Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
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Bises libertines,
Sophie
J’avais vingt-deux ans, je venais de commencer un nouveau boulot de commercial dans une boite qui vend des livres sans intérêt à petit prix et qui vous impose d'en acheter un tous les trois mois
sinon ils vous en envoient un d'office. (France Loisirs pour ceux qui n'avaient pas compris) Et oui, vous m'avez peut-être vu passer chez vous en pensant que j'étais un témoin de Jéhovah….
Cet après-midi-là, il faisait beau mais pas trop chaud, juste le temps qu'il faut pour rendre les gens de bonne humeur. Le temps idéal pour faire de belle vente et pouvoir refourguer mes
abonnements.
Le chef d'équipe nous emmena en van jusqu'à notre site de chasse. Il nous parla de chiffre, d'objectif, de blabla inintéressant.
Je regardais la ville défiler sous mes yeux par la fenêtre du van. Pour moi le show allait bientôt commencer, j'étais détendu. Les autres commerciaux n'arrêtaient pas de geindre parce que leur
début de mois était pourri. Je restais les yeux sur la ville en me disant que c'était normal, ils n'avaient pas de charisme, aucune classe, ils se galvanisaient en récitant des règles de ventes
qu'ils avaient appris à l'école… des inepties. Le commerce n'a pas de règles, on l'a dans le sang ou on ne l'a pas.
Déjà trois jours que j'entendais ces jérémiades, ils me soûlaient. Le van s'arrêta, je suis toujours dans mes pensées. Le chef m'interpella:
« Tu écoutes un peu ce que je dis ? »
Question débile à ne pas poser à un anarchiste, provocateur et insolant.
« Pour ce que c'est intéressant… donne-moi ma feuille de route que je m'y mette. »
Je pris la feuille qu'il me tendit, et je suis sorti de la voiture. J'ai bien senti son regard furieux se poser sur moi, mais quelle importance. Je n'aimais pas ces gens.
Une fois dehors j'ai regardé ma feuille de route. J'ai souri, cet enculé de chef d'équipe m'a refilé un quartier de merde. Le quartier de merde dans ce boulot c'est les quartiers remplie de
personne d'origine étrangère. Ce n'est aucunement une question de racisme ou autre. Mais arriver à vendre des bouquins à quelqu'un qui ne maîtrise que très peu le français relève du défi. Mais
bon… j'aime bien les défis.
J'ai commencé mon premier immeuble, je frappais aux portes, vendais ma soupe, ça marche pas terrible, mais je sais que je vendrais toujours mieux que mes collègues.
Déjà deux ventes de faite, c'est pas mal en deux heures. Encore une porte qui s'ouvrit et là…
« Pause »
Oui je sais ça ne se fait pas, je viens de faire un arrêt sur image dans mon histoire, mais bon en même temps c'est mon histoire je fais ce que je veux. Et puis la suite se passe tellement vite
que j'y suis contraint.
C'est une jeune femme qui m'a ouvert, 20/25 ans, 1.55m, brune, yeux bleu, ne portant qu'un string rose fluo, toute menue avec des petits seins bien ronds.
« Lecture »
A peine la porte ouverte que la jeune femme me happa par le bras et m'attira chez elle en me disant:
« Putain t'en a mis du temps, j'en peux plus. »
Elle claqua la porte, me plaqua au mur, me défroqua et m'aspira le dard sans autre forme de procès.
Pensée de Jo :
« En retard ? Mais je ne la connais pas mo i!! Mais c'est qui cette dingue ? Ce n'est pas comme ça que je vais vendre mes conneries... Mais Jo t'es qu'un con. Oublie le taf deux minutes. Tu
ne bandes pas, concentre toi sur ce petit canon. Ah c'est mieux ! »
Sorti de ma surprise, je commençai à prendre conscience de ce qui était en train de se dérouler. Trop bon, je ne savais pas comment j'en étais arrivé là mais je n'allais pas m'en priver.
La sauvage qui m'avait violenté au premier abord s'adoucit. Elle me suça plus lentement, plus sensuellement tout en me branlant. Elle ne rentrait guère plus que le gland, mais elle savait y
faire. Paralyser par le plaisir je n'arrivais pas à lui dire que j’allais jouir. J'essayais de me retenir et elle le sentit.
