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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

LUI :

 

Vendredi soir. Je vais te chercher à la descente du T.G.V. qui arrive vers dix-neuf heures. Pour une fois le train est à l’heure! Ayant conversé et échangé des photos sur la toile, je te retrouve facilement dans la foule. Il est vrai que tu ne passes pas inaperçue. Alors que tu es déjà relativement grande et élancée, tu es perchée sur des cuissardes avec des talons qui font au moins dix centimètres. Ta démarche ondulante et lascive attire le regard des hommes.

 

Quant à moi, je suis totalement subjugué par ton allure générale ! Jupe courte à mi cuisse, chemisier légèrement transparent qui laisse deviner ton soutien gorge, manteau de cuir ouvert, les pans retenus par la ceinture, tes longs cheveux châtains attachés en queue de cheval, tes beaux yeux gris illuminant ton doux visage ovale. Tu es resplendissante. Tu portes un léger bagage dont je te débarrasse pour rejoindre la voiture. Nous avons encore une heure de route pour arriver chez moi.

 

Je t’enlace et nous échangeons un baiser profond comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation. Que c’est bon de te tenir dans mes bras, de sentir ton corps qui se colle au mien au point que je sens ta poitrine opulente dans l’ouverture de ton manteau.

 

Nous prenons la route et ton parfum envahit l’habitacle de la voiture. De temps à autre, mon regard court vers tes jambes gainées de cuir brillant et souple. Ta jupe est remontée et je pourrais, en me baissant un peu apercevoir ton string. Mais la route requiert toute mon attention. Ce n’est pas encore le moment de faire des folies.

 

Je laisse simplement glisser ma main droite jusqu’à l’ouverture de tes cuisses (merci la boite automatique). Tu ne la repousses pas, au contraire, tu refermes le compas de tes cuisses et tu emprisonnes ma main dans la douce chaleur de ton intimité.

 

Nous arrivons chez moi. Au cours de cette petite heure de trajet, nous avons parlé de ce qui fait notre vie quotidienne et nous avons aussi évoqué nos échanges sur la toile. Oui ! Il y en a eu de chauds !

 

Traversant la salle de séjour, je te conduis vers la chambre pour que tu y déposes tes affaires et passes aussi dans la salle de bains attenante pour te rafraîchir après le voyage. Pendant ce temps là, je mets rapidement au four et finis de préparer ce que nous allons manger. Le dessert est au réfrigérateur. Tout en mangeant, nous devisons gaiment mais, je ne sais pas ce qui se passe, l’un et l’autre nous ressentons comme une sensation d’urgence !

 

Oui, il y a urgence sans doute mais nous restons un petit moment à table, pour nous dévisager un peu plus l’un à l’autre. Ayant achevé notre diner et, sans plus attendre, nous gagnons la chambre où le grand lit nous attend ! Jusqu’ici tout s’est passé comme sur des roulettes, tellement le déclic entre nous est fort.

 

Nous nous enlaçons et tout en nous embrassant, nous nous déshabillons mutuellement. Tu es rapidement nue entre mes bras: tu ne portes plus que tes cuissardes avec des bas auto-fixant, ton string et ton soutien gorge dont je défais rapidement l’attache dans ton dos. J’ai en face de moi cette fabuleuse poitrine que j’ai déjà tant admirée lorsque l’été dernier, nous nous sommes rencontrés une première fois au Cap d’Agde, où Nadja, une amie commune nous a présentés.

 

Il me semble qu’elle se tend vers moi ! Les tétons sont dardés comme s’ils avaient été sucés par une bouche invisible. De mon coté, mon sexe encore emprisonné dans mon slip, est dressé au point que le gland pointe son nez au dessus de la ceinture. Tu enlèves rapidement tes cuissardes, tes bas et ton string, et tu me tends les bras :

« Enfin ! »

 

 

 

Depuis le temps que je lui chauffe les sens par mes propos coquins lors de nos échanges de mails, on est l’un en face de l’autre et on sait ce qui nous attend. Nous avons deux nuits et une journée à passer ensemble, et nous allons passer tout ce temps à baiser comme des forcenés.

