Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Préambule
Maitresse Olivia et Madame Isis organisent des après midi au 13 bis, et pour finir la saison en apothéose, elles ont organisé une ultime soirée samedi dernier.
Le jeudi précédent, compte tenu d’un emploi du temps chargé, j’avais du décliner l’invitation, mais, sur l’insistance de Madame Isis, et surtout parce que j’en mourrais d’envie, j’ai réussi à me libérer en fin de soirée.
J’ai pu ainsi découvrir un couple de dominateurs tout à fait sympathique, et un soumis plutôt doué. Vite impliqué dans le jeu, mes seins ont été soumis à rude épreuve. Ma Maitresse avait décidé de les équiper des pinces qui font si mal, et c’est Mphil, le Dominateur des lieux, qui les a retiré avec son martinet. La douleur fut d’une violence rare. Plus tard, ma Maitresse les a reposées sur mes seins encore douloureux, et c’est à nouveau Mphil qui s’est chargé de les retirer, m’arrachant un cri de douleur.
Pour me soulager, il m’a flagellé avec son martinet, lui devant, le second dominateur s’appliquant à rougir mes fesses, et ce fut un vrai moment de plaisir.
Mais je retiendrai de cette fin de soirée le moment privilégié où Maitresse Olivia m’a fait l’honneur de me prendre, pour la première fois, au gode ceinture. Plutôt bien membrée, ma Maitresse fut surprise par la facilité avec laquelle j’ai englouti ce code. Elle s’y est donné à cœur joie, elle m’a limé sans ménagement, pendant que je me branlais. J’ai couiné, je me suis trémoussé, et j’ai eu un violent orgasme qui m’a laissé chaos pendant quelques instants.
Merci Maitresse, voilà une soirée que je ne suis pas prêt d’oublier !
Le début de soirée
Mais le meilleur est à venir, car j’ai pu me libérer pour la soirée de clôture de Samedi. Cette soirée sera intime, car nous ne serons que deux soumis, et avec deux dominatrices expertes et perverses pour nous deux, gageons que les émotions seront de la partie.
Comme toujours, la journée est interminable, et je suis bien peu concentré alors que vaque à mes occupations. Les embouteillages m’empêchent d’arriver à l’heure, et c’est un peu stressé que je franchis enfin la porte du 13 bis. Le stress est néanmoins de courte durée, car les voir ainsi détendues et amicales me rassure instantanément
Et comme elles sont belles !
Maitresse Olivia porte une superbe guêpière noire, avec des petits cœurs brodés. Elle laisse ainsi admirer ses très belles jambes, gainées de noir. Ainsi vêtue, elle souffle le chaud et le froid : le noir pour la sévérité, les cœurs pour l’humanité !
Madame Isis n’est pas moins élégante dans sa longue robe noire et fendue, qui laisse également admirer ses bien jolies jambes.
Je me sens tout de même bien insignifiant en face de ces deux magnifiques dominatrices.
Après les salutations d’usage, ma Maitresse m’ordonne d’aller me mettre en tenue, et de m’habiller devant elle. Je retire mes vêtements de ville, que je plie soigneusement au vestiaire, et me présente devant elle, nue comme un vert. Je commence à enfiler mes bas résilles rouges, au moment où Madame Isis revient dans la pièce. Elle me somme de les retirer, et me présente de très jolis bas rouges avec de la dentelle, et un porte jarretelles de la même couleur. Après m’être ainsi vêtu, je mets mon mini string rouge, et Madame Isis me présente une nouvelle surprise : c’est un harnais en cuir rouge avec lequel ma Maitresse me sangle. Et pour finir, elle me tend un tablier de soubrette. Je sais maintenant que je serai la boniche de la soirée. Quel plaisir de pouvoir servir ainsi mes deux maitresses adorées !
En attendant l’arrivée de la Fouine, qui sera le second soumis, je suis aux petits soins pour les deux dominatrices. Installées confortablement dans le canapé, elles peuvent déguster l’apéritif que je leur sers, et j’ai le droit de boire un verre, à genoux à leurs pieds. A la moindre faute, j’ai droit à quelques coups de cravache, la cravache rouge en forme de cœur, celle que j’ai offerte à ma Maitresse pour mon anniversaire.
