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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Pour Noël, L’Amoureux me fait un très beau cadeau : un superbe récit où il me met en scène, dans mon milieu habituel, en faisant un « mix » de certaines de ses meilleures histoires.

Mille mercis à lui, et ce cadeau magique que je n’attendais pas du tout !

 

Il est quatorze heures quarante-cinq quand l'avion se pose sur la piste de l'aéroport  de Cayenne-Rochambeau. Je sors de l’aéroport, surpris par la chaleur moite qui règne ici. Le soleil brille, et ca me change de la neige que j’avais à Orly, il y a quelques heures.

Je comprends tout à coup comment ce climat incite à la langueur et aux plaisirs de la chair…

 

Trois-quarts d'heure plus tard, un taxi me dépose à l'hôtel Amazonia, sur l'avenue du Général De Gaulle.

Une fois installé, je fais un petit tour dans les quartiers proches de l'hôtel, et tombe sur une rue dont le nom me fait sourire. La « rue Madame Payée »*, mais bon, pourquoi pas.

Après un repas léger, je prends une bonne douche, et me prépare. Costume léger de lin noir, chemise blanche immaculée, cravate bleu de France, en l’honneur de mon aristocratique hôtesse, et rose rouge à la boutonnière. Je me regarde dans la glace, et finalement, je me trouve pas si mal que çà.

 

Une demi-heure plus tard, une limousine blanche me dépose devant une vaste demeure créole, à la façade ornée de persiennes en bois blanc.

Un jeune créole m'ouvre la portière, et m'accompagne jusque sur le perron. Là, deux autres blacks, assez bien taillés, m'ouvrent les lourdes portes de ce qui ressemble à un palais exotique.

Je me trouve au milieu d'une pièce aux décors paradisiaques. Un léger brouillard blanc plane dans cet antre magique. Personne ne me voit.

Au fond, une longue table couverte de pétales et de fleurs fraiches, de plateaux de fruits, et des boissons.

Derrière, deux jeunes noirs habillés de sombre, encadrent une femme vêtue d'une robe blanche. Elle est majestueuse en maitresse de cérémonie. C'est Sophie, marquise de R.

Elle me regarde comme si elle avait deviné ma présence. Je lance un regard circulaire, et découvre un spectacle hallucinant.

 

Dans un angle de la pièce, je reconnais Carole et ses deux dobermans, Duc et Lucy. Elle fait glisser les bretelles de sa robe turquoise, et apparait dans toute sa nudité. Elle s'allonge entre les deux chiens, qui aussitôt s'occupent de leur maitresse. Carole saisit Lucy par le cou, et l'embrasse fougueusement, tandis que Duc se place entre ses jambes. Son sexe est sorti du fourreau de poils, prêt à l'emploi. Le chien s'accroupit sur ses pattes de derrières, et l'a pénètre. La tête de Carole part en arrière, tout en restant prise par la langue de Lucy. Elle se cambre sur la plante des pieds pour mieux recevoir l'offrande de Duc. Elle sent le knott cogner contre sa chatte d'ou s'échappe la cyprine. Elle ouvre grand les yeux, et hurle de plaisir.

 

Juste à côté, Georges, le mari soumis, est enfilé sur la grosse bite de Kader, qui est assis sur une table basse.

Il joue avec les testicules de Georges, fait coulisser le prépuce pour décalotté le gland, caresse le frein humide, pour arracher des cris de plaisir à son vide couille. Valérie, sa jeune épouse, et debout devant lui, jupe retroussée autour de la taille. Elle se fait bouffer la chatte pleine de mouille. Elle accompagne les coups de langues en ondulant

du bassin. Georges, lui, implore de bien lui décalotter le nœud, et de le branler, même si Kader lui presse un peu les couilles, pour bien lui montrer qu'il reste le mâle dominant. Après l'avoir fait râler, il décide de l'achever. Georges envoie sa semence sur le ventre de Valérie.