 

Je t’allonge sur le lit et tendant mes mains vers tes seins, je commence à les masser, à caresser les pointes que je fais rouler entre mes doits. Ma bouche se porte à ton sexe où je découvre avec surprise ce joli bijou intime dont tu avais émis l’idée d’en porter un.

 

Tu m’avais caché que cela était réalisé. J’ouvre tes lèvres de ma langue, lentement je la fais aller et venir entre tes petites lèvres ourlées et suintantes de ton miel d’amour. De temps à autre, je pointe ma langue pour simuler une pénétration.

 

Pour l’un comme l’autre, cela ne suffit pas. Tu ondules sous moi et bientôt je me place entre tes cuisses. D’un lent mouvement mon sexe pénètre le tien jusqu’à la garde et je m’immobilise pour savourer la sensation enivrante et douce.

 

Mes bras tendus sont de chaque côté de ton buste et j’admire toujours tes seins qui suivent les mouvements que j’imprime à nos corps pour te baiser. De temps à autre tu vas en caresser les bouts pour augmenter tes sensations. Ta respiration haletante me rend encore plus chaud.

 

Mes mouvements s’accélèrent et tu ronronnes de plus en plus. Ta chatte est inondée de mouille et c’est facilement que je te pénètre. Bientôt nous laissons éclater notre jouissance. Je m’étais tellement préparé mentalement à notre rencontre que je déverse une belle quantité de semence que j’avais préservée pour toi.

 

Cela faisait longtemps que je n’avais pas éjaculé comme ça. Houlà! La joute a été rude! Je m’allonge entièrement sur toi, ma poitrine pressée contre tes seins, mon sexe fiché en toi garde sa raideur ultime, puis nous basculons sur le côté sans nous désunir.

 

Nous restons ainsi de longues minutes mais qui me semblent si courtes. Bientôt, tu descends vers mon sexe et tu gobes mes couilles puis le gland. Tu entames une lente succion dans ta bouche chaude. Tu agites ta langue pour titiller le frein et bien faire monter la bandaison.

 

Lorsque tu la trouves à ton gout, tu remontes vers moi non sans au passage placer ma bite entre tes jolis seins généreux où tu fais quelques va-et-vient. Finalement tu viens t’empaler en amazone sur mon sexe et tu commences une chevauchée sauvage.

 

Tu te déchaines et par d’incessants mouvements alternatifs tu fais monter notre jouissance. J’ai devant les yeux tes seins qui se balancent doucement et sur ton visage j’aperçois un sourire extatique. Tu dois savourer autant que moi cette copulation. Je sens tes muscles intimes masser ma verge fichée au fond de ton sexe! Humm ! Que c’est bon!

 

La délivrance commune est sur le point d’arriver, soudaine et violente. Je suis prêt à mélanger, encore une fois, mon foutre à ta cyprine lorsque son portable sonne. Cette sonnerie me fait frémir, et je crains le pire.

 

Tu ne me demandes pas pourquoi mon regard interpelle le tien sans oser bouger un seul muscle pendant que tu prends ton portable, et appuies sur talk pour parler. J’attends deux minutes qui me semblent une éternité et puis quand tu raccroches, ton sourire me détend au point de me permettre de parler…

« C’était…?

- Non ! C’était ma mère, donc fausse alarme, me réponds-tu sèchement, avant de partir aux toilettes. »

 

Lorsque tu reviens, remise de la surprise téléphonique, je n’ai pas encore débandé. Ma bite est toujours dressée comme le mat d’un bateau. Après avoir déposé quelques léchouilles sur le gland, d’un mouvement souple tu reviens me chevaucher. Tu allonges ton buste sur le mien. Tes seins généreux et doux sont pressés contre moi.