Nous sommes toujours à l’apéritif lorsque ma Maitresse m’envoie chercher sa boite à malices. Les choses sérieuses vont débuter. Elle sort un gode vibrant que je connais bien. Après m’être lubrifié l’anus, elle me l’enfonce directement dans le fondement, le bloque avec la ficelle de mon string, et met en marche les vibrations à la vitesse maximum. J’adore cette sensation d’être ainsi rempli. Ma Maitresse reprend sa cravache pour bien faire chauffer mes fesses, joue avec le gode en me l’enfonçant jusqu’à la garde à coups de pieds. J’ai mal, mais je reste stoïque, enfin tant que faire ce peut. Je ne veux pas que s’arrête cette si douce sensation ! D’autant que je préfère qu’elle joue avec mon cul, plutôt qu’elle reprenne possession de mes tétons encore douloureux de la soirée de jeudi.
La fouine arrive enfin, et crée une légère diversion, dont je dois reconnaitre que je me serais bien passé. J’aimais ce moment où j’avais deux dominatrices pour moi tout seul. Les seins et les fesses de la Fouine rougissent rapidement, sous les coups d’une cravache surnommée « la saloperie », car elle fait horriblement souffrir.
Au bout d’une heure et demi, ma Maitresse m’autorise enfin à retirer le gode vibrant. J’ai l’anus vraiment assoupli, et c’est avec un peu de soulagement que je me décule. J’ai maintenant comme une sensation de vide, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose. Et je sais, au moment où j’écris ce récit, que ma Maitresse a sciemment opéré pour que mon anus soit bien souple.
Nous allons passer à table, que la Fouine et moi avons dressée pour nos Maitresses. Quant à nous, c’est à genoux devant la table basse que nous dinerons. Quelques inattentions pendant le service m’occasionnent des coups de cravaches mérités, mais le repas se passe globalement dans une ambiance conviviale et sereine.
Je me sens bien dans cette douce atmosphère, à servir à ma Maitresse.
Le repas touche à sa fin, et nous débarrassons la table.
La soirée bat son plein
Ma Maitresse m’emmène dans la pièce du fond, pendant la Fouine se charge de la vaisselle. Je m’installe à quatre pattes sur le lit, et j’attends en fermant les yeux la douce torture qui m’attend.
C’est le double martinet qui commence à caresser ma peau. Maitresse Olivia joue de manière divine et très sensuelle avec mon corps et ses deux martinets. Les coups pleuvent avec délicatesse au début, sur mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes. Je m’imprègne de cette douce et voluptueuse sensation, j’abandonne mon corps à ma Maitresse en qui j’ai toute confiance. Mon corps ondule au rythme des martinets, pour aller au devant des lanières en cuir qui chauffent progressivement ma peau. Maitresse Olivia entame un jeu endiablé, alternant douceur et violence, passant des épaules au dos, descendant sur mes fesses ou cherchant mes couilles et ma queue.
J’ai l’impression d’entendre voler les lanières, et je suis sur le point de m’envoler tant ces sensations sont fortes et réchauffent mon âme. Ma Maitresse, ses martinets et mon corps ne font plus qu’un. Je suis les lanières en cuir, je suis la brulure intense lorsque les coups sont plus appuyés, je suis les mains de ma Maitresse qui manient dextrement ces instruments de torture et de plaisir mélangé. Et quand la morsure atteint mon petit trou, je suis au bord du Nirvana et de la jouissance, même si le cuir des lanières commence à bruler mon épiderme.
Je suis dans ma bulle, je suis à l’abandon, je suis tout à ma Maitresse !
Maitresse Olivia semble satisfaite de la couleur de ma peau, et décide de faire une pause. Toujours à quatre pattes sur le lit, cambré dans la mesure de mes possibilités, le cul bien offert, j’attends avec impatience la suite des évènements.
Des bruits de pas, c’est Madame Isis qui vient rejoindre ma Maitresse. Elle s’installe à mes cotés, et je sens rapidement le froid envahir mon fondement. Maitresse Olivia a décidée que je serais fisté ce soir. J’ai une légère appréhension, car je n’ai reçu ce don qu’une fois, mais je connais trop Madame Isis, et la crainte fait vite place au plaisir.
Les trois premiers doigts rentrent avec une facilité qui étonne Madame Isis, et qui me vaut les sobriquets de « salope » de la part des deux dominatrices. Madame Isis me lubrifie au maximum, et en alternant va et vient musclés et douceur, fait pénétrer un à un les doigts de sa main. Ma Maitresse est restée à mes cotés, m’encourage à aller au devant de cette main qui joue avec mes chairs, me flatte, me tient la main, me félicite. Soudain, j’entends Madame Isis annoncer qu’elle a sa main entière dans mon cul. Je n’ai ressenti aucune douleur, bien au contraire. C’est dorénavant le plaisir qui prend maintenant place dans mon cerveau.
