Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
AVERTISSEMENT
Attention ! Ce texte est réellement violent et peut choquer certaines personnes. Il comporte des scènes de sexe non consenti et humiliant, ainsi que des scènes zoo.
Son contenu n’engage que son auteur.
Malgré la beauté du site, la jeune femme se sent inquiète d'être ainsi recluse dans cet univers caussenard, perdu au milieu de nulle part. La route la plus proche est à plusieurs kilomètres d’un étroit chemin qui serpente dans la végétation méridionale. Le village est lointain. Le voisin immédiat gîte à une demi-heure de voiture. Mais la magnificence du site incite au repos.
Lors de son arrivée tardive en compagnie de son nouvel ami, ils n’ont d’autre choix que de se laisser aller à un sommeil réparateur dans l’immense chambre blanchie à la chaux. Elle est située au premier étage de cette ferme typique, à peine entrevue la veille dans le faisceau des phares de la voiture. La chaleur est telle qu’ils s’endorment difficilement après s’être totalement dénudés.
A son réveil, la lumière est intense à travers les volets à claire-voie. Elle est seule dans la chambre blanche. Elle tarde à se lever tout au plaisir sensuel de la fraîcheur matinale. Quand enfin elle se décide, elle s’étonne de ne plus trouver ni valise ni vêtement. Elle quitte la pièce et descend l’escalier à vis jusqu’à l’immense salle de séjour, vaguement gênée par sa nudité. Elle n’aime pas vraiment son corps massif et laiteux, aux seins lourds, son ventre légèrement arrondi. Seuls sa toison et ses cheveux blonds, ses yeux bleus et son visage poupin aux traits réguliers lui conviennent. Elle aime aussi ses fesses rebondies qui aimantent le regard des hommes.
La maison semble vide et la voiture a disparu de la cour. Elle s’imagine que son ami l’a empruntée pour faire quelques courses et suit l’odeur du café et du pain grillé jusqu’à la cuisine où elle se sustente. Le temps passe sans que la demeure ne bruisse de quelque occupant. Elle la visite et n’y trouve aucune trace de ses affaires à l’exception de sa trousse de toilette soigneusement rangée dans la salle de bains. Les armoires et certaines portes sont fermées au moyen de serrures de sécurité. L’inquiétude la gagne au point qu’elle frissonne dans la chaleur du matin. Elle sort et visite les abords sans trouver âme qui vive. Elle imagine mille yeux occupés à contempler l’indécence de son corps totalement dénudé.
Lorsque l’angoisse monte, elle s’engage sur le chemin d’accès dans l’espoir d’y trouver son ami. Ses pieds nus sont blessés par les pierres tranchantes qui le recouvrent, le soleil agresse sa peau nue et elle doit rapidement renoncer à son projet. Elle rentre et s’installe dans un profond divan où elle s’endort à demi en position fœtale. Il est à peu près midi lorsqu'elle est brutalement réveillée par le crissement d'un pas lourd sur le gravier de la cour. Son compagnon est de retour à pied, vêtu d'une étrange tenue paramilitaire, équipé d'un lourd sac à dos rempli de victuailles.
Il la regarde à peine et, lorsqu'elle fait mine de lui adresser la parole, il se rue dans la cuisine pour décharger son sac. Lorsqu'elle lui réclame ses vêtements, il lui assène une claque magistrale qui la fait trébucher et lui intime l'ordre de préparer le repas. Alors qu'elle fait mine de résister, il la plaque brutalement sur la table de la cuisine, baisse son pantalon et la sodomise sans ménagement. Elle grimace et hurle de douleur. Il la bâillonne de sa main et continue son ouvrage en appuyant de tout son poids le buste de sa compagne sur la table.
Dans un premier temps, le corps de celle-ci se révolte contre l'agression. Puis ses sensations changent, ses sens s'échauffement, son cul s’offre et tout son être se soumet au point que son bourreau allège son étreinte. Lorsqu'il place ses mains à l'entrejambe de sa victime et entame une caresse tonique sur son sexe, son ventre se contracte et ses fesses s'écartèlent. Elle jouit bruyamment. Il continue de la besogner jusqu'à libérer son foutre en elle.
Lorsqu'il sort de ses fesses, elle est au comble de la honte. Son étonnante jouissance, dont le masochisme s'explique difficilement, la met terriblement mal à l'aise. Elle n'ose regarder son agresseur et se précipite ainsi, nue et souillée, pour préparer le repas du midi. Au moment de passer à table, il lui lie les mains, la sert dans une assiette qu'il pose au sol comme pour un chien et l'oblige à manger ainsi, genoux à terre, le corps replié dans un équilibre instable. Son visage se souille des aliments qu'elle consomme, ses cheveux gluent de sauce.