 

A proximité du trio pervers, se trouve la belle Sandra. Elle est installé a quatre pattes sur un épais tapis, en train de se faire en levrette par le nain qui l'avait doigtée un certain soir de quatorze juillet. Sandra est juste à sa portée, et d'après les râles qu’elle pousse, le vois bien que malgré la taille de l'homme, tout ne doit pas être petit. Les mains accrochées aux hanches de sa partenaire, il lui donne de violent coups de reins, arrachant des cris de plaisir à la jeune femme.

« Sale mec ! Tu aimes me faire gueuler… s'il te plait, jouis dans ma bouche…je t'en prie…

- Mais sers-toi, petite put, tiens, avale !! Ouais… la salope ! Han..han... »

 

A ma droite, c'est la grande cavalcade. Lorie est aux prisse avec les quatre gaillards des vestiaires. Sa chatte, toute baveuse, est emmanchée sur l'énorme bite de Mamadou, tandis qu'Issa l'encule copieusement, ce qui ne l'empêche pas de tailler une pipe aux deux autres comparses, Brice et Alphonse. Lorie est dans son élément. Elle sait qu'elle va finir le corps et les entrailles couverts de sperme. Je vois très nettement les bites entièrement décalottées, déformer les joues de la femme du président, ses reins se cambrer sous les coups de queues des joueurs de foot. C'est dans un orgasme terrible qu'elle rejette les deux membres de sa bouche. Elle prend de plein fouet le liquide chaud sur son visage. Elle en veut encore.

« Que c'est bon de tenir de belles paires de boules, gémit Sandra. Allez-y enfoirés… Ouvrez moi la chatte, le cul, la bouche… Amusez-vous, videz vos grosses couilles !! »

 

De temps à autres, quelques participants vont se désaltérer au buffet. Ils sont reçus gracieusement par Sophie de R.

 

Dans l'autre angle, j'aperçois Aurore, complètement nue, à demi couchée, se tordre, s'agiter sur les genoux de Douéna. Elle fait rouler le bout de ses seins entre ses doigts. Ils ont doublés de volume. Pendant ce temps, Douéna s'occupe de l'entre jambe.

« Tu aimes ce que je fais à ta petite chatte, sourit la roumaine, tu sens comme elle est toute mouillée. Et ce que je fais à ton clitoris avec mon ongle, c'est pas bon… Hein ?

- Oh oui, gémit Aurore. C'est bon tu sais… Cà fait si longtemps qu'on ne m'a pas caressée comme çà ! La dernière fois, c’est mon tonton Michel !

- Ah bon, le vilain... Si tu es sage, regarde qui va bien te nettoyer après… »

 

Aurore penche la tête, attirée par les gémissements de Florence, la jeune inspectrice, en train de se faire prendre par le labrador.

«  Comme tu me niques, salaud, soupire-t-elle. Tu sais que j'aime çà, hein ? Vas-y, c'est bon de niquer une pute de flic ! »

 

A côté de ce petit groupe, se trouve Serge, assis sur les genoux de Bastien, le prof de tennis, bien encré sur son membre. Les deux hommes sont face à face. Serge a passé ses bras autour du cou de son baiseur.

« C'est quoi que je sens contre mon ventre, demande le prof.

-C'est ma petite queue toute décalotté prise entre tes poils, gémit Serge. Elle va bientôt cracher !!! Ha... ha… Que c'est bon de sentir une  grosse bite dans le cul ! Je comprends que ma femme se régale autant !

- Han... Oh mon bébé ! Tu vas sentir comme je vais te mettre la dose... Ha… Tiens... »

 

A leurs pieds, Marie se fait prendre par un jeune créole à la bite phénoménale. Devant, un copain de son mari se fait tailler une pipe.

« Oui, oui...soupire-t-elle. Dire que des queues comme çà existent, et qu’il a fallu que je tombe sur un fifre à deux balles !!! »

 

A même le sol, Laura est empalée sur l'énorme queue de Doumé. Elle se penche sur lui, et lui dévore la bouche. Moussa, placé derrière, avance son membre tendu, et lui pénètre le petit trou. Elle sent les énormes couilles prêtent à se vider dans ses deux orifices entièrement offerts. Les souvenirs de la soirée au "Bar Live" resurgissent.

