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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Partie 3

 

Le mois de juillet tirait vers sa fin, et Nathalie rentrait de Paris vers le Havre. Elle avait fait les soldes avec son amie Donatienne.

A partir de Rouen, les wagons étaient plus clairsemés. Elle avait Donatienne en face d'elle, un homme d'une cinquantaine d'année à ses côtés.

La discussion s'était tarie et les deux jeunes filles regardaient le paysage défiler. Les deux repères de Nathalie étaient dépassés. A gauche le golf du Vaudreuil, puis à droite celui de Léry Pose. Puis l'arrêt à Rouen, et la derrière ligne droite vers le Havre.

Nathalie se mit à penser à la semaine dernière, à ce qui était arrivé avec Articho. Elle n'avait pas pu contenir cette vague de désir, cette déferlante qui l'avait poussée à avoir cette relation contre nature. Elle avait pris la décision de ne plus jamais recommencer. Combat au jour le jour pour repousser ces pensées envahissantes.

Alors que le train traversait une zone boisée, elle vit le détour de petits chemins isolés. Combien d'amoureux s'y sont cachés pour faire l'amour ? Son esprit divaguait mais la ramenait vers Articho. Et comme à un aimant auquel on ne résiste pas, elle s'abandonna à ses fantasmes. Elle s'imaginait amenant son chien en forêt pour qu'il la monte. Elle serait à 4 pattes, vulnérable, dans la nature et à la merci de n'importe quel passant...

Alors qu'elle s'imaginant marchant et marchant encore dans la forêt pour trouver l'endroit idéal, Nathalie sentait déjà son ventre se nouer et se réchauffer. Elle rougissait en pensant qu'elle mouillait déjà, pour de simples pensées, mais quelles pensées !

L'envie de sexe la dévorait. Elle serra les jambes, comprima son minou pour mieux l'étouffer. Mais rien n'y fit. Elle se sentait le feu se répandre dans ses entrailles. Elle posa sa main entre ses cuisses, puis resserra. Le plaisir était intense. Elle serrait, desserrait, comprimait, relâchait. Elle était rouge pivoine, mais elle pensait être parfaitement discrète...

Peut-être s'était elle déconnectée un peu de son environnement immédiat ! Desserrant ses cuisses une nouvelle fois, elle laissa échapper un très léger soupir qui, cette fois, n'avait pas échappé à Donatienne.
Donatienne, bien qu'étant très certainement encore vierge, était la plus délurée de ses amies. Elle pouvait se montrer assez imagée dans son langage, et se livrait assez facilement à des confidences.
« Préviens-moi quand tu jouis ! » lui lança-t-elle d'un air effronté, le sourire en coin.

Effroi chez Nathalie qui ne savait plus où se mettre. N'osant même plus parler, elle fronça les sourcilles d'un air aussi réprobateur que faussement ingénu et interrogateur.
Il n'en fallait pas plus pour que l'homme assis à côté relève brusquement son nez de son journal. Coup d'œil furtif vers les deux jeunes filles, puis replonge dans sa lecture. Nathalie était blême et honteuse. Qu'est-ce que Donatienne devait penser d'elle ?

Franchement refroidie, Nathalie regardait les kilomètres défiler lorsque soudainement, elle sentit la main droite de l'homme se poser sur sa cuisse. Elle serra ses cuisses mais restait comme aphone et tétanisée. La main était immobile et lourde.

Les secondes paraissaient des éternités, et devant l'absence de réaction hostile de la jeune bachelière, la main se déplaça vers l'intérieur des cuisses et son poignet reposait sur son mont de vénus. Nathalie était paniquée, et là Donatienne ne se doutait absolument pas de ce qui se passait. L'homme paraissait impassible et absorbé par la lecture.

Ses doigts progressèrent encore très légèrement vers l'intérieur de ses cuisses, et Nathalie commençait à trembler de tout son corps. Elle sentait une boule d'angoisse et de désir se former en elle. Elle sentait sa cyprine perler à nouveau dans son vagin déjà humide.