 

J’entreprends des mouvements de plus en plus rapides dans ta chatte en ondulant du bassin et, une fois encore, je mélange généreusement mon foutre à ta cyprine au moment où la jouissance te foudroie. Tu t’allonges sur moi en blottissant ta tête au creux de mon épaule. Tu murmures doucement :

« C’est bon ça… J’aimerais bien pouvoir vivre cela au grand jour…

- Mais tu sais qu’on ne peut pas…tu sais…

- Ouai… »

 

Je ne trouve pas les mots justes pour continuer notre conversation. Moi aussi, j’en ai marre de me cacher. Nous nous couvrons avec le drap et, encore l’un dans l’autre, nous sombrons dans un sommeil réparateur.

 

Le lendemain, nous nous réveillons pratiquement dans la même position, dans les bras l’un de l’autre, ton corps pressé contre le mien, nos jambes emmêlées. Je bande à moitié. Est-ce le désir que j’ai de toi qui se manifeste à nouveau ? Oui, je le crois et tu le sens, mais tu te fais un peu prier cette fois-ci.

« Humm ! Que c’est tentant ! »

 

Tu te frottes contre moi et ta main droite part à la rencontre de mon sexe. Tu commences à le masser ainsi que mes couilles qui sont toutes dures. Il y a encore de la réserve… De mon côté, je pars en reconnaissance vers ton sexe, rose et délicieux.

 

Il est tout trempé ! J’en écarte délicatement les lèvres et commence ma caresse sur ton clitoris très délicatement. J’ai un peu peur de te faire mal avec ces anneaux qui passent au travers de tes lèvres intimes. J’alterne des petits mouvements de va-et-vient avec d’autres plus circulaires. Tu gémis à mi-voix presque en ronronnant.

 

Mon plaisir est si fort que je contrôle plus mes baisers. Alors tout en continuant de te masturber, je t’embrasse les lobes des oreilles que tu m’offres volontiers, puis, je m’attarde quelques instants dans ton cou et enfin sur tes épaules. Je suis au bord de l’explosion. Après tes épaules je descends vers ta poitrine dont les tétons saillent très fort.

 

Nos corps bougent en sorte que le tien se met en levrette et le mien dessus comme en te couvrant dans cette pose animale. Je ne peux pas supporter ce supplice provoqué par tes fesses bombées, légèrement écartées au milieu, laissant voir un bout de chatte rose et lubrifié. Je fonce.

« Oh ! Oui ! Oui ! »

 

De toi même tu prends la position en mettant tes mains sur la tête de lit. Tu offres ta croupe à mes regards. Que tu es cambrée et que tes globes fessiers sont ronds et généreux, autant que tes seins. Humm, que c’est agréable à contempler.

 

Je me place derrière toi et d’une poussée lente et continue, je prends possession de ta minette qui m’attend. Dans un miroir à côté du lit je vois tes seins balloter sous toi. C’est excitant au possible d’associer mes sensations à la vision de tes beaux seins qui se balancent sous mes assauts.

 

J’ai placé mes mains de chaque côté de ta taille pour maintenir mon équilibre. J’accentue mon va-et-vient, mon ventre claque de plus en plus vite contre tes fesses dont la raie s’ouvre à chaque fois et me dévoile ton anus plissé. D’un doigt inquisiteur je vais le chatouiller. Tu ronronnes et ondule de la croupe. Notre plaisir monte et finit par éclater à nouveau. Nous nous affalons sur le lit, sur le côté nous récupérons notre souffle.

 

Après un rapide petit déjeuner, nous rêvons d’aller nous balader un peu dans la ville voisine comme deux amoureux en profitant du soleil de l’été indien. Nous hésitons, ce n’est pas prudent de nous montrer l’un à coté de l’autre dans un contexte si…compromettant.

 

Pour éviter de tomber dans la même discussion stérile sur notre avenir je change de sujet et propose d’y aller en voiture, sans en sortir. Tu te montres d’accord quoique avec des réserves.