Elle leva les yeux et me fit « oui » de la tête. Ayant reçu la permission de ma belle inconnue, je me suis laissé aller et j'explosai littéralement entre ses lèvres. Elle eut un moment
de recul sur la première giclée, puis elle avala le tout et finit par me lécher pour ne pas en perdre une goutte.
Toujours à mes genoux, elle continua à me branler pour que je ne perde pas en vigueur. Toujours prévoyant, je sorti un préservatif de la poche de ma veste. Elle me regarda avec un grand sourire
gourmand, puis descendit son regard sur mon membre. Son sourire disparu soudain pour laisser place à une sorte d'inquiétude.
J'ai enfilé ma protection et l'aida à se relever. Ses yeux ne quittaient plus mon sexe. Je la soulevai en la prenant par-dessous les genoux. Elle prit prise autour de mon cou. Elle libéra l'une
de ses mains afin de prendre mon membre et de le guider jusque dans sa petite grotte. Elle était trempée, ça glissait tout seul. Elle se crispa autour de mon cou en me glissant à l'oreille:
« Doucement, doucement, j'ai pas l'habitude comme ça. »
Je continuais ma progression dans son intimité, elle était étroite, chaude, j'adore. Je la pris en douceur. Une fois au fond d'elle, je me suis arrêté quelque instant. L'excitation, la situation,
la beauté de ma partenaire, j'avais envie de jouir encore, mais c'était à son tour, je voulais la faire jouir.
La pression un peu descendue, j'ai commencé des petits va et vient. Elle, toujours en suspension, n'avait aucune maitrise sur ce que je lui faisais. J'amplifiai mon mouvement, les gémissements se
firent plus présents. Elle était si légère, déjà cinq bonnes minutes que je la portais et toujours aucun signe de fatigue.
Après un petit moment de va et vient où je luttais pour ne pas jouir moi-même, elle eut son orgasme.
Violent, incroyablement violent. Elle fut prise de spasme un peu flippant, et sous l'effet de ces secousses, je n'ai pu me retenir, et je jouis une seconde fois. Forcement spasme plus jouissance,
j'ai lâché prise et on s'est cassé la gueule.
Nous prîmes quelques secondes pour souffler, heureusement pas de bobo dans la chute. Elle se releva la première et m'entraina dans la chambre. Elle m'allongea sur le lit et s'empara d'un tube de
lubrifiant. Elle m'en enduit généreusement le sexe. Elle s'accroupit dos à moi, je lui présentais ma queue à l'entrée de sa petite chatte encore toute ouverte du premier assaut.
Elle descendit doucement dessus et quand mon gland toucha ses lèvres, elle se stoppa, saisit mon sexe et l'emmena vers une autre destination. J'avais une vue imprenable sur sa rondelle et mon
gland posé dessus. Elle effectua une première poussée qui lui arracha un petit cri de douleur. Moi je ne bougeais plus, je me contentais de la caresser, je ne voulais pas lui faire mal. Elle y
allait doucement mais surement. Mon entré dans les lieux était accompagné par des souffles, des gémissements. J'en avais presque de la peine pour elle. C'était si bon pour moi. Pourquoi cela
devait-il être douloureux pour elle ? Je l'invitai à cesser cette torture, mais elle s'y refusa en me certifiant que c'était ainsi qu'elle avait ces plus gros orgasmes, qu'il n'y avait que
l'entrée de douloureuse.
Encore quelques secondes, elle y était, assise sur mon membre. Elle me regarda avec son sourire gourmand, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Elle se laissa aller en arrière afin de
s'allonger sur mon torse. Quelle délicieuse position, j'étais bien à l'aise au fond de son petit trou et je pouvais en plus la caresser à loisir. Pas encore vraiment confiant, avec une grande
peur de lui infliger une douleur, je restais immobile.
Elle se tortilla de droite à gauche sur mon sexe et au bout de quelques instants, elle eut son orgasme. Enfin si on peut appeler ça un orgasme, j'ai cru qu'elle faisait une crise d'épilepsie.
Elle faisait de grands gestes incontrôlés en tous sens. J'essayais au mieux de la maîtriser en tenant sa tête et ses bras et en enroulant mes jambes autour des siennes.