N'en pouvant, plus elle desserra légèrement ses cuisses, ce que la main ressentit instantanément. Elle descendit immédiatement à l'intérieur, vers ses genoux, là où sa robe s'arrêtait. Puis remonta le textile pour faciliter l'accès à la petite culotte en coton de Nathalie.
Son poignet à nouveau posé sur le mont de Vénus, les doigts se crispèrent sur la vulve de Nathalie lui provoquant une décharge de cent mille volts !

L'homme de cinquante ans caressait fermement cette culotte désormais bien humide, de façon suffisamment experte pour que Nathalie ne tiennent plus sur son fauteuil.

Le souffle saccadé et bruyant, rouge pivoine, Nathalie alerta Donatienne d'un coup de pied, qui comprit sur le champ ce qui se passait. Elle lui adressa un sourire un peu contrarié et étonné. Mais elle aussi resta impassible.

Le petit jeu n'avait pas échappé à l'homme qui s'enhardissant, était passé de l'autre côté de la culotte et faisait évoluer ses doigts dans le nectar soyeux de Nathalie. Ses doigts montaient et descendaient le long de ses lèvres, décrivaient des cercles sur le clitoris, s'enfonçaient dans le jeune vagin, puis chargés de ce jus venait en humidifier le petit bouton.

Nathalie étouffa son orgasme en se mordant les lèvres, puis se relâcha. Donatienne n'avait rien perdu du spectacle.
L'homme, sa besogne accomplie, tapota gentiment sur son minou puis se retira. L'air de rien, il replongea dans le journal, regarda sa montre, puis se leva et quitta le wagon pour un autre.

Les deux filles restèrent quelques instants sans se parler.
« Qu'est-ce qu'il t'a pris ? dit finalement Donatienne. Tu te caresses, puis tu te laisses tripoter par un vieux, mais tu as le feu au cul ou quoi ? »

Nathalie ne savait plus trop quoi dire. Elle balbutia qu'elle n'avait pas pu s'empêcher, que c'était inexplicable. Elle s'empressa d'ajouter que c'était évidemment la première fois que cela arrivait.
« Tu m'as fait sacrément mouiller, dis donc ! lui sourit alors Donatienne.

- T'es folle, toi, tu sais, j'ai pas eu de mec encore, mais je partage quand même mon prénom avec le marquis de Sade ! »

Ces paroles réconfortèrent Nathalie, qui lui confia que c'était la première fois qu'un garçon, enfin qu'un homme la faisait jouir. Qu'elle n'avait eu d'orgasme qu'en se caressant... de temps en temps.
Donatienne lui fit un sourire entendu.

Le train arrivait en gare du Havre et elles en restèrent là dans leurs confidences.

 

 

Partie 4

 

Depuis quelques semaines, Nathalie n'était plus sûre de rien.

D'une part elle pensait toujours intensément à Articho, de l'autre son expérience dans le train montait en puissance en elle et commençait à l'obséder.

Alors animal ou homme ? Une chose était sure : sa libido était débordante, dévorante. C'est simple, Nathalie avait l'impression de toujours mouiller. Elle n'était plus cette jeune fille bcbg, elle qui n'avait plus que le sexe en tête.

Nathalie se décida à mener une expédition dans cette forêt qu'elle avait repérée depuis le train. Un dimanche soir d'octobre, elle fit monter Articho dans sa voiture et prit avec elle des chaussettes pour les pattes du chien, et une couverture.

Le ciel qui était couvert lorsqu'elle partit, se mua en une légère pluie. Lorsque Nathalie sortit de la voiture, elle constata que le terrain était humide, voire franchement boueux en certains points. En outre, elle ne savait pas trop où aller dans la forêt.

L'endroit semblait désert, et la luminosité déclinait rapidement. Peut-être lui restait-il tout au plus une heure de jour avant la pénombre. Après quelques hésitations, Nathalie se lança et emmena le chien avec elle. Elle marcha une dizaine de minutes puis quitta le sentier.