J’ai reçu l’autorisation de me branler, et c’est avec frénésie que je m’y emploie. Madame Isis me fiste toujours, parfois profondément, parfois dans un rythme endiablé, ma Maitresse me caresse et me claque les fesses, ma main s’active sur mon membre à l’unisson de mes expertes dominatrices.
« Mais elle jouit du cul, cette salope, constate Madame Isis. »
Ces mots résonnent dans mon cerveau, redescendent dans ma queue, et je lâche mon plaisir dans des couinements de chienne en chaleur, avant de m’effondrer. Je suis submergé par le violent orgasme que je viens de vivre !
Je remercie Maitresse Olivia et Madame Isis pour ce bonheur immense qu’elles viennent de m’offrir, et elles m’abandonnent quelques minutes pour me permettre de retrouver mes esprits.
C’est maintenant au tour de la fouine. Mais au préalable, il a droit au lavement. Une fois passée cette étape, on lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, dans le salon, au vu de tous. Il n’aura pas droit à une quelconque intimité. Madame Isis a sorti un gode d’un bon diamètre.
Au préalable, ma Maitresse me demande de lubrifier son anus avec ma langue. Elle aperçoit la lueur de désespoir qui scintille au fond de mes yeux, mais son regard se fait plus noir, et je m’exécute dans l’instant. Je crois qu’elle est fière de me voir obéir au doigt et à l’œil à la moindre de ces exigence, mais je crois surtout qu’elle jouit du pouvoir qu’elle a sur moi, d’autant que ce cul poilu est vraiment peu engageant.
Madame Isis décide enfin de prendre possession de ce cul, et tente désespérément de le sodomiser. Mais le gode est trop gros, il faut aller en cherche un plus petit. Il finira tout de même par rentrer un peu plus tard.
L’apothéose
Après ces deux séances de sodomies, nos deux Maitresses profitent d’un moment de relaxation, non sans annoncer la suite du programme. Dans quelques instants, c’est la cire qui coulera sur nos corps masochistes, et ma Maitresse s’amuse par avance de voir souffrir la fouine qui ne goute guère ce genre d’exercice.
On va d’ailleurs commencer par lui. Allongé sur le dos, Madame Isis tente de lui dessiner de jolis motifs sur le corps, mais la fouine ne tient pas en place ; dès que la bougie le touche, il se tortille au risque de se bruler. Ma Maitresse tente de l’immobiliser, mais sans grand succès. La séance sera pour lui de courte durée.
C’est maintenant à mon tour. Je m’allonge également sur le dos, avec sérénité, tant je me sens bien ce soir auprès de ma Maitresse. Elle va étrenner une nouvelle bougie toute neuve, j’espère seulement quelle ne brulera pas trop.
Je ferme à nouveau les yeux, et j’attends avec calme et délectation anticipée la morsure de la cire. Maitresse entreprend d’écrire « salope » sur mon dos, sans oublier de laisser couler la bougie entre mes fesses. Je suis en train de partir à nouveau, de prendre mon pied. Je n’arrive pas à maitriser mon corps qui spontanément va au devant de la cire, de la brulure que m’offre ma Maitresse. Les minutes s’égrènent, et je suis proche du Nirvana quand elle a finit, trop tôt, d’écrire sur mon dos.
C’est maintenant au tour de Madame Isis, qui se charge de retirer la cire avec le couteau stocké à cet effet dans le congélateur.
Quand elle finit son office, je suis soudain envahi par une vague d’émotion qui me submerge. Toutes ces attentions de Maitresse Olivia et de Madame Isis m’ont bouleversé, et je ne peux retenir des larmes de bonheur, des larmes d’émotion. A noter qu’à la rédaction de cet épisode, les larmes remontent à nouveau. J’ai les jambes qui flageolent, j’ai des larmes de joie qui inondent mon visage, je suis comblé.
Ma Maitresse me conduit à la douche pour que je retire les dernières traces de bougie, mais avant que l’eau ne coule, c’est le champagne de ma Maitresse qui vient réchauffer s’il en était besoin, mon corps et mon âme. Quel bonheur sans cesse renouvelé de vous appartenir !
Au sortir de la douche, Madame Isis m’enduit le dos d’une crème apaisante pour atténuer les traces de brulure, avant de me prodiguer un massage californien dont elle a le secret.
Je suis aux anges, et cette soirée de clôture restera à jamais gravée au plus profond de ma mémoire.
Je ne sais comment je pourrais remercier Maitresse Olivia et Madame Isis pour cette soirée d’une telle intensité émotionnelle et d’un tel plaisir orgasmique.
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