Après cela nous somme resté allongé dans cette position épuisé. J'avais encore joui sous les secousses de son orgasme. Je sentais mon sexe se ramollir et sortir peu à peu du petit cul de ma
belle.
Nous avons fini par nous relever et papoter un petit peu.
ELLE : « T'es un beau salaud quand même tu m'avais dit quinze centimètres sur msn, j'ai cru que j'allais mourir avec ton machin, mais je ne regrette pas c'était trop bon ! »
MOI : sur msn ? Quoi ? »
Et là, le gros blanc.
Elle avait rencontré un homme sur un tchat sur internet le matin même, et ils s'étaient donné leur msn et s'étaient chauffés par message, mais tout le monde n'ayant pas encore de web-cam à cette
époque, ils ne s'étaient pas vus. Elle savait juste qu'il était grand et brun, ce qui correspondait également à ma description. Ils s'étaient donc donnés rendez-vous chez elle pour une partie de
jambes en l'air. En me voyant à sa porte elle a cru que j'étais lui et la suite vous la connaissez.
Nous avons continué à parler autour d'un verre. On s'entendait vraiment bien et on riait beaucoup de notre rencontre. Quand soudain quelqu'un a frappé à la porte. C'était notre don juan qui avait
été bloqué sur le périphérique. Il s'excusa de son retard auprès d'elle, elle avait remis un long t-shirt. Il avait l'air content jusqu’à ce qu'il m'aperçoive en caleçon dans le canapé du salon.
Elle lui offrit un verre, on lui raconta l'histoire ce qui le fit beaucoup rire jusqu'à ce qu'elle lui annonce que là, elle en pouvait plus et qu'il n'aurait rien aujourd'hui.
Sans même finir son verre, il se dirigea vers la porte et sortit en la traitant de salope, de trainée, d'allumeuse et autres qualificatifs sympathiques.
On s'est regardé morts de rire
Il fut bientôt l'heure de se quitter, mon chef d'équipe devait passer me prendre pour ma fin de journée.
Elle m'invita cordialement à repasser quand je le souhaitais….
Ils étaient déjà tous à m'attendre quand je suis arrivé. J'ai rendu ma feuille de route avec mes deux ventes. Mauvaise journée de son point de vu. On nous demandait une moyenne de trois ventes
par jour. Moi, j'avais repris ma position favorite, la tête contre le carreau à regarder dehors. Sauf que je ne regardais plus la ville, j'avais mes souvenirs de la journée qui défilait devant
mes yeux.
Le chef nous passait un savon parce que l'on ne vendait pas assez. Une collègue était en larme à se demander comment elle allait réussir à payer son prochain loyer. Moi j'avais le sourire de les entendre se plaindre, petit être insignifiant et superficiel, aliéné par notre société de consommation. Ils ne connaissent rien des vrais plaisirs de la vie.
Signé : Amant Romantique
Eh oui, le tout est de savoir profiter des bonnes occasions !
Jusqu'au jour ou j'ai rencontré une femme qui se prénommé Sophie. Et de l'énergie, c'est elle qui en avait à revendre.
Michel.
Parce que tu me galvanises !
Mais si.. meme si ce n'est pas aussi rapide ! Plein de femmes s'ennuient chez elles...
AU contraire !!! avec l'explosion du net et des sites de rencontres, je pense que les possibilités sont accrues !
Mais pourtant, la vie en est remplie, car nous avons perdu l'habitude d'observer, et de prendre notre temps....
Comme tu dis, ta façon de faire à ses avantages.. et ses inconvenients.. Comme peut-être ne pas savoir saisir une bonne occasion quand elle se presente !
Tout à fait juste ! je te souhaite plain de bonheur et de réussites !
ça me fait plaisir que tu ai posté mon histoire sur ton blog, sur docti elle s'est perdu au milieu de centaine de pages. ici beaucoup de personne pourront en profiter
Je suis ravie que cela te convienne ! et si tu en as d'autres à publier, tu es le bienvenu !
Il semblerait que ce recit soit vrai...
Alors, je ne peux pas croire que tu n'en n'aies pas vecu d'autres....