Le repas terminé, il l'injurie, la traite de « souillon » et, malgré sa passivité, la bat à nouveau avant de lui imposer un débarbouillage un peu particulier dans la baignoire. En effet, au jet brutal de la douche succèdent mille caresses intrusives au cours desquels ses orifices sont brutalement pénétrés par les doigts et le sexe du garçon. Encore une fois, à la répulsion succède le plaisir et au plaisir la honte. À l'heure de la sieste, il lui lie ensemble mains et chevilles et s'endort du sommeil du juste. Elle somnole, à terre au pied du lit, la tête peuplée d'images cauchemardesques.
Les jours se suivent en apportant leur lot de violences et de honte des plaisirs coupables. Elle ne peut se vêtir et ne connaît de repos que lorsqu'il quitte la maison. À ces moments-là elle est trop fatiguée pour tenter de s'enfuir et s'effondre d'un sommeil tourmenté. Elle ne voit plus de solution à son esclavage. Plus les jours avancent, plus il s'enhardit.
Les tortures deviennent raffinées sans jamais laisser de traces et sont immédiatement suivies d'un de ces étonnants moments de plaisir intense. Désormais il filme leurs ébats dans le but de les vendre à des sites pornographiques. Du coup, son imagination n’a plus de limites et le corps de son amante est martyrisé à l’extrême. Sa gorge est envahie de son phallus, son sexe et son cul fistés en dilatation maximum, les sex-machines, les cordelettes et le bondage font leur apparition.
Et sans relâche elle alterne entre douleur et plaisir, puis s’effondre de honte. Plusieurs fois, en l’absence de son tourmenteur, elle s'éloigne pour fuir cet enfer mais la souffrance de ses pieds nus et l’absence de tout vêtement l'incitent au retour. Par la suite, elle se sentira terriblement coupable et n'osera même plus envisager de quitter la maison et encore moins d'en parler à quiconque. L'angoisse la tenaille et elle pense fréquemment à se donner la mort.
Après plusieurs semaines de ce traitement, il revient accompagné de deux autres nazillons de son acabit. Elle est offerte à eux et, fataliste, se soumet sans résistance. Ils vont toute une nuit abuser d'elle et la torturer sans lui laisser une seconde de repos. Elle va les servir à table totalement nue. Elle doit se tenir debout auprès d’eux pour qu’ils puissent envahir ses seins, son sexe et ses fesses de leurs mains. Ils ne s’en privent pas puis l’enchaînent et la promènent en laisse. Lorsqu’ils papotent autour d’un verre, elle doit se glisser sous la table et sucer leurs queues.
Ils vont la battre, la souiller, lui pénétrer violemment la bouche, se succéder dans son cul écarteler sa vulve, pincer violemment clitoris et tétons, la photographier dans mille positions humiliantes. Elle sera surprise par l'orgasme, le cul et le sexe envahi par leurs deux vits. Sous l'effet de la honte, son désespoir va grandissant. Son « ami » ne cesse de lui dire combien il est dégoûté par elle, combien il trouve son corps servile repoussant et ses moments de plaisir pervers.
Maintenant, lorsqu'il s'absente, il la laisse à la garde d'un impressionnant doberman qu’il vient d'acheter. Ce dernier participe aussi au jeu sexuel. Elle doit se laisser prendre par lui à quatre pattes et lui offrir son cul à lécher aussi souvent qu'il le désire. Dans les premiers temps, elle doit le provoquer en glissant sa croupe sous le ventre du chien.
Mais très vite les choses changent.
La bête est d'une telle énergie qu'elle arrive même à lui faire ressentir des orgasmes multiples. Tantôt elle prend sa vulve, et tantôt son anus. Souvent son désir monte alors qu'elle lui lèche une main, une jambe ou le visage. Progressivement sa langue évolue le long de son corps, écarte doucement ses cuisses et ses fesses jusqu'à pouvoir en respirer l’odeur, puis y pénétrer. Ce puissant organe envahit sans problème sa vulve qui se dilate pour l'accueillir.
Elle sait détremper son cul et en dilater le sphincter. Lorsque la jeune femme tente de le repousser, le chien émet des grognements menaçants et montre son imposante dentition. Immédiatement elle se met à sa hauteur et lui présente sa croupe.