 

Tout en bavardant et en échangeant des propos badins sur l’ambiance du camp naturiste où nous nous sommes rencontrés, hélas sans rien faire ensemble, nos coquineries sur le chat et les heures que nous venons de vivre. Pendant que la voiture roule je te convaincs d’ouvrir les vitres pour laisser entrer le soleil.

 

En cette fin d’automne et sous le soleil, je la trouve belle et encore plus de la faire découvrir à une femme charmante et sexy. Comme hier soir, je laisse glisser ma main droite de temps à autre entre tes cuisses pour te chatouiller la chatte.

 

Tu n’as qu’un mini string ma belle coquine. Je sens la chaleur et la douceur humide au travers du fin tissu. Voilà on a trouvé un amusement seulement possible dans notre voiture, les attouchements coquins.

 

Peu avant dix-neuf heures, nous arrivons à la maison. Enfin nous pouvons nous étreindre à l’abri des regards des gens honnêtes. Par-dessus nos vêtements, nous nous caressons mutuellement. Je remonte ta jupe courte et je glisse ma main droite dans la raie de tes fesses, écartant la ficelle du string.

 

De ton côté, d’une main, tu as réussi à ouvrir le zip de mon pantalon et tu caresses mon sexe par-dessus le slip et de l’autre tu t’es faufilée sous ma chemise pour venir agacer mes tétons du bout de tes ongles. J’aime ! Et je bande à nouveau. Tu te dégages de mes bras et me dis :

« Mets-toi au lit, je dois passer à la salle de bain mais j’arrive tout de suite. »

 

Je me déshabille rapidement et je me glisse sous le drap où, totalement nue, tu me rejoins rapidement. Nous recommençons nos caresses et nos embrassades. Nos sens s’échauffent. Mon sexe est comme un pic qui se tend vers toi qui, te plaçant à genoux, le buste allongé entre tes bras.

 

Je ne me fais pas prier. Je viens derrière toi et, oh, surprise, je découvre que tu as mis du gel dans l’entre fesse et dans ton anus.

 

L’invitation est on ne peut plus claire. Tu as envie d’être sodomisée. Je travaille un peu ton trou plissé en faisant coulisser un doigt bien profond. Cela achève de nous échauffer. Je retire mon doigt et, d’une poussée prudente je pénètre l’entrée interdite.

 

Elle s’ouvre si facilement que je sens que tu t’es préparée à cette pénétration. J’y glisse mon pénis très doucement. Que c’est bon.

 

Mon sceptre de chair coulisse facilement dans ton antre serré. C’est chaud et je ne tarde pas à venir. Toi non plus, tu ne tardes pas à jouir. Nos mouvements désordonnés au moment de l’embrasement nous ont désunis et une dernière giclée de sperme finit au bas de tes reins. Tu viens en récupérer une partie avec ta main et la porte à ta bouche pour me gouter.

 

Il est largement 6 heures du matin lorsque le lendemain nous nous réveillons. Nous avons dormi comme des bienheureux, rassasiés de sexe et des sensations qui vont avec.

 

Malheureusement, il nous reste à peine plus de trois heures à passer ensemble. Je dois te reconduire à la gare pour neuf heures trente au plus tard. Nous n’avons pas trop de temps, mais nous prenons celui de passer ensemble sous la douche. On y tient facilement à deux.

 

Après un rapide petit déjeuner copieux (nous avons sauté un repas), nous reprenons la route vers la gare. Tout le long du chemin, nous bavardons joyeusement quand soudain, tu te tais. Je te demande :

« Quelque chose ne va pas ?

- C’est tu sais qui, je trouve qu’il se doute de quelque chose au sujet de ma vie et n’arrête pas de m’appeler les weekends ! Je me sens surveillée ! C’est pesant et en même temps c’est normal…car à la fin…tout cela…ne devrait pas avoir lieu. »

 

Je comprends, en te quittant au moment de monter dans le train, je te dis :

« Et si je descendais vers Perpignan ? On pourrait se cacher aussi et tu serais toujours près de lui au cas où…

- Pas question ! »

 

----===o===---

 

A suivre...

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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