de la douleur… et de l’extase ! J’ai cru m’évanouir de plaisir dans un orgasme fou.
Je me suis mise à hurler brusquement quand il a explosé en moi. De longs jets brûlants si forts que je les aies sentis à travers le capuchon. Il était d’une violence démentielle et ne semblait pas vouloir s’arrêter de le remplir de sa semence, alors qu’il restait parfaitement immobile.
À demi inconsciente, j’ai senti son pieu se retirer lentement, mais ses mains serraient toujours mes hanches, me maintenant dans cette position affolante. Ouvrant les yeux, je vis que le livreur n’avait pas débandé le moins du monde ! Il retirait calmement la capote pleine de son foutre, et la plia avant d’en ouvrir un autre. En silence, me fixant dans les yeux, il l’enduit de lubrifiant, et se remit derrière moi…
Les reins toujours offerts, j’ai à nouveau crié quand son sexe dur s’enfonça en moi, dans mon abricot déjà bien dévasté. Puis il se retira pour venir forcer mes reins, lentement, puissamment. La douleur s’est très vite transformée en une sensation folle. J’ai recommencé à me tordre sous ses poussées, tandis que les mains de l’homme prenaient une nouvelle fois possession de mes seins, douloureux à force de plaisir.
Pilonnée au plus profond de mes reins, ainsi embrochée, je me suis abandonnée en offrant une nouvelle fois mon corps à tous ces plaisirs,
Je jouis une nouvelle fois, quand il martyrisait mon petit bouton qui en redemandait pourtant encore.
Nous sommes retombés, repus sur le clic-clac, qui n’en demandait pas tant… Il avait reçu un sacré baptême du feu, et ce ne serait sans doute pas le denier.
Il dut me laisser, pour retourner à ses autres clients… Je sais que je ne le reverrais pas. Je ne revois jamais ces amants d’un jour.
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