Chaque fois que cela arrive en sa présence, son bourreau l'injurie et la bat, l'humilie en la traitant de « chienne immonde » et invite ses amis pour leur montrer la scène. Malheureusement, dans ce cas aussi, elle ressent un violent plaisir suivi d'une épouvantable honte. Il se refuse désormais à pénétrer autre chose que sa bouche. L'intensité de la souffrance ajoute encore à la dépression de la jeune femme au point qu'elle a envisagé de se jeter dans le puits.
Mais le chien manifeste de la reconnaissance à celle qu’il a soumise et devient progressivement le rival du jeune homme. Lorsqu'un jour ce dernier perd son sang-froid et s'acharne violemment sur elle, le chien, pour la défendre, lui saute à la gorge. Il lui broie violemment le cou dont les tissus éclatent dans une gerbe de sang.
Lorsqu’elle essaie de sauver la vie du jeune homme, le chien s’interpose en montrant ses crocs puissants. Elle hésite et essaie de l’amadouer en lui montrant sa soumission, ventre à terre. Rien n’y fait ! Il ne s'excite pas sur le cadavre mais en interdit l’accès. Bientôt, il exige de sa partenaire, à côté du corps sans vie, un témoignage de reconnaissance qui la laissera épuisée et souillée à l’extrême.
Il faut dire que sa gratitude pour l’avoir soustraite à son calvaire est sans bornes et que sa connaissance des besoins sexuels de la bête s'est considérablement affinée au gré du temps. Pendant des heures, il va lécher chaque centimètre carré de son corps soumis, aplati sur le sol, en insistant sur les recoins les plus intéressants.
A plusieurs reprises, il va posséder son cul et sa vulve qu’elle lui présente à quatre pattes, bras fléchis et fesses en l’air. A chaque fois qu’elle essaie de se relever, il la plaque au sol et glisse à nouveau sa truffe entre ses fesses. Il enduit son corps de son abondante salive. Sa langue s’insinue au-delà de petites lèvres et du sphincter anal. Malgré la proximité immédiate du cadavre, elle n’a plus peur et va d’orgasme en orgasme.
La belle et la bête ne se quitteront plus. Elle lui offrira pendant bien des années son corps nu, sans cesse prêt à tout, sans cesse disponible à ses moindres désirs. La honte l’a quittée et elle aime ces moments amoureux avec son complice poilu. La nuit, il se glisse jusqu’à sa couche et la réveille de sa langue en attendant qu’elle lui offre sa croupe. Lorsqu’elle dort profondément, il peut pénétrer ses orifices dix fois de sa langue. Parfois, elle jouit dans son sommeil. Souvent, elle prend la position et se soumet à son assaut.
Au jardin, il lui saute à la taille et la fait tomber à quatre pattes pour la prendre. Elle écarte les jambes pour régler la hauteur et se rendre plus accessible. Il peut ensuite la pénétrer pendant de longues minutes sans éjaculer trop tôt ni perdre l’équilibre. Quand ils quittent la maison, il n’accepte pas qu’elle revête un pantalon ni même une culotte. Lorsqu’elle a essayé, il a détruit le vêtement de ses crocs. Il veut pouvoir glisser sa truffe sous la robe, flairer son cul longuement et lécher sa peau nue en toute circonstance. En hiver, elle n’est couverte que d’un manteau de laine et d’épais bas qui lui montent à mi-cuisse. Son corps ne connaît point d’entrave et elle se sent aussi nue qu’en été.
A plus d’une occasion, il a soulevé de sa tête en public le vêtement de son amante et dévoilé ses fesses rebondies et son sexe blond, pour affirmer sa dominance sur elle. Les garçons du village se réjouissent de ces moments de grâce. Parfois, lorsqu’ils se déplacent en voiture, le chien mordille sa cuisse pour qu’elle s’arrête et se dénude. Il la pénètre au bord de la route ou du chemin et lèche soigneusement ses souillures avant qu’ils ne repartent. Un agriculteur voisin a même réussi à filmer la scène sur son portable et à la diffuser sur Internet. L’image est étonnante : l’énorme chien sombre y chevauche un corps laiteux orné de blond, tout en contraste. Mais les acteurs sont difficiles à reconnaître.
Les deux nouveaux amants couleront des jours heureux jusqu'au décès du chien. Elle redoublera d’ingéniosité, lors de son grand âge, pour continuer à satisfaire ses sens. Certains disent qu’ils l’ont vue s’aplatir sous lui et aider de sa main à la pénétration de sa vulve. Consciente de ne pouvoir réfréner les désirs de celui-ci, et paradoxalement heureuse de sa soumission à la bête, la jeune femme limitera les contacts avec les autres humains. Quant au cadavre du nazillon, nul ne sait ce qu’il en est advenu...
Signé : Emile
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