A l'amorce d'une légère descente, la végétation se fit plus sombre avec davantage de résineux. L'odeur d'humus se mêlait à un parfum de résine. Lorsqu'elle arriva à une souche retournée, elle décida que ce serait là qu'elle laisserait Articho la prendre.
Nathalie constata qu'elle avait oublié la couverture à la voiture. Qu'importe. Après un coup d'œil circulaire pour s'assurer de sa tranquillité elle décida de se dénuder totalement. La pluie se faisait plus forte, et le fond de l'air était frais.

Nue, elle enfila les chaussettes sur les pattes avant du chien pour ne pas qu'il la griffe. Mais Nathalie, toute à la préparation de la scène, n'était pas vraiment excitée. Son joli minou blond ne secrétait guère de nectar et elle se demandait comment Articho allait se comporter ? Nathalie mit ses mains à terre, puis ses genoux et présenta son sexe au chien. Celui-ci ne manifesta pas le même intérêt que la fois précédente.

 

Toujours à quatre pattes, Nathalie flatta donc son chien, caressa son fourreau et l'attira à elle. Le temps passait et le jour déclinait quand le chien daigna donner quelques coups de langue. Nathalie commençait à mouiller, elle était enfin excitée et le chien le ressentait. Sa langue se faisait plus lourde et incisive sur son clito... aussitôt Nathalie sentait son ventre se nouer de désir et lâchait quelques gémissements, mais aussitôt Articho s'éloignait pour aller lécher son dos ou ses seins. La tension retombait, et le chien revenait. Il la montait, la pénétrait à peine, ressortait, léchait, etc. Ce manège rendait folle Nathalie qui de plus en plus était au bord de l'orgasme, et à chaque fois plus frustrée de le voir s'éloigner à nouveau.

Au comble de la crispation, elle saisit à pleine main, feuilles morts, terre, boue et s'en pétrissait les seins et le minou. C'était une sorte de communion païenne avec la terre, la nature, le chien.

Articho s'arrima enfin solidement à ses hanches, elle le guida vers sa fente et prit sa bite dans toute sa longueur. Subitement Nathalie se trouva emplie comme jamais elle ne l'avait jamais été. Sous le poids d'Articho, ses bras plièrent et elle se retrouva face contre terre, avec le chien qui désormais pompait furieusement. Les jappements du chien s'entremêlaient avec ses gémissements à elle, et elle sentit alors le nœud se former en elle, à l'intérieur d'elle. Elle avait ça qui écartait ses parois vaginales, la dilatait... le chien pulsait le sperme en elle.

Un bruit lui fit aussitôt relever la tête et dégriser : un homme se tenait devant elle. La soixantaine passée, pas grand, en barbour. Il la regardait avec stupéfaction lorsqu'il hésita puis sortait son sexe. Nathalie imaginait déjà le pire, le viol, le viol qu'elle garderait pour elle car comment raconter la scène à la police?

Elle vit son sexe court, épais, le gland violacé et gluant, visqueux de pré-sperme. Il se masturba silencieusement devant elle qui était nouée au chien. Et soudain il éjacula abondamment, sur le tas de feuilles mortes à ses pieds. Se remettant de son orgasme, confus, il s'excusa puis partit à travers les bois. Dans le même temps, Articho se retira. Nathalie n'avait pas jouit et la tension était à son comble en elle.

Elle resta interdite quelque secondes, puis à quatre pattes se précipita vers la semence humaine déposée sur ces feuilles. Elle observa qu'elle était presque jaunâtre et grumeleuse. Elle saisit à pleine mains ce foutre pour s'en masturber frénétiquement le clitoris. Remuant comme une salamandre clouée sur planche, elle cherchait désespérément l'orgasme. Il ne vint qu'au bout de longues minutes.

Nathalie se retrouva là, dans la nuit, au beau milieu de la forêt et maculée de boue, d'humus, et de spermes mêlés humain et animal. Elle poussa un long soupir en pensant à ce qui venait de se passer. Clairement non satisfaite, frustrée, elle comprit qu'il lui faudrait beaucoup plus à l'avenir.

 

Fin provisoire...

 

Pseudo : tres_curieux

Mail : vidadelavida@gmail.com

 

Par Très curieux - Publié dans : Zoophilie - Communauté : Zoo en fête
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