« Bande d'enfoirés, crie-t-elle. Regarde chéri comme je me le fais mettre... Oh putain... Cà, ce sont des mâles… Des vrais !!

- Ma chérie, ose Fabrice, tu veux que je leur demande d'arrêter ?

- Surtout pas ! Pour une fois que j'ai deux bons calibres que pour moi... Oh bon sang, je sens ma petite chatte qui va cracher… quelle polissonne ! Et toi, vilain clito... Tu es tout décalotté salaud... Tu essaies de t'enfuir, hein ? »

Fabrice, à genoux, admire sa jeune épouse en train de jouir. Les cris de plaisir s'intensifient, j'ai presque envie de mettre ma main devant sa bouche pour l'atténuer.

 

Je reste figé sur le dernier tableau. Mon rêve se transforme en cauchemar. J'aperçois Guy collé à Francine, un bras passé autour de la taille.

Son autre main a déboutonné le chemisier, et sorti un sein qu'il caresse tendrement.

Devant ma femme, Mireille et son éternel sourire sadique. Elle a relevé la jupe de Francine, et lui fouille la chatte de ses doigts fureteurs. Je distingue les lèvres ouvertes  par les doigts vicieux. Je vois aussi le clitoris entièrement sorti de sa capuche. Mais je vois surtout les larmes perlées sur la joue de mon épouse.

 

C'est ce moment que choisi Sophie de R. pour intervenir. Elle s'interpose entre le couple maudit, et passe un bras autour de l'épaule de Francine.

« Allez, viens ma chérie, lui dit-elle. »

 

Les deux femmes disparaissent dans un nuage blanc, à même temps que les participants s'évaporent dans une épaisse fumée.

Je me retrouve seul au milieu de la pièce, quand une main se pose sur mon épaule. C'est Sophie de R qui me tend la main.

« Mamour ? »

Les lourdes portes de s'ouvrent sur le perron. Aux pieds des escaliers, Francine m'attend, appuyée à la portière d'une autre limousine.

 

Sophie de R s'approche de moi, et me donne un tendre baiser sur la joue.

« Allez, va mon chéri, me dit-elle. »

 

Arrivé près de la voiture, je jette un regard en arrière, plus personne. Je lève les yeux et scrute les étoiles. Une scintille plus que les autres.

C'est sur, c'est la sienne. Un léger sourire éclaire mon visage.

 

Il est neuf heures quand je me réveille en ce dimanche matin. La température au dehors avoisine les moins cinq degrés. Je sens une présence qui se glisse sous la couverture. C'est Francine, complètement nue. Elle glisse une main sous le drap, et me prend le sexe en le serrant.

« C'est qui cette fameuse Sophie, me demande-t-elle.

- Sophie,  heu.. Quelle Sophie… Cà va pas ! je ne connais pas..

- Je sais pas, tu lui as dis que tu allais lui envoyer un message… et puis, tu bandes comme un salaud… C'est elle qui t'excite comme çà ? Tant mieux pour moi !

- Hou la la… tu as besoin d'un bon coup de queue toi.

- Un seul ??? Tu as intérêt d'assurer mon amour. Je suis chaude là, et quand je suis chaude, tu sais que tu ne fais pas le poids... »

 

C'est vrai que quand mon épouse est dans cet état, il m'arrive de ne pas pouvoir suivre. Il n'set pas rare qu'au du trois ou quatrième coup, je la finisse manuellement  ou en lui suçant le clitoris. Mais elle se régale quand même la polissonne.

-Quel amant merveilleux tu as été aujourd'hui, tu m'as cassée...J’ai besoin de me remettre là.

- Mais, tu as le temps, repose toi mamour… heu...

- Tiens ! Voilà autre chose ! Tu m'appelles mamour maintenant… Hou ! Cà ne s'adresse pas à moi çà, je me trompe ? Allez mon amour, ne la fais pas  attendre, vas lui envoyer ton message, et pense à lui adresser tes vœux !! »

 

 

*Madame Payé est une esclave affranchie du XVIIIème siècle, devenue riche. Et non une quelconque prostituée…

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Histoire